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Si on s’aimait: un gars indécis, une femme trop directe et de grosses confidences

Notre plaisir coupable du printemps, Si on s’aimait, a conclu jeudi soir la première semaine de sa seconde saison. Nos trois célibataires, des gens qui se sont volontairement soumis à notre regard critique de leur parcours amoureux par courage ou par masochisme (dur à dire!), ont commencé à montrer leur personnalité. C’est surtout le cas pour Brigitte, comme on a vu ses rencontres lundi, tandis qu’il a fallu attendre à mardi pour Sébastien et mercredi pour Guillaume, ce qui fait qu’on a beaucoup moins appris à connaître ce dernier que la jeune grand-mère. Le montage était un peu frustrant pour ça, disons-le.

Brigitte est très directe, et ça aura pris environ un quart de seconde à sa séance de speed dating pour qu’on le réalise. Elle « déteste » les bijoux sur un homme et elle est un peu beaucoup dans le jugement, même si elle affirme haut et fort exactement le contraire. Quand même, elle est plutôt comique dans sa spontanéité et limite sans filtre dans sa façon de réagir, donc pas nécessairement l’image qu’on se ferait d’une agente de probation, son métier qui a fait dire à Emily Bégin que « ça, c’est le genre de filles que tu niaises pas » (petit rappel qu’il n’y a pas de genre de filles que tu niaises, mais bon). Sans surprise, elle a choisi de poursuivre l’aventure avec Carlos, le gars avec un pinch à qui elle a fait des compliments et dont elle parlait du sourire comme d’une oeuvre de Michel-Ange.

Crédit:Facebook Si on s’aimait Brigitte

On nous a rapidement présenté Carlos et ses « blessures » (oui, oui, déjà). On nous le décrit comme quelqu’un qui ne s’est pas beaucoup engagé dans ses relations parce qu’il fréquentait des femmes mariées (c’est pas fin, ça!) et Louise Sigouin en a vite profité pour trouver un lien avec son enfance, telle une Freud du 21e siècle (la cocaïne en moins). Il faudra que notre « experte en accompagnement relationnel » trouve un lien entre l’enfance de Brigitte et son aversion pour les casquettes, parce que la quinquagénaire a vite fait une obsession sur celle de Carlos. Entre ça et les conseils qu’il lui a donnés sur sa relation avec sa mère, il s’est fait revirer d’bord comme il aime le faire avec la palette de son couvre-chef.

Quand Brigitte a fait un genre de crisette en réaction à Carlos qui lui a glissé qu’il aimait toucher les gens, déformant son propos pour finir par lui faire dire qu’il aime tapoter les femmes, on a tout de suite eu des flashbacks de Mike et Jennifer. Notre corps s’est raidi comme si on souffrait d’un trouble de stress post-traumatique, mais ça n’a été que de courte durée, puisque le parallèle boiteux que Brigitte a établi entre son malaise avec la casquette et des seins gros comme des citrouilles qui sortent d’un chandail nous a vite fait penser à autre chose (à Halloween, espèces de petits libidineux!).

Crédit:Facebook Si on s’aimait Brigitte

De son côté, Sébastien parle de sa passion pour le chant aussi souvent que s’il était un concurrent à Star Académie et donne vite l’impression qu’il est à l’émission pour promouvoir sa carrière de chanteur. C’est pas à Occupation Double qu’il faut s’inscrire pour devenir une idole instantanée? On a dû manquer un mémo… N’empêche, celui qui cumule les conquêtes à consommation rapide et qui n’a jamais été en couple a un profil fort différent des autres candidats de Si on s’aimait. Déjà, il s’agit du premier participant homosexuel dans une production où la seule diversité représentée auparavant était, euh… les racines anglophones de Jennifer? Mais aussi, il a confié durant sa séance de speed dating qu’il est séropositif indétectable. Louise en a profité pour mentionner que sa présence à l’émission permettra de sensibiliser davantage le public et de défaire des préjugés face au VIH/sida, mais personne n’a jugé bon de rappeler qu’indétectable veut aussi dire non transmissible, alors nous voici à la rescousse avec cette information quand même pas pire importante.

