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La pornographie en ligne change le discours parental sur le sexe

Avant Internet, l’accès à la pornographie était beaucoup plus difficile. Il était donc possible d’amener le sujet avec plus de réserve.

Selon un sondage en ligne de la compagnie de protection informatique AVG Technologies, l’âge moyen pour ce genre de conversation familiale est désormais 11 ans.

Alors que la moitié de la dernière génération de parents n’a pas amorcé cette discussion avec leurs enfants, indique SheKnows, c’est désormais 99 % des parents qui le font.

La principale motivation de ceux-ci est aujourd’hui de dissocier la pornographie de la réelle sexualité, en espérant un sain développement de la vie sexuelle des jeunes.

En tout, 75 % des parents jettent le blâme sur Internet pour l’exposition précoce des enfants à la sexualité. Cependant, ils omettent souvent eux-mêmes de mettre la protection adéquate sur le réseau et d’établir des normes à respecter.

En d’autres termes, les parents ont aussi leur part de responsabilité.

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Sexualité et désir après la grossesse

Après la naissance de votre enfant, vous pouvez calculer environ 6 à 8 semaines avant le retour des menstruations. Pendant cette période, il serait tout indiqué de laisser le temps à votre corps de se remettre de l’accouchement avant de recommencer vos relations sexuelles.

La contraception ne doit pas attendre à ce stade, puisque votre corps est déjà prêt pour une nouvelle grossesse. En attendant de discuter avec votre médecin, utilisez toujours des préservatifs. Assurez-vous cependant d’avoir un rendez-vous rapidement pour reprendre une méthode de contraception efficace.

Faites attention au mythe de l’infertilité pendant l’allaitement. Donner le sein à bébé empêcher normalement l’ovulation, mais n’élimine pas totalement le risque de grossesse, d’autant plus si vous alternez avec le biberon.

En ce qui a trait au désir sexuel, Top Santé indique que la prolactine sécrétée pendant l’allaitement peut avoir un effet d’inhibition de la libido, du moins temporairement. Elle dure environ 3 mois, puis le corps s’adapte.

En outre, le père qui s’implique beaucoup dans les soins de bébé peut lui aussi sécréter de la prolactine, ce qui aura le même effet.

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Nouvelle menace en ligne : les sites de rencontre pour adolescents

Déjà, l’écart d’âge des participants à ces sites de rencontre pour adolescents, notamment Rencontre-Ados.net, est dérangeant pour tout parent.

La Presse a procédé à un test pour valider l’objectif des adolescents qui consultent ce genre de site, mais aussi aux risques auxquels ils s’exposent. Le danger est non seulement réel, mais omniprésent.

En s’inscrivant avec le profil d’une fille de 12 ans, celle-ci a rapidement retenu l’attention d’autres garçons présents, mais certains avaient plus de 20 ans. Leurs intentions étaient claires, et la demande de la caméra, un incontournable.

La loi prévoit que l’âge du consentement sexuel est de 16 ans. Pour une jeune fille de 12 ou 13 ans, des propos sexuels ne sont pas tolérés au-delà de 2 ans d’écart sans être considérés comme une infraction criminelle. À l’âge de 14 ou 15 ans, la différence d’âge ne doit pas dépasser 5 ans pour l’interlocuteur.

Déjà près de 2000 mineurs québécois fréquentent ce site. Ils y cherchent une identité sexuelle, pierre angulaire de l’adolescence, et l’ouverture d’esprit d’autres jeunes qu’ils n’ont pas à confronter dans la vie de tous les jours. Un mode de rencontre qui est beaucoup plus facile pour eux.

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L’impuissance est souvent traitable sans médication

Alors que les statistiques concernant l’impuissance et la dysfonction érectile surprennent souvent, The National Library of Medicine rapporte de son côté une nouvelle étude qui encourage.

L’étude australienne révèle qu’un grand nombre des cas d’impuissance recensés serait traitable de façon naturelle et sans médication, une donnée qui n’est pas nécessairement véhiculée en cette ère des traitements miracles sous forme de pilules.

L’auteur principal de l’étude, le Dr Gary Wittert, constate que des changements d’habitude dans la vie de tous les jours peuvent contribuer largement à un retour à une vie sexuelle normale. La mauvaise alimentation, l’absence d’activité physique, le tabagisme et le stress sont tous des facteurs qui peuvent mener à des problèmes en la matière.

De plus, ces changements contribuent du même coup à améliorer la santé générale d’un individu, rappelle le Dr Wittert.

« Ça vaut toujours la peine de réduire l’obésité, d’améliorer son alimentation et de faire plus d’exercice. D’abord parce que la santé générale s’améliore et que les risques de problèmes cardiovasculaires s’amenuisent », explique l’auteur de l’étude.

Ces nouvelles conclusions ont été publiées dans le Journal of Sexual Medicine.

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Sexualité et pornographie, peu de différence entre garçons et filles

La recherche provient de Magdalena Mattebo, du département de la santé des femmes et enfants de l’Université Uppsala.

Un questionnaire distribué à plus de 800 adolescents suédois de 16 ans a mis en lumière les intérêts, fantasmes, opinions et expériences sexuelles des jeunes d’aujourd’hui.

L’information la plus surprenante provenant des données réside dans le fait que tant les filles que les garçons croient que leur vie sexuelle est directement influencée par la pornographie.

