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23 septembre : Pic de naissances spectaculaire

Le 23 septembre marque le début d’une période faste en matière de naissances, selon Top Santé, un phénomène qui s’appuie sur une logique simple.

En effet, si on remonte dans le temps en calculant une moyenne de huit mois et trois semaines, on arrive précisément à la période du temps des fêtes et au 31 décembre!

Les fêtes de fin d’année seraient le moment propice à la procréation, comprend-on des statistiques proposées, des chiffres qui se basent sur des observations effectuées en France.

Cependant, il semble que ces naissances, qui bondissent subitement par trois fois, ne sont malheureusement pas toutes désirées…

« Certes, les couples cherchant à concevoir sont probablement plus nombreux à être réunis au moment du 31 décembre. Ils sont donc plus nombreux à avoir des rapports sexuels. Mais les fêtes de fin d’année représentent aussi une période de fragilité pour les femmes qui prennent un contraceptif oral », peut-on lire dans les conclusions de l’étude.

Des décisions et des omissions qui résultent d’une grande consommation d’alcool et d’une désinvolture plus marquée, selon les chercheurs.

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11 centimètres de gagnés en 100 ans pour l’Homme

L’Homme est maintenant 11 centimètres plus grand qu’il ne l’était il y a 100 ans!

C’est le constat révélé dans une étude rapportée par Santé Log, qui trace un parallèle entre cette découverte et le progrès social de l’Homme moderne.

En effet, selon les données proposées par une équipe de l’Université d’Essex, et publiées dans le Oxford Economic Papers, on note une augmentation moyenne de la taille humaine de 11 centimètres, de 1850 à 1980.

On associe le phénomène à celui de la longévité, deux facteurs qui prouvent et démontrent l’augmentation de la qualité de vie et des avantages de la modernité, en général.

L’étude parle notamment de revenus plus avantageux, d’une meilleure alimentation et de meilleurs systèmes de santé, notamment, toutes des raisons qui expliquent ce cheminement spectaculaire de l’évolution de l’espèce humaine.

À une époque où plusieurs peurs sociales ou géopolitiques, ainsi qu’une obsession de la santé et de l’alimentation, sont désormais bien implantées, on peut se consoler en observant ces données!

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La France s’attaque au problème des ondes

Le débat sur les ondes et leurs impacts sur nos sociétés fait rage depuis l’explosion technologique que l’on connait, mais aussi depuis que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a reconnu les dangers potentiels de l’émission massive d’ondes diverses.

La France décide donc de se pencher activement sur le dossier, rapporte Top Santé, et dépose un rapport sur l’exposition aux ondes par ses concitoyens.

Ce dernier, rédigé par un comité d’experts, conclut que l’exposition aux ondes doit être réduite par une diminution de sa concentration, donc qu’elle doit être mieux répartie.

En clair, au lieu de compter sur quelques antennes superpuissantes, il faudrait plutôt les disséminer et compter sur plusieurs antennes et relais, ce qui en donnerait à peu près trois fois plus qu’en ce moment, sur le territoire français.

La polémique entourant les ondes et leur potentiel cancérigène est à son paroxysme avec l’arrivée des nouvelles technologies et du système WiFi, par exemple, offerts partout.

Une députée française, Catherine Grèze, termine avec cette réflexion : « … à l’heure de la course vers toujours plus de fonctions sur nos téléphones mobiles, nécessitant une couverture toujours plus forte, a-t-on vraiment besoin d’avoir accès à la télévision mobile où que l’on soit? »

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Le travail et l’argent auraient une incidence directe sur l’amour et la procréation

L’argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

quo;argent ne fait pas le bonheur, dit-on, mais il permet assurément d’offrir de meilleures conditions à l’épanouissement d’une relation amoureuse et à la création d’une petite famille, selon une nouvelle étude sur le sujet.

Les conclusions tirées de cette recherche en provenance de l’Université de Virginie, et rapportées par Santé Log, ne pourraient être plus claires : un meilleur travail et de meilleures conditions sociales sont les premières bases d’un épanouissement amoureux.

Présentées devant l’American Sociological Association, les conclusions de l’étude dressent un portrait bien sombre du marché du travail et des conséquences qui y sont liées.

Depuis la crise économique de 2008, les situations précaires et les pertes d’emplois sont beaucoup plus fréquentes, et cette nouvelle ère serait difficile pour plusieurs ménages jugés sur ou sous le seuil de la pauvreté.

