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Les avantages et les risques du tourisme médical

Le tourisme médical est une notion de plus en plus réelle et populaire à travers le monde, et se définit par le fait d’effectuer une visite en sol étranger pour recevoir des soins de santé plus adéquats ou plus rapides.

Les CDC américains parlent d’une hausse des cas de citoyens américains qui s’inscrivent dans les cas de tourisme médical, soit maintenant près de 750 000 annuellement. Même chose du côté du Québec, alors que le système de santé ralenti et mal en point donne de plus en plus l’envie à certaines personnes de tenter l’expérience de soins à l’étranger.

Mais si la manœuvre comporte certains avantages incontestables, elle comprend aussi certains risques.

Les CDC mettent d’abord en garde contre les problèmes de communication qui peuvent survenir entre le médecin ou le personnel médical et vous, si vous ne parlez pas la même langue.

Certains pays n’ont pas les mêmes normes de stérilité ou d’hygiène que partout ailleurs, ce qui peut faciliter la transmission de maladies ou le développement d’infections. Même chose pour les stocks de sang, qui sont parfois offerts par des donneurs payés, et non testés de façon systématique.

Les médicaments et traitements approuvés ne sont pas les mêmes partout, un fait qui peut s’avérer un avantage, mais aussi un inconvénient, notamment au niveau des risques et des effets secondaires.

On suggère donc de s’informer massivement sur la destination, les lieux, la langue, le centre médical et les lois auxquels vous devrez faire face une fois en sol étranger, et ne rien laisser au hasard.

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La PAI : un phénomène rare mais sous-estimé

Si vous êtes une jeune femme aux prises avec de sérieux problèmes de maux de ventre ou que vous connaissez une personne dans votre entourage qui éprouve ce genre de problème de santé, et que plusieurs diagnostics et traitements se sont avérés vains, il serait possiblement utile de vous familiariser avec la PAI, ou la porphyrie intermittente aiguë.

Phénomène rare mais sous-estimé, note Top Santé, la PAI s’attaque surtout aux jeunes femmes de 15 à 35 ans, à cause de leurs hormones, et toucherait tout de même une femme sur 75 000 dans le monde, apprend-on.

« Il faut dire que les douleurs abdominales orientent les médecins, le plus souvent et à juste titre, vers des pathologies médicales ou chirurgicales moins rares. Or, si des médicaments inadaptés sont prescrits pour soulager la douleur, le risque de survenue de complications devient plus important », notent certains experts, qui souhaitent voir les patients et médecins se sensibiliser au phénomène.

Détectable par un simple test d’urine, la porphyrie intermittente aiguë demeure traitable, selon les informations proposées, et serait surtout déclenchée par une variation (ou un traitement) au niveau des hormones, du stress ou une alimentation trop riche en calories.

Si vous ou l’un de vos proches éprouvez des douleurs abdominales ou au ventre et qu’aucune solution n’a porté des fruits, on suggère de s’informer auprès de son médecin concernant la possibilité d’un diagnostic de porphyrie intermittente aiguë.

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Kiehl’s relooke le flacon de son soin iconique en soutien à l’association d’Alicia Keys

La marque de cosmétiques lancera, en janvier prochain, une édition limitée de son soin régénérant Midnight Recovery Concentrate. Les bénéfices de la vente seront reversés à l’association de la chanteuse Alicia Keys, Keep a Child Alive.

Cofondée par Alicia Keys et Leigh Blake, Keep a Child Alive oeuvre pour permettre aux enfants et aux familles touchés par le VIH/sida d’accéder à des soins et à des traitements.

La marque américaine Kiehl’s se mobilise pour l’association, en lançant une version inédite de son soin emblématique. Le flacon de cet élixir botanique, formulé à partir de 99,8 % d’ingrédients d’origine naturelle, est transformé pour l’occasion aux couleurs de Keep a Child Alive.

La bouteille reprend le logo et la signature de l’association, avec la mention Join our movement!. Elle sera mise en vente à compter du 15 janvier prochain.

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Un nouveau site dévoilera les performances des centres hospitaliers du Québec

On blâme souvent le système public de santé du Québec, parfois avec raison, alors qu’il ne traverse pas ses meilleurs moments et semble continuellement engorgé et en manque de ressources.

Or, la situation n’est pas la même partout et peut varier en fonction de la période de l’année, mais aussi de l’établissement de santé visité. Pour s’y retrouver, l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) propose maintenant l’idée d’un site web qui compilerait des statistiques liées aux performances des centres hospitaliers du Québec, rapporte Radio-Canada.

