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Dernier droit ardu pour Shea Weber

Shea Weber a besoin d’aide? Mais comment l’aider? Pour qu’il puisse respirer un brin, Weber a besoin d’aide… une aide qu’il n’a pas reçue de son patron lors de la date limite des transactions. Enfin bref, depuis plusieurs matchs, le capitaine n’est clairement plus l’étoffe qu’il affichait depuis son retour au jeu.

Ses pivots sont laborieux, son manque de vitesse est plus palpable que jamais. Mais qui peut l’aider? Que peut faire le groupe d’entraîneur pour soulager sa charge de travail? Ça ne va réellement pas bien pour la « colonne » du Canadien… peut-être cache-t-il une blessure?

Olivier Bouchard a amené un point démontrant que Shea Weber n’est pas dans sa soupe du tout : c’est la première fois depuis qu’il est un membre de cette Sainte-Flanelle que le groupe accorde plus de chances offensives lorsque le numéro 6 est sur la surface glacée. Cette statistique est très révélatrice de la tenue actuelle de Shea Weber. Dans le passé, lorsqu’il était un membre des Predators de Nashville, il a déjà vécu ce genre de creux… la relevée a été longue. Pour que le Canadien s’en sorte, ça doit se redresser rapidement puisque la fin de la régulière approche.

Le lien dressé ici : Weber a été affecté par le départ de Ryan Suter à l’époque, et après quelques mois, le tout s’est replacé puisque Roman Josi a pris de la maturité. À Montréal, il n’y a pas de Suter ou de Josi pour venir appuyer le capitaine. Victor Mete est bien bon, mais il reste à des années-lumière de Suter et Josi. Tout compte fait, même s’il est un individu en grande forme physique, l’âge finit toujours par rattraper un homme. Donc, évidemment, son temps de jeu à force égal a été coupé un tantinet par Claude Julien.

Weber a encore son lancer foudroyant, il anime l’attaque à sa façon, mais sa couverture défensive n’est plus aussi à point. Malgré ça, Bouchard avance que le capitaine devrait obtenir moins de temps en attaque massive afin de lui donner du repos, surtout qu’il n’a pas été en mesure de relancer cet avantage numérique anémique. Donc à Claude Julien de lui enlever cette portion de jeu s’il souhaite le conserver frais et dispo pour la danse du printemps.

En rafale

– Le duo est très fumant… mais l’équipe, elle?

– C’est important de conserver cette attitude.

– Zdeno Chara a été déclassé.

– Parviendra-t-il a atteindre la LNH et y rester?

– Les Sharks seront très prudents avec la blessure à l’aine d’Erik Karlsson.

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Une rétrogradation pour Shea Weber

Le Canadien doit vraiment trouver une façon de réveiller son attaque à cinq, qui ne fait absolument rien de bien bon depuis l’amorce de la campagne.

Un PP anémique, qui se situe parmi les trois pires du circuit, c’est inacceptable. Imaginez un instant si Julien et ses hommes avaient trouvé une solution à celui-ci, l’équipe serait sans aucun doute mieux positionnée au classement. Un taux de réussite de 12.7%, c’est de la boue en conserve, ça. Atroce!

Cela dit, le pilote et ses acolytes ont même pris la décision de muter Shea Weber sur la deuxième vague de l’attaque massive. Mine de rien, c’est un gros move puisque Shea Weber est habituellement la pierre angulaire en avantage numérique. Il gérera la deuxième avec Victor Mete à sa gauche alors que les attaquants seront Tomas Tatar, Jesperi Kotkaniemi et Brendan Gallagher.

La première unité, pour sa part, sera composée des joueurs suivants : Max Domi, Phillip Danault, Andrew Shaw, Jonathan Drouin et Jeff Petry. Phillip Danault qui prend du temps sur la première vague, ça m’emballe. Il était temps que ce scénario se dessine et demeure ainsi pour quelque temps. Petry à la droite de Drouin sur la première vague, est-ce que ça changera la donne? Peut-être. Peut-être pas.

Le Canadien est toutefois « chanceux » puisque le 31e rang des pires formations dans cette catégorie appartient aux Preds de Nashville, qui affiche un taux de réussite de 12.2%. Pour remédier à cette situation, Peter Laviolette n’a pas brassé ses cartes à l’interne puisque son patron, David Poile, lui a donné deux nouveaux pions importants : Wayne Simmonds et Mikael Granlund.

