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Plus de chances de survivre à un arrêt cardiaque selon la classe sociale

Même s’il semble discriminatoire de tenir de tels propos, www.nlm.nih.gov avance une étude qui prétend que les chances de survie lors d’un arrêt cardiaque peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez et votre classe sociale.

En fait, il semble que les gens issus ou résidants d’un milieu plus aisé soient plus enclins à tenter des manœuvres de réanimation (RCR) sur une victime que les autres.

La Dre Comila Sasson, de l’école de médecine de l’Université du Colorado, résume : « L’endroit où vous aurez une crise cardiaque aura un impact sur vos chances de survie, et celles-ci peuvent même varier selon le côté de la rue où vous vous trouvez. Il s’agit d’un phénomène psychosocial et économique réel ».

Chaque année en Amérique, plus de 300 000 personnes sont victimes d’un arrêt cardiaque, et l’endroit où la crise se produit influence les chances de voir un pur étranger leur venir en aide.

Plus de 14 225 de ces cas ont été étudiés, tous en milieux urbains, et la moyenne statistique des chances qu’un inconnu tente des manœuvres de réanimation seraient de 29 %. Celles-ci passeraient à 55 % dans les quartiers les plus favorisés, un écart très significatif.

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Le gène de la minceur chez la femme, héréditaire?

Le culte de la minceur est omniprésent dans notre société moderne, au point de créer plusieurs problèmes sociaux, spécialement chez les femmes, dans les dernières années.

Boulimie, anorexie, troubles alimentaires divers, obsession des régimes, entraînement excessif, voilà autant de problèmes qui peuvent apparaître chez les gens obsédés par la minceur.

Voilà que des chercheurs croient qu’il est possible que l’hérédité joue un rôle dans le degré de pression sociale ressenti par les femmes. En effet, une étude reprise par nlm.nih.gov explique que la moitié des facteurs qui causent une obsession de la minceur serait due au bagage génétique.

En d’autres termes, ce n’est pas que les médias et les magazines de mode qui seraient à blâmer, mais aussi l’environnement immédiat et les proches de celles qui possèdent déjà cette tendance génétique.

Cynthia Bulik, directrice de l’University of North Carolina Eating Disorders Program, explique : « En principe, fondamentalement, nos comportements varient en fonction de notre réaction face aux éléments de notre environnement. Donc, si une personne réagit plus fortement aux images véhiculées par les médias ou à la pression des pairs, une partie de cette réaction est certainement causée par une susceptibilité génétique prédéterminée ».