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Ozzy Osbourne veut se racheter pour le mariage de sa fille

Ozzy Osbourne entend bien se calmer les ardeurs en vue du mariage de sa fille, Kelly, selon Female First.

C’est que le pape du métal a recommencé à consommer de la drogue et de l’alcool, les vieilles habitudes revenant au galop après que la famille Osbourne ait subi sa part de difficultés.

Tellement que plusieurs rumeurs invoquaient une séparation imminente entre Ozzy et Sharon Osbourne, qui n’en peut plus de ramener son mari sur le droit chemin.

Ainsi, le mariage de leur fille, Kelly Osbourne, qui unira sa destinée à celle de Matthew Mosshart, pourrait bien être la clé du retour en force du chanteur de Black Sabbath, puisqu’il affirme vouloir retrouver le chemin de la sobriété pour l’événement.

« Kelly fait un peu de chantage à son père pour l’aider à redevenir sobre plus tôt que tard. Elle sait qu’il doit vouloir, mais un peu d’amour à la dure ne fera pas de tort », explique une source proche des Osbourne.

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Un médicament à l’essai pour contrer la dépendance à l’alcool

Un médicament pour tenter de contrer la dépendance à l’alcool reprend la route des essais cliniques, annonce topsante.com.

C’est que ce n’est pas la première série de tests que connait ce médicament, appelé Bacoflène, celui-ci ayant été mis à l’essai pour la première fois en mai dernier.

On parle donc ici d’un essai complémentaire, dirigé par Michel Reynaud, en France.

Si ces tests s’avéraient concluants, on pourrait voir apparaitre sur le marché (en tout cas celui de l’Europe pour commencer) le fameux « remède » pour traiter l’alcoolisme.

Le Bacoflène est déjà utilisé comme relaxant musculaire en centre hospitalier. Cette fois, on vérifiera les effets du médicament sur 320 patients qui recevront des doses élevées. On pourra noter ses impacts selon la capacité des sujets à demeurer sobres.

On veut bien sûr également éviter les pires effets secondaires et vérifier le type de tolérance que le corps peut développer avec la présence du Bacoflène dans l’organisme.

M. Reynaud mentionne : « Le taux de réussite attendu est de 50 % concernant l’abstinence complète. Nous étudierons aussi la diminution de la consommation, mais ce n’est pas l’objectif principal de l’étude ».

Un peu d’espoir, donc, pour les gens qui ont tenté de se sortir de l’alcoolisme sans toutefois y parvenir.