Catégories
Uncategorized

Les désirs féminins toujours aussi complexes

Depuis des années, les hommes tentent de comprendre les femmes et n’y arrivent pas. Même en matière de sexualité, le fonctionnement des femmes est beaucoup plus complexe que celui des hommes et est donc difficile à expliquer, selon des chercheurs canadiens.

À l’Université Queen de Kingston, en Ontario, on a analysé 134 études, publiées entre 1969 et 2007, qui englobaient 2 500 femmes et 1 900 hommes. Toutes ces études ont tenté d’expliquer le fonctionnement des femmes en matière de sexualité.

Selon les Archives of Sexual Behaviour, le désir sexuel de l’homme se traduit par une érection. Presque toujours, le cerveau est en accord avec les organes génitaux. Par contre, pour la femme, il n’y a pas cette connexion entre les deux. Une femme peut être suscitée physiquement par différentes images sexuelles, sans toutefois ressentir du désir. Il existe donc une incohérence entre le corps et l’esprit chez les femmes.

Certains expliquent le phénomène par le fait qu’il est normal pour un homme d’avoir cette connexion, car pour avoir une relation sexuelle, l’homme a obligatoirement besoin d’avoir une érection.

Les hommes sont donc encore loin de pouvoir comprendre la complexité des femmes.

Catégories
Uncategorized

Une sexualité précoce augmente les risques de cancer du col de l’utérus

Le British Journal of Cancer rapporte que plus les adolescentes ont leur première relation sexuelle tôt, plus elles ont des chances de développer le cancer du col de l’utérus.

Cette étude a été réalisée auprès de 20 000 femmes par le Centre international de recherche sur le cancer affilié à l’Organisation mondiale de la santé.

On a constaté que les jeunes filles issues de milieux défavorisés avaient leur première expérience sexuelle quatre ans plus tôt que celles venant d’un milieu plus aisé.

Pour certains chercheurs, cela s’expliquerait par le fait que les examens de dépistages sont beaucoup moins fréquents dans les milieux pauvres.

Le VPH (virus du papillome humain) est responsable de la majorité des cas de cancers du col de l’utérus. Une vie sexuelle précoce et active modifie le potentiel cancérigène du VPH.

On note également que l’âge auquel les jeunes filles ont leur premier enfant serait également un facteur de risque important.

Catégories
Uncategorized

Le yoga améliore la sexualité

Le yoga serait bon pour le sexe, selon l’étude indienne Yoga in Female Sexual Functions menée auprès de 40 femmes âgées de 22 à 55 ans.

Après douze semaines d’exercice, trois participantes sur quatre se disaient plus satisfaites sexuellement qu’auparavant. On a noté une amélioration générale de 19 %.

Les femmes, qui n’ont jamais été informées des objectifs de l’étude, étaient inscrites à un programme quotidien élaboré par des chercheurs. Ces derniers avaient choisi des postures qui devaient avoir des effets sur les tonus abdominal et pelvien, les ovaires, les ovules, les glandes endocrines, la digestion, les articulations et l’humeur.

Les participantes ont dû répondre à un questionnaire complexe avant et après l’étude. On a noté des améliorations sur différents aspects reliés à la sexualité tels le désir, l’excitation, les orgasmes, la lubrification, la satisfaction et le confort pendant et après les relations sexuelles.  Les effets étaient plus significatifs chez les plus de 45 ans.

Les chercheurs mentionnent que l’amélioration de la santé physique et mentale par le yoga pourrait expliquer pourquoi les femmes ont des relations sexuelles plus satisfaisantes. On note également que le seul fait de répondre à un questionnaire sur la sexualité pourrait influencer les résultats et les fausser.

Maintenant, on souhaite faire ce même genre d’étude sur les effets du yoga chez 1 000 hommes et femmes.

Catégories
Uncategorized

Le yoga améliore la sexualité

Le yoga serait bon pour le sexe, selon l’étude indienne Yoga in Female Sexual Functions menée auprès de 40 femmes âgées de 22 à 55 ans.

Après douze semaines d’exercice, trois participantes sur quatre se disaient plus satisfaites sexuellement qu’auparavant. On a noté une amélioration générale de 19 %.

Les femmes, qui n’ont jamais été informées des objectifs de l’étude, étaient inscrites à un programme quotidien élaboré par des chercheurs. Ces derniers avaient choisi des postures qui devaient avoir des effets sur les tonus abdominal et pelvien, les ovaires, les ovules, les glandes endocrines, la digestion, les articulations et l’humeur.

Les participantes ont dû répondre à un questionnaire complexe avant et après l’étude. On a noté des améliorations sur différents aspects reliés à la sexualité tels le désir, l’excitation, les orgasmes, la lubrification, la satisfaction et le confort pendant et après les relations sexuelles.  Les effets étaient plus significatifs chez les plus de 45 ans.

