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Les photographes en série perdraient la mémoire

Peut-être connaissez-vous ou peut-être faites-vous partie vous-même de ces gens qui prennent tout en photo, et tout le temps. Repas, détails, éléments cocasses et parfois moins, famille, proches, amis, sorties, animaux, tout semble désormais un prétexte pour prendre un cliché

Le phénomène est bien entendu galvanisé par la montée en flèche des médias sociaux, mais cette manie de tout photographier pourrait bien comporter un effet retour jusqu’ici insoupçonné.

C’est ce que croient des chercheurs américains qui déposent une étude sur le sujet, rapporte Top Santé et Pourcel-chefs-blog.com, et qui prétendent que la mémoire de ces photographes en série serait affectée, au point de ne plus garder autant de véritables souvenirs.

Il semble que le fait de photographier « efface » des détails de notre propre mémoire au profit du cliché, mais au détriment de nos souvenirs dans l’avenir.

« Les gens sortent leur appareil photo machinalement. Alors qu’ils s’appuient sur la technologie pour ne rien oublier, ça a un impact négatif sur la façon dont ils se souviennent de leurs expériences », explique la Dre Linda Henkel, directrice de cette recherche sympathique.

Cette dernière a, pour étayer sa théorie, demandé à des élèves de décrire des œuvres observées la veille au célèbre Musée du Louvre. Vous l’aurez deviné, les sujets qui ont pris des photographies des œuvres au lieu de les observer de leurs propres yeux ont démontré beaucoup plus de difficulté à se souvenir des détails de celles-ci.

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L’utilisation des téléphones intelligents va de pair avec l’angoisse

Des spécialistes et professeurs de l’Université Kent publient une étude dans laquelle ils tracent une corrélation directe entre la surutilisation des téléphones intelligents chez les jeunes adultes et les adolescents, et les hausses observables d’angoisse et de détresse psychologique, rapporte Santé Log.

Les professeurs en tête de l’étude ont cherché à savoir si l’utilisation abondante de ces appareils technologiques, désormais indissociables de la vie quotidienne, pouvait avoir un lien avec les cas d’anxiété et d’angoisse qui semblent en constate hausse chez les jeunes adultes.

La recherche, par ailleurs publiée dans le journal Computers in Human Behaviors, se base sur un sondage effectué auprès de près de 500 étudiants universitaires. En mesurant le temps d’utilisation moyen du téléphone intelligent par chaque individu, puis en soumettant les sujets à une série de tests et de questionnaires, les chercheurs de Kent ont conclu que l’utilisation de ces appareils va de pair avec une baisse des résultats scolaires et une hausse de l’anxiété.

Quelques autres études du genre abondaient déjà dans le même sens, notamment en ce qui a trait aux médias sociaux. On suggère donc de limiter le plus possible l’utilisation de ces appareils et de s’octroyer des pauses technologiques, ce qui semble désormais représenter un véritable tour de force pour les nouvelles générations.

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Une relation réussie et une bonne image de soi vont de pair

The National Library of Medicine rapporte une étude psychosociale sur le lien existant entre l’estime de soi et les relations amoureuses, s’attardant principalement sur le cas des femmes et de la vision qu’elles ont d’elles-mêmes.

Ainsi, s’il n’est pas étonnant de voir l’étude confirmer que l’estime de soi est primordiale au bonheur et à une relation amoureuse épanouie, il l’est davantage de constater que l’inverse est aussi vrai.

En effet, selon les chercheurs de l’Université Tallinn menés par Sabina Vatter, qui signe l’étude elle-même, une relation saine et heureuse permet d’augmenter grandement l’estime de soi.

C’est après avoir sondé et analysé près de 300 femmes que Vatter a pu constater que le lien présumé entre les deux facteurs fonctionnait des deux côtés.

« Quand une femme est satisfaite par sa relation, elle l’est aussi par son poids, et vice versa », résume clairement la chercheuse.

On peut donc conclure que même s’il est important de veiller à sa santé et d’avoir une bonne estime de soi à la base, le choix du partenaire représente un facteur important de l’accession ultime au bonheur et à l’épanouissement personnel.

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L’effet Facebook sur les troubles alimentaires

Plusieurs effets retour du plus important et populaire média social de notre époque, Facebook, commencent à faire leur apparition. Quelques études ont précédemment établi que, malgré ses avantages évidents, le système comprend quelques dangers pour la santé psychologique, notamment pour l’estime de soi.

Le Daily Mail (UK) en rapporte une nouvelle sur le sujet, alors que des chercheurs de l’American University, à Washington, constatent que Facebook peut avoir des effets néfastes sur la vision qu’ont d’elles-mêmes plusieurs jeunes femmes, pavant ainsi la voie à un déclenchement potentiel de certains troubles alimentaires.

