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Décès de Lou Reed : Réactions monstres sur le web

La mort du légendaire Lou Reed a suscité de vives réactions un peu partout ce weekend (27 octobre), mais c’est en visitant les médias sociaux que l’on peut véritablement constater l’ampleur de l’effet Reed sur les différentes générations de musiciens qui l’ont suivi, selon Billboard

Des artistes de tous les âges et de tous les styles rendent en effet hommage au regretté Lou Reed, leader de Velvet Underground et artiste solo émérite.

De Justin Timberlake à Ricky Gervais, en passant par Julian Casablancas, Guns N’ Roses, David Bowie, The Who, Flea, Lena Dunham, Kevin Smith et Paul Stanley, les messages pleuvent dans une tempête d’honneurs et de tristesse générale.

Il faut dire que Reed est souvent oublié quand on mentionne les artistes qui ont influencé et changé la face de la musique dans l’histoire. On se rend cependant rapidement compte qu’il a lui-même influencé ceux qui ont ensuite contribué à changer l’industrie de la musique…

Lou Reed avait 71 ans.

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Médias sociaux : Les photos de nourriture ruinent votre appétit

Selon une nouvelle étude alimentaire qui analyse certains comportements sur les médias sociaux en lien avec la nourriture, les fameuses photographies de repas pourraient bien créer un phénomène inverse à celui que l’on croit.

Des chercheurs de la Brigham Young University (BYU) et de l’Université du Minnesota ont analysé le comportement de 232 participants volontaires dans le cadre d’une étude comportementale sur l’appétit et l’alimentation. Ils constatent que le simple fait de voir la nourriture des autres sur internet coupe l’appétit.

« En un sens, vous devenez fatigué de ce goût sans même avoir goûté le plat. C’est de l’ennui sensoriel. Vous êtes passé à autre chose. Vous ne voulez plus cette expérience désormais », explique Ryan Elder, professeur à la BYU et coauteur de l’étude.

La recherche, rapportée par MedicalNewsToday, a été publiée dans The Journal of Consumer Psychology et démontre pour la toute première fois l’impact des médias sociaux sur nos comportements et sur nos désirs.

Par exemple, les participants qui voient défiler des mets sucrés seront plus attirés par le salé, et vice versa. L’un des avantages de ce constat avancé par les chercheurs impliqués dans cette recherche est qu’il serait peut-être souhaitable pour quelqu’un qui veut éviter certains types de nourriture de regarder plusieurs photographies du plat interdit, et ainsi d’arrêter son choix sur autre chose.

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La « dépression Facebook » : un phénomène bien réel?

Top Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

op Santé rapporte une étude fort intéressante sur l’impact du réseau social Facebook sur l’humeur de ses usagers.

Des chercheurs américains, en collaboration avec une équipe de chercheurs belges, ont cherché à comprendre les impacts de Facebook sur l’humeur et si ce dernier pouvait mener à des troubles comme la dépression.

Après avoir analysé les comportements et les réactions de 82 volontaires, les chercheurs concluent qu’en effet, le réseau social mène généralement à une moins bonne humeur générale.

Pour parvenir à cette réponse, on a fait répondre les sujets à plusieurs questionnaires avant l’étude, puis on a testé les réactions en temps réels de ceux-ci lors de l’utilisation de Facebook. Finalement, les volontaires ont repassé une série de questionnaires à la suite de l’étude.

Les résultats sont clairs : plus on utilise Facebook, moins on se sent bien.

Même si les chercheurs du Michigan ne souhaitent pas nier les avantages de Facebook en bloc, ils tiennent à mettre en garde la population, spécialement les gens qui souffrent déjà de troubles de l’humeur.

« Facebook peut constituer une ressource inestimable pour satisfaire le besoin humain de créer un lien social. Toutefois, plutôt que d’améliorer le bien-être, il semble le miner », conclut l’équipe de chercheurs américains.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Les médias sociaux en prévention du suicide

Les médias sociaux ont souvent eux-mêmes mauvaise presse et sont vus de haut par d’aucuns, parfois à tort ou à raison, mais il existe un phénomène qui semble difficile à contredire.

En effet, si les médias sociaux sont un lieu d’intimidation fréquent, et qu’il s’agit d’un problème de société flagrant chez la jeune génération, ces mêmes systèmes peuvent aussi sauver des vies.

De plus en plus de cas sont observés et rapportés, de jeunes (et moins jeunes) individus qui se tournent vers la toile et leurs médias sociaux favoris pour demander de l’aide en situation de crise et de détresse psychologique.

C’est le phénomène rapporté par le Daily Mail (UK), alors qu’une nouvelle étude fait état du réflexe des jeunes à se tourner vers les technologies pour partager leurs émotions les plus sombres et leurs idées suicidaires, plutôt que de parler à un proche ou d’appeler une ligne anti-suicide.

Des chercheurs de l’Ohio, auteurs de deux études sur le même sujet, croient qu’il faut concentrer les efforts de prévention du suicide vers le web et ce genre de plateformes, là où se trouvent véritablement les jeunes et les adolescents.

Ici, au Québec, plusieurs cas qui abondent dans ce sens ont aussi été rapportés.