Dans le cas de Marc Bergevin, il a donné Jordan Weal à son coach…

En rafale

– L’ami Mik Lalancette est en ville justement pour ce duel de titan.

– L’organisation du Lightning de Tampa Bay est réellement en amour avec le Québec.

– Très intéressant.

– Donnez votre réponse à cette question.

– En lisant ce titre, je me suis dit : Alex Harvey fait bien de se sortir d’un sport malade.

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Shea Weber connaît-il des difficultés?

Ils sont nombreux à vanter l’impact du retour au jeu de Shea Weber sur le jeu de son équipe. Oui, le Canadien a tenu bon sans Weber, mais depuis le retour de son défenseur #1, l’équipe a repris toute sa confiance. Et toute sa splendeur.

Carey Price garde aussi les buts avec un bien meilleure disposition mentale.

Bref, on s’entend tous pour dire que Weber joue du gros hockey depuis son retour au jeu à la fin novembre.

Tous sauf Gilbert Delorme!

Même si Weber a 21 points (dont neuf buts) en 32 rencontres… Même s’il affiche un différentiel de plus-16 alors qu’il affronte pourtant les meilleurs éléments adverses… Weber connaît une séquence difficile présentement. Les raisons selon Delorme? Sa longue absence en raison de blessures et le break du match des étoles/bye-week.

Mine de rien, Weber est le deuxième meilleur pointeur chez les défenseurs, avec un seul but de moins que Jeff Petry (et 24 rencontres de moins).

Le #6 est le 10 meilleur buteur et le 10e meilleur pointeur du Canadien… Avec plus de 20  matchs de moins que tout le monde ou presque.

Weber a neuf points à ses neuf dernières rencontres… Et cinq à ses quatre dernières, soit depuis le match au New Jersey dont parle Gilbert Delorme.

(Crédit: NHL.com)

Il a aidé les siens à vaincre les Ducks, les Oilers et les Jets…

J’ai beaucoup de respect pour ceux qui ont joué la game… Ou qui l’ont coaché. Je m’efforce toujours d’évaluer leurs positions qui vont à contre-courant de tout le monde.

Mais sur celle-là, je n’y arrive tout simplement pas. Shea Weber connaît une bonne saison et il aide énormément l’équipe présentement.

Si Delorme a raison et que Weber rebondit (bref, qu’il en offre encore plus à son équipe), on va toutefois être en business en tabarouette!

En rafale

– Wayne Simmonds déçoit quelques recruteurs récemment?

– Direction AHL pour Samuel Morin, qui n’a pas encore disputé un seul match cette saison.

– Les Sénateurs devraient décider ce qu’ils feront avec leurs UFA potentiels aujourd’hui ou demain.

– Il y a deux ans aujourd’hui…

– Bob McKenzie aime bien le Centre Bell.

– Plusieurs infos et spéculations pour les fans des Blues…

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Shea Weber se considère chez lui

Shea Weber a actuellement 899 joutes au sein de la Ligue nationale, donc il jouera son 900e demain (jeudi), alors que l’équipe bataillera contre P.K. Subban et les Preds de Nashville.

Ben oui, sa 900e joute à son ancien domicile, Nashville. Devant une multitude d’amateurs qui vénèrent toujours son ancien capitaine. La montagne de l’Ouest a tout de même participé à 763 rencontres dans cet uniforme orné de jaune éclatant. Avec la Sainte-Flanelle, il en a 136 derrière la cravate, ce qui fait en sorte qu’il ne devrait pas en jouer autant puisqu’il a tout de même 33 ans.

Oublions le fait que cette rencontre sera contre P.K. Subban et concentrons nos énergies sur Shea Weber, le capitaine du navire montréalais. Lors de son arrivée en ville (à Montréal), Weber semblait un brin ébranler et son désir, avant ce monstrueux échange, demeurait de joueur toute sa carrière dans le même maillot. Ses plans ont été bouleversés le 29 juin 2016, lorsqu’il est devenu un membre du Canadien de Montréal. Mal à l’aise jadis, mais aujourd’hui, le gros numéro 6 se sent chez lui. Il appelle Montréal SA maison. N’est-ce pas une nouvelle qui nous fait sourire?

Chaque moment que SON Canadien s’inscrit à la marque, on aperçoit rapidement le large sourire de Shea Weber, qui festoie comme il ne l’a jamais fait auparavant (avec le Canadien). Il est heureux de jouer, il est passionné à exercer son boulot et surtout, il s’amuse. Durant les entraînements, il a du plaisir à taquiner ses coéquipiers et à s’automoquer de lui-même. Du plaisir, beaucoup de plaisir et une ambiance saine… Weber est l’un des principaux artisans de ce changement soudain du Canadien. Vous savez, l’attitude là!

