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Cette entreprise québécoise vient de lancer des sucreries totalement exquises!

Avis à tous ceux qui raffolent des produits à l’érable: on pense bien avoir trouvé LA sucrerie que vous n’aurez pas envie de partager! Emballées dans un sac compostable, ces petites bouchées possèdent un intérieur moelleux et savoureux recouvert d’une fine couche croquante de sucre d’érable exquis. Vous pouvez les manger telles quelles (faites attention à ne pas finir le paquet d’un trait) ou les ajouter à vos desserts, vos yogourts ou vos crèmes glacées.

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C’est l’entreprise québécoise Bretelles qui est derrière ces gâteries aux coeurs tendres. Fondée par Caroline Bordeleau et Philippe Charest-Beaudry, parents de trois petites filles, la marque a comme mission de sortir l’érable de la cabane, en réalisant de délicieux produits d’érable que l’on peut déguster directement à la maison. « Les Fondants d’érable » est d’ailleurs la dernière collation lancée par la marque, qui s’ajoute à leurs nombreuses merveilles.

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Sur leur boutique en ligne, vous retrouverez l’érable sous mille et une facettes. Sirop en trois couleurs, beurre à tartiner, mélange d’épices à grillades, gelée audacieuse, maïs soufflé caramel, érable et fleur de sel et coffrets découvertes… Il y a du stock en masse pour plaire aux plus grands gourmands!

Bretelles est maintenant disponible dans plus de 225 points de ventes au Québec (IGA, Rachelle-Béry, Metro, Provigo, Marché Végétarien, Valmont, Jardin Mobile, Quatre Saisons). Vous n’aurez donc pas de peine à trouver vos nouvelles sucreries naturelles et écoresponsables préférées!

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Le sirop d’érable bénéfique pour le foie

Une équipe de chercheurs, dirigée par la Dre Keiko Abe de l’École supérieure des sciences de l’agriculture et de la vie de l’Université de Tokyo, a découvert que le sirop d’érable canadien serait un atout précieux pour la santé hépatique.
 
Des rats en bonne santé qui ont eu une alimentation contenant du sirop d’érable pur à 100 % du Canada ont obtenu de meilleurs résultats hépatiques que leurs congénères qui n’avaient pas le sirop.
 
La Fondation canadienne du foie mentionne qu’il existe une centaine de maladies du foie différentes, et elles touchent en moyenne un Canadien sur dix.
 
Les personnes obèses, diabétiques ou souffrant d’une insulinorésistance sont le plus à risque d’avoir des problèmes de foie.
 
Selon les chercheurs, le sirop d’érable serait le meilleur édulcorant, car il contient beaucoup d’antioxydants polyphénoliques, des vitamines et des minéraux.
 
« Cette recherche contribue à notre compréhension grandissante du remarquable potentiel du sirop d’érable pour la santé », mentionne Serge Beaulieu, président de la Fédération des producteurs acéricoles du Québec.
 
« Nous avons appris précédemment que le sirop d’érable contient des composés antioxydants pouvant contribuer à réguler le métabolisme du glucose et à stimuler la sécrétion d’insuline, favorisant peut-être la gestion du diabète de type 2. À l’heure actuelle, Dre Abe étudie les corrélations entre la consommation de sirop d’érable et la santé du foie. Ses toutes dernières conclusions nous offrent encore plus de raisons de savourer notre sirop d’érable », ajoute-t-il.
 
Les résultats de l’étude seront publiés dans l’édition de novembre du Bioscience, Biotechnology, and Biochemistry.
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Le sirop d’érable aussi bon que le thé vert ou la myrtille

Le Journal of Functionnal Foods rapporte que le sirop d’érable est considéré comme un super aliment.
En effet, des chercheurs américains lui ont découvert autant de propriétaires anti-inflammatoires et anti-oxydantes que les myrtilles ou le thé vert.
 
Après avoir analysé des sirops du Québec, ils ont découvert 54 éléments bienfaisants, dont cinq qui étaient totalement inconnus jusqu’ici et qui pourraient mener les chimistes vers de nouveaux remèdes contre certaines maladies.
 
Un de ces nouveaux éléments a été baptisé le quebecol en l’honneur du Québec, le plus gros producteur mondial de sirop d’érable.
 
