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Le sexe : Remède contre le vieillissement

Sur Le Figaro, un article fait état des résultats d’une recherche sur les bénéfices de la sexualité active effectuée par le Pr David Weeks, neuropsychologue à l’Hôpital Royal d’Édimbourg.

Ce sont 3500 hommes et femmes qui ont participé aux observations sur une durée de 10 ans. Une particularité qui réunissait chacun d’eux était qu’ils avaient tous l’air plus jeunes que leur âge.

Alors que l’étude tentait de déterminer ce qui pouvait en être la raison, les chercheurs ont été surpris d’apprendre que la sexualité régulière arrivait en deuxième place après l’activité physique.

Notons que par « régulière », il était question de 3 rapports par semaine.

Il a été déterminé que ces participants paraissaient être 7 à 12 ans de plus jeunes. Plus de trois rapports n’apportent pas de bénéfice supplémentaire. En réalité, les bienfaits de la sexualité vont bien au-delà de la seule apparence ou du plaisir physique et émotionnel.

Une autre étude datant de 2004, qui avait été publiée dans le Journal of The American Medical Association, avait déterminé que les hommes qui éjaculaient plus de vingt fois par mois avaient un risque de cancer de la prostate réduit d’un tiers par rapport à ceux qui le faisaient moins de huit fois par mois.

Alors, faites l’amour, c’est bon pour vous!

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Un lien est démontré entre la santé psychologique et la sexualité

Quelques études sur la sexualité paraissent aujourd’hui, dont une sur les effets d’une sexualité abondante, mais celle qui retient le plus l’attention est probablement cette autre qui trace un lien entre la santé psychologique et certains comportements sexuels.

C’est Santé Log qui rapporte cette étude, par ailleurs effectuée par des chercheurs de l’Université California State, voulant que les gens plus enclins aux aventures d’un soir ou uniques puissent présenter des signes d’instabilité psychologique ou d’anxiété.

Publiées dans le Journal of Sexual Research, les théories et conclusions avancées font état d’autres études précédentes sur le sujet, pas toutes concluantes, mais dont certaines avaient reconnu le lien entre le « vagabondage sexuel » et une faible estime de soi.

La présente tend plus à conclure que les gens plus stables sur les plans psychologique et émotif chercheraient moins les rapports sexuels constants avec plusieurs partenaires différents pour des histoires d’un soir.

Les chercheurs impliqués dans l’étude tiennent cependant à préciser qu’on parle bien d’un lien tracé, et non d’une cause à effet.

L’étude a été effectuée auprès de près de 4000 sujets.

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Les hommes et le sexe : plus de mythes que de réalité

Une stupéfiante nouvelle recherche sur les hommes et leur relation avec la sexualité lève le voile sur plusieurs faits qui s’avèreraient en fait des mythes plutôt tenaces…

C’est ce qui ressort des conclusions proposées par des chercheurs de l’Université Duke et rapportées par le Daily Mail (UK), alors que l’on constate que les hommes ne sont pas toujours aussi obsédés par la sexualité qu’ils le prétendent.

En fait, selon l’étude, plusieurs mythes qui circulent autour des hommes seraient véhiculés par ces derniers eux-mêmes, notamment afin d’être à la hauteur du stéréotype.

Dans la même veine, les réponses obtenues sur l’échantillon de 101 hommes et de 101 femmes du groupe test révèlent que ce sont en fait les femmes qui seraient davantage attirées par la question sexuelle, et davantage que leurs confrères masculins!

Un point que les deux genres ont en commun, cependant, c’est qu’ils tendent à évaluer à la hausse le nombre de leurs rapports sexuels sur une base mensuelle. C’est donc à dire que tout le monde ment, consciemment ou pas, sur sa relation avec sa sexualité ainsi que sur la fréquence.

Les chercheurs terminent en rappelant que le désir et les performances sexuelles varient aussi beaucoup en fonction des humeurs, chez l’homme comme chez la femme.