Le web, on le sait, peut renvoyer une image irréaliste, alors que la majorité des personnes s’y décrivent et proposent des photos à leur avantage. Or, en regardant constamment des photographies d’autres jeunes femmes plus minces, plus « belles » ou plus heureuses, certaines seront enclines à désespérer sur leur sort et entrevoir des options néfastes pour la santé.

C’est ce que croient les chercheurs impliqués dans cette étude, qui analysait les comportements de 103 jeunes femmes volontaires. Cette recherche, tout de même sommaire, peut s’ajouter aux quelques-unes publiées précédemment pour proposer une solution plus qu’évidente : le temps passé sur les médias sociaux se doit d’être modéré… il en va de la santé mentale collective.

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Facebook, le meilleur réseau social selon les professionnels du tourisme

79 % des les professionnels du tourisme ont élu Facebook meilleur média social pour favoriser l’engagement client, c’est-à-dire l’interaction avec la clientèle et l’adhésion de cette dernière aux valeurs de la marque.

Lee McCabe, responsable international du département Voyage de Facebook, a rappelé que « la portée moyenne de Facebook pour une campagne étroitement ciblée est de 89 % » et souligné l’occasion pour les professionnels du tourisme de profiter de cette efficacité « considérant la mémoire infinie de Facebook, la communication instantanée et la puissance de traitement. »

Hôteliers, sites de tourisme, l’utilisation des réseaux sociaux est aujourd’hui devenue incontournable, les professionnels s’adaptant aux évolutions des modes de vie et trouvant dans cette technologie un bon moyen de créer le buzz autour de leur marque et de fidéliser la clientèle.

Récemment, un sondage de TripAdvisor révélait que 20 % des voyageurs français consultent les réseaux sociaux via leur téléphone sur leur lieu de vacances, notamment pour recevoir des recommandations pour trouver un hôtel, des activités ou des visites à faire pendant leur séjour.

Cette même étude montrait que 71 % des professionnels de l’hôtellerie utilisent les médias sociaux pour communiquer avec leurs clients, Facebook occupant largement le terrain à 64 %.

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Les hommes et les femmes possèdent des cerveaux complémentaires

Une nouvelle étude proposée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie explique les différences notables et observables au niveau des cerveaux des hommes et des femmes, qui ne sont visiblement pas « branchés » de la même façon.

Alors que ce genre d’étude a généralement pour effet d’alimenter la guerre des sexes et de stimuler les railleries entre partenaires et membres des sexes opposés, celle-ci affirme que malgré leurs différences, les cerveaux masculins et féminins sont absolument complémentaires.

Il est donc intéressant de lire les conclusions de Ragini Verma, qui mène la recherche, expliquant que les hommes seraient véritablement moins doués pour effectuer plusieurs tâches simultanément, au contraire de la gent féminine. Les hommes seraient toutefois efficaces lorsqu’il s’agit d’effectuer une action directe, par exemple lors de la pratique de sports.

Après avoir observé des centaines de cerveaux masculins et féminins, Verma et son équipe concluent que les connexions cérébrales ne travaillent pas de la même façon en fonction du sexe de l’individu.

« Ces cartes de la connectivité cérébrale montrent des différences frappantes et aussi complémentaires dans l’architecture du cerveau humain. Elles aident à fournir une base neuronale potentielle expliquant pourquoi les hommes excellent dans certaines tâches et les femmes dans d’autres », écrivent-ils.

Des différences qui prennent tout leur sens lorsqu’on constate que ces deux « types de cerveaux » sont parfaitement complémentaires, et donc destinés à travailler en équipe!

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Des notions de regrets bien différents chez les hommes que chez les femmes

Une équipe californienne a cherché à analyser les différentes réactions observables chez les hommes et les femmes en matière de comportement sexuel, rapporte Top Santé, et leurs premières conclusions se penchent davantage sur la notion de regrets.

Une notion amplement variable selon le sexe de la personne étudiée, constatent les chercheurs, alors que les hommes semblent regretter beaucoup plus de ne pas être passés à l’acte suite à une opportunité de relation sexuelle, et que les femmes regrettent plutôt d’avoir succombé à une situation similaire.

« Du point de vue de l’histoire de l’évolution, chaque occasion manquée de relations sexuelles avec une nouvelle partenaire est pour les hommes une chance perdue de se reproduire. Pour les femmes, la reproduction représente un investissement considérable, dont la grossesse, l’allaitement et l’éducation des enfants. Les conséquences d’un rapport sexuel occasionnel sont donc bien plus impliquantes pour les femmes que pour les hommes. »

« Cela entraîne naturellement une réaction émotionnelle beaucoup plus forte, chez la femme, au rapport sexuel. Ces réactions semblent toujours répondre, malgré les progrès sociaux, aux contraintes de reproduction du passé », peut-on lire en conclusion de l’étude proposée par les chercheurs de l’Université de Californie.

Plusieurs milliers sujets masculins et féminins ont pris part à cette étude, qui trace encore une fois une ligne marquée entre la psychologie féminine et masculine.

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Des campagnes de sensibilisation sociale qui ratent la cible

Partout dans le monde, des campagnes de sensibilisation et de prévention concernant différents sujets et problèmes sont lancées afin de protéger et conscientiser la population, notamment chez les jeunes.

Mais une bonne partie de ces tentatives ratent la cible et ne permettent souvent pas les changements statistiques escomptés. Ici au Québec, on n’a qu’à penser aux efforts de la SAAQ pour contrer la vitesse et l’alcool au volant, des comportements qui semblent difficiles à prévenir.

Mais pourquoi beaucoup de ces campagnes ratent-elles leurs objectifs? Pour une équipe de chercheurs basée à Grenoble, qui publie une étude sur le sujet, le problème réside dans le fait que ces campagnes ne touchent pas la bonne corde sensible du public, spécialement chez les jeunes, rapporte Top Santé.

Au lieu de traiter du problème en tant que tel, comme celui de la malbouffe ou de l’alcool au volant, les organisateurs de ces campagnes devraient plutôt cibler les résultats sociaux qui en découlent, selon les chercheurs européens.

« Les campagnes actuelles se concentrent sur l’argument santé et négligent l’argument social, alors que les adolescents sont particulièrement sensibles aux normes sociales et à l’influence de leurs pairs », résume une spécialiste.

En clair, il faut donc chercher à « manipuler » l’auditoire de façon à toucher ce qui compte vraiment, et non en axant les campagnes sur des conséquences qui, selon plusieurs, « ne s’appliquent qu’aux autres ».

Les résultats et conclusions de cette étude sont publiés dans Le Parisien.

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La télévision brouille les aptitudes sociales des enfants

Selon une étude menée à l’Ohio State University, même lorsque la télévision est allumée et seulement en fond, elle a des conséquences sur le jeune enfant. Ajoutez à cela une télévision directement dans sa chambre, et le voilà surexposé.

Les conclusions de la recherche, publiées dans le Journal of Communication, relatent que la Théorie de l’esprit (Theory of mind) est compromise dans le processus. Normalement, les enfants apprennent à développer leurs interactions sociales en déterminant, notamment, les intentions de leur interlocuteur, ainsi que son état mental. Des facultés de déduction qui font partie d’un développement cognitif normal.

Les parents de 107 enfants ont été interrogés sur les heures d’exposition à la télévision, directement et indirectement (en fond), puis ont répondu à diverses questions relativement aux échanges verbaux avec les enfants. Les notes obtenues pour le test ToM (Théorie de l’esprit) étaient inversement proportionnelles au nombre d’heures passées en compagnie de la télévision.

Selon les spécialistes, un développement social normal de l’enfant lui permet « de s’engager dans des échanges plus valorisants avec les autres enfants et d’être aussi moins enclin à utiliser l’agression pour obtenir ce qu’il veut ».

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Les femmes qui feignent l’orgasme sont plus enclines à l’adultère

Les femmes qui simulent l’orgasme lors des relations sexuelles avec leurs partenaires sont plus enclines à tromper ces derniers, voilà la conclusion proposée dans cette nouvelle étude psychosexuelle rapportée par le Daily Mail (UK).

On apprend d’abord que 68 % des femmes feignent l’orgasme au moins une fois sur cinq, en moyenne, et que la plupart d’entre elles le font pour protéger leurs amoureux d’une éventuelle perte de confiance ou pour ne pas leur faire de peine.

Du lot, une femme sur six affirme tromper ou avoir trompé son partenaire, une statistique que les chercheurs ont pu comparer à celle de l’orgasme simulé, avant d’en conclure que la simulation mène dans une grande proportion à l’adultère, et que les femmes simulent en grand nombre!

Mais avant de tomber à bras raccourci sur la gent féminine, et en conclusion, il est important de mentionner qu’une plus grande proportion d’hommes admettent avoir trompé leur compagne actuelle, soit un sur quatre… Tout cela en ne simulant qu’une fois sur vingt, toujours selon la divertissante étude américaine.