Le site se diviserait principalement en cinq catégories, soit l’accès aux soins, les dépenses, la qualité du service, les résultats observés et la qualité des outils de prévention déployés. Chacun pourra donc en savoir davantage sur le centre de santé de sa région, et ajuster le tir au besoin.

Il s’agit d’un outil qui pourrait s’avérer très utile, et bien qu’il ajoute de la pression au personnel des hôpitaux du Québec, il pourrait obliger certains établissements à rehausser la qualité des soins offerts et améliorer leurs performances générales. 

Bien qu’au moment d’écrire ces lignes, le site était inaccessible pour maintenance, les citoyens devraient pouvoir quérir ces informations via le www.notresystemedesante.ca sous peu.

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Des Québécois prêts à payer pour améliorer le système de soins à domicile

Signe que les mentalités évoluent ou que la situation a finalement atteint un certain point de non-retour, Radio-Canada rapporte qu’une proportion considérable de Québécois accepterait maintenant de débourser pour améliorer certains services au sein du système de santé.

C’est ce qui ressort d’un sondage Léger effectué en août dernier auprès de 810 répondants, et qui traduit peut-être le début d’une nouvelle mentalité québécoise.

44 % des répondants se disent en effet prêts à débourser davantage afin d’assurer le financement et l’amélioration de services à domicile, contre 33 % qui se positionnent contre l’idée.

22 % n’ont pas jugé bon répondre ou n’avaient tout simplement pas les informations nécessaires pour faire un choix éclairé. Quoi qu’il en soit, qu’une majorité de personnes soient pour une hausse des contributions étonne déjà en soi.

« Nous sommes à l’heure où la société québécoise devra faire le choix de contribuer davantage pour les services de santé et de maintien à domicile des personnes en perte d’autonomie », lance Lise Denis, porte-parole de la Semaine des droits des usagers, pour qui le sondage avait justement été commandé.

Avec près de la moitié du budget provincial englouti en santé et un vieillissement de la population fulgurant à prévoir au cours des prochaines décennies, plusieurs croient maintenant qu’il est temps d’agir.

Le débat ne fait bien entendu que commencer.

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Un numériseur 2.0 qui pourrait changer le monde

Le Daily Mail (G.-B.) rapporte la création d’une nouvelle technologie qui pourrait bien révolutionner certaines façons de faire ainsi que l’accès aux soins partout dans le monde.

Il s’agit d’une numérisation qui utilise les dernières possibilités technologiques, un numériseur 2.0 en somme, et qui étonne par sa facilité d’accès.

C’est qu’en fait, le numériseur MobiUS se branche dans les téléphones intelligents et les tablettes électroniques afin de proposer une image instantanée de la numérisation effectuée sur un patient.

Il s’agit d’une percée américaine, et les chercheurs derrière le concept croient qu’ils pourront rendre leur trouvaille accessible partout dans le monde, permettant ainsi de meilleurs soins dans certains pays en développement.

Le MobiUS fonctionne avec sa propre tablette, mais l’équipe de chercheurs américains travaillerait actuellement à rendre le produit compatible avec les appareils de marque Apple et Android, notamment.

Si tout se déroule comme prévu, il s’agit sans aucun doute d’une grande nouvelle pour les patients et les praticiens du monde entier.

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La plupart des erreurs médicales seraient gardées secrètes

Un constat qui pourrait en effrayer plus d’un fait état de plusieurs erreurs médicales qui sont demeurées secrètes, les praticiens choisissant de ne pas révéler l’information à leurs patients.

Il semble que ce soit un comportement courant dans les corps médicaux du monde entier, rapporte nlm.nih.gov.

Il est cependant bon de spécifier que la plupart des erreurs non révélées dont on fait mention n’ont eu pour ainsi dire aucune conséquence sur les patients visés.

Doit-on alors inquiéter davantage un patient lorsqu’une erreur sans conséquence est commise? Voilà la grande question d’éthique qui se pose ici.

Le Dr Asad Latif, auteur en chef de l’étude, se dit surpris de ces révélations, mais prend le temps de préciser que 98 % des erreurs commises n’ont pas de réels impacts sur la santé ultérieure des patients.

De plus, il semble que la majorité de ces erreurs soient commises en urgence et aux soins intensifs, alors que la pression est à son paroxysme.

Il ajoute qu’il serait prématuré de s’inquiéter de ce phénomène, et que d’autres études sont à prévoir pour relancer le débat.