Sébastien s’est ainsi ouvert à Gabriel, qui lui a rendu la pareille en lui confiant qu’il se considère dans le « spectre » de l’asexualité. Suivant ce bel échange, c’est sans surprise que le célibataire a sélectionné Gabriel pour poursuivre l’aventure. Mais est-ce le bon choix pour lui, qui semble déjà craintif à l’idée de vivre avec une personne asexuelle? Ça reste à voir. Ce qu’on ne veut pas voir, par contre, c’est Gabriel manger des cornichons, puisqu’il a décrit son intolérance comme était de niveau malade-pendant-trois-semaines-et-perte-de-25-livres. On ne veut même pas savoir ce qui se passe s’il consomme du lactose, son autre allergie.

Crédit:Facebook Si on s’aimait Brigitte

Quand Guillaume a enfin eu droit à son speed dating, il n’a pas été capable de prendre une décision. Ayant eu beaucoup moins de temps d’écran que ses homologues qu’on a suivis toute la semaine, on sait de lui uniquement qu’il cherche quelqu’un de « dégourdi » (dans le sens wink-wink du mot) et qu’il était assez indécis entre Amélie et Marie-Gina pour avoir une deuxième date avec chacune d’entre elles avant de faire son choix. On a d’ailleurs pu voir la première, une partie de mini-golf avec Amélie, qui a été en couple pendant 10 ans avec le père de ses enfants et qui, depuis la rupture, a fréquenté des hommes qui ne voulaient pas s’engager ou qui n’étaient pas prêts à faire de la place dans leur vie à ses enfants, contrairement à Guillaume, qui aime bien l’idée.

On finit donc la semaine avec une Brigitte qui a déjà l’air tannée de son Carlos, un Guillaume qu’on ne connaît pas encore ben, ben et qui n’a pas fait son choix ainsi qu’un Sébastien qui a déjà des craintes, dont celle d’accidentellement tuer Gabriel en lui donnant des produits laitiers ou des cornichons. Ça commence merveilleusement bien!

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«Si on s’aimait»: La 3e saison confirmée par TVA

C’est en mai prochain qu’on pourra renouer avec la deuxième saison de Si on s’aimait sur les ondes de TVA. Toujours au volant du docu-réalité amoureux, le couple de Guillaume Lemay-Thivierge et Émily Bégin reprendra son rôle de commentateurs, alors que la sexologue Louise Sigouin guidera les candidats dans leur quête amoureuse.

À plus de trois mois de la diffusion du premier épisode, le Journal de Montréal nous apprend qu’une troisième saison est déjà dans les plans de TVA. Qui plus est, les enregistrements sont prévus pour le printemps prochain et la période de recrutement est officiellement lancée ce mardi!

La productrice et conceptrice du format Anne Boyer s’est d’ailleurs confiée au journal en indiquant que l’émission était plus que jamais à la recherche d’une distribution diversifiée : « On cherche des participants de tous âges, de toutes origines, de toutes orientations sexuelles ».

À l’automne dernier, Guillaume Lemay-Thivierge avait laissé entendre qu’il pourrait y avoir un candidat ou une candidate homosexuel.le dans la deuxième saison. Un fait confirmé par Anne Boyer, qui a cependant admis qu’aucun participant racisé n’avait envoyé sa candidature pour la nouvelle mouture. Elle demeure toutefois confiante que la tendance pourrait changer avec l’annonce d’une troisième saison.

De passage à Salut Bonjour ce matin, Émily Bégin a de son côté donné quelques détails sur ce qui nous attend pour la deuxième saison qui est sur le point de clore ses tournages.

« Vous allez adorer la saison deux. Écoutez, Guillaume et moi, on a ri, on a pleuré. Les participants sont tellement généreux ; t’sais, on rentre dans leur vie privée, en thérapie, dans leur maison. Et Louise Sigouin est aussi pertinente chaque fois », a-t-elle dit avec grand enthousiasme.

« On a deux couples hétérosexuels et un couple homosexuel. Je ne veux pas dire trop de punchs parce que je veux vous laisser regarder l’émission, mais vraiment, c’est délicieux! », a-t-elle aussi ajouté.

Elle invite d’ailleurs les gens en recherche d’amour et qui souhaite briser ses « mauvais patterns » amoureux de s’inscrire.