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Les débats virtuels ne feraient que vous rendre plus amer et colérique

Un sujet chaud de l’actualité vous touche et vous fait réagir? Vous lisez un article ou un commentaire sur la Toile et vous vous devez de répondre, mais vous devriez peut-être lire ce qui suit avant de passer à l’acte.

Selon deux nouvelles études, rapporte The National Library of Medicine, les débats virtuels sur le web n’apportent que très peu de satisfaction au final. En fait, ces échanges ont beaucoup plus de chance de vous rendre plus amer et colérique que de vous soulager.

La première étude allègue que la plupart des commentateurs virtuels affirment ressentir un sentiment positif juste après avoir publié une opinion, mais qu’ils se sentent davantage frustrés et en colère à long terme. De plus, il arrive souvent que l’on s’exprime mal sous le coup de la passion ou de la colère, ce qui peut mener à des regrets.

La deuxième étude pousse plus loin l’aspect psychologique de la chose, affirmant que lire et écrire des commentaires négatifs sur la Toile est un comportement associé à des changements d’humeur négatifs.

Ces récentes recherches, publiées dans le Cyberpsychology, Behavior, and Social Networking par des chercheurs de l’Université de Wisconsin-Green Bay, concluent que plusieurs comportements du genre sur le web dénotent un sentiment d’exclusion, d’impuissance ou de frustration de la part des internautes concernés.

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Des distractions modernes placent les travailleurs à risque

Une étude provenant du Michigan traite d’un phénomène récent, mais tout à fait réel, celui des « distractions modernes » chez plusieurs types d’employés.

On parle ici bien sûr de certains gestes qui sont apparus de façon contemporaine avec la montée en flèche des appareils électroniques portables, mais aussi de ceux qui sont là depuis que le travail existe.

Donc, en plus des collègues qui viennent bavarder pendant que vous êtes occupé ou de la prise de courriels, l’apparition des messages texte et des médias sociaux ne viendrait qu’ajouter aux risques encourus par de telles distractions.

Selon l’étude américaine, rapportée par nlm.nih.gov, il peut s’agir de comportements aux conséquences minimes, voire banales, pour certains. Mais, pour d’autres, ce genre de distraction peut mener tout droit à la catastrophe.

Le chercheur Erik Altmann commente l’étude en soulignant le fait que les erreurs commises au travail sont statistiquement en hausse, ce qu’il considère comme inquiétant. Il nomme au passage quelques professions qui n’ont tout simplement pas le droit à l’erreur, comme les médecins urgentologues ou encore les mécaniciens spécialisés.

On suggère notamment aux employeurs de bien entourer leurs employés et de créer un environnement propice à la création et au travail, avec le moins de distractions possible.

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Les médecins utilisent les médias sociaux dans le cadre de leur travail

Une intéressante étude rapportée par www.nlm.nih.gov nous apprend qu’un médecin sur quatre utiliserait les médias sociaux alors qu’il est au travail.

Ce serait du moins le cas en Amérique du Nord, notamment aux États-Unis, alors que les médecins avouent sans honte utiliser ces systèmes. Et ce ne serait pas que pour se payer du bon temps, mais aussi pour discuter entre collègues et échanger de l’information, ce qui s’avère une bonne idée, selon plusieurs.

Ces résultats découlent d’un sondage effectué auprès de plusieurs membres de la communauté médicale, plus particulièrement en oncologie. On y apprend que 14 % des médecins et oncologues sondés partagent de l’information qu’ils ont obtenue quotidiennement sur les médias sociaux, afin d’en faire profiter leurs collègues.

61 % affirment utiliser ces nouveaux médias au moins une fois par semaine, et 46 % disent partager des informations aussi de façon hebdomadaire.

Au final, le consensus semble être que les médias sociaux sont une bonne chose pour les praticiens, qui se disent plus près de leurs patients et de leur réalité, en plus d’avoir effectivement obtenu ou partagé d’importantes informations médicales qui les aident dans leur travail.

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Les réseaux sociaux nuiraient à une alimentation saine

Une étude traitant des médias sociaux vient de paraître et accuse ce genre de site d’être un ennemi du contrôle de soi, et par conséquent d’une saine alimentation.

C’est ce qu’on apprend par l’entremise de santelog.com, qui rapporte les conclusions de l’étude proposée par l’Université Columbia et l’Université de Pittsburgh.

Selon les chercheurs, les sites comme Facebook peuvent mener à des comportements de négligence personnelle, notamment en ce qui concerne l’alimentation.

Outre les nombreuses heures passées devant l’écran, c’est un autre facteur qui viendrait renforcer ce phénomène : celui de la confiance en soi.

Il appert que s’il existe plusieurs aspects néfastes à cette nouvelle technologie, cette dernière permet également d’augmenter la confiance en soi. Cependant, avec la confiance viennent des choix plus égoïstes, notamment de manger ce que l’on désire au détriment de ce dont on a besoin.

Les gens seraient plus enclins à prendre de multiples collations lorsqu’ils sont en permanence sur le Web, expliquent les chercheurs.

Les chercheurs croient également que d’autres comportements peuvent être encouragés par cette nouvelle « dépendance », comme la boulimie et l’anorexie, par exemple.

Il y a fort à parier que plusieurs autres études sur le sujet seront publiées en 2013.