Stress, anxiété, incapacité à prévoir un avenir financier stable, troubles de l’humeur, problèmes de confiance, voilà tout autant de symptômes qui se traduisent par des relations moins stables, des mariages explosifs et une baisse de natalité.

« Les Américains de la classe ouvrière ont souvent un emploi précaire, et donc peu de capacités à planifier un avenir familial », résume Sarah Corse, leader des recherches.

Un portrait sombre, mais théoriquement réversible.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Élever un garçon ou une fille, quel est le plus difficile?

Cependant, Parents Canada rapporte que de nos jours, avec l’égalité des sexes, il est bien plus facile d’élever une fille, puisqu’elle ne ressent plus les limitations d’autrefois, quant à ce qu’elle peut faire ou ne pas faire.

Désormais, il semble que le défi consiste à élever un garçon, dans un environnement où les jeunes filles sont de plus en plus poussées à l’indépendance, où les physiques médiatisés sont parfaits et hyper sexualisés.

Les médias ont apporté des problématiques relatives aux échanges trop intimes sur le web, notamment les échanges de photos de personnes à moitié nues, ou entièrement! De nos jours, les parents qui élèvent des filles doivent plutôt leur dire : « Tu sais que tu n’as pas à ressembler à ces mannequins, n’est-ce pas? Il s’agit de publicité, et non de réalité ».

Quant aux parents qui élèvent des garçons, la grande responsabilité consiste à leur enseigner à devenir des gentlemen.

En effet, les garçons doivent savoir que non seulement ils ne doivent jamais encourager leur petite amie à envoyer des photos inappropriées sur internet, mais même les refuser si la requête vient d’elle. Autrement, ce sont eux qui auront des problèmes avec la justice si celles-ci circulent.

En résumé, les parents de garçons doivent revenir aux sources. Leur montrer les bonnes manières, le respect, les limites à ne pas dépasser, et ce, malgré toute la pression sociale et médiatique qui encourage le contraire.

Dans une ère où tout ce qui était inacceptable est maintenant la norme, les parents ont le rôle ingrat de préparer les prochaines générations à un retour à l’acceptable.

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La journée idéale serait loin de la réalité du quotidien

Deux chercheurs, un Allemand et un Américain, se sont penchés sur la question du bonheur, et plus particulièrement sur la journée idéale, rapporte Top Santé.

Le premier constat issu de cette recherche originale est que les clés et les éléments d’une journée parfaite ne sont pas si complexes qu’on pourrait le croire, et qu’ils vont un peu à l’encontre de nos principes modernes et de notre obsession de la performance et de l’aspect financier.

Les deux chercheurs, Sebastian Pokutta et Christian Kroll, ont donc fractionné en détail cette fameuse journée parfaite, dans une théorie qu’ils ont baptisée « méthode de reconstruction de journée ».

À la minute près, donc, la journée parfaite moyenne serait constituée de 106 minutes de sexualité pour seulement 36 minutes de travail! 82 minutes seraient octroyées à la pure socialisation, soit du temps pour prendre soin de ses proches et amis et échanger avec eux.

On prendrait ensuite près de 70 minutes pour manger et méditer, et moins de 50 minutes pour les tâches ménagères. 48 minutes seulement devraient être allouées à l’ordinateur, le même nombre que pour la sieste.

Puis, comme si ce n’était pas assez, on ajoute du temps consacré à la relaxation… On peut donc dire que si ces conclusions sont le reflet des besoins humains, nous sommes dans une direction qui va à l’encontre de notre nature même.

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Le mariage est-il gage d’un gain de poids?

Une nouvelle recherche établit un lien entre le mariage et le gain de poids, rapporte The National Library of Medicine.

S’il s’agissait jusqu’à présent d’un simple cliché, des chercheurs américains croient maintenant pouvoir en faire la preuve. Pour y parvenir, ils ont étudié les cas de plusieurs nouveaux mariés, sur une période de quatre ans.

Les conclusions sont claires : le mariage est un véritable ennemi de la taille fine. Ce qui s’avère d’autant plus étonnant, c’est qu’il semble que la notion de bonheur au sein du mariage joue également un rôle prédominant dans la prise éventuelle de poids. Ainsi, plus on est heureux dans son mariage, plus on prendrait du poids!

« Il est accepté depuis longtemps qu’une prise de poids est associée avec l’union du mariage, et qu’une perte de poids est quant à elle associée au divorce ou à la séparation. Ce qui était moins clair, c’est le rôle joué par le fait d’être heureux dans ce mariage sur la variation de la masse corporelle », explique Andrea Meltzer, psychologue et auteure de l’étude.