Pour le faire, cliquez ici.

Bonne chance!

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«Si on s’aimait»: Un candidat homosexuel pour la 2e saison?

La première saison de Si on s’aimait, qui a été diffusée sur les ondes de TVA au printemps, a fait couler pas mal d’encre. Entre les flatulences de l’un et les « chochotte » lancés par l’autre, disons qu’on a eu bien de la matière à réagir ou à rigoler, mais qu’on n’a pas eu des coeurs dans les yeux pantoute. C’est qu’aucun couple n’a été formé par cette « expérience » qui met en vedette l’approche de la spécialiste relationnelle Louise Sigouin.

Espérons que Cupidon recevra l’invitation pour participer à la deuxième saison, dans laquelle Émily Bégin et Guillaume Lemay-Thivierge reprendront leur rôle de commentateurs (un rôle qui a par ailleurs été merveilleusement parodié par Marc Labrèche récemment).

Reste à découvrir les futurs participants. En entrevue avec La Semaine, l’animateur survolté a mentionné qu’il pourrait y avoir un candidat ou une candidate homosexuel.le. « Cette année, il y a eu plus de candidatures et il y aura plus de diversité : des gais, différents groupes d’âge, etc. La beauté de la chose, c’est qu’Émily et moi ne connaissons ni les participants ni le contenu. Nous allons tout découvrir en visionnant les tournages. Nos réactions sont spontanées », a-t-il exprimé, sans toutefois faire mention de potentiels participants racisés parmi les candidatures plus diversifiées reçues par la production.

La production était à la recherche cet été d’hommes et de femmes célibataires de 25 à 65 ans, de tous horizons et orientations sexuelles.

Aucune date de diffusion n’a été annoncée pour le moment.

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À VOIR: Marc Labrèche parodie Si on s’aimait

Après une délicieuse parodie des points de presse sur la COVID-19 (que François Legault a particulièrement aimée), Marc Labrèche dévoilait samedi soir un tout nouveau sketch, écorchant cette fois la docu-réalité Si on s’aimait, qui connaîtra d’ailleurs une deuxième saison.

Marc Labrèche s’est transformé en Guillaume Lemay-ThiviergeÉmily Bégin et Louise Sigouin pour ce petit cadeau humoristique dédié aux téléspectateurs de Cette année-là. On retrouve notamment un Guillaume toujours aussi polyvalent, commentant Si on s’aimait tout en faisant du ski, du parachute, de la planche à roulettes et du canot dans son salon. Pour cet épisode se penchant sur l’année 2006, c’est d’ailleurs deux œuvres de cette époque, Bon cop, bad cop et Roméo et Juliette, que le couple d’animateurs commente, alors que la sexologue et autrice aborde ses fameuses cinq dualités.

Ça vaut définitivement le détour!

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«Si on s’aimait» de retour l’an prochain

Le diffuseur TVA a confirmé le retour de la série télé qui attirait près de 685 000 téléspectateurs en moyenne.

En plus des deux animateurs qui forment un couple dans la vraie vie, la sexologue Louise Sigouin reprendra son rôle d’experte en accompagnement relationnel pour cette seconde saison.

Si on s’aimait s’attarde sur les étapes que doivent franchir les célibataires désireux d’être en couple.

Les tournages de la saison 2 se feront de septembre à décembre. Avec la pandémie et la distanciation sociale, l’émission aura à s’adapter et les rapprochements inévitables dans ce genre téléréalité poseront un défi.

Les personnes intéressées à participer à cette seconde édition de Si on s’aimait peuvent soumettre en ce moment leur candidature à l’émission. Les inscriptions sont ouvertes à tous les célibataires de 25 à 65 ans, de toute origine et orientation sexuelle.

Photo : TVA

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«Si on s’aimait»: Les voyages commencent et ça part déjà mal

Cette semaine, les candidats de Si on s’aimait ont fait leurs valises! 

Alors que Jennifer et Rémi partaient explorer la Toscane et que Fanny et Anyck allaient profiter du soleil du Sud, Jonathan et Marie-Ève se sont rendus… au Saguenay pour faire du camping. Ça tombe bien, Marie-Ève n’aime ni le camping ni Jonathan!

