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Une étude confirme les dangers… de la retraite!

Une vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

vieille légende urbaine, ou une vieille superstition, avançait que les gens qui cessent de faire ce qu’ils aiment en prenant leur retraite voyaient souvent leurs jours prendre fin plus abruptement et plus rapidement que les autres.

Peu de recherches sérieuses avaient jusqu’à présent été effectuées sur le sujet, mais c’est maintenant chose faite.

En effet, rapporte Santé Log, une équipe de chercheurs de l’INSERM a établi que le lien entre la retraite et les maladies dégénératives, voire la mort, existerait bel et bien.

La recherche, qui a par ailleurs été présentée lors de la conférence annuelle de l’Association Internationale d’Alzheimer de Boston, conclut que les personnes qui prennent leur retraite plus tard ont moins de chances de développer des maladies comme l’Alzheimer.

L’étude exhaustive, qui se base sur l’analyse des dossiers de près de 430 000 patients et travailleurs, constate un lien direct entre l’arrêt de la vie active et la dégénérescence des facultés cognitives.

On suggère donc de maintenir ses activités le plus longtemps possible, qu’elles soient professionnelles, personnelles ou sociales, et ce, malgré l’âge ou le début de la retraite.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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L’amitié, le secret du bonheur pour vos enfants

L’une des choses qui nous brisent le plus le cœur, c’est de voir que notre enfant n’arrive pas à se faire d’amis, selon le Dr John Medina.

Pricelessparenting rapporte quelques trucs pour développer les aptitudes sociales de votre enfant, basés sur le livre d’Elman et Kennedy-Moore, The Unwritten Rules of Friendship: Simple Strategies to Help Your Child Make Friends.

Le livre décrit les comportements typiques qui éloignent les autres enfants et que le vôtre doit éviter, puis il donne la liste de « lois non écrites » qu’un enfant doit comprendre en amitié.

Par exemple :
 
– Il n’existe pas d’ami parfait;

– Si vous frappez quelqu’un, il y a de bonnes chances qu’il vous frappe plus fort en retour;

– Quand quelqu’un dit « arrête », arrêtez;

– Ressasser les mauvaises émotions les rend pires encore;

– Il ne faut pas rester dans l’entourage de personnes qui sont méchantes avec soi.            

Ainsi, si votre enfant est la cible constante de rejet de la part des autres, il serait bien de trouver des ouvrages du genre pour vous aider à cibler son comportement avec les autres. Par la suite, n’hésitez pas à l’aider à développer les bonnes habitudes et la bonne attitude pour l’aider à entrer en contact avec les autres.

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De l’ocytocine pour aider à l’intégration sociale et la confiance personnelle

Voici une nouvelle qui risque d’en faire bondir plus d’un, à tout le moins ceux qui considèrent que la médication est une réponse un peu trop commune et facile aux maux de la planète.

C’est Santé Log qui rapporte une étude de chercheurs canadiens basés à l’Université Concordia, faisant état de la possibilité d’utiliser de l’ocytocine pour soigner les gens aux prises avec des problèmes d’intégration sociale.

La molécule permettrait d’augmenter la confiance d’un individu, de mieux contrôler et réguler ses émotions, tout en minimisant le stress. Tous ces facteurs permettent bien entendu une intégration sociale plus facile, et peut-être même une réduction des risques et des effets de la dépression.

L’étude fait état de 100 jeunes sujets testés à l’ocytocine, administrée à l’aide d’un simple vaporisateur nasal. Placés ensuite en situation de conflit ou de rejet social, ces mêmes sujets auraient mieux réagi grâce à l’ocytocine, ce qui laisse présager des traitements possibles pour les personnes aux prises avec des problèmes d’anxiété, de détresse ou psychosociaux graves.

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Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.

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Une psychologue suggère le concept de colère collective

Sommes-nous plus en colère que jamais? Sommes-nous victimes de la période la plus colérique de l’histoire de l’humanité?

