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Dans les coulisses

Pierre Gervais s’est mérité une bouteille de vin de Sidney Crosby

Pierre Gervais a officiellement pris sa retraite après la saison 2021-22 du Canadien. L’ancien responsable d’équipement de l’équipe a marqué l’esprit de plusieurs joueurs du Tricolore, mais son influence irait encore plus loin.

C’est du moins ce qu’on peut constater en apprenant que Sidney Crosby lui a offert une bonne bouteille de vin lors du dernier match de Gervais contre les Penguins de Pittsburgh.

Gervais a dévoilé cette petite anecdote au micro de l’émission de Mario Langlois au 98,5 Sports.

Et pourquoi Sidney Crosby a-t-il fait une chose pareille? Par pure gentillesse? Non!

Le légendaire auteur du Golden Goal de 2010 a côtoyé Pierre Gervais aux Jeux olympiques de Vancouver, en 2010, ainsi que ceux de Sotchi, en 2014. Ensemble, les deux hommes ont remporté la médaille d’or à chaque fois.

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Crosby doit surtout remercier Gervais pour l’attention spéciale que le gérant d’équipement offrait à ses patins. Le numéro 87 veut que ses patins soit aiguisés entre chaque période. Alors quand ses patins étaient bien aiguisés en marquant le but vainqueur contre Ryan Miller, en prolongation de la finale en 2010, il devait remercier Gervais.

Sidney Crosby connait peut-être une carrière digne d’une légende du hockey, mais il compte quand même une médaille d’or en moins que le fameux Pierre Gervais, qui en a trois grâce à sa victoire au JO de Salt Lake City en 2002.

Mais bon, on s’entend qu’une bouteille de vin, c’est un petit peu moins gros que le VTT qu’il a reçu des Canadiens.

Ça reste néanmoins une belle attention de la part de Sidney Crosby, d’une légende à une autre.

En rafale

– Le fils de Tiger est une machine.

– Six ans déjà!

– Ça avance vite.

– Un vrai amateur de sport.

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Habsolument Fan

Importante déclaration de Mathias Brunet concernant le futur de Sidney Crosby dans la LNH

Alors que les séries éliminatoires battent leur plein à travers la LNH, plusieurs équipes du circuit Bettman sont déjà en vacances depuis quelques temps. 

C’est d’ailleurs le cas des Penguins de Pittsburgh qui ont malheureusement raté le bal printanier par seulement deux maigres points.

Or, alors que l’heure est au bilan, personne ne s’entend sur les mouvements qui devront être faits durant la saison morte chez les Penguins.

Avec un noyau de joueurs vieillissants, les dirigeants devront analyser la situation afin de prendre les meilleures décisions possibles pour le futur de la franchise.

Avec des joueurs comme Sidney Crosby, Evgeni Malkin et Kristopher Letang qui auront respectivement 36, 37 et 36 ans au début de la prochaine campagne, l’équipe décidera-t-elle de conserver leurs trois vedettes des dernières années ou prendra-t-elle la difficile décision d’en transiger un ou deux?

Questionné à ce propos dans le cadre de sa chronique quotidienne au BPM Sports, le journaliste sportif, Mathias Brunet, s’est prononcé sur le sujet.

Selon lui, malgré le fait qu’il croit que les Penguins ont manqué le bateau en décidant de conserver Crosby trop longtemps, il serait important que l’équipe le transige dès que possible.

« Oui, à ce stade-ci, à la place des Penguins, j’échangerais Sidney Crosby… »

– Mathias Brunet, BPM Sports

Toujours selon lui, les succès de Pittsburgh dans les dernières années ont essentiellement reposé sur la reconstruction. Malgré l’époque plus lointaine, c’est en raison des quatre années consécutives où les Penguins ont terminé au 26e rang ou pire, que le coeur de l’équipe s’est construit. 

Avec les départs des Jaromir Jagr, Alexei Kovalev, Robert Lang, Martin Straka et Darius Kasparaitis, la franchise a connu des moments plus sombres, mais c’est grâce à ces derniers qu’elle a pu renaître de ses cendres au milieu des années 2000. 

C’est donc pour cette raison que les Penguins devraient transiger Sidney Crosby, au minimum. C’est d’ailleurs la même chose pour les Capitals de Washington qui devront commencer à penser à l’après Alex Ovechkin!