Louise Sigouin, la thérapeute de l’émission, a donné des devoirs à chacun des couples pour qu’ils puissent continuer leur « cheminement personnel » (ou pour les permettre de s’endurer sans s’égorger, c’est selon). Ainsi, Jennifer a reçu comme défi de nommer les bienfaits de son voyage avec Rémi, qu’elle est contente d’avoir choisi pour ce séjour à Florence. Ce dernier doit de son côté dire ce qui lui plaît de la présence de sa partenaire, avec qui il pense former une belle équipe malgré l’absence d’intimité. Du côté de Marie-Ève et Jonathan, c’est elle qui doit prendre en charge l’organisation du budget et des activités, tandis qu’il doit se libérer de sa prise en charge et apprendre le laisser-aller. Quant à Fanny et Anyck, une dispute a éclaté avant qu’ils n’aient le temps d’ouvrir les fameuses enveloppes que Louise leur a laissées.

C’est bien beau ces instructions, mais ça n’a pas empêché que l’arrivée à destination et même les jours qui ont précédé le voyage ne se sont pas déroulés sans anicroche pour tout le monde. Durant un souper avec des amis, Marie-Ève a répété à trois reprises au sujet de sa relation que « c’est resté au même stade »; rien ne va plus dans son « couple », au point où mettre en mots son écoeurantite ne doit pas être évident, la pauvre. Jonathan en a profité pour jaser avec l’amie de sa partenaire, qui lui a un peu mis au visage ce qui est perçu comme un côté un peu cheapette. Ce n’est ni la première fois qu’on le dit ni la dernière : il n’y a plus rien à sauver entre ces deux-là. Courez!

Chez Jennifer et Rémi, ça va comme ça peut aller entre deux amis qui s’entendent bien, mais qui étaient à la base à la recherche de quelqu’un avec qui partager leur vie. Louise Sigouin semble être autant obsédée par le rapport à la sexualité de Rémi que Rémi est obsédé par la sexualité. À l’opposé, la veuve est moyennement à l’aise dans ces conversations, qui vont jusqu’à porter sur le niveau de sensualité des épaules féminines. Au moins, ils sont bien partis pour profiter de leur séjour, durant lequel Jennifer a aussi finalement brûlé la lettre qu’elle avait écrite à son défunt mari il y a déjà plusieurs semaines. Bonne chose de faite.

C’est loin d’être aussi blanc ou noir entre Fanny et Anyck, qui ont bel et bien eu des rapprochements selon la fille de cette dernière. Pas si platonique que ça leur relation, finalement! Mais s’ils ont surmonté leur chicane de la semaine dernière, ils se sont rapidement retrouvés dans une nouvelle querelle. Alors que lui aurait aimé statuer leur relation une fois pour toutes, elle préférait voir où ils en sont durant le voyage. Quelque chose semblait brisé entre eux et c’est une petite tempête tropicale qui s’est abattue sur le couple durant leur première soirée dans le Sud. Après une dispute, ils ont soupé en tête-à-tête et le malaise était palpable : Anyck était incapable de nier ce qui venait d’arriver, précisant que son problème n’était pas avec l’ensemble de la relation, mais bien avec le moment présent. La réaction de Fanny à cette confrontation a été de partir, ce qui n’a probablement pas amélioré la situation. S’enfuir au moindre pépin, comme si c’était tout ou rien, est bien contraire aux enseignements de Louise, pourtant!

On a tout de même bon espoir que ces deux-là réussissent à se rafistoler encore une fois, comme Émily Bégin a confirmé qu’un des trois couples est toujours ensemble à ce jour, un an après la fin des tournages. S’il est assez évident que ce n’est pas celui de Jonathan et Marie-Ève et qu’il serait on ne peut plus surprenant de découvrir qu’il s’agit de celui de Jennifer et Rémi, il n’est pas trop difficile de deviner quels amoureux elle a en tête…

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«Si on s’aimait»: Jennifer nous fait languir avant de changer de partenaire

On attendait cette rupture pratiquement depuis le premier épisode de Si on s’aimait, le nouveau docu-réalité de TVA. Le match entre Jennifer et Mike venait tout droit de Satan. Le supplice est finalement fini, pour eux comme pour les téléspectateurs, puisque la paire s’est ENFIN séparée dans l’épisode de lundi. Ciao, bye, débarrassés. La jeune cinquantenaire peut maintenant poursuivre son histoire d’amour avec Casper, son chien avec qui elle fait des appels vidéo en travaillant.