Le phénomène s’expliquerait en partie par le fait que les gens malheureux pensent plus au divorce et s’assurent de conserver une belle silhouette… au cas où.

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Ces parents qui regrettent d’avoir eu des enfants

« Si c’était à refaire, je ne le ferais pas » et « Sans enfant, je suis beaucoup plus heureux » sont des citations que vous avez peut-être déjà entendues dans votre entourage.

Ces mots prennent tout leur sens avec un sondage réalisé par RTL.be/Ivox en Belgique. Cette enquête a permis d’établir que 13 % des parents belges — et probablement une proportion équivalente dans d’autres pays — regrettent leur choix de vie.

Il semblerait même que le temps n’arrange pas les choses, car il y aurait plus de remords chez les parents plus âgés. Parmi ces 13 % de parents qui déplorent la parentalité, 6 % sont de jeunes parents de moins de 30 ans, et 14 % ont de 30 à 49 ans.

Il a été démontré que le niveau d’études pouvait également avoir un impact sur la façon dont était vécu le rôle de parents. En effet, ce sont 17 % des parents au niveau d’éducation plus faible qui regrettent, contre moins de 10 % des parents au niveau d’éducation plutôt élevé.

Alors que la société dresse un tableau parfait de la famille, du bonheur d’avoir des enfants et du sentiment de réalisation que la parentalité peut apporter à un couple, une mère de deux enfants, Corinne Maier, déçue par la maternité, a écrit le livre No Kid : quarante raisons de ne pas avoir d’enfant.

Pour ceux et celles qui se sentiraient jugés, anormaux ou qui aimeraient se comparer pour se consoler, découvrez les différentes raisons valables de ne pas procréer, selon cette auteure.

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Les mères québécoises craignent la boîte à lunch

Confusion, embarras, dégoût et stress sont les quatre principales émotions que ressentent les mères québécoises lorsqu’elles préparent le lunch des enfants.

Certaines confirment même que la confection de la boîte est une réelle corvée, tant que l’enfant, l’école et la société imposent leurs contraintes en matière de bonne nutrition, d’allergies ou autres.

Il semblerait que l’enfant est trop souvent le maître décisif du dossier sac à lunch. Plusieurs jeunes confirment faire du troc à l’école, à l’insu de leurs parents, échangeant ainsi de bons aliments pour ceux qui sont salés et riches en calories.

À l’achat d’une boîte à lunch, les parents disent rechercher la durabilité et la facilité de lavage, tandis que les enfants poussent pour avoir celle qui a un look.

Certains élèves disent également avoir peur des surveillants (débordés dans les services de garde) qui sont contrariés parce qu’il y a « encore » un dîner à faire réchauffer.

Sur ce, l’étude a démontré que seuls 30 à 40 % des enfants, selon les groupes d’âge, mangent des repas faits maison et non du commercial ou surgelé.

Cette étude, qui vient d’être réalisée par Julie-Michèle Mondou dans le cadre de sa maîtrise en nutrition à l’Université de Montréal, révèle que presque la moitié (46 %) des élèves de 5 à 12 ans, au Québec, apportent leur repas à l’école.

Cependant, la majorité des écoles n’ont pas de cafétéria et pas suffisamment de micro-ondes. Les enfants sont d’ailleurs souvent obligés de manger en classe, au gymnase ou même dans les corridors.

Et il arrive fréquemment que les petits doivent casser la croûte à toute allure. Malgré une recommandation du ministère de l’Éducation qui suggère de réserver au moins 20 minutes au dîner, 31 % des écoles n’offrent pas ce temps.

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Les parents homosexuels ressentent plus de pression

Les experts demandent de soutenir davantage les familles de couples du même sexe. Ces parents peuvent ressentir plus de pression sur le fait d’élever un enfant hétérosexuel.
 
Le journal Family Process affirme que les couples homosexuels sentent encore que pour prouver qu’ils sont de bons parents, leurs enfants doivent absolument être hétérosexuels. Pourtant, la fréquence de l’homosexualité n’est pas plus élevée chez un couple de même sexe qu’un couple hétérosexuel.
 
La société devrait changer de mentalité, car des recherches ont prouvé que les enfants qui grandissent au sein d’une famille avec un couple de gais, lesbiennes, bisexuels ou transgenres sont psychologiquement sains. De plus, ils sont souvent meilleurs à l’école et ont une incidence à avoir moins de problèmes sociaux que leurs pairs.
 
Ces familles différentes ne devraient donc pas être jugées aussi sévèrement ni pointées du doigt, mais plutôt recevoir le même soutien que les familles traditionnelles.