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Le couple, un réel appui pour l’enfant

On lit dans Pediatrics des réflexions sur le soutien d’un enfant aux besoins particuliers par sa famille. Parent-Provider-Community Partnerships: Optimizing Outcomes for Children With Disabilities met de l’avant l’importance d’une saine vie de couple dans ce type de situation.

Il est vrai que les familles au sein desquelles vit un enfant ayant des besoins spéciaux en soins de santé font face à plusieurs défis. Ces derniers sont d’ordres médical, financier et social.

On souligne ici l’importance que la famille se fasse un partenaire de choix quant aux décisions à prendre, à l’éducation, aux services sociaux et aux soins médicaux. Les parents doivent s’unir pour transmettre leurs besoins et ceux de leur enfant.

Le premier soutien de l’enfant demeure donc sa famille. Elle sera en mesure, en demeurant alerte, d’offrir les meilleurs soins à ce dernier, et les autres membres de la famille pourront eux aussi prendre soin de leur propre santé physique et mentale.

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L’inquiétude des parents n’influence pas les soins

Une récente étude de l’University of Michigan contredit une croyance longtemps partagée par les médecins et les différentes instances de la santé. C’est que l’on croyait qu’après avoir reçu des résultats positifs, puis négatifs quant à une maladie chez leur nouveau-né, les parents en venaient à vivre une angoisse problématique.

On pensait que ces mêmes parents tendaient à demeurer inquiets quant à la santé de leur enfant jusqu’au point où ils le croient toujours très vulnérable aux maladies durant sa croissance. L’effet direct de cette angoisse est le recours incessant et exagéré aux services médicaux.

Les chercheurs ont pourtant remarqué que ce n’est pas le cas pour les parents ayant vécu cette situation. Ils se sont basés sur des données concernant près de 50 000 enfants pour en arriver à ce constat.

En effet, il s’est avéré que les enfants qui avaient reçu à leur naissance des résultats positifs, puis négatifs (au nombre de 818) n’étaient pas allés plus souvent chez le médecin que les autres.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dernièrement dans Pediatrics.

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Un enfant malade doit être renseigné sur son état

Les médecins et les parents devraient prendre le temps de discuter avec l’enfant qui se retrouve à l’hôpital. Sinon, ce dernier vivrait des moments stressants qui pourraient lui nuire.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs après avoir rencontré 55 enfants au sein de 3 hôpitaux. Les discussions se sont faites individuellement ou en groupe. Il semble que ces enfants auraient tout à gagner en participant activement aux discussions portant sur leur santé.

De plus, les adultes autour d’eux, tels leurs parents et les médecins, devraient prendre le temps d’écouter leur avis et leurs questionnements lorsqu’il s’agit des soins médicaux qu’ils doivent recevoir.

En regard aux commentaires des enfants, on a en effet remarqué que les enfants vivent de grandes insatisfactions lorsque les adultes leur prodiguent des soins sans leur expliquer en quoi ils consistent.

Les résultats de cette étude ainsi que des extraits de discussions tenues lors des rencontres avec les chercheurs sont parus dans le Journal of Clinical Nursing.

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La raison première d’une mort infantile

Selon les résultats d’une étude publiée dans Archives of Pediatrics and Adolescent Medicine, plusieurs morts néonatales seraient dues à un abandon des soins médicaux d’urgence.

Au cours des 30 dernières années, les parents ont eu de plus en plus tendance à laisser de côté les traitements médicaux prolongeant la vie. Ils seraient aussi moins portés à tenter de les réanimer.

La mort néonatale, soit celle survenant avant le 28e jour de vie, constitue la cause la plus fréquente de mort infantile aux États-Unis. Il semble qu’elle survient plus souvent, de nos jours, à la suite d’une déchirante décision.

Poursuivant la recherche, le Children’s Mercy Hospital de Kansas City a suivi 414 petits bébés décédés entre 1999 et 2008 dans un service de soins intensifs néonataux.

Près de la moitié de ces nouveau-nés (45 %) présentaient des défectuosités de naissance. On a relevé que 61,6 % de tous les bébés de la cohorte sont décédés des suites d’un abandon de traitement.

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Dangers sournois de la vie moderne

Une étude de l’Université du Michigan stipule que la ventilation mécanique serait dommageable à long terme pour les plus jeunes.

Il semble que les enfants qui sont plus souvent exposés à la ventilation mécanique auraient plus souvent besoin de soins médicaux, incluant les hospitalisations et les visites à l’urgence.
 
Précisément, les enfants qui souffrent de maux chroniques et qui ont besoin de vivre à long terme sous une ventilation mécanique accusent des taux nettement plus élevés de mortalité, demeurent plus longtemps à l’hôpital et vont plus souvent aux urgences.
 
Les problèmes de santé que vivent ces enfants sont par exemple les conséquences d’une naissance prématurée ou la dystrophie musculaire.

D’autre part, cette recherche parue sur Medical News Today a permis de constater que si les bébés de moins d’un an représentent le quart de la population, ils utilisent près de la moitié des services médicaux offerts.