Vous pouvez entendre l’extrait audio complet en cliquant sur le lien ci-dessus ou en cliquant ICI.

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Dans les coulisses

Les Penguins devraient échanger Sidney Crosby

Les Penguins de Pittsburgh n’ont pas connu la saison souhaitée. Après la saison 2021-22, ils avaient l’occasion de se départir des gros morceaux comme Evgeni Malkin et Kristopher Letang, mais ils ont décidé de leur offrir un nouveau contrat les gardant dans l’équipe jusqu’en 2026 et 2028 respectivement.

Sidney Crosby, lui, possède toujours un contrat de 12 ans qu’il a signé en 2012. Les Penguins auraient dû l’échanger avant la présente saison. Mathias Brunet de La Presse a expliqué sur les ondes de BPM Sports qu’il est temps de passer à autre chose pour Pittsburgh.

(Crédit: BPM Sports)

«Oui, à la place des Penguins, j’échangerais Sidney Crosby.» – Mathias Brunet via BPM Sports

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Ce n’est pas fou du tout, surtout si on considère que les Penguins ont raté les séries pour la première fois depuis 2006. Il y a beaucoup de compétition dans l’Est et ils ont besoin d’en profiter pour reconstruire. Même s’ils essaient de faire les séries, c’est une mission presque impossible. Et même s’ils réussissent, ils ne passeront probablement pas le premier tour face à des formations de la trempe de Boston, New York, New Jersey ou la Caroline.

Ils doivent maintenant se débarrasser de leurs gros joueurs pendant qu’ils ont encore de la valeur. Sidney Crosby est encore considéré comme un des meilleurs (si ce n’est pas le meilleur) joueurs de la LNH dans les deux sens de la patinoire. Il a encore un gros impact, il ne coûte pas cher (8,7 millions $) et son contrat vient à échéance dans deux ans.

L’idée de garder Crosby a Pittsburgh pour l’image est bien, mais il ne faut pas oublier que c’est ce que les Balckhawks ont fait avec Patrick Kane et Jonathan Toews et ça ne s’est pas très bien terminé.

Crosby et Letang ont 35 ans et Malkin en a 36. Ils doivent absolument les échanger maintenant, avant que leur valeur ne baisse en flèche. Croyez moi, tous ces joueurs peuvent encore avoir un immense impact sur une équipe qui vise la Coupe Stanley. Ils ne pourront toutefois plus le faire à Pittsburgh.

Malkin a inscrit 83 points en 82 matchs cette saison. Il est en santé, il produit et il ne coûte pas si cher (6,1 millions $). Il devrait être alléchant pour plusieurs équipes. Même chose pour Letang et Crosby qui ne semblent pas ralentir.

C’est triste à dire, mais c’est l’heure pour les Penguins de Pittsburgh de tourner la page sur ces belles années et recommencer à neuf.

En rafale

– Les Canadiens pourraient le repêcher cette année.

– Un très beau moment.

– Xavier Simoneau est prêt à revenir plus fort.

– On a presque assisté à une défaite du Canada contre la Slovaquie.

– Une bonne dégelée.

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Habsolument Fan

Sidney Crosby s’ouvre concernant son avenir avec les Penguins

SI

Après une fin de saison désastreuse, les Penguins n’ont pas réussi à prolonger leur séquence incroyable de 16 apparitions consécutives dans les séries éliminatoires.

L’organisation n’a pas perdu de temps à faire un grand ménage avec trois congédiements majeurs vendredi dernier.

Maintenant qu’il a manqué le tournoi printanier pour la deuxième fois depuis sa saison recrue, Sidney Crosby s’est fait demander s’il aimerait quand même finir sa carrière avec le club qui l’a repêché en 2005.

« J’en serais ravi. C’est le cas depuis le premier jour. Je me considère très chanceux d’avoir été repêché ici. J’ai des bons souvenirs. J’ai eu la chance de jouer avec deux coéquipiers en particulier pendant longtemps, donc j’aimerais certainement rester »   

Sidney Crosby

Le capitaine paraît très loyal envers Pittsburgh et ses coéquipiers, et il ne semble pas vouloir quitter l’organisation pour essayer de remporter une autre Coupe Stanley.

Il sera intéressant de voir l’approche des nouveaux dirigeants du club, qui devront décider s’ils entament une reconstruction totale ou s’ils tenteront d’entourer leur noyau pour continuer de se battre pour une place en séries éliminatoires.