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La spiritualité oubliée lors des soins palliatifs

Une étude américaine parle d’un problème étonnant en matière de soins palliatifs, celui du manque flagrant de spiritualité dans les soins accordés aux patients en fin de vie.

C’est ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors que des chercheurs bostonnais pensent que la situation pourrait être corrigée et améliorée.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’aspect spirituel ne serait pas une priorité dans les centres de soins palliatifs.

« J’ai été très surpris de constater que ce n’était qu’un problème de formation des employés qui explique ce phénomène », explique Dre Tracy Balboni, une radio-oncologiste de l’institut Dana-Farber de Boston.

Malgré des directives précises qui encouragent pourtant une attention particulière à l’aspect spirituel des gens en fin de vie, l’étude constate que seulement le quart des patients reçoivent ce genre d’attention.

Dre Balboni ajoute : « Il fut un temps où les praticiens et infirmiers (ères) auraient dit que ce n’était pas leur travail, mais les esprits sont maintenant beaucoup plus ouverts, et nous sommes prêts pour ce genre de travail auprès des patients ».

Il faut souligner qu’en cette ère moderne où les tabous ne semblent plus vraiment exister, la foi semble en être devenu un.

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Activité spéciale en famille au Spa Eastman

D’ordinaire, les centres de soins et de balnéothérapie sont interdits aux tout-petits. La fondatrice du Spa Eastman, Jocelyna Dubuc, a souhaité faire profiter les enfants d’une belle détente en compagnie de leurs parents. Une offre généreuse qui a attiré plus de gens que prévu.

Ainsi, la fin de semaine du 9 au 11 novembre accueillait les familles dans un contexte de détente, de ressourcement et de découvertes pour petits et grands. Des activités tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, notamment de la méditation active, qui consiste à faire une marche guidée, tout en relaxant.

Madame Dubuc, lors du tour du propriétaire offert à BUM Interactif Groupe, s’est dite étonnée que les enfants s’adaptent aussi bien à l’environnement. D’ailleurs, une maman qui était assise dans la salle centrale, aménagée de plusieurs tables de massage, a chaleureusement remercié la fondatrice. Sa petite fille, étendue sur l’une des tables, profitait d’un mini-soin offert par le personnel qualifié. Habituellement hyperactive, la fillette était en état de totale relaxation.

Durant le weekend, des conférences avec naturopathes et ostéopathes ont été offertes à cette clientèle spéciale afin d’initier les parents aux bienfaits de la médecine alternative. De plus, à travers les découvertes culinaires, assistées du chef lui-même, les enfants et parents découvraient de nouveaux fruits, épices et légumes, prônant la saine alimentation.

Une activité qui aura lieu à nouveau en juillet 2013, pour le plus grand bonheur des parents et enfants. Un bien-être exceptionnel, qui aura permis à ces petites boules d’énergie de recevoir un cadeau inestimable. Celui du bien-être intérieur qui, trop souvent, n’est offert qu’aux adultes.

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Des infirmières qui font du bien aux bébés prématurés

Décernée par l’American Nurses Credentialing Center aux États-Unis, cette reconnaissance d’excellence est très difficile à obtenir.

Seulement 7 % des hôpitaux américains peuvent se vanter d’en détenir une. Pour y arriver, ils se sont démarqués dans cinq domaines distincts qui concernent la pratique exemplaire et le leadership.

Un rapport publié dans le journal de l’American Medical Association révèle que les poupons pesant moins de 3,3 livres à la naissance qui séjournent dans ce type d’établissements s’en sortent mieux que les petits nés dans des hôpitaux sans la reconnaissance.

En effet, une analyse auprès de 72 000 bébés prématurés a permis de constater que ceux ayant séjourné dans un hôpital accrédité par l’Association avaient des taux beaucoup plus faibles d’infection hospitalière (16,7 % contre 18,3 %), moins de chances de souffrir d’une hémorragie (7,2 % contre 7,8 %) et un taux de mortalité plus faible après sept jours de vie (7 % contre 7,4 %), en comparaison avec ceux nés dans les autres centres.

Toutefois, 28 jours plus tard, aucune différence n’était remarquée en ce qui a trait au taux de mortalité. Les enfants de chaque type d’hôpitaux ne semblaient pas mieux survivre ou mourir davantage.

Selon les spécialistes, de meilleurs résultats chez les bébés nés dans les hôpitaux détenant une reconnaissance peuvent être dus à une meilleure qualité dans l’unité de soins intensifs néonatals et les soins obstétriques de ces endroits.