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Un Viagra féminin sur les rayons en 2016?

Les femmes pourraient avoir droit à un traitement similaire au Viagra pour soigner leur panne de désir, selon le Telegraph (UK).

Baptisé habilement Lybrido, le médicament serait une combinaison de testostérone et de certains ingrédients retrouvés dans le Viagra, et pourrait trouver le chemin des pharmacies au cours des prochaines années.

On avance 2016 comme date de lancement, mais le Lybrido pourrait être commercialisé avant, puisque les recherches semblent aller bon train.

Bien entendu, les compagnies pharmaceutiques se réjouissent d’avance de la mise en marché d’un tel produit, alors que le Viagra rapporte près de deux milliards de dollars annuellement dans le monde.

Fait étonnant, les chercheurs ont eu du mal à créer un médicament aussi efficace pour la femme que le Viagra l’est pour l’homme.

On pourrait expliquer le phénomène par le fait que la gent féminine doit également ressentir de l’excitation au plan psychologique, autant que sur le plan physique.

On peut donc conclure que la mécanique et la psychologie sexuelle des femmes s’avèrent plus sophistiquées et « évoluées » que celle des hommes… un fait que ces derniers ne sont certes pas prêts à accepter.

En partant du même raisonnement, on peut s’inquiéter de voir les femmes gober ce médicament au lieu de régler le véritable problème, un peu à l’image des antidépresseurs.

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La SOGC encourage les garçons à se faire vacciner contre le VPH

Le VPH, ou virus du papillome humain, frappe la jeune génération de plein fouet. Bien que ce virus soit souvent associé aux jeunes femmes, la Société des obstétriciens et des gynécologues du Canada (SOGC) tient à rappeler aux garçons qu’ils sont aussi concernés par le fléau.

Radio-Canada rapporte une campagne de sensibilisation lancée par la Société, qui croit que les jeunes hommes ne sont pas assez bien informés sur le virus, souvent transmis à la suite de rapports sexuels non protégés.

Le VPH fait des ravages, et s’il peut parfois s’avérer bénin, on l’associe aussi à de nombreux problèmes de santé éventuels, ainsi qu’à certains cancers chez la femme… et maintenant chez l’homme.

Il faut donc redoubler de vigilance, et on ne saurait assez mettre l’accent sur l’importance d’une sexualité sécuritaire, donc avec protection.

Sachant que les jeunes ne sont pas toujours enclins à être responsables, on veut faire la promotion du vaccin, qui s’avère efficace et fort utile pour enrayer ce nouveau fléau.

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Le bonheur sexuel se mesure-t-il en quantité?

Santé Log rapporte une étude sur la sexualité qui indique l’importance potentielle de la quantité de rapports sexuels sur la notion de « bonheur sexuel ».

Bien que l’on ne sous-estime pas l’importance de la qualité, les chercheurs croient aussi que la quantité est importante, tout comme pour l’argent.

Ainsi, après avoir mené des essais sur plus de 15 000 personnes volontaires, ils ont pu conclure non seulement à l’importance de la fréquence des rapprochements amoureux, mais aussi à l’importance d’en avoir plus que ses amis ou ses voisins.

Le fait d’avoir des relations sexuelles fréquentes, et surtout plus que les gens autour, ferait en sorte que la plupart des individus dans cette situation ressentiraient un bonheur décuplé face à leur vie sexuelle.

Les répondants de l’étude ont presque tous répondu qu’ils étaient heureux au plan physique lorsqu’ils croyaient faire l’amour plus souvent que le voisin, et tout autant lorsque la fréquence des relations intimes est supérieure à la « moyenne ».

L’auteur de l’étude rappelle cependant qu’il est important de faire ses choix en fonction de nos désirs et besoins, et non en fonction de l’image envoyée par les autres ou par la société.

Une excellente morale à tirer!