On a donc dit adieu à Mike, qui a officiellement quitté l’émission, mais pas sa recherche de la perle rare (avis aux intéressées!). De son côté, Jennifer a apparemment encore quelques croûtes à manger avant de se relancer dans sa quête amoureuse et la première étape était une séance de magasinage entre copines sur l’avenue Laurier Ouest (ka-shing!). Peut-être est-ce l’achat de luxueux sous-vêtements sensuels ou bien sa libération après avoir flushé son partenaire, mais le fait est qu’elle s’est lancée dans une série de confidences étonnantes même pour ses amies proches. La veuve n’a pas perdu que son mari, mais aussi un autre amoureux alors qu’elle n’avait que 20 ans. Crise d’asthme, le coeur a lâché, mort à 27 ans. « Je méritais pas d’être aimée »; c’est ça, sa conclusion suite à ces deux deuils.

Après avoir découvert cet autre fragment de l’histoire de Jennifer, Louise Sigouin, la sexologue de l’émission, lui a proposé dans le troisième et dernier épisode de la semaine d’écrire une lettre à son défunt mari (un des quatre Paul qu’elle a fréquenté avant de faire une écoeurantite du prénom). Pour la spécialiste des relations interpersonnelles, il est « impossible » pour Jennifer de trouver l’amour, même si l’homme de ses rêves était à deux pouces de sa face, tant qu’elle n’aura pas retiré un à un ses multiples barrages. Attitude défaitiste? Pas mal. Mais à voir comment la principale intéressée est farouche, ce n’est pas si fou que ça.

Tout de même, on espère que la célibataire trouve son deuxième partenaire dès la semaine prochaine. Après tout, c’est pour ça qu’on suit son parcours, pas pour la voir jouer avec pitou. On nous a amplement laissés languir dans les derniers épisodes, on a donc franchement hâte que la machine reparte. Amenez-en, des nouvelles dualités!

Pour Fanny et Anyck, l’homme au prénom étonnant, ce sont les premiers bisous qui se font attendre. Oui, il trouve qu’elle parle « comme un truckeur » et oui, leur niveau d’énergie et leur débit de parole sont seulement les mêmes quand le coach de football est en boisson, mais leur chimie avec les enfants de l’autre est belle à voir et, surtout, Fanny a su répondre à une question d’Anyck que personne n’a comprise à part elle (« Est-ce que tu penses plus que deux personnes qui s’unissent forment un couple ou que deux personnes entières qui s’unissent créent un couple? »). À défaut d’être de l’amour, c’est au moins signe qu’ils sont (un peu) sur la même longueur d’onde.

C’est aussi le cas pour Jonathan et Marie-Ève, qui, malgré qu’ils considèrent tous les deux que leurs discussions et leur relation ne vont pas en profondeur, sont convaincus qu’ils veulent poursuivre l’aventure ensemble pour continuer d’explorer leur couple. Tant qu’ils ne mangent plus jamais un gâteau dans le bain, ça nous va, parce que cette scène était aussi répugnante que la chambre à thématique aquatique dans l’auberge où ils ont passé leur séjour en amoureux. C’est pas peu dire. Par ailleurs, Marie-Ève s’est ouverte sur son enfance marquée par l’intimidation, ce qui a permis de mieux comprendre sa timidité. À voir si Jonathan saura la faire sortir de sa coquille.

Le couple le plus solide de Si on s’aimait, c’est bien sûr celui des commentateurs, Émily Bégin et Guillaume Lemay-Thivierge, qui deviennent de plus en plus drôles et naturels dans leur rôle au fil des épisodes. Mais quand le comédien dit à la blague que le pain est sec en avalant un grissini, on a juste envie de demander à Louise Sigouin quelle dualité elle observe ici. La bouffe italienne versus le reste du monde, peut-être?

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«Si on s’aimait»: Jennifer changera-t-elle de partenaire?

