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Une farine qui permettrait de réduire les risques de démence

Des chercheurs sont à mettre au point un nouveau type de farine, rapporte MedicalNewsToday, qui pourrait permettre de réduire les risques de démence.

C’est à tout le moins le souhait exprimé par l’équipe de chercheurs des universités de Loughborough, Bogor et d’Indonésie, qui concoctent une farine à base de tempe, un ingrédient largement répandu dans la cuisine asiatique.

Il s’agit donc d’une farine à base de soja, qui comprend un nombre considérable de vitamine B et de phyto-estrogènes, des éléments qui stimuleraient les fonctions cognitives et de la mémoire, selon plusieurs études précédentes.

Maintenant que les essais cliniques et les études sur les peuples asiatiques ont démontré la véracité de leur théorie, les chercheurs en tête du projet souhaitent maintenant commercialiser leur nouvelle farine.

« La prochaine étape est de voir si on peut répéter nos découvertes initiales sur la population occidentale. Si ça fonctionne, ce sera une étape majeure de franchie en prévention du déclin de la mémoire dû au vieillissement », résume Eef Hogervorst, l’un des directeurs du projet et chercheur à l’Université de Loughborough

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En Allemagne, le soja est l’avenir de la saucisse

Les jours de la saucisse et des escalopes panées sont-ils comptés en Allemagne? C’est du moins ce dont rêvent les adeptes du véganisme, de plus en plus nombreux dans le pays et friands de substituts de viande à base de végétaux.

Veganz, une jeune chaîne allemande de supermarchés végans, ne connaît pas la crise : après un an et demi d’existence à peine, son troisième magasin a ouvert fin mars dans un quartier branché de Berlin, et la marque veut se doter de 20 filiales en Europe d’ici trois ans.

L’engouement en Allemagne pour les produits n’intégrant aucune matière issue d’êtres vivants (ni viande, ni lait, ni oeuf, ni miel, ni cuir, ni laine…) est palpable dans son supermarché berlinois flambant neuf où se pressaient des centaines de personnes le jour de l’ouverture, notamment dans son rayon « viandes, saucisses et poissons », entièrement à base de produits végétaux.

On y trouve par exemple des saucisses au soja et au tofu, ou des schnitzels (escalopes de porc panées) à base de protéine de blé, qui ressemblent à s’y méprendre à de la viande.

Ces succédanés de viande sont « une part importante de notre chiffre d’affaires », car « en réalité, la plupart de nos clients ne sont pas végans à 100 % et ne veulent pas bouleverser leur mode d’alimentation, ils veulent des produits qui ressemblent à ce qu’ils connaissent déjà », explique le fondateur, Jan Bredack.

Les adeptes du véganisme essaient de vivre sans exploiter les animaux, que ce soit pour se nourrir, s’habiller ou pour tout autre but.

Ainsi dans le sillage de petits producteurs pionniers se positionnent des géants de la viande comme Vion Food, qui a lancé depuis quelques années Vegetaria, une gamme de substituts de viande.

Gare toutefois aux excès d’additifs dans la « viande végétale », un phénomène en contradiction avec le message de santé et de développement durable que leurs producteurs et distributeurs veulent promouvoir.

« Par le passé, certains substituts de viande que nous avions fait tester en laboratoire avaient révélé des traces de soja génétiquement modifié », des arômes ou des traces d’acides gras toxiques, note Birgit Hinsch, rédactrice à la rubrique alimentation du magazine pour consommateurs Ökotest.

Quant au goût, « certains produits se rapprochent effectivement de la viande, mais leur consistance est souvent plus molle, plus élastique », constate Mme Hinsch.

Le salut pour les gourmets végans viendra peut-être de la viande in vitro, fabriquée à partir de cellules d’animaux, sur laquelle travaillent des scientifiques dans le monde entier, notamment aux Pays-Bas. Mais vu l’état actuel des recherches, ce n’est pas encore pour demain.

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Mieux comprendre et reconnaître l’intolérance au lactose

L’intolérance au lactose touche plus de gens qu’on pourrait le croire, et certaines personnes ne seraient même pas au courant, selon topsante.com.

C’est qu’il est facile de faire passer les réactions d’intolérance au lactose comme de simples indigestions ou ballonnements. Ces derniers sont d’ailleurs un symptôme d’une réaction possible aux produits laitiers.

Pour en avoir le cœur net, il est bon de comprendre le phénomène. Souvent présent dans la lignée génétique, vous pouvez regarder du côté de votre famille si des proches ou parents ont des problèmes similaires.

Cependant, d’autres facteurs peuvent entrer en ligne de compte, dont l’âge. Les symptômes peuvent varier, mais des problèmes digestifs, des maux de ventre, des gaz ou encore des problèmes cutanés sont de bons signaux, s’ils apparaissent après la consommation de produits laitiers.

L’intolérance au lactose peut aussi prendre la forme d’une infection, comme la conjonctivite ou encore l’eczéma chez les tout-petits.

Il existe des solutions de remplacement lorsqu’on conclut que l’on souffre bel et bien d’intolérance au lactose, comme les laits de soja ou de noix, tous retrouvés au comptoir bio.

Pour vérifier, vous pouvez tenter de boire un ou deux verres de lait le matin, à jeun, et confirmer les symptômes. Consultez votre médecin avant de faire des changements alimentaires draconiens, comme de couper tous les produits laitiers d’un coup.

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Le soja pour contrer les effets du bisphénol A

Nous savions qu’une exposition au bisphénol A (BPA) en début de vie pouvait augmenter les risques de souffrir de troubles anxieux, car cela provoque des changements d’expression génétiques dans l’amygdale du cerveau.

Selon la revue PLoS ONE, une alimentation riche en soja pourrait contrer ces effets.

Des chercheurs ont exposé des rats à de faibles doses de BPA pendant la gestation, la lactation et la puberté. Un groupe a reçu une alimentation exclusivement à base de soja, un groupe n’en a pas reçu, un groupe a eu du soja et a été exposé au BPA, et un groupe n’a pas eu de soja et a été exposé au BPA.

Les rongeurs qui n’ont pas eu de soja et ont été exposés au bisphénol A avaient un niveau d’anxiété élevé, puis on a remarqué dans leur cerveau des modifications génétiques liées aux troubles anxieux.

Les rats qui ont