Tout compte fait, même si certains s’arrêtent sur sa « lenteur », Weber demeure un grand capitaine, une grande vedette et surtout, un individu exceptionnel. Puis certains de ses coéquipiers disent qu’il est un grand clown. Le gars qui fait le plus de jokes. Eh ben!

En rafale

– Dale Weise est réellement en amour avec le Canadien de Montréal.

– Avec le recul, une chance que cette rumeur ne s’est pas réalisée.

– Je dirais plutôt des racines « country » et non « western ».

Pour connaître la différence entre le country et le western, cliquez ICI.

Rappel : Michael Chaput n’a pas été réclamé, il rejoindra donc le Rocket sur la route.

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Une démonstration de la perfection de Shea Weber

Le Canadien a patiné en fin d’avant-midi au Complexe sportif Bell de Brossard afin de se préparer à affronter les Devils du New Jersey demain après-midi.

Au sujet des Devils, ils ne sortent pas d’une semaine de congé puisqu’elle a eu lieu du 20 au 27 janvier.

Bref, que s’est-il passé à l’entraînement? Comme l’a lancé Marc-André Perreault, le party a levé sur la surface glacée de Brossard. Cet esprit de famille et cette attitude font de ses joueurs une mouture 2018-19 débordant de caractère.

Autre chose? Absolument! Andrew Shaw s’est occupé de diriger la séance d’étirements de son équipe… ce qui démontre qu’il se rapproche d’un retour au jeu… et que le casse-tête chinois s’amorcera pour Marc Bergevin.

Plus encore. Shea Weber, étant un perfectionniste et travailleur acharné, a « pratiqué » son lancer sur réception à la fin de cette séance d’entraînement. Le capitaine est conscient que son tir doit redevenir une arme dévastatrice pour l’attaque massive du bleu-blanc-rouge.

Entre vous et moi et tout le monde, c’est complètement anormal que Weber n’ait que deux petits buts en avantage numérique. Depuis le lancement de sa carrière, ç’a toujours été l’une de ses spécialités, l’un de ses dadas.

En rafale

– Michael McNiven sera rappelé après 17 heures ce soir. Chez le Rocket, il joue ce soir afin de poursuivre cette lutte aux séries.

– Carey Price a raflé la portion de janvier de la Coupe Molson.

– Plus ça change, plus c’est pareil pour Anthony Duclair.

– Un moment que personne ne souhaite vivre dans sa vie…

– WOW!

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Voici pourquoi Shea Weber devrait jouer jusqu’à 41 ans

Claude Julien a entraîné le grand Zdeno Chara, au sens propre et figuré, pendant environ une décennie. Julien n’a jamais caché tout l’amour qu’il porte envers son ancien capitaine, tout comme il le fait avec son nouveau capitaine, Shea Weber.

Les deux joueurs sont similaires : ils sont gros, ils sont puissants, ils sont forts, ils ont un lancer dévastateur, ils sont de grands leaders et surtout, leur condition physique est impeccable. Ils savent bien prendre soin d’eux de sorte à se retrouver parmi les plus « en forme » de leur club.

En vieillissant, Chara a pris (et prend) des séances de power skating afin de tenir ses jambes actives, et plus rapides. Même s’il est moins efficace offensivement qu’au préalable, il maintient encore un rythme intéressant, lui qui passe encore plus de 20 minutes (20:45) sur la surface glacée. On se fie encore à son efficacité dans les trois zones et sa grande perche, qui sert à bien contrer ses adversaires, comme le souligne Arpon Basu pour The Athletic.

Dans le cas de Weber, il a un peu le même type de personnalité et de sérieux dans son sport.

Tout compte fait, Claude Julien est bien placé pour comparer ces deux chevaux hors du commun.

C’est ça être de vrais professionnels. Si la santé de Weber tient, il devrait honorer son contrat, qui prendra fin lorsqu’il aura 41 ans.

En rafale

– Voici la passion de Kevin Klein.

– Ce n’est pas trop joli.

– Il y a de beaux buts au sein de la KHL.

– C’est maintenant officiel pour le contrat de Michal Moravcik.

– Très intéressant comme article. Voici la partie deux (les attaquants).