Nouvelle semaine, nouveaux épisodes de Si on s’aimait qui sont tous disponibles depuis lundi soir sur le site de TVA et nouveaux bouts de route dans le « cheminement personnel » des candidats! 

Évidemment, si vous n’avez pas déjà tout vu et que vous voulez vous garder des surprises, on vous conseille de changer d’article, puisqu’on déballe tout ici comme dans une séance avec la sexologue de l’émission, Louise Sigouin.

Pour Jonathan et Marie-Ève, tout continue d’aller comme sur des roulettes et ça devient un peu ennuyant sur les bords. Une petite visite chez la voyante pour se faire tirer au tarot et évidemment mutuellement se voir dans les cartes, un séjour à l’auberge avec bouquet de fleurs en sus ainsi qu’une discussion sur les amis qui nous fait entendre dans notre tête la voix de Louise faisant un commentaire sur le côté contrôlant de Jonathan résument assez bien la semaine. Il faudrait que Marie-Ève apprenne à sortir de sa coquille un petit peu, mais on doit avouer qu’on dit plus ça pour avoir un meilleur show que pour son épanouissement personnel. C’est qu’elle est très timide, au point où on sent parfois que sa relation évoluerait pas mal plus vite et sainement sans la pression des caméras.

Du côté de Fanny et Anyck (oui, oui, c’est son nom et c’est un homme blanc cisgenre), leur relation est allée en s’améliorant tout au long de la semaine. Elle semblait au départ plus intéressée que lui, qui la trouvait plutôt intense dans ses questions et ses nombreuses références à son passé amoureux difficile, en plus du fait qu’elle manquait d’écoute pour qu’il se confie lui-même de la même manière. Mais ça a vite évolué autour d’un repas thaï, alors qu’Anyck s’est permis d’imiter un accent asiatique qui nous a donné envie de nous cacher dans l’sofa. Enfin, il s’est ouvert à son tour et ils ont eu un vrai moment de complicité, basé en partie sur leur enfance pas toujours rose. Par contre, c’est assez clair qu’un long appel avec son ex quand on est avec sa nouvelle date, c’est à proscrire.

Un autre qui s’est ouvert sur son enfance cette semaine, c’est Mike, qui a confié à Louise Sigouin que, lorsqu’il n’avait que sept ans, il a perdu son frère aîné d’une tumeur au cerveau. Ensemble, ils ont conclu que c’est probablement ce tragique deuil qui l’a poussé à devenir le perpétuel clown qu’il est aujourd’hui, comme une manière de mettre de la joie même là où il n’y en a pas.

Mais ces confidences ne changent en rien le fait que Jennifer et lui, ça fait deux. Il en est même venu à nier avoir eu initialement une attirance pour elle… Pousse, mais pousse égal, mon Mike! C’est évident que tous les deux, et l’ensemble des téléspectateurs, n’en peuvent plus de leurs mises au point quotidiennes. Au moins, un peu de bon est sorti de leur temps passé ensemble : Jennifer a commencé à comprendre des choses sur elle. On a pu apercevoir à quel point elle idéalise Paul, son mari décédé il y a 21 ans, qu’elle met sur un piédestal même en avouant qu’il avait tendance à avoir des comportements abusifs en consommant de l’alcool. Ouch.

Elle réalise tranquillement qu’elle ne risque pas de donner sa chance au coureur tant qu’elle compare tous les hommes avec son défunt époux, dont elle oublie facilement les moins bons côtés (qui sont certainement à ses yeux bien moins nombreux que ceux de Mike). Mais en même temps, elle garde la porte ouverte à faire entrer quelqu’un de nouveau dans sa vie (qui ne risque pas d’être Mike). En effet, avec ses amies, elle a avoué qu’elle avait un intérêt pour un autre célibataire rencontré lors du speed dating du premier épisode (tant que ce n’est pas Mike). Rémi, qu’elle trouve « plus intellectuel », « plus posé » et avec « l’air très mature », lui est visiblement tombé dans l’oeil (contrairement à Mike). Reste à voir si elle changera de partenaire, un peu comme l’avait fait Fanny après le départ précipité de Jean-Philippe. (Mais s’il vous plaît, Seigneur, faites qu’elle cesse de voir Mike parce qu’on n’en peut plus.)