Dans tous les cas, Sid the Kid n’a pas l’intention d’aller ailleurs.

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Habsolument Fan

Emil Heinemen avoue s’inspirer de deux grands joueurs dans son jeu

NHL Rocket de Laval

Le 14 février 2022, Kent Hughes réalisait une importante transaction en envoyant l’attaquant Tyler Toffoli aux Flames de Calgary.

En retour, le Canadien obtenait Tyler Pitlick, l’espoir Emil Heineman, un choix de 1re ronde en 2022 (devenu Filip Mesar) ainsi qu’un choix de 5e ronde en 2023. 

Si Tyler Pitlick n’a finalement disputé que 14 matchs à Montréal, récoltant 3 points, c’est plutôt Heineman et Mesar qui s’avèrent les éléments clés de cet échange. 

Ce dernier continue son apprentissage dans la OHL dans l’uniforme des Rangers de Kitchener. Il a terminé avec 17 buts ainsi que 51 points en 52 matchs à sa première année de l’autre côté du continent. 

Emil Heineman s’est récemment amené avec le Rocket de Laval dans la LAH et il offre des performances hallucinantes. 

En 9 rencontres, il totalise 7 buts ainsi que 9 points. Un départ incroyable qui enflamme de nombreux fans du Canadien ! 

Sur les ondes de BPM Sports, Heineman a livré une entrevue fort intéressante. 

Dans celle-ci, il avoue s’inspirer de deux grands joueurs en particulier dans son jeu : Peter Forsberg et Sidney Crosby.

Il s’agit assurément de deux excellentes influences ! 

Cliquez sur le lien plus bas pour écouter cette excellente entrevue en entier : 

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Hollywood PQ

Mathieu Baron et Paul Houde à la barre d’un documentaire audio sur Sidney Crosby

@sidcrosby1987

Sidney Crosby lance un tout nouveau documentaire audio en collaboration avec Audible, intitulé Sidney Crosby : l’année recrue.

Ayant récemment inscrit son 500e but en carrière dans la Ligue nationale de hockey (LNH), Sidney Crosby vous donne accès à des détails inédits, jamais révélés auparavant au sujet de son ascension vers la gloire. Le documentaire mettra en lumière les premières années de carrière du célèbre joueur de hockey.

« Sidney Crosby : l’année recrue présente des faits réels divulgués par Sidney lui-même »

« Sidney Crosby : l’année recrue présente des faits réels divulgués par Sidney lui-même, comme sa déception de n’avoir été repêché par Montréal lors du repêchage de 2005. Les auditeurs ont également un accès illimité aux personnes les plus proches de ce talentueux joueur d’hockey, notamment ses parents, Trina et Troy Crosby ; son idole d’enfance, ami et collègue, Mario Lemieux ; des joueurs prolifiques de la LNH, dont Ryan Whitney, Colby Armstrong et Eddie Olczyk, le méga-agent Pat Brisson et bien d’autres », pouvait-on lire dans un communiqué.

D’autant plus, le commentateur sportif Paul Houde et l’acteur Mathieu Baron offriront un point de vue rare et personnel sur la vie et la carrière du joueur de hockey. Puis, c’est dans la version en français que le comédien prêtera sa voix à Crosby.

« Des anecdotes personnelles donneront aux auditeurs un aperçu de l’esprit de Crosby lors des moments les plus marquants de sa carrière. À propos de cette année bien particulière, Crosby déclare notamment « C’est difficile comme recrue d’arriver avec ce genre d’attentes-là […]. Je jouais avec des gars comme Mario [Lemieux], Mark Recchi et John LeClaire […], qui avaient accompli tellement de choses dans leur carrière, qui jouaient depuis très longtemps, puis le petit jeune arrive, il n’a jamais joué de match [dans la LNH], il a plein d’attention, tout le tapage médiatique. Mais je comprenais que c’était comme ça que ça se passait, que ça venait avec » ». 

Pour écouter le documentaire audio, c’est juste ici!

En parlant de hockey, rappelons que Carey Price a fait preuve d’immense courage en octobre dernier. En effet, le gardien de bût a partagé un message à propos de ses problèmes de consommation sur sa page Instagram : « Au cours des dernières années, je me suis laissé sombrer dans un état de noirceur, dont il m’est devenu impossible de sortir sans aide. Le mois dernier, j’ai pris la décision d’intégrer un centre de traitement pour usage de substances. Les choses avaient atteint un point où j’ai réalisé que je devais prioriser ma santé, tant pour moi-même que pour ma famille. Nous encourageons nos enfants à demander de l’aide quand ils en ont besoin, et c’était ce que je devais faire ».

