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Les États-Unis révisent la nécessité des soins prénataux

Les soins prénataux (combinaison de tests de diagnostic et de dépistage) sont l’une des raisons les plus courantes qui poussent les femmes américaines à faire une visite chez le médecin. Elles représentent environ 22 millions de visites par an.

US Preventive Services Task Force (USPSTF) a fait une enquête et un sondage au sujet des soins médicaux que recevaient les futures mères entre 2001 et 2006.

L’organisation a estimé les taux de la culture d’urine, du dépistage de l’anémie, du test oral de tolérance au glucose (HGPO) et de l’analyse d’urine pendant les soins prénataux.

En moyenne, bien que le taux ait diminué au cours de l’enquête, la moitié des femmes ont fait une culture d’urine. Pour l’USPSTF, il y a encore trop de femmes qui ne font pas une culture d’urine au début de la grossesse. Ce test est le plus important des quatre examens et devrait être privilégié, selon l’organisation.

En revanche, l’analyse de l’urine pour permettre de voir les infections des voies urinaires des femmes est quant à elle trop souvent faite pour rien.

Il est prouvé que les femmes ont reçu au moins un test de dépistage de l’anémie en moyenne par grossesse, ce qui est également fortement recommandé. Quoique tout de même régulier, le test HGPO a été, lui, un peu moins fréquent.

Les experts ont également conclu qu’il semblerait que les minorités visibles et les femmes plus âgées ont accès plus facilement aux quatre tests de dépistage que les jeunes femmes et celles de race blanche.

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Des soins prénataux qui couvrent tout

On peut lire dans General Hospital Psychiatry une revue des soins apportés aux femmes dépressives durant leur grossesse.

Selon les données recueillies auprès de 20 centres de santé et 6 cliniques, on constate que ces femmes ne sont pas soutenues de manière suivie.

C’est-à-dire que les femmes enceintes atteintes de dépression tendent à ne pas recevoir un traitement continu. Cela a pour conséquence qu’elles passent souvent plus de temps à l’hôpital avant la naissance de leur enfant.
 
Les répercussions en sont importantes, tant pour le système de santé que pour la femme et les membres de sa famille.

Parallèlement, une étude précédente, publiée dans le Journal of Women’s Health, avait démontré que la dépression durant la grossesse était liée à un plus grand risque de complications et de prééclampsie, entre autres.