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De plus en plus de cas d’infections transmissibles sexuellement sont observés

The National Library of Medicine rapporte que les statistiques concernant les cas de maladies et d’infections transmissibles sexuellement (ITS) sont encore en hausse et prennent des proportions alarmantes, selon plusieurs spécialistes.

C’est notamment le cas aux États-Unis, alors qu’un nouveau rapport publié dans le journal Sexually Transmitted Diseases fait état de la montée de ces problèmes de santé au sein de la population.

On estime maintenant à 110 millions le nombre d’Américains qui souffrent en ce moment de l’un ou l’autre de ces troubles reliés à la sexualité, un chiffre qui augmente si on ajoute les cas répertoriés au Canada.

De plus, cette explosion de cas d’ITS a des coûts. Aux États-Unis seulement, on fait état de 20 millions d’infections soignées, pour une facture globale de 16 milliards de dollars!

Et il ne faudrait pas croire que ceci ne s’applique qu’aux adolescents.

« Les infections transmissibles sexuellement forment un risque pour les personnes de tous âges qui sont sexuellement actives. Certaines sont même transmissibles par le simple contact de la peau », met en garde Kaitlin Doyle du Long Island Jewish Medical Center, qui s’inquiète de ces statistiques grimpantes.

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Le sexe au service du système immunitaire

Faire l’amour est une action qui possède plusieurs propriétés thérapeutiques, mais saviez-vous qu’elle permet également de renforcer le système immunitaire?

C’est du moins ce que l’on apprend par l’entremise de Top Santé, qui rapporte les conclusions d’un chercheur suisse qui croit pouvoir prouver cette théorie.

Manfred Schedlovski s’est concentré sur les taux de globules blancs, ou de cellules T, dans l’organisme avant, pendant et après l’acte sexuel. Ces globules sont primordiaux dans la réponse du système face aux virus et maladies virales de toutes sortes, notamment la grippe.

Le spécialiste constate que les taux de cellules T augmentent dès qu’il y a rapport sexuel, allant même jusqu’à se dupliquer pour un effet qui dépasse la durée des ébats amoureux.

« Le sexe augmente la quantité de ces cellules T, ce qui favorise la récupération de l’organisme, mais appuie son système immunitaire », déclare avec certitude le professeur Peter Schleicher.

Plusieurs études corroborent ces conclusions et parlent aussi de prévention des maladies cardiaques. La « posologie » minimale pour bénéficier de ces effets serait d’au moins deux relations par semaine.

Exit le jus d’orange pour contrer la grippe, bienvenue au sexe!

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.

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Un nouveau médicament pour contrer l’éjaculation précoce

Si le sujet en fait rire plus d’un, il y en a d’autres qui n’ont pas du tout envie de s’esclaffer lorsqu’il est question d’éjaculation précoce.

C’est que ce problème, classé comme une dysfonction érectile, toucherait près d’un homme sur trois, ce qui n’est pas une mince affaire. Pas étonnant, donc, de voir les compagnies pharmaceutiques tenter d’enrayer le phénomène par un médicament miracle.

Il semble que ce soit chose faite, alors que la France verra ses pharmacies offrir le Priligy à ses clients dès 2013. Ils ne seront pas les seuls, puisque le médicament est déjà offert dans certains pays de l’Union européenne.

Le Priligy est composé de dapoxétine, rapporte Topsante.com, et agit au niveau de la sérotonine sécrétée par l’homme. Celle-ci serait d’ailleurs responsable de la lenteur de l’éjaculation.

La sexologue Catherine Solano explique : « C’est une molécule qui augmente le taux de sérotonine entre les neurones, l’hormone qui permet une relation sexuelle plus longue ».

Bien que l’on veuille éviter de parler de « miracle », les chercheurs affirment que le médicament pourrait bien tripler la longueur des ébats sexuels chez l’homme qui en fera l’usage.