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Les étudiants suivront une formation pour prévenir les violences sexuelles

Plus de 2 ans après le début du mouvement #MeToo et un an après les premières démarches visant à prévenir les agressions sur les campus, une nouvelle initiative sur la prévention des violences sexuelles est ENFIN annoncée. C’est via un article du Journal de Montréal qu’on a appris la très bonne nouvelle!

Tous les étudiant.e.s et employé.e.s des cégeps et universités du Québec devront, dès cette année, suivre obligatoirement une formation, dont le contenu et la mise en place va différer un peu selon les établissements, mais qui visera toujours à informer et conscientiser sur le thème général des violences sexuelles. Plusieurs établissements scolaires ont annoncé leur intention de la passer dès la session d’automne.

Les cégeps et universités ont une certaine liberté quant au format de cette formation, mais pour le moment, une des formules privilégiées est une activité en ligne d’une durée d’environ 45 minutes. C’est l’Université Concordia qui a développé le contenu et le format de l’activité. La plupart des établissements a aussi fait part de leur intention de ne pas se limiter à une activité en ligne et de continuer à faire de la prévention et offrir d’autres types d’intervention tout au long de l’année.

On est TELLEMENT heureuses d’apprendre cette nouvelle, parce que les violences sexuelles sur les campus sont malheureusement trop présentes, et on est assez d’avis que la diminution des cas (voire l’absence totale d’agressions, on a le droit de rêver) passe beaucoup par la prévention et la sensibilisation.

Bien que la mise en place de cette formation risque de différer d’un établissement à l’autre, tous les étudiant.e.s devront obligatoirement la suivre et le principe de base est d’ouvrir la discussion sur le sujet et mettre en place des actions concrètes pour limiter les cas de violences sexuelles sur les campus.

Il était temps! Et espérons que cette formation aura un réel impact sur les campus.

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Potins

Jasmin Roy et Emilie Bierre s’unissent contre l’homophobie

Jasmin Roy n’a pas fini de lutter contre l’intimidation et l’homophobie dans les écoles.

Comme nouvelle mesure, il interprète avec Emilie Bierre la pièce Ils dansent, qui raconte la véritable histoire d’un couple de pingouins gais dans un zoo. Le message derrière la chanson est que l’homosexualité est parfaitement naturelle, mais pas l’homophobie.

C’est donc cette dernière, pas les relations entre personnes de même sexe, qui est contre nature.

L’objectif de la vidéo est pédagogique.

C’est via la Fondation Jasmin Roy qu’elle sera montrée dans les écoles pour engager une conversation entre les enseignants et leurs élèves. Les jeunes pourront ainsi apprendre que c’est chez pas moins de 1500 espèces animales qu’on a pu observer des relations homosexuelles, mais on n’a vu un comportement homophobe chez aucune d’entre elles. 

« Il est important de soutenir les écoles avec des outils pédagogiques positifs qui leur permettent d’éduquer les jeunes à bien connaître la réalité des communautés LGBT afin de créer des milieux bienveillants pour tout le monde », souligne avec justesse Jasmin Roy pour expliquer les motivations de sa fondation.

On peut dire que la chanson tombe à point puisque, le 17 mai prochain, c’est la Journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie, des attitudes discriminatoires qui sont toujours bien présentes, comme le rappelle l’animateur : 

« Les injures homophobes telles que fif et tapette font encore partie, en 2017, des injures les plus prononcées dans les milieux éducatifs. »

Par ailleurs, ce n’est pas la première fois que la Fondation Jasmin Roy et Emilie Bierre s’unissent. La jeune actrice avait déjà participé à une autre vidéo il y a quelques années.

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Potins

Miley Cyrus : « Ma première relation était avec une fille »

L’interprète de Wrecking Ball s’est confiée au Variety, et révèle n’avoir pas compris durant une bonne partie de sa vie son rapport à la sexualité, ou même son genre.

Celle qui est maintenant en relation avec l’acteur Liam Hemsworth admet également que sa toute première relation sérieuse était avec une personne du même sexe.

« Toute ma vie, je ne comprenais pas mon propre genre et ma propre sexualité. J’ai toujours détesté le mot « bisexuel », parce que même ça me plaçait dans une boîte. Je ne pense jamais aux gens en fonction qu’ils soient des gars ou des filles. Mes yeux ont commencé à s’ouvrir en cinquième ou sixième année. Ma première relation dans ma vie était avec une fille. J’ai grandi dans une famille du Sud très religieuse. Cet univers m’a toujours donné le pouvoir de savoir que je serais OK », explique Miley Cyrus.