« Nous avons découvert que plusieurs éléments (du sirop d’érable) possèdent des propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires que l’on a déjà vues agir contre le cancer, des diabètes et des maladies bactériologiques », indique Navinda Suram, la professeure à l’Université du Rhode Island qui a dirigé l’étude.
 
On croit également que les polyphénols du sirop aideraient à maintenir un bon niveau de sucre dans le sang.
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Le sirop d’érable est bénéfique pour la santé

Pour la première fois, un produit sucré est lié à la santé. En effet, des chercheurs de l’université du Rhode Island, aux États-Unis, affirment avoir trouvé de nombreux bienfaits au sirop d’érable québécois.
 
La recherche, supervisée par Navindra Seeram, a démontré huit nouveaux composés du sirop qui étaient bons pour la santé, faisant ainsi grimper le nombre de bienfaits à une vingtaine.
 
Plusieurs composés du sirop renferment des propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires, antibactériennes, anticancer et antidiabétiques. Le sirop d’érable possède une forte concentration de minéraux comme le zinc, la thiamine et le calcium, mais on y ajoute maintenant des concentrations appréciables de composés phénoliques que l’on retrouve beaucoup dans les bleuets. Ces composés sont grandement reconnus pour leurs propriétés antioxydantes.
 
Apparemment, lorsqu’il est entaillé, l’érable à sucre sécrèterait, pour se défendre, des composés phénoliques qui sont bénéfiques à la consommation humaine.
 
Les résultats de cette recherche ont été présentés avec enthousiasme lors de la rencontre annuelle de la Société américaine de chimie, car il est plutôt rare qu’un produit sucré soit bénéfique pour la santé humaine.
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Une année médiocre pour le sirop d’érable

Le printemps 2008 est qualifié de médiocre pour le commerce du sirop d’érable, alors que certains producteurs ont terminé la saison avec moins de la moitié de leur récolte habituelle.

Gérald Brisebois, propriétaire de la cabane à sucre du même nom dans les Laurentides, a quant à lui récolté 60 % de sa production habituelle, rapporte Cyberpresse.ca.

La Fédération des producteurs acéricoles du Québec a confirmé ces chiffres, en estimant que le Québec a produit environ 70 % du sirop d’érable qui est habituellement récolté.

On devra attendre avant d’avoir le bilan final, puisque les érables versent actuellement leurs dernières gouttes en Gaspésie et dans le Bas-Saint-Laurent.

La conséquence de cette baisse des récoltes? Les transformateurs en alimentation offrent le produit à un prix beaucoup plus élevé. Les consommateurs doivent donc s’attendre eux aussi à payer plus cher.

Selon Gérald Brisebois, il se pourrait que le prix des cannes de sirop d’érable augmente jusqu’à plus de 8 $ dans les épiceries.

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Une autre vertu du sirop d’érable

Après le soya, le thé vert et le chocolat, c’est maintenant au tour du sirop d’érable de contenir des antioxydants.

« Une portion de 60 ml de sirop d’érable possède une capacité antioxydante modérée, comparable à celle d’une portion de brocoli ou d’une banane », a expliqué la diététiste Marie Breton.

Selon elle, le sirop d’érable est meilleur que les autres agents sucrants courants (sucre blanc, cassonade, miel, sirop de maïs), puisqu’il contient aussi du manganèse, du zinc, du magnésium, du calcium, du potassium et de la riboflavine.

Deux études sur le sirop d’érable démontrent que ce dernier possède des vertus antioxydantes et anti-inflammatoires grâce à son contenu élevé en composés phénoliques, ce qui protège contre le développement des tumeurs.

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Le sirop d’érable n’est pas conforme aux normes

Le syndicat des acériculteurs du Québec a dévoilé des statistiques démontrant que 60 % des contenants de sirop d’érable qui se trouvent sur les tablettes d’épiceries québécoises ne répondent pas aux normes provinciales. Certains de ces contenants présentent un goût de bourgeon, ou même la présence de moisissures dans la conserve. 

Afin de faire un bilan de la qualité du sirop d’érable vendu aux consommateurs, la Fédération des producteurs acéricoles du Québec a fait analyser 258 échantillons de sirop. 

Sur ces 258 échantillons, 39 % seulement se conformaient aux normes. Les défauts remarqués dans les échantillons sont des défauts de couleur ou de saveur non perceptibles pour les consommateurs. 

Le syndicat a donc mis sur pied un programme qui vise à corriger les petites erreurs de mise en marché qui pourraient au bout du compte créer de graves conséquences.