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«Si on s’aimait » : Il faut qu’on parle de Jennifer et Mike

On va vous faire une confidence : avant de voir les premiers épisodes de Si on s’aimait, on s’attendait à ce que la nouveauté de TVA soit très ordinaire. Repoussée à deux reprises pour peaufiner le concept, ça sentait fort le raté. Mais on doit avouer qu’on est vite devenus accros à cette téléréalité déguisée en documentaire, qui suit des célibataires qui cherchent à se défaire de leurs patterns amoureux. Diantre que c’est captivant d’épier des inconnus à la recherche de l’amour, surtout quand ça ne fonctionne pas du premier coup!

La troisième semaine de l’émission, qui a commencé lundi soir et qui est disponible intégralement sur le site du diffuseur, permet de voir que la relation entre Jonathan et Marie-Ève évolue dans la bonne direction. Il lui a même écrit une lettre d’amour dans laquelle il fait une autre de ses blagues un peu malaisantes, mais bien intentionnées, qui sont en train de devenir sa marque de commerce. Du côté de Fanny, qui s’est fait sacrer là par Jean-Philippe la semaine dernière, on rencontre son nouveau Jules, avec qui la chimie est vraiment plus au rendez-vous qu’avec l’obsédé des foulards. Mais pour Jennifer et Mike, on assiste à un déraillement de train interminable dont on ne peut détacher notre regard, même si on a parfois envie de crier à l’aide pour les libérer l’un de l’autre.

On vous prévient, on se permet quelques spoilers dans les lignes qui vont suivre. C’est que cette semaine est assez déterminante pour le duo, qui est visiblement rendu incapable de s’endurer plus longtemps. Dès l’épisode de lundi, Mike avoue à Louise Sigouin, la sexologue de l’émission qui déballe toujours un peu plus sa théorie plus ou moins convaincante des cinq dualités, que son intérêt pour la célibataire de 50 ans est de 0 sur 10. S’ils manquent mutuellement autant d’envie d’apprendre à se connaître, pourquoi continuent-ils? Sont-ils là pour leur moment de gloire à la télé? Pour passer le temps? Personne ne les force à jardiner ensemble ou faire une partie de baseball s’ils haïssent ça à ce point-là, parbleu!

C’est dur de ne pas se poser ces questions en les regardant aller. Le malaise entre eux atteint dans l’épisode de mardi un point tel que Jennifer est physiquement écoeurée de passer du temps avec lui. À l’opposé, Mike tente toujours de faire des efforts en s’avouant maladroit, mais continue dans la même direction en invitant ses amis à leur soirée billard qui tourne vite à la catastrophe. Pour comprendre pourquoi ils ne lâchent pas le morceau, il faut se rappeler que Si on s’aimait est d’abord et avant tout un « cheminement personnel », pas un dating show.

Ainsi, dans le dernier épisode de la semaine, Mike et Jennifer finissent par faire le point, après avoir chacun appelé Louise Sigouin pour obtenir quelques conseils. Convaincus qu’ils doivent poursuivre l’expérience pour en apprendre davantage sur eux-mêmes, ils se vident finalement le coeur dans une discussion qui commence à peu près aussi bien que leur relation, c’est-à-dire très mal. Pour vous donner une idée, avant même qu’il ne commence à s’exprimer, Jennifer se sent agressée. Quand ça va pas ben, ça va pas ben. Mike lui explique finalement qu’il a l’impression qu’ils ont commencé leur fréquentation en étant tous les deux sur la défensive, créant à la base une dynamique désagréable entre eux, malgré les efforts qu’il sent qu’il fait de son côté. « T’es obviously un trigger pour moi et moi aussi je suis un trigger pour toi », analyse la très bilingue Jennifer, qui est sortie de la conversation sans être certaine que son prétendant-pas-si-intéressé ait compris son point. « Je ressentais comme si t’aurais préféré te pitcher devant un autobus que d’être avec moi », rétorque ce dernier, assez satisfait de la conversation pour avoir « dormi comme une roche » cette nuit-là.

Il faudra donc voir la semaine prochaine si l’argument du « cheminement personnel » sera suffisant pour continuer d’essayer de mélanger l’eau et le vinaigre comme ça. Mais ne peut-on pas cheminer aussi en s’avouant vaincu une fois de temps en temps?