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Pas de Shea Weber au Match des étoiles

Ça y est, il n’y aura aucun joueur du Canadien de Montréal présent lors du week-end des étoiles présenté à San Jose les 25 et 26 janvier prochain.

Voici les Last Men :

C’est triste. C’est une réalité bien désappointante. Par contre, mon questionnement se porte plus loin que ça, surtout avec la décision de Carey Price de ne pas s’y présenter : Pourquoi autant de joueurs déclinent-ils cet événement? Un event créé pour les fans, pour du marketing, pour décompresser…

Carey Price, qui désirait se rendre à San Jose au départ, a finalement opté pour un « repos »…

Patrice Bergeron ne voulait pas y aller, donc il a demandé à ses fans de ne pas voter pour lui…

Alex Ovechkin a annoncé dès le départ son désir de reposer ses vieilles jambes au lieu d’aller s’amuser au Match des étoiles…

Ce n’est pas une première puisqu’au préalable, des joueurs se désistaient au dernier moment, inventant pratiquement une blessure soudaine. Mais on parlait d’un joueur ou deux maximums. Pas trois. Donc pourquoi c’est différent cette année? Que s’est-il passé dans le coco des joueurs?

Est-ce que les joueurs en voudraient toujours à la LNH pour la non-participation aux derniers Jeux olympiques. Sont-ils déjà en train de mettre de la pression sur la Ligue nationale concernant la CBA? Pour rappel, lors du prochain mois de septembre, les joueurs pourront indiquer s’il accepte ou non de jouer la campagne 2020-21 avec la convention actuelle.

Enfin bref, les joueurs n’ont pas eu d’extra de la part de la LNH, donc pourquoi donneraient-ils un extra à la LNH? Peut-être qu’une épreuve de force se déroule en ce moment entre les deux parties… Qui sera le prochain à se retirer d’une participation au Match des étoiles?

En rafale

– Peut-être que ce n’était pas clair au départ, mais les Rangers de New York sont réellement en reconstruction. [Blueshirt Banter]

– Cette phrase démontre à quel point Joël Bouchard est un entraîneur-chef très intense.

– Calme-toi, Drew!

– Un beau moment pour Alexander Romanov.

– Un maudit beau geste de Jesperi Kotkaniemi.

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– J’aime ça les gens qui tiennent parole lors d’un pari.

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Rien de coulé dans le béton pour Shea Weber

Mon collègue Kevin m’a souligné une donnée importante au sujet du Match des étoiles et du Canadien : le CH n’a pas réellement poussé la candidature de Shea Weber. Vrai. Puis cette négligence (peut-être voulu) pourrait faire en sorte qu’aucun membre du Canadien de Montréal ne soit présent lors des festivités du 25-26 janvier du côté de San Jose (Match des étoiles). Pourtant, on est bien en Californie, n’est-ce pas?

Enfin bref, rien n’indique que c’est une mission accomplie pour Weber au sujet du vote pour le Last Men se retrouvant sur le site de la Ligue nationale. Jeudi soir, le vote se terminera et un joueur sera ajouté à chacune des divisions. Dans la division du Canadien, l’Atlantique, Weber pourrait être dépassé par Patrice Bergerin, Brayden Point, Morgan Rielly ou même un gars comme Jeff Skinner.

Ce n’est pas une première pour le Canadien de Montréal, lui qui n’avait aucun représentant lors du week-end des étoiles de 2003 du côté de la Floride.

À cette époque, Saku Koivu devait représenter la Flanelle, mais il avait un rendez-vous important au programme concernant la rémission de son cancer. En 2001, également, aucun joueur du Tricolore n’a reçu une invitation pour le match Amérique du Nord contre le reste du monde.

Puis, je vous rappelle que la LNH essaie de vendre ses chandails recyclés aux couleurs de chacune des équipes en vue du Match des étoiles. Disons que sans aucun joueur du Canadien, les chandails bleu-blanc-rouge ne se vendront pas comme de petits pains chauds. C’est dans de telles circonstances qu’il est important d’avoir au moins un joueur par organisation.

En rafale

– Le père de Jeff Petry a-t-il lancé une petite pointe aux Oilers d’Edmonton?

– À Denver, Nathan MacKinnon passe sous les radars et il est très confortable avec ça.

– Voici l’un des résultats très « négatifs » d’une commotion cérébrale.

– Le kid prend de plus en plus de place.

– Donc ce gars-là pourrait se faire tatouer Brett Connolly?