Celle qui a récemment remplacé avec brio, et au pied levé, Ellen DeGeneres à l’animation d’Ellen semble donc davantage en confiance et sereine qu’à ses années dans la peau d’Hannah Montana, et celles qui ont suivies.

Une nouvelle? : scoop@buminteractif.com

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Potins

Tiger Woods aurait trompé Lindsey Vonn

Une source rapporte que la rupture entre Lindsey Vonn et Tiger Woods serait directement liée aux infidélités du célèbre joueur de golf.

La rumeur en décevra plus d’un, alors que d’autres lèveront probablement les yeux au ciel.

Selon une source qui s’est confiée au Daily Mail Online, Tiger Woods aurait été victime d’une « rechute ».

« Il a eu une rechute au département sexuel. Lindsey a découvert quelque chose à propos de femmes, encore. Toujours quand il est sur la route. Exactement comme avec Elin », explique la source en question.

Si la rumeur s’avère, on pourra dire que Lindsey Vonn a été gentille à l’endroit de Tiger Woods lors de la rupture.

La skieuse olympique avait en effet affirmé que sa relation avec le golfeur avait pris fin à cause de leurs « styles de vie hectiques et des horaires chargés », ce qui les empêchaient de se voir parfois durant de longues périodes.

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Bébé et cie

Un enfant peut-il agresser sexuellement d’autres enfants?

Le tout a commencé avec les propos tirés du livre de l’actrice et scénariste Lena Dunham. Celle-ci décrit les gestes sexuels portés sur sa jeune sœur et se compare elle-même à un prédateur sexuel.

Comment empêcher, au sein de votre famille, que cette situation se produise? Parenting Squad mentionne que le tiers des agresseurs sexuels sont eux-mêmes des enfants.

Internet, la télévision et les films

Les cotes attribuées aux sites, films et émissions de télévision n’existent pas pour rien. Trop de parents s’imaginent encore qu’ils n’ont pas à utiliser de contrôle parental. L’option est là. Utilisez-la sans tarder!

La gardienne et les amis

Soyez certain à 110 % de la personne que vous laissez avec vos jeunes enfants lorsque vous sortez. Si vous avez des doutes, cachez une caméra ou revenez plus tôt pour la surprendre.

Assurez-vous aussi de connaître la famille des amis chez qui votre enfant s’amuse ou passe la nuit. Pas seulement les parents, mais observez aussi les enfants. 

Écoutez votre enfant

L’erreur que bien des parents font (malgré eux) est de ne pas croire un enfant lorsqu’il parle de gestes inappropriés. Ne rejetez jamais les confidences d’un enfant avant de valider.

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Potins

Mike Tyson affirme avoir été victime d’abus

L’ancien champion du monde Mike Tyson y est allé d’une révélation étonnante et triste au cours d’une entrevue accordée à la radio, rapporte BANG Media International.

Le boxeur de maintenant 48 ans a en effet affirmé avoir été victime d’un enlèvement et d’abus alors qu’il n’était âgé que de sept ans, lors de son passage dans les studios de Sirius XM.

« Il m’a enlevé directement dans la rue. J’étais un enfant, et lui un homme âgé. Il m’a intimidé, abusé sexuellement et tout… je ne l’ai jamais revu. Puis, j’ai juste continué à vivre ma vie », explique Tyson.

L’athlète controversé, désormais un symbole plus ou moins reluisant de la culture pop américaine, est maintenant père de six enfants et s’est marié trois fois, sans jamais révéler cette horrible histoire.

Mike Tyson a lui-même fait de la prison pour une affaire d’agression sexuelle, pour laquelle il a été condamné en 1992.

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Sport et Santé

Avoir plusieurs partenaires sexuels diminuerait le risque de cancer de la prostate

Une étude sur l’effet protecteur de l’éjaculation fréquente sur la prostate a donné des résultats étonnants, rapporte La Presse.

L’échantillonnage comprenait 3200 hommes de 40 à 69 ans, dont 50 % étaient atteints du cancer de la prostate. Apparemment, les hommes ayant eu plus de 20 partenaires sexuels masculins augmentaient considérablement le risque de ce cancer. S’il s’agissait de partenaires féminines, le risque chutait radicalement.

Ainsi, un homme qui avait la même partenaire toute sa vie avait 28 % plus de risques d’avoir le cancer de la prostate que celui qui avait eu plus de 20 partenaires sexuelles.

