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Plus de testostérone voudrait dire plus d’honnêteté

Une étude unique et inusitée qui vient de paraître tendrait à démontrer que les hommes qui ont un fort taux de testostérone seraient plus enclins à être honnêtes, selon ce que rapporte www.nlm.nih.gov.

Il semble que cette hormone, communément reliée au sexe masculin et associée à des comportements agressifs, serait aussi gage de moins de mensonges et d’un comportement social sain.

L’étude, menée par le Dr Matthias Wibral de l’Université Bonn, analysait les comportements de 46 hommes dont les taux de testostérone étaient augmentés artificiellement, et de 45 autres qui recevaient un placebo.

Personne, incluant les chercheurs, ne savait qui recevait quoi. Ensuite, tous les patients de l’étude ont dû jouer à un jeu de dés dans lequel ils pouvaient remporter de l’argent. Plus le score était élevé, plus les hommes pouvaient gagner gros.

De plus, les scientifiques se sont assurés de créer le jeu de façon à rendre l’option de tricher bien présente.

Les patients devaient entrer leurs propres pointages dans un ordinateur surveillé par l’équipe de chercheurs. Conclusion : les hommes avec le taux de testostérone élevé mentaient moins que les autres.

On suggère que cette réaction pourrait être reliée au fait que la testostérone provoque la confiance en soi, nécessaire au « bon comportement social ».

Voilà qui redonne un peu de noblesse à cette hormone, souvent considérée comme un moteur d’agressivité et de comportement machistes.

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Les effets bénéfiques d’un lien parental fort sur le comportement

Si vous tenez à ce que votre progéniture soit sujette au bonheur, tout en assurant son efficacité sociale, il serait important de prendre le temps de bien créer des liens lors de la jeune enfance, selon une étude rapportée par medicalnewstoday.

En effet, il semble que les jeunes enfants qui ont la chance d’avoir un lien fort et intime avec leurs parents sont moins enclins à être confus, anxieux, troublés ou agressifs en vieillissant.

Les chercheurs de l’étude conduite en Iowa affirment également qu’il est plus bénéfique pour un enfant d’avoir un tel lien avec un seul de ses deux parents, ce qui a de quoi surprendre.

Voilà qui ajoute au débat musclé qui fait rage concernant le rôle du parent sur le développement à long terme d’un enfant en bas âge.

Les auteurs de l’étude, Dr Sanghag Kim en tête, expliquent : « Il y a une période fort importante dans laquelle la mère (ou le père) doit former une relation forte avec l’enfant, et elle se situe dans les deux premières années de sa vie. Cette période semble critique pour son développement social et émotionnel futur ».

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La personnalité directement liée au succès social

Des études effectuées sur des humains ainsi que sur des babouins démontrent clairement que le succès social découle de la personnalité de chaque individu… ou singe, selon ce que rapporte Radio-Canada.

De plus, il semble que des effets de longévité et une meilleure santé peuvent être observés chez ceux qui entretiennent des amitiés ou un réseau social actif.

Robert Seyfarth et Dorothy Cheney, respectivement psychologue et biologiste, tirent les mêmes conclusions des études proposées. D’abord, certains singes se font des amis plus facilement, ce qui augmente leurs chances de se reproduire. C’est le même phénomène chez les humains.

Pour en arriver à des résultats clairs, les chercheurs ont étudié les liens génétiques et sociaux d’un groupe de babouins de la réserve Moremi Game, au Botswana.

Il ressort de cette étude que le succès reproductif n’est pas tant lié à la domination, au fait d’être chef de son groupe social, mais plutôt à celui de parvenir à conserver les liens créés avec les autres.

Et tout cela, en fin de compte, découle du type de personnalité de l’individu. On note des femelles babouins très solitaires, mais se reproduisant beaucoup, alors que d’autres sont constamment entourées de leurs pairs, sans toutefois avoir de progéniture.

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Une meilleure qualité de vie chez les enfants actifs

En fait, les enfants les plus actifs sur une période de cinq ans ont eu de meilleurs résultats physiques et sociaux lors d’un test spécifique mené par des pédiatres.

Les résultats de ce test pourraient donner de bonnes pistes afin de développer des programmes d’intervention pour promouvoir le bien-être des jeunes.

« Ces découvertes réaffirment la nécessité d’avoir une politique de santé publique et des interventions qui favorisent moins de temps devant l’écran et plus de temps d’activité physique, ce qui aurait une influence bénéfique non seulement sur le poids et la santé physique, mais aussi sur le bien-être général à l’adolescence et au-delà », explique le coauteur de la recherche de l’Université de Sydney, Paul Mitchell.

L’activité physique a également des effets positifs sur la pression sanguine et la graisse corporelle. Conséquemment, les enfants qui font moins d’exercice sont plus susceptibles de développer des problèmes psychosociaux comme des comportements violents, par exemple.

Rappelons aussi que des spécialistes suggèrent que d’être plus actif physiquement est positivement lié à une meilleure performance scolaire chez les enfants.

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La disparition du jeu libre chez l’enfant

Les enfants d’aujourd’hui ont beaucoup moins l’occasion de s’adonner au jeu libre. On a d’ailleurs remarqué une baisse radicale de ce type de jeu au cours des 50 dernières années. On accorde cette tendance aux parents, qui sont de plus en plus portés à diriger le jeu de leurs enfants.

Ces derniers s’adonnant beaucoup moins qu’autrefois au jeu libre, on peut y relier plusieurs problèmes de société. On lit sur ce une revue de plusieurs études dans une édition spéciale de l’American Journal of Play.