Les chercheurs mentionnent que l’amélioration de la santé physique et mentale par le yoga pourrait expliquer pourquoi les femmes ont des relations sexuelles plus satisfaisantes. On note également que le seul fait de répondre à un questionnaire sur la sexualité pourrait influencer les résultats et les fausser.

Maintenant, on souhaite faire ce même genre d’étude sur les effets du yoga chez 1 000 hommes et femmes.

Catégories
Uncategorized

Le timbre qui hausse la libido

Des essais cliniques démontrent que le timbre cutané de testostérone procure un regain « modeste, mais significatif » au désir sexuel des femmes ménopausées qui l’ont utilisé pendant plus d’un an.

Auparavant, les participantes affirmaient avoir en moyenne 2 relations sexuelles satisfaisantes par mois. L’usage du timbre cutané a fait passer cette moyenne à 4,6 expériences satisfaisantes par mois.

Il y a toutefois un désavantage à prendre cette hormone masculine : elle augmente la pilosité. « Pour la majorité des femmes, cet effet secondaire était mineur et pas très important pour elles », a souligné l’auteure de cette étude, la Dre Susan Davis de l’Université Monash à Melbourne, en Australie.

Catégories
Uncategorized

Le mystère sur le point G enfin résolu

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de l’Aquila permet d’en comprendre davantage sur le point G, qui a été découvert dans les années 1950 par le sexologue allemand Ernest Gräfenberg.

Selon la Dre Emmanuele Jannini et son équipe, les femmes qui sont pourvues de tissu plus épais dans la région de la paroi antérieure entre l’urètre et le vagin ont des orgasmes plus intenses que celles dont le tissu est plus mince.

Le groupe de participantes se composait de neuf femmes ayant des orgasmes vaginaux et onze qui n’en ressentaient pas.

La technique des ultrasons a ensuite été utilisée afin de déterminer l’existence du point G chez les sujets. La Dre Jannini est formelle : les femmes qui n’ont aucune apparence visible de point G ne peuvent pas avoir d’orgasme vaginal.

D’autres experts remettent toutefois en cause cette recherche de la Dre Jannini et prétendent que l’épaisseur de la partie antérieure du vagin est uniquement en lien avec la taille du clitoris.

Catégories
Uncategorized

Des données inquiétantes sur la sexualité chez les jeunes

Un récent sondage effectué à l’échelle nationale dévoile quelques statistiques surprenantes sur les habitudes sexuelles des jeunes filles.

Parmi celles-ci, notons que 66 % des jeunes interrogées n’utilisent pas toujours un condom lorsqu’elles ont une relation sexuelle. On observe également que 72 % d’entre elles qui utilisent un contraceptif oral ne le font pas correctement.

Ces données peuvent faire sursauter devant la quantité d’information disponible pour cette jeune clientèle, mais qui ne semble pas faire des choix judicieux et responsables en matière de sexualité.

Josée Leboeuf, sexologue clinicienne et psychothérapeute, sera à Montréal aujourd’hui (6 décembre) afin de pallier ce phénomène et informer davantage les adolescentes afin qu’elles adoptent une attitude plus responsable lorsqu’elles font des choix sur leur vie sexuelle.

Catégories
Uncategorized

L’éducation sexuelle fait un retour dans les écoles

Du 26 novembre au 7 décembre prochain, des ateliers de sensibilisation sur la sexualité et les maladies transmises sexuellement auprès des adolescents d’une dizaine d’écoles de Montréal seront offerts par l’organisme Médecins du monde et le groupe Sexperts, composé d’étudiants en médecine de l’Université McGill.

Depuis la réforme scolaire de 2005, les cours de formation personnelle et sociale dans lequel étaient inclus des cours d’éducation sexuelle ont été abolis. Toutefois, les statistiques démontrent une hausse du taux d’infection des infections transmises sexuellement chez cette tranche d’âge.

Selon le docteur Nicolas Bergeron, président de Médecins du monde, une séance d’information de deux heures, suivie d’un rappel aux deux ans, peut être suffisant pour renseigner adéquatement les jeunes en matière de sexualité.

Avec cette initiative, M. Bergeron espère que le ministère de l’Éducation étende de telles activités à l’ensemble du Québec.

Catégories
Potins

L’angoisse de Lindsay Lohan

L’actrice de 20 ans, qui a pourtant été impliquée dans diverses relations amoureuses, était angoissée de jouer Rachel, personnage du film Georgia Rule, une jeune fille dérangée qui tente de séduire son beau-père.

« J’étais énormément nerveuse quand j’ai fait la scène où je dois me montrer sexuellement provocante. J’ai beaucoup pleuré durant le tournage. Je n’arrivais pas à aller aussi loin que Rachel dans le film », a déclarée Lohan à FemaleFirst.

Le personnage de Lindsay est abusé sexuellement et Jane Fonda, covedette du film, s’est montrée profondément émue lors du tournage.

« Je deviens émotive quand je vois ce film, car je travaille avec des femmes qui ont été abusées sexuellement. Je sais ce qu’elles ont vécu. »