« Je travaille présentement à rétablir ma propre santé mentale après plusieurs années à la négliger, ce qui prendra évidemment du temps. Tout ce que je peux faire, c’est d’y aller un jour à la fois. Par conséquent, ma date de retour au jeu demeure incertaine ».

« J’apprécie grandement tout l’appui et les voeux de rétablissement que je reçois. Je demande aux médias et à la communauté hockey de continuer à respecter notre vie privée. Votre soutien et votre respect demeurent des pièces maîtresses essentielles à mon rétablissement », a-t-il conclu.

Et vous, allez-vous écouter Sidney Crosby : l’année recrue?

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Sport

Sidney Crosby de retour

Dans les coulisses

Sidney Crosby a quitté le match intra-équipe des Penguins avant la fin de celui-ci samedi dernier. Il n’a pas patiné le lendemain.

Deux jours plus tard, on apprenait que son absence n’était pas en lien avec la COVID-19 et que le #87 des Penguins souffrait d’une blessure très mineure. On souhaitait simplement éviter de voir cette petite douleur se développer en une vraie blessure (à l’aine?) chez le Penguins.

La présence de Crosby face au CH n’a jamais vraiment été questionnée de façon sérieuse à Pittsburgh.

Ce matin, Sidney Crosby a chaussé les patins pour la première fois depuis qu’il a quitté l’entraînement samedi. Il l’a fait en solitaire avant les réguliers, mais il a tout de même patiné.

On s’attend à Pittsburgh à voir Crosby rejoindre le groupe régulier avant le départ de l’équipe pour Toronto.

Bonne nouvelle pour les fans des Penguins… moins bonne pour ceux du Canadien. Quoi que plusieurs Québécois(es) rêvent davantage à Alexis Lafrenière qu’à des victoires face aux Penguins présentement.

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Au grand plaisir de Sidney Crosby, les Penguins honoreront la langue française

Dans les coulisses

Comme vous le savez sans doute, Sidney Crosby parle français. Le natif des Maritimes a passé sa jeunesse à parler en anglais, mais il a appris la langue du Québec lors de son passage marqué du côté de Rimouski, de 2003 à 2005. Là-bas, il est devenu bilingue à force d’être entouré de francophones.

C’est ce qui fait en sorte qu’encore aujourd’hui, Crosby est en mesure de comprendre le français. Il le pratique moins depuis que son bon ami Marc-André Fleury est parti à Vegas, maisil n’en demeure pas moins qu’il est encore exposé à la langue. Comment? Quand Kris Letang parle au téléphone proche de lui, par exemple.

Tout ça pour dire que celui qui a habité chez Mario Lemieux à ses débuts à Pittsburgh est, par la force des chose, attaché à la langue. Voilà pourquoi il est heureux de voir que les Penguins organiseront une « soirée de la langue française » demain soir, en marge du duel face au Canadien de Montréal.

Au menu? Hymne national en français et Maxime Talbot qui annoncera les infractions dans la langue de Molière.

Il s’agit d’une belle manière d’honorer une langue qui a été importante chez les Penguins – pensons à Mario Lemieux – au cours de son histoire. Sidney Crosby se dit d’ailleurs heureux de l’initative.

Je suis certains qu’ils [les partisans] vont apprécier. L’organisation aura sans doute des surprises avec tout ça. Le fait qu’on joue contre Montréal rend ça spécial. – Crosby

Voyons voir ce que l’organisation réserve à ses partisans sur celle-là. Il ne faut toutefois pas s’attendre à voir Crosby parler publiquement en français, lui qui ne le fait plus depuis ses années junior.

En rafale

– Êtes-vous en mesure de répondre?

– Ah oui?

– Ça, c’est clair.

– J’aurais fait pareil.

– Quelques rumeurs au menu.