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«Si on s’aimait» : Un candidat quitte déjà l’aventure

Après avoir vu les épisodes de la première semaine de Si on s’aimait, on avait catégorisé les trois célibataires à la vitesse de Louise Sigouin, la sexologue de l’émission. On avait étiqueté Jonathan comme le sympathique gaillard qui fait des blagounettes et s’obstine sur son fromage, Jennifer comme la célibataire aguerrie qui ne se laisse pas séduire par le premier venu et Jean-Philippe comme un homme difficile et limite prétentieux.

Durant la deuxième semaine du docu-réalité, on a été plutôt confortés dans notre vision des deux premiers candidats, mais le troisième nous a montré une autre facette de lui. À demi-mot, il a expliqué que sa relation de 17 ans avec la mère de ses enfants avait été tourmentée dès le départ et que leur rupture était due à la goutte qui avait fait déborder la piscine de sa patience, une goutte suffisamment majeure pour qu’il soit seul responsable de la garde de leurs trois enfants, aujourd’hui ados. Tout d’un coup, on a davantage compris comment ça peut être difficile pour lui de laisser entrer quelqu’un de nouveau dans sa vie, même si nos premières impressions de lui n’ont pas complètement pris le bord.

On n’en saura cependant pas davantage sur le passé de Jean-Philippe puisque, dans le dernier épisode de la semaine – présenté mercredi soir sur les ondes de TVA, mais déjà disponible sur le site de la chaîne -, il a annoncé se retirer de l’émission. Il a fait d’abord part de sa décision à Fanny, celle qu’il avait choisie après la séance de speed dating du premier épisode de la saison : « Je trouve qu’on semble être de bons amis, mais j’ai l’impression qu’il n’y a rien qui va plus loin. […] Je me sens bien, c’est l’fun, on a fait plein d’affaires, mais j’ai l’impression qu’on dirait qu’il y a un petit quelque chose qui accroche pour que ça aille davantage plus loin. »

Jean-Philippe a expliqué qu’il ne se voyait pas passer aux prochaines étapes de l’émission, notamment la cohabitation, en n’étant pas dans une relation qu’il pouvait imaginer en train d’évoluer. Vivant à temps plein avec ses trois enfants, il a indiqué que ce n’est pas dans ses valeurs de partager sa maison avec sa famille et une nouvelle idylle sans croire que c’est pour former un couple.

Le célibataire aurait pu poursuivre l’aventure en sélectionnant une autre des prétendantes rencontrées durant le 5 à 7 de début de saison, mais il a choisi de ne pas le faire par manque d’intérêt amoureux envers elles, ce qui a offert à Fanny la chance de prendre sa place et de trouver son match parfait. On peut difficilement lui reprocher d’agir avec conviction, mais sa décision a tout de même fait quelques vagues dans cette dernière demi-heure, notamment parce que Louise Sigouin l’a confronté.

En effet, toujours aussi direct, Jean-Philippe a avoué à la sexologue que, bien qu’il trouvait Fanny jolie, elle ne le faisait pas « bander » (désolé Fanny, on ne fait que répéter!). Si, pour le commun des mortels, cette absence d’attirance est bien suffisante pour mettre fin à une relation qui n’a même pas encore pu commencer, ça n’était pas nécessairement une raison valable pour Louise Sigouin, qui a fait pas mal de rentre-dedans. « Cette femme-là, à laquelle t’aspires, t’es convaincu qu’elle existe? », a-t-elle même dit, comme pour le persuader qu’il devait changer ses standards. Un peu lourd, d’un bord comme de l’autre, cette discussion…

De leur côté, les animateurs-commentateurs de l’émission ont eu de vives réactions (assez stagées, ceci dit). « Si y’a pas eu de papillons pour personne, c’est normal qu’il ait le goût de se retirer », a lancé Guillaume Lemay-Thivierge avant qu’Émily Bégin ne rétorque que « c’est ça le but, c’est une expérience de cheminement personnel ».

Mais voyons, grands dieux! Laissons donc JP cheminer personnellement et sans caméras dans sa recherche de celle qui lui donnera une érection!