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Shea Weber pourrait remporter le trophée Norris

Don Cherry a toujours eu des propos controversés. Dire que Cherry polarise l’opinion public est un euphémisme. Il recherche la réaction, et non l’approbation.

Samedi soir, le coloré analyste du réseau CBC a vanté le retour au jeu de Shea Weber dans son segment Coach’s Corner. Jusque là, pas de controverse…

« Quel retour à la compétition pour Weber! Ce gars-là est solide et il semble être à 100 %. Il bloque des tirs, il fait tout! » – Cherry

Selon Cherry, Shea Weber devrait faire partie des finalistes au trophée Norris cette saison. Il a récolté sept points en neuf rencontres, tout en affichant un différentiel de plus-6… Et ce, après près d’un an d’absence et deux opérations!

Est-il trop tôt pour parler de mise en nomination pour le Norris pour le grand #6? Je veux dire… Il a raté les 24 premières rencontres de la saison.

Cherry a aussi indiqué que selon lui, Mark Giordano devrait aussi être considéré pour le Norris.

« Il marque. Il frappe. Il se bat et il bloque des tirs, mais son nom n’est jamais mentionné. » – Cherry au sujet de Giordano

On pourra toujours compter sur Don Cherry pour vanter le jeu des vétérans joueurs canadiens qui offrent de belles performances. Ça ne changera jamais…

Selon vous, est-ce que Shea Weber et Mark Giordano jouent comme des Norris depuis le début de la saison? Ont-ils plus d’impact que Morgan Rielly, Thomas Chabot, John Carlson, Dustin Byfuglien et Brent Burns?

Je ne sais pas…

Mais au final, je suis certain d’une chose : le retour de Shea Weber a vraiment métamorphosé le visage du Canadien. Et ça, c’est une bonne nouvelle!

À noter que Shea Weber n’a jamais remporté le trophée Norris…

Et que le dernier joueur du CH à avoir mis la main sur celui-ci est P.K. Subban (saison écourtée).

En rafale

– Martin Reway n’a pas perdu son excellente vision du jeu.

– Ça ne me rajeunit pas…

– MacKinnon et Rantanen sont dans une catégorie à part.

– Il n’était pas possible de réussir dans la LNH si tu était petit il n’y a pas si longtemps…

– Les nutritionnistes renvoient la responsabilité à l’athlète…

– Est-ce que cette décision affectera le jeu d’Evan Bush?

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LNH : Artem Anisimov absent à cause de Shea Weber

Artem Anisimov a subi une commotion cérébrale à la suite d’une mise en échec de Shea Weber. Weber cogne fort, même s’il ne frappe plus aussi souvent qu’auparavant. Ses adversaires se méfient sur le long des rampes puisqu’ils ne souhaitent pas que le train de 5 heures arrive à toute allure vers eux pour sonner leurs cloches.. Ç’a réellement fait BOOM!

Le joueur des Blackhawks, qui connaît une saison correct, contrairement à de son groupe, doit désormais passer par le protocole de commotion cérébrale. Cette mise en échec percutante a été appliquée légalement, et il a brassé le Canadien, qui tournait en rond pas mal avant cet instant. Un coup d’épaule exécuté au moment opportun, c’est aussi ça Shea Weber.

Après la mise en échec, Anisimov a répliqué tout doucement avec un petit coup de hockey, mais il s’est calmé très rapidement lorsqu’il a aperçu le regard du capitaine de la Flanelle.

Cette situation semble toutefois plus grave qu’au préalable puisque le joueur de centre des Hawks ne s’est pas entraîné aujourd’hui. En plus de ça, il ne sera pas en mesure de voyager avec l’équipe vers Winnipeg. Ça démontre clairement que le résultat est plus sévère que souhaité.

Mine de rien, si son absence se prolonge, ça fera mal aux Blackhawks de Chicago, qui manque cruellement de profondeur afin de remplacer des éléments qui se retrouvent à l’infirmerie pour un long moment.

En rafale

– Les Oilers d’Edmonton ont reparti la machine depuis que Ken Hitchcock pilote celle-ci. Est-ce le fruit du hasard?

– Un gros statement.

– Une rondelle qui change de couleur sera utilisée lors de la Classique hivernale.

Ben non?

– Un petit rappel au sujet de l’expansion au sein de la MLS.

– Bryce Harper prépare-t-il un coup d’éclat? Voici les raisons qui nous portent à y croire.