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Une autre preuve de la classe de Sidney Crosby

Certaines personnes n’aiment pas Sidney Crosby, parfois sans aucune raison valable, mais suis-je qui pour critiquer les goûts de ces individus? Sans être un fanatique finit du Kid, il n’en demeure pas moins que mon niveau de respect envers lui est très élevé, surtout avec les choses que je sais à son sujet. Par exemple, il a déjà chaussé les patins sur une patinoire extérieure pour jouer avec des kids. Ça, il l’a fait lorsqu’il évoluait au niveau junior. Sans omettre qu’à la suite d’une cuisante défaite, lors de son séjour avec l’Océanic de Rimouski, il prenait la peine de contacter tous ses coéquipiers.

Oui, oui. Lorsqu’il revenait chez sa pension, après un revers gênant, il prenait son téléphone afin de rejoindre ses coéquipiers pour s’assurer qu’il flush ce match pour penser au suivant. Pour que toute l’équipe se prépare convenablement. Crosby, c’est ça. Pendant ce temps-là, certains individus le méprisaient parce qu’il est le type de joueur à souvent se plaindre à l’arbitre, donc ça devenait dérangeant.

Mais, peu importe, le numéro 87 demeure une personne unique et singulière.  Une autre preuve a fait surface hier, lorsque Gord Miller a livré une information touchante réalisée par Sidney Crosby en 2016. Pendant cette saison estivale, Sidney Crosby était dans son patelin, la coupe entre les mains, et il s’est présenté à l’hôpital de Cole Harbour. À la suite de cette visite, Crosby a demandé à Miller à quel endroit il pourrait se diriger pour exhaler la coupe Stanley. Miller lui a suggéré un hôpital des vétérans.

Une fois sur place, un homme a aussitôt indiqué à Crosby que c’était dommage que Joe n’y soit pas. Aussitôt, Crosby s’est demandé qui était ce « Joe »… l’homme en question lui a précisé que Joe demeurait dans sa chambre puisqu’il était aveugle. Sid the Kid s’est rendu dans la chambre de Joe, il a dialogué avec lui et l’homme lui a confié être un fanatique du Canadien et de Maurice Richard.

L’idée de Crosby à ce moment-là : prendre le doigt du monsieur et le glisser sur le nom de Maurice Richard, gravé sur la coupe Stanley. Sidney Crosby, c’est ça. Un grand humain qui sait prendre soin des autres.

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Quand Sidney Crosby joue du coude « contre » Jean Béliveau

On peut s’obstiner des heures, voire même des semaines, au sujet des meilleurs joueurs de l’histoire de la Ligue nationale de hockey.

Dans un premier temps, les époques sont tellement à l’opposée l’une de l’autre, que les comparaisons deviennent erronées. Wayne Gretzky, Bobby Orr, Mario Lemieux et Gordie Howe se classent certes parmi le top-4 historique, selon Steve Simmons, mais où Sidney Crosby se situe, lui?

Mike Bossy a déjà livré quelque chose d’intéressant sur les ondes de TVA Sports : si Alex Ovechkin avait joué dans son temps, il aurait éclipsé tout le monde au chapitre des buts.

OK. Disons que le top-4 est logique si nous ne comparons pas le style de jeu qui a évolué durant toutes ces années. Cependant, à qui devons-nous octroyer le cinquième rang? Maurice Richard? Jean Béliveau? Guy Lafleur? Béliveau est pour moi le plus grand joueur du Canadien de Montréal, donc il a mon vote pour le 5e échelon, Simmons avance en outre que Sidney Crosby mérite de se coller à Béliveau. Un peu de coudes entre les deux pour ce rang, mais, à mon avis, Crosby mérite de se coller plus vers le premier rang. Une telle machine, c’est unique dans le hockey d’aujourd’hui.

Si l’on parle du hockey moderne, Sid démontre une moyenne de point par match singulière de 1,28 (son plus haut total et de 1,51). Pour ce qui est de monsieur Béliveau, sa moyenne générale au chapitre des points se situe à 1,08 et son meilleur rendement arrive à 1,28. Le numéro 87 collectionne les points depuis son entrée dans le show, lui qui affiche un total de 1216 (943 matchs) lors de ses 14 saisons.

Puis, même s’il vient de festoyer ses 32 ans, il démontre encore beaucoup d’étoffe, puis les 100 points qu’il a récoltés en 2018-19 démontrent qu’il n’a aucune envie de ralentir la cadence. Chaque année, il continue de peaufiner toutes les facettes de son jeu pour demeurer au sommet. Quel homme! Quel joueur! Pas question des demi-mesures pour le capitaine des Penguins de Pittsburgh.