Le jeu libre représente une partie importante de l’enfance. Sa diminution entraînerait des conséquences sur notre développement social, mental et physique. Il permet à l’enfant de créer son propre univers, en particulier lorsqu’il s’agit d’un jeu extérieur.

On reconnaît entre autres une corrélation entre la baisse du jeu libre et l’augmentation des dépressions et des suicides. De plus, cette décroissance serait responsable de la montée du narcissisme chez les enfants comme les adolescents.

Le jeu libre aurait aussi des répercussions très positives quant aux capacités d’apprentissage de la lecture et des mathématiques. En se mêlant aux autres, les enfants développeraient leurs aptitudes à intégrer de nouvelles notions et à prendre leur place.

La diminution constante du jeu libre durant l’enfance a bien sûr des impacts sur la santé physique. Elle tiendrait un rôle important dans l’augmentation des cas d’obésité que nous connaissons depuis quelques années.

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Les retards de développement sous la loupe

Selon l’avis de chercheurs de deux universités de la Colombie-Britannique, deux tests déjà existants permettraient de diagnostiquer efficacement un retard de développement chez un jeune enfant.
 
Ainsi, celui-ci pourrait être mieux accompagné dans un contexte de médecine familiale, comme nous l’apprenons dans le Journal of Developmental & Behavioral Pediatrics. Les deux tests en question sont l’ASQ (Ages and Stages Questionnaire) et le PEDS (Parent’s Evaluation of Developmental Status).
 
Ces deux questionnaires donnent des résultats probants en quelques minutes, et elles peuvent être complétées au bureau du médecin de famille ou à domicile. Plus tôt on décèlera un retard de développement chez l’enfant, meilleur en sera le soutien.
 
En ce moment, trop peu d’enfants sont évalués quant à un tel retard, lequel peut être au niveau de l’apprentissage, mais aussi d’ordre physique ou social.
 
On estime que seulement 30 % des enfants souffrant d’un retard de développement en reçoivent le diagnostic avant l’âge scolaire.
 
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Ne vous privez pas d’inviter bébé à dormir dans votre lit

Qui n’a pas entendu sa mère ou ses proches lui recommander de ne pas aller chercher bébé pour dormir contre lui, alors qu’il semble en avoir besoin? Il est rassurant de savoir qu’il est possible pour maman de partager son lit avec son jeune enfant, sans qu’il y ait d’impact négatif quant à son développement social et intellectuel.
 
À l’École universitaire de médecine de Stony Brook de New York, Lauren Hale a mené une étude avec son équipe auprès de 944 mères ayant partagé leur lit avec leur bambin entre l’âge de 1 et 3 ans.
 
Selon Hale, il s’agissait de peaufiner des études effectuées ultérieurement, mais auprès de familles pauvres ou de minorité visible, celles-ci n’ayant pas été tenues en compte dans les premières recherches.
 
« Les parents peuvent choisir cette pratique si c’est ce qui est le mieux pour la famille et pour le sommeil de chacun », révèle Lauren Hale. « L’étude démontre clairement qu’il n’y a aucun ou très peu d’impact sur le développement de l’enfant ».
 
Selon Canada.com, à la suite de l’étude, les enfants ont été suivis à l’âge de 5 ans afin de déterminer si un quelconque retard ou conséquence négative découlait du fait d’avoir partagé le lit des parents.
 
Confirmant les résultats d’études précédentes, heureusement, rien n’a été détecté.
 
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Le foetus interagit dans le ventre de la mère

Les futures mamans seront heureuses d’apprendre que leur enfant à naître présente déjà des comportements sociaux.

C’est ce qu’ont pu démontrer Umberto Castiello et une équipe de chercheurs italiens avec la technologie de l’échographie 3D en couleurs.

Monsieur Castiello a donc observé cinq paires de jumeaux dans le ventre de leur mère. Il a porté une attention particulière aux mouvements de leurs mains.

Il semble donc que les jumeaux entrent en contact volontairement entre eux, non pas uniquement par réflexe ou accidentellement. Les mouvements dirigés vers l’autre jumeau étaient plus lents que les autres.

Ainsi, ces mouvements étaient planifiés, ce qui signifie qu’ils avaient un réel but social. Ces actes prenant part au développement moteur ont été observés dès le quatrième mois de grossesse.

Finalement, les chercheurs dénotent le développement et la maturation du système nerveux central qu’aura l’enfant lorsqu’il sera né.

Il serait donc possible d’espérer, à la lumière de ces résultats, qu’une femme apprenne dès ce stade de la grossesse si l’enfant à naître présentera un trouble du comportement.

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La longévité, une question de personnalité?

Selon le Dr Thomas Perls, de la Faculté de médecine de l’Université de Boston, vivre centenaire pourrait être attribué à certains traits de caractère, comme la sociabilité ou la capacité de bien gérer le stress.

Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur a travaillé avec 246 personnes âgées, dont l’historique familial contenait quelques ancêtres ayant dépassé le cap des 100 ans, en évaluant certains types de personnalité.

Il a découvert que les personnes plus extraverties avaient de meilleures chances de gagner quelques années, comparativement aux névrosés qui ont tendance à juger l’environnement comme hostile.

Pour le Dr Perls, pas de doute que la personnalité, particulièrement le niveau de stress ressenti, joue un rôle sur la longévité. « Si vous n’avez pas une tendance naturelle à bien gérer le stress, trouvez une manière efficace de la faire. Ça peut être l’exercice ou encore passer du temps en famille », a-t-il conclu.