Marie-Élis Parent, auteure principale de la recherche, explique les résultats : « Nous pensons que chez les hétérosexuels, une vie sexuelle plus active permet d’évacuer certaines substances carcinogènes présentes dans le fluide prostatique, avec des éjaculations plus fréquentes ».

Quant à l’hypothèse chez les homosexuels, on pense aux dommages occasionnés à la prostate ou aux cas plus fréquents d’ITS. Par contre, un homme qui avait le même partenaire durant sa vie ne voyait pas ses risques de cancer de la prostate augmenter.

L’étude a été publiée dans la revue Cancer Epidemiology.

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Potins

Kesha et Dr. Luke : La guerre est ouverte

La belle Kesha lève le voile sur l’énigmatique et en apparence sombre relation qui l’unissait au producteur connu sous le nom de Dr. Luke. Elle l’accuse officiellement de harcèlement et d’abus physique, psychologique et sexuel.

Cette véritable bombe, rapportée par le Rolling Stone, est une conclusion que l’on pourrait considérer comme logique, après que plusieurs sources proches de la star aient indiqué la souffrance de Kesha dans le giron de Dr. Luke.

Kesha confirme donc les rumeurs avec une poursuite judiciaire en bonne et due forme dans laquelle il est stipulé que le comportement du producteur a même mis sa vie en danger.

Les comportements de Luke, qui aurait forcé Kesha à boire de l’alcool et à consommer des drogues pour « abaisser son inhibition », auraient commencé dès la mise sous contrat de la chanteuse, alors qu’elle n’avait que 18 ans.

Depuis, Dr. Luke a contre-attaqué avec une poursuite en diffamation, et l’avocat de ce dernier affirme que la poursuite de Kesha est en fait partie intégrante d’une campagne de salissage à l’endroit de son client.

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Quand le piratage de photos de célébrités sert de leçon pour les adolescents

Il n’y a pas si longtemps, pour sensibiliser les jeunes à l’illégalité de transmettre des photos osées via le web, on lançait une campagne publicitaire radio et télévisée.

Des adolescents propageaient des photos d’une jeune fille (mineure). Plus tard, ceux impliqués se retrouvaient dans le bureau du directeur de l’école, mais également devant un policier.

Or, avec le piratage qui vient d’avoir lieu avec des photos et vidéos explicites d’une centaine de femmes célèbres, la sensibilisation s’élève encore d’un cran. Le simple fait de prendre la photo, et il est déjà trop tard.

On accuse iCloud et Dropbox, notamment, d’avoir des failles dans leur système. Le FBI mène l’enquête, mais affirme aussi qu’il s’agissait de photos supprimées depuis longtemps.

Ainsi, votre adolescent qui prend des photos de lui-même ou d’autrui sur son cellulaire, lequel est branché à un réseau internet, laisse des traces. Qu’il les efface de son portable ne garantit pas leur suppression définitive.

Les placer dans le nuage (iCloud) ne représente pas plus un gage de sécurité. Faites valoir à vos jeunes que pour toute nouveauté technologique, il existe potentiellement une solution pour y creuser une faille et recueillir les données.

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Les dessins d’enfants agressés représentent des indices précieux

Medical News Today fait le parallèle avec l’adage disant qu’un dessin vaut mille mots. La Dre Carmit Katz, de l’University’s Bob Shapell School of Social Work de Tel-Aviv, croit que ces illustrations représentent un outil critique pour les enquêtes policières.

La recherche de la Dre Katz, publiée dans la revue spécialisée Child Abuse and Neglect, a comparé les résultats d’enfants questionnés lors de cas de sévices, où certains se voyaient également offrir la possibilité de dessiner pendant l’interrogation.

Au terme de l’étude, la spécialiste a démontré des résultats très significatifs. Le dessin s’est avéré un outil de thérapie pour les enfants et de preuve pour les enquêteurs. Ces derniers recevaient des descriptions plus détaillées et complètes.

Ce sont 125 victimes de sévices sexuels, âgés de 5 à 14 ans, qui ont été sélectionnées de façon aléatoire pour l’expérience. Au lieu de se reposer pendant 7 à 10 minutes, le groupe ayant la possibilité de dessiner utilisait cette pause pour mettre sur papier leurs illustrations.

Cette procédure s’est avant tout avérée libératrice pour les enfants. Dre Katz, elle-même travailleuse sociale, espère désormais procéder de façon similaire avec des groupes d’enfants de 3 à 6 ans.