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Les hommes végétaliens plus performants

Selon un documentaire de Netflix, une diète sans viande améliorerait les capacités sexuelles des hommes.

L’émission The Game Changer a voulu briser le mythe « qu’un vrai homme mangeait de la viande ». Ils ont alors étudié trois athlètes et leur alimentation afin de démontrer qu’un régime végétalien, qui exclut les produits issus des animaux, n’affectait en rien les performances au lit d’un homme.

Les résultats de l’expérience non scientifique menée par le docteur Aaron Spitz dans le cadre de l’émission ont été encore plus probants.

Mesurant les érections nocturnes des cobayes végétaliens, le chercheur a constaté des érections de trois à quatre fois plus longues que celles des cobayes ayant mangé de la viande.

Même si l’émission ne prétend pas présenter d’études scientifiques reconnues, ces résultats préliminaires suscitent tout de même de l’enthousiasme.

« Dans les faits, des études ont démontré que plus les hommes mangent de la viande, plus rapidement ils perdent de leur puissance », explique le docteur Spitz.

Photo : zerocreatives/Westend61/Cover Images

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Quand sexualité et fertilité riment avec corvée

La procréation assistée, ce long et préoccupant processus par lequel j’ai dû passer pour avoir mes cocos, m’aura enlevé, le temps de quelques saisons, mon désir de faire l’amour par plaisir. Je me souviens d’un samedi soir, collés dans le lit, j’avais envie d’être coquine, mais comme mon insémination était lundi matin, pas question de « gâcher » ça.  

Eh oui, tout est une question de calcul et de « timing »! Les jours sont comptés, les injections sont bien dosées, l’échographie doit avoir lieu à une date précise, l’ovulation est déclenchée, puis on part presque avec une prescription de où, quand et comment faire l’amour. Correction: on ne fait pas l’amour, on fait des bébés!

La magie, les fantaisies, le désir et les préliminaires, ça n’existe plus. On fait place aux alarmes, au calendrier, aux automatismes et à un profond sentiment de découragement lorsqu’il faut recommencer.

Les mois passent et on devient comme des robots programmés à faire du sexe dans le seul et unique but que je tombe enceinte. Pour moi, cette période de traitements aura duré 15 mois. Quinze mois à avoir des relations sexuelles de façon mécanique.  En fait, les premiers cycles de traitements, nous avions des relations, mais à des moments bien précis.

Malheureusement pour nous, cette méthode n’a pas fonctionné. Nous sommes donc passés à l’étape de l’insémination, une technique  par laquelle le sperme de l’homme est artificiellement introduit dans la cavité utérine de la demoiselle.  À ce moment, nos corps n’avaient plus à se rencontrer. En fait, le jour où mes deux petits ont été conçus, mon chum n’était même pas là. J’étais seule dans ma petite salle, les genoux dans les airs à espérer que cette fois soit la bonne . 

Après 8 inséminations artificielles, j’étais enfin enceinte et cette étape de notre vie nous aura rendus plus forts (et plus fatigués) parce que j’ai finalement eu la chance incroyable de porter et de mettre au monde 2 enfants plutôt qu’un. Mes jumeaux (pas si jumeaux que ça finalement) auront été conçus le 25 mai 2015 à 10:15 et ils sont nés le 27 janvier 2016 à 7:58 et 8:03 et cette fois, mon homme était présent.

La vie de couple a repris son cours, mais nos rapprochements étaient devenus une corvée plutôt qu’une envie. Après ce triste constat, on a dû réapprendre à faire l’amour par désir et non par « obligation ».  La flamme qui nous allumait autrefois s’était éteinte et il allait falloir mettre des étincelles dans notre chambre à coucher pour que nos corps s’enflamment à nouveau.

Petit à petit, on a recommencé à « flirter » comme des ados en quête de bon sexe sans autre but que le plaisir. Il a fallu réapprivoiser notre intimité, réapprendre à se découvrir et à aimer nos corps. Puis, naturellement, nous nous sommes rappelé que le sexe ne sert pas juste à concevoir un enfant et que l’objectif principal peut enfin être l’orgasme!  

À tous les parents qui sont passés par les traitements de fertilité, avez-vous eu de la difficulté à surmonter cette épreuve?

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Le sexe après bébé, on en parle?

Toute personne ou situation citées dans cet article ne serait que le pur produit de mon imagination… N’est-ce pas, chéri?

Rappelez-vous de ce temps, il y a fort fort fort longtemps, où vous pouviez faire l’amour quand bon vous semblait, où bon vous semblait, en tout insouciance… Ce temps où vous pouviez rester au lit une journée entière à vous dévorer des yeux et à vous dévorer tout court, sans penser à rien d’autre que l’instant présent. Vous visualisez? Eh bien, chassez vite cette image de votre esprit. Ce temps est révolu. FINI. Bébé est arrivé.

Au début, ce n’est pas un problème; on vient d’accoucher, notre corps n’est pas encore remis, il y a même encore tout un tas de choses qui s’y passent et pas des moins douloureuses. Et surtout, il y a ce tout petit être, si fragile, dont il faut prendre soin chaque seconde, ce petit être qui bouleverse nos vies et nos coeurs. Alors le sexe, forcément, ça passe au second plan.

Quelques jours ou semaines après ? chacune son rythme ! ? on recommence à y penser, avec une légère appréhension : est-ce que ça va faire mal? Peur irrationnelle quand on pense qu’un être de la taille d’une pastèque vient de nous passer entre les jambes. Ne le prenez pas mal, messieurs, mais, malgré vos attributs, ce n’est pas comparable. Et, en cas de césarienne, on a peur que passer à l’acte rouvre la cicatrice. Là encore, c’est prêter bien des capacités à ces messieurs. Mais on ne contrôle pas nos peurs!

Côté messieurs aussi, c’est compliqué. Des études ont prouvé que l’arrivée d’un nouveau-né avait tendance à faire baisser le taux de testostérone pour permettre aux nouveaux papas de développer leur instinct paternel. Donc, forcément, qui dit moins de testostérone dit moins d’envie. Donc, non mesdames, ce n’est pas parce que vous avez tous les jours une tête de lendemain de fête, des vêtements et de la lingerie qui ne ressemblent à rien ou des kilos en trop, que monsieur a moins envie, non. C’est tout simplement parce qu’il est en train de se transformer en papa poule. Ouf! Nous voilà rassurées.

Et après? Quand toutes les conditions sont enfin rassemblées, quand on est fin prêts, c’est là que ça se complique vraiment… bébé s’en mêle.

Bénis soient les parents qui ont des bébés qui dorment et qui ont pu aisément reprendre leurs ébats là où ils les avaient laissés avant la naissance. Comme je vous envie! Car notre fille nous a été livrée sans l’option sommeil, et pendant ses huit premiers mois, nous n’avons pas dormi. DU TOUT.

Je ne compte pas les fois où nous avons dû interrompre ce que nous venions à peine de commencer ou encore les fois où nous avons renoncé. Heureusement, je ne compte pas non plus les fois où nous en avons ri. Et, avouons-le : quand bébé vient enfin de s’endormir, que tu sais qu’il se réveille dans une heure et demie et que tu as le choix entre dormir et faire l’amour, bah en fait, tu ne te poses même pas la question: TU DORS.

Alors, c’est sûr, quand tu y arrives enfin, tu profites de chaque seconde comme si ça ne devait plus jamais avoir lieu ? parce qu’en fait, tu ne sais vraiment pas quand ça pourra encore avoir lieu ? et c’est encore meilleur.

Au cours de ces mois difficiles, j’ai aussi découvert que faire l’amour pouvait prendre différentes formes : c’est échanger un regard appuyé, s’inventer un code, une phrase en public, qui dit à l’autre « j’ai envie de toi », c’est se retrouver épuisés le soir, se dire : « tu sais, dans ma tête, on est en train de faire des trucs de dingue, mais mon corps ne peut juste pas » et en rire. C’est trouver une nouvelle complicité, faire naître de nouveaux désirs. Et, pour être honnête, en ce moment, quand j’arrive déjà épuisée au bureau et que mon chum m’envoie un message disant : « j’ai réussi à faire le ménage avant de partir » ça me fait plus d’effet que la meilleure partie de jambes en l’air!

Alors oui, c’est une période difficile. Notre couple en sortira, j’espère, plus fort. Je me dis que ça passera, comme le reste. Qu’il faut que ça passe… que ça doit passer… parce que la quasi-chasteté, ça a du bon deux minutes, mais en fait… s’il te plaît, bébé… FAIS DODO !

Crédit: Unsplash

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L’infidélité qui m’a donné envie de plus

Mon histoire commence comme plusieurs autres infidélités: par des sourires et quelques mots. Ce moment où on devrait dire « non », celui que je reprocherais à mon amoureux. Tu étais brillant, important… Plus vieux.

On a parlé des semaines: de nos vies, de nos enfants. Nos échanges sont devenus des textos, de plus en plus crus, assumés. Tu t’adressais à la femme. Ça me faisait un bien fou. Tu m’as offert une sortie, un lift, un french d’adolescente. Puis, les frenchs sont devenus une vraie aventure, avec des souvenirs. Plus tu alimentais ce flirt, plus je réalisais à quel point ma vie sentimentale était loin de mes attentes.

J’étais insatisfaite et je pensais que de te gagner TOI chasserait ce mal-être. Pourtant, j’allais de mal en pis. Un an a passé… Personne ne comprenait.

« Si on se voit, il va falloir que ce soit le fun. » Ce sont tes mots, quelques mois avant la fin, quand je commençais à devenir lourde. J’ai cru que tu parlais de sexe. Avec le recul, je vois que ça signifiait que je devais être conciliante, jouer selon tes règles. Toujours heureuse, jamais dans la demande. Flexible, je devais accepter tes annulations, tes changements de plans, tes voyages soudains avec elle.

Cela dit, je n’ai jamais voulu du rôle de maîtresse. Je voulais ce chalet rêvé à deux. Je voulais connaître tes enfants. Tu me parlais d’elle, moi, je t’ignorais. Tu me parlais aussi de ma famille. De l’importance du couple, de l’impact d’une rupture sur des enfants. Tu ne voulais tout simplement pas d’une maîtresse célibataire qui n’a plus rien à perdre.

En fait, si un seul moment j’ai cru que tes paroles ou tes gestes servaient mon intérêt, j’ai eu tort. L’engagement des deux, ailleurs… Un beau filet.

La journée où tu m’as dit que tu ne partirais PAS, j’ai trouvé un logement et j’ai fait mes valises. Une semaine plus tard, je dormais sur le plancher d’un appartement vide. J’ai emménagé avant mes meubles, je voulais un endroit pour pleurer.

Même s’il n’en savait rien, je ne pouvais plus rester dans sa vie. Tu m’avais donné envie de plus et ce que je voulais n’était ni dans ma relation avec toi, ni avec lui. Alors, je suis partie. Tu as disparu, des semaines, des mois.

Ceux qui savent me demandent souvent si je t’en veux. J’y étais aussi, c’était mon choix. Tout de même, je t’en veux de m’avoir promis tant et donné si peu, de ne pas m’avoir prévenue. Je t’en veux de m’avoir fait croire que je n’étais « pas assez » et SURTOUT, je t’en veux de te pas plus t’en excuser à ce jour.

Aujourd’hui, tu es toujours avec elle. Je ne voudrais plus sa place. Tu m’écris de temps en temps, tu t’informes. Tu t’en fais pour moi… Faux!

Tu t’en fais pour toi et moi, je ne réponds pas. Ça m’amuse de penser que, dans ta vie si heureuse, tu as peur… Juste assez.

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Potins

Kanye West dépendant au sexe et à la pornographie

N’ayant pas la langue dans sa poche et souvent plus candide que l’on pourrait le penser, Kanye West se confie une nouvelle fois dans le cadre d’une entrevue accordée à Zane Lowe pour Beats 1.

Entre autres choses, le rappeur révèle cette fois-ci souffrir d’une véritable dépendance à la pornographie et à la sexualité, et pointe vers un événement de son enfance pour cette escalade. 

« Pour moi, Playboy a été une porte d’entrée vers la dépendance à la pornographie totale. Mon père avait laissé un Playboy traîner quand j’avais cinq ans et ça a affecté presque tous les choix que j’ai faits pour le reste de mes jours (…) », explique notamment West lors de l’entretien, rapporte notamment le Daily Mail.

Kanye West aborde également la mort de sa mère, un sévère déclencheur selon lui dans ce processus, alors qu’il décrit cette fois une dépendance à la sexualité découlant de l’impact de ce grand deuil sur sa santé mentale et psychologique.

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Ton petit look

Les contraceptifs oraux augmenteraient les risques de dépression

On nous apprend (encore une fois) que la prise de pilule contraceptive peut avoir des effets néfastes sur le corps des femmes.

Cette fois-ci, on parle de dépression. En effet, une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) auprès de 1200 femmes a découvert que celles qui ont pris des contraceptifs oraux à l’adolescence couraient jusqu’à trois fois plus de risques de souffrir de dépression clinique à l’âge adulte que celles qui n’en avaient jamais pris.

Cette étude souligne aussi que « prendre des contraceptifs oraux à l’adolescence pourrait augmenter les risques de dépression à l’âge adulte, même si la prise de la pilule a cessé il y a de nombreuses années » selon ce qu’on peut lire sur ICI Radio-Canada.

« Il est très important que les femmes aient un accès sûr et efficace à la planification des naissances, qui est un droit universel, dit-elle. Le seul problème, c’est qu’on ne connaît toujours pas les effets secondaires potentiels. » a expliqué la chercheuse Christine Anderl, la principale auteure de l’étude en question.

Même si rien ne prouve jusqu’à présent que la prise d’un contraceptif à l’adolescence cause la dépression (sa prise est associée à des risques plus élevés d’en souffrir, mais on ne sait pas si elle la cause directement), des études supplémentaires devront se pencher sur la question.

Si un lien de causalité était découvert, la chercheuse espère que cela permettrait aux médecins de revoir la manière dont ils discutent de planification des naissances avec leurs jeunes patientes.

Même si cette nouvelle est un peu décourageante, on est quand même contentes que de plus en plus d’études s’intéressent aux effets secondaires indésirables des contraceptifs hormonaux sur la santé des femmes. C’est en sachant qu’il y a un problème (ou plusieurs) avec les contraceptifs actuels que l’industrie pharmaceutique sera forcée d’en imaginer des plus sécuritaires pour tous et toutes!

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Art de vivre

Deux livres repensent l’éducation sexuelle

Depuis quelques années, le ministère de l’éducation, les commissions scolaires, les directions d’écoles réfléchissent au sujet de l’éducation sexuelle. Chez TPL Moms, on est persuadées qu’il y a moyen de parler de sexualité avec les enfants de tous les âges, en adaptant les mots et la façon de le faire.

Aujourd’hui, on vous conseille 2 livres qui abordent la sexualité de manière positive, bienveillante et adaptée. On est certaines que ces lectures vous aideront à faire avancer votre réflexion et à vous préparer à avoir LA conversation avec les enfants.

Hétéro, l’école ? : plaidoyer pour une éducation sexuelle anti-oppressive – Gabrielle Richard

L’école enseigne-t-elle l’hétérosexualité? Y apprend-on les bonnes et les mauvaises manières d’être une fille ou un garçon? Dans la cour de récréation comme en classe, les jeunes ont tôt fait de comprendre quels corps, quels comportements et quelles attirances sont admissibles. Et c’est peut-être dans les cours d’éducation à la sexualité que ces messages sont transmis le plus directement.

Ce livre passe au crible une culture scolaire qui contribue à reconduire des normes de genre et de sexualité, souvent à son insu. Il montre comment les programmes, les manuels et les pratiques enseignantes peuvent maintenir les élèves dans l’ignorance quant à leur identité et leurs désirs, voire alimenter la violence. Dressant un portrait sans complaisance de l’éducation à la sexualité en France et au Québec, il propose des pistes d’intervention afin de rendre les contenus scolaires véritablement inclusifs, positifs et antioppressifs.

Tout nu! Le dictionnaire bienveillant de la sexualité – Myriam Daguzan Bernier + Illustrations de Cécile Gariépy

De A jusqu’à Z, Tout nu! Le Dictionnaire bienveillant de la sexualité aborde les thèmes liés à la découverte de la sexualité, MAIS AUSSI à l’identité, à la relation aux autres et à l’image de soi. Un dictionnaire inclusif indispensable pour ouvrir la discussion, dédramatiser, expliquer et rassurer; l’outil de référence pour les enseignants et pour tous les parents qui ne pourront plus s’en passer! Est-ce que c’est correct si je suis encore vierge à 17 ans ? Ça veut dire quoi, LGBT+? Cisgenre ? Est-ce que je suis normal.e si je n’ai pas envie de faire une fellation ? C’est quoi le consentement? Myriam Daguzan Bernier répond avec rigueur, bienveillance et sans tabous aux nombreuses questions que se posent les ados.

Bonne lecture!

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Relevez le défi « 21 jours pour ma libido »

Est-ce que, depuis que vous êtes devenue maman, vous pouvez compter sur les doigts de la main les fois où vous avez vraiment eu envie de faire l’amour?

Est-ce que vous pensiez que ça allait revenir après quelque temps, mais voilà, votre enfant a maintenant 2 ans, 4 ans, peut-être 7ans et la libido ne s’est toujours pas repointé le bout du nez?

Fait rassurant : Vous n’êtes pas toute seule! Beaucoup de mères ne retrouvent pas leur sexualité telle qu’elles l’avaient quittée avant bébé 1. La réalité, c’est juste qu’on n’en parle pas assez. Pis ça, il faut que ça change!

Point positif : votre situation actuelle n’est pas une fatalité! Il est possible de faire quelque chose pour retrouver le goût du plaisir (si vous en avez envie, bien sûr. On ne veut pas rajouter ça à votre To Do de maman qui doit déjà être bien longue si vous êtes confortable dans votre relation telle qu’elle l’est aujourd’hui!).

Vous êtes tannée et vous avez envie que ça change? Suivez le Défi 21 jours pour ma libido!

Parce qu’il n’y a pas de méthode magique, de produit ou d’aphrodisiaque miracle, je vous propose de faire le tour des points qui, depuis l’arrivée de vos enfants, ont eu un réel impact sur votre libido (vous allez être surprise de découvrir lesquels!).

Dans 21 jours, vous saurez à quoi vous attaquer dans le but de retrouver, certes, votre libido, mais aussi et surtout une vie sexuelle dans laquelle vous vous épanouirez!

Le meilleur dans tout ça? C’est que la participation au défi est gratuite! ?

Rejoignez le groupe Facebook du défi 21 jours en compagnie d’une centaine d’autres mères qui vivent la même chose que vous, juste ici.

Prête à embarquer?

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Le sexe aussi bon que la méditation contre le stress

Des chercheurs de l’université de la Colombie-Britannique, de l’unité du centre de la médecine sexuelle, ont trouvé des similitudes entre la méditation et l’activité sexuelle.

C’est bien connu, la méditation a plusieurs vertus, dont celle de diminuer le stress ressenti par une personne.

Toutefois, si cette pratique ne vous plaît guère, il y a d’autres solutions qui s’offrent à vous pour diminuer le stress, puisqu’une relation sexuelle pourrait vous apporter les mêmes bienfaits.

Les recherches ont démontré que la pratique de l’une ou l’autre de ces activités réduisait la production de cortisol, l’hormone du stress qui est sécrétée dans le cerveau. 

Chez des femmes ayant participé à l’étude, on a remarqué que la méditation réduisait le cortisol, ce qui se traduisait par une augmentation de leur désir, leur éveil et leur satisfaction. 

Un contact sexuel amène aussi le corps à réduire sa production de cortisol.

Ce phénomène est encore plus vrai lorsque les partenaires pratiquent le tantrique, une forme de sexualité qui est proche de la méditation.

Photo : Davids Kokainis, Unsplash

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Le sexe aussi bon que la méditation contre le stress

Des chercheurs de l’université de la Colombie-Britannique, de l’unité du centre de la médecine sexuelle, ont trouvé des similitudes entre la méditation et l’activité sexuelle.

C’est bien connu, la méditation a plusieurs vertus, dont celle de diminuer le stress ressenti par une personne.

Toutefois, si cette pratique ne vous plaît guère, il y a d’autres solutions qui s’offrent à vous pour diminuer le stress. La masturbation ou une relation sexuelle pourrait vous apporter les mêmes bienfaits.

Les recherches ont démontré que la pratique de l’une ou l’autre de ces activités réduisait la production de cortisol, l’hormone du stress qui est sécrétée dans le cerveau. 

Chez des femmes ayant participé à l’étude, on a remarqué que la méditation réduisait le cortisol, ce qui se traduisait par une augmentation de leur désir sexuel, leur éveil, la lubrification et leur satisfaction. 

La masturbation ou une relation sexuelle amène aussi le corps à réduire sa production de cortisol. Ce phénomène est encore plus vrai lorsque les partenaires pratiquent le tantrique, une forme de sexualité qui est proche de la méditation.

Photo : Davids Kokainis, Unsplash

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