« C’était inattendu de constater que plus d’une fille sur 10 affirmait qu’elle ne regardait pas assez de pornographie à son goût », explique Mattebo. « Aussi surprenant de constater qu’il n’a aucune différence entre les garçons et les filles relativement aux fantasmes. »

Les filles prenaient même le dessus quant à l’expérience sexuelle, au niveau oral, vaginal et anal. Cependant, garçons et filles se situaient sur le même niveau quant aux partenaires sexuels, que ce soit d’avoir un ami pour le sexe, un partenaire d’une nuit ou de sexe en groupe.

Cependant, la perception de multiples partenaires n’a pas changé. Pour un garçon, cela lui garantit une grande popularité, alors que pour la fille, elle demeure une traînée.

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Comment aborder la question de la libido pendant la grossesse

Top Santé rapporte les raisons principales citées par des femmes, selon la sexologue Chantal Fabre-Clergue. Entre les hormones, l’inconfort avec ces nouvelles courbes difficiles à accepter et les craintes de perdre l’enfant, il est normal que la femme se dissocie de sa vie sexuelle.

Mais en plus, il y a les malaises physiques, notamment les nausées et vomissements, les reflux gastriques, les maux de dos et la fatigue qui peuvent influencer le niveau du désir.

Malheureusement, cette situation peut se limiter au premier trimestre, mais peut aussi se poursuivre tout au long de la grossesse. Plus le ventre grossit, et plus les positions sexuelles sont limitées, sans compter qu’en fin de compte, c’est le conjoint qui peut finir par craindre de déclencher l’accouchement.

D’un autre côté, ces grandes fluctuations du désir accompagnent plutôt la première grossesse. Il ne faut donc pas se décourager. La prochaine ne sera pas nécessairement identique.

Si vous ou votre conjoint vivez mal cet aspect de votre relation de couple, plutôt que de vous refermer, parlez-en à un sexologue spécialisé, qui pourra vous aider à trouver des alternatives pour conserver votre complicité et votre tendresse.

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Une nouvelle méthode contraceptive qui protège aussi du VIH

Top Santé rapporte la mise à l’essai d’une nouvelle méthode de contraception féminine, capable non seulement de prévenir les grossesses, mais aussi de certaines infections transmissibles sexuellement comme le VIH.

Il s’agit d’un anneau féminin qui possèderait de multiples vertus protectrices, grâce à un principe de diffusion moléculaire des plus fascinants. Une fois installé, l’anneau relâcherait en effet deux types de molécules, le lévonorgestrel et le ténofovir, respectivement utilisés en contraception et dans la lutte au VIH.

On vante également la souplesse et la facilité d’utilisation de l’anneau, sans compter ses nombreuses applications possibles.

« Dans la communauté scientifique, tous ceux qui luttent pour la prévention du sida cherchent depuis longtemps à développer un anneau de ce type. Combiner l’effet contraceptif avec un effet protecteur contre les infections par le VIH serait un grand pas dans la prévention du sida dans les pays aux bas revenus », estime Rowena Johnson, la vice-présidente de la Fondation américaine contre le sida.

Les essais cliniques doivent maintenant se poursuivre, et on souhaite pouvoir commercialiser le produit au cours des cinq prochaines années.

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Quand la sexualité rend plus « intelligent »

Une sexualité active pourrait bien augmenter certaines compétences du cerveau, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), et par conséquent rendre plus « intelligent ».

On apprend en effet de l’étude rapportée par le quotidien que le sexe a une bonne influence sur les cellules cérébrales, et favoriserait leur progression. Les résultats de cette cause à effet pourraient varier entre de meilleures capacités cognitives, une baisse significative de stress et de plus grandes capacités de mémorisation.

On doit ces révélations, qui abondent dans le même sens que quelques autres recherches précédentes sur le sujet, à une équipe de l’Université du Maryland, qui proposait ses travaux lors d’une conférence de la Society for Neuroscience.

La notion de création de nouvelles cellules cérébrales peut aussi surprendre, et les chercheurs impliqués dans la recherche croient que le sexe, tout comme les exercices mentaux et physiques, peut contribuer à garder ces cellules plus longtemps en vie.

Comme le note si bien le Daily Mail (UK), les cours du soir n’auront jamais été aussi plaisants à la suite de cette étude.

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Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.

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Le sexe permettrait de brûler plus de calories que la marche

« Oubliez la promenade et essayez le sexercice! », titre avec humour le Daily Mail (UK), qui rapporte une étude amusante mais tout à fait scientifique sur le nombre de calories dépensées lors d’une relation intime.

D’abord, il faut rappeler que les spécialistes de tous acabits se sont obstinés depuis des lunes concernant les véritables bienfaits de la sexualité sur la santé physique, et la pertinence de considérer l’acte sexuel comme une activité physique à part entière.

Ce n’est que récemment que certaines études ont finalement penché du côté de ceux qui le considèrent comme un exercice, mais cette plus récente proposée par des chercheurs de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), avancent des chiffres qui nous replongent dans une zone grise.

C’est que si la recherche confirme effectivement une perte calorique, on constate du même coup que les relations sexuelles ne permettent de brûler que peu de calories, si on les compare au jogging, par exemple.

Ainsi, c’est 4,2 calories par minute d’activité sexuelle qui s’envolent chez l’homme, et 3,1 chez la femme. Pas de quoi fouetter un chat, si l’on considère que la relation sexuelle moyenne ne dure que 24,7 minutes, pour un total de 104 calories de dépensées pour les hommes, et de 69 pour les femmes.

En étirant le temps et en augmentant un peu l’intensité, cependant, la sexualité peut alors devenir plus bénéfique que la marche, en termes de perte calorique.

Mais au final, bien que l’on conclut du côté des chercheurs québécois que le sexe peut être une activité physique reconnue, on ne suggère pas pour autant d’abandonner le sport ou l’entraînement!