C’est ce que semblent croire plusieurs spécialistes, dont des psychologues qui expliquent comment le monde moderne et tout ce qui l’entoure nous rendraient de plus en plus frustrés et colériques, quotidiennement.

Ces conclusions, rapportées par le Daily Mail (UK), sont initialement celles de la Dre Sandi Mann, de l’Université du Lancashire, qui avance que les nombreuses sources de stress connues commencent à sérieusement à affecter le moral collectif.

Pénuries de médecins ou problèmes en santé, bouchons de circulation de plus en plus gigantesques et syndrome de la performance et de la rentabilité ne sont que quelques exemples qui nous poussent à bout.

De plus, Dre Mann y va d’une théorie des plus intéressantes : comme l’humain n’en est plus au stade de simplement tenter de survivre et que chaque besoin est maintenant comblé au plus haut point, il se tourne dorénavant vers chaque petite source de stress avec une colère et une réaction démesurée.

Une conclusion fort logique qui se traduit par une moins grande compassion globale, une attirance croissante vers l’argent et le matériel ainsi qu’une agressivité urbaine évidente.

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19 juin : Twitter sensibilise au syndrome de la Tourette

Le syndrome de la Tourette, ou Gilles de la Tourette, attaque Twitter aujourd’hui, alors que plusieurs personnes se joignent à un effort virtuel de sensibilisation à la maladie, rapportent plusieurs sources.

C’est le cas de Top Santé, qui parle d’une « façon originale de faire connaître cette maladie ». Originale, oui, puisque des millions d’internautes utilisent le système de messagerie et de nouvelles.

Certains pourraient d’ailleurs être surpris aujourd’hui, alors que des gros mots ou des répétitions étonnantes pourraient apparaître sur leur fil Twitter, sans avertissement!

Se déroulant toute la journée et pour une période de 24 heures, le concept intitulé #surrenderyoursay (Surrender Your Say ou Abandonnez-vous à vos mots) propose aux habitants de la planète Twitter d’ajouter ce hashtag à une courte phrase associée au syndrome de la Tourette.

Les injures et propos incohérents choqueront sans doute quelques âmes sensibles, ce qui permettra de comprendre encore mieux ce que peuvent vivre les victimes de ce mal.

Cette campagne de sensibilisation en est une originale, et il ne faudrait pas s’étonner que d’autres organisations et causes tentent aussi ce genre d’expérience dans le futur!

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Photographier ses repas pourrait indiquer un trouble alimentaire

S’il y a une mode bien étrange en ce moment, c’est celle de prendre des repas en photo pour les partager sur les nombreux réseaux sociaux.

Qui n’a pas déjà vu passer des photographies d’assiettes remplies, de fast-food ou de sushis, se demandant quel était le but réel de cette manœuvre.

Pour Valerie Taylor, du Women’ s College Hospital de l’Université de Toronto, ce phénomène n’est pas toujours bénin. En fait, il est même probable qu’il cache un problème alimentaire chez plusieurs de ces personnes, rapporte La Dépêche, qui reprend les propos de la spécialiste.

« J’ai des patients pour qui la nourriture est devenue problématique, et il leur est difficile de sortir sans parler d’autre chose que de ce qu’ils mangent, quand ils mangent, le moment où ils vont de nouveau passer à table », explique Taylor.

Vous reconnaissez quelqu’un qui ressemble à ce profil? Ou peut-être faites-vous vous-même partie de cette catégorie…

Pour la spécialiste, qui s’exprimait lors du Sommet canadien sur l’obésité récemment, l’obsession de la nourriture est un trouble alimentaire en soi, et souvent un pas vers l’obésité.

« On prend des photos de ce qui est important pour nous, et pour certaines personnes, la nourriture devient centrale alors que tout le reste — le lieu, les personnes, etc. — fait uniquement partie du décor », termine Taylor, qui présente ici un problème fort intéressant.

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Le risque de dépression peut varier selon la qualité de votre relation amoureuse

Les relations amoureuses et sociales peuvent s’avérer déterminantes dans le développement des troubles dépressifs, rapporte Santé Log, alors qu’une étude sur le sujet vient de paraître dans la revue PLoS ONE.

On y avance que les relations d’amitié et amoureuses sont au cœur de plusieurs cas de dépressions nerveuses, et qu’une personne malheureuse en couple voit ses risques de développer de tels problèmes psychologiques augmenter grandement.

Si on analyse bien les chiffres démontrés, on parle même d’un risque accru pouvant aller jusqu’à 50 %!

On conseille donc le célibat, au lieu de faire perdurer une relation qui n’a manifestement pas d’avenir ou qui est constamment teintée d’émotions négatives et de conflits.

Cette étude en est une autre qui ouvre le débat sur les impacts de la vie sociale et générale sur la dépression, qui ne se forme pas toujours « par elle-même ». Bien qu’on parle de « maladie », plusieurs dépressions ne sont pas aléatoires et pourraient être prévenues par les patients si ceux-ci étaient attentifs aux aspects négatifs de leur vie.

On note également une différence de risque de dépression selon la classe sociale et le revenu, des conclusions qui font avancer la cause dans la bonne direction.

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Les enfants partagent plus lorsqu’il y a un témoin

Une étude intéressante, menée au Michigan, a fait valoir que malgré leur connaissance sur la générosité et le partage, les enfants sont toujours réticents à partager. D’autre part, à l’Université Yale, les résultats vont plus loin. Ils démontrent que la « réputation » a son importance même chez les enfants, et ce, dès 5 ans.

En d’autres mots, les participants, et ce, presque à l’unanimité, partageaient uniquement lorsque l’autre avait vu le « contenu à partager ». Si, par exemple, l’autre enfant n’avait pas connaissance des autocollants qu’il avait en sa possession, il les cachait. En contrepartie, dès que le pot aux roses était découvert, immédiatement, l’enfant donnait généreusement.

Il s’agit d’un comportement qui fait passer la réputation sociale en avant-plan et qui a surpris les chercheurs. Habituellement, le discernement du jugement social débute tranquillement vers 8 ans. Or, l’étude a démontré que dès 5 ans, les jeunes comprenaient l’impact positif lorsqu’on pouvait témoigner de leur générosité.

En Allemagne, une autre recherche voulait comparer le comportement de singes du même âge que les enfants, afin de voir si l’impact social chez les primates se développait de la même façon. Finalement, les singes agissaient exactement de la même façon, que leurs pairs en soient témoins ou non.

Ainsi, la conscience de l’impact social est uniquement ancrée chez l’humain.

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Des chiens guides pour les enfants autistes

Les chiens Mira aident les aveugles, et souvent, d’autres aident les policiers dans leur travail. Désormais, certains toutous développent des habiletés pour aider les enfants autistes, après un long entraînement spécialisé.

La sécurité d’abord – Les enfants autistes, surtout en public, sont souvent portés à des comportements imprévisibles. Par exemple, un jeune peut choisir de quitter ses parents sans réfléchir. Le chien qui a reçu l’entraînement pour accompagner ces enfants encerclera le petit, ou encore, il jappera pour aviser les parents.

Habiletés sociales – Selon une étude de 2012 sur un groupe d’enfants autistes divisé en 2, ceux qui avaient eu un chien avaient développé considérablement leurs habiletés sociales, contrairement au 2e sous-groupe. La recherche avait été menée par le Centre de ressources pour autistes de l’Hôpital Bohars, en France. L’efficacité de la présence du chien était d’autant plus remarquable s’il avait été introduit auprès de l’enfant âgé de 5 à 6 ans.

Comme l’indique She Knows, nul ne connaît la raison pour laquelle ces chiens aident à développer l’empathie et le positivisme associé à la communication. Cependant, l’enfant autiste arrive plus facilement à communiquer avec un chien qu’un humain, et développe même le sens du partage.

Il s’agit donc d’une solution efficace, qui augmente la liberté de l’enfant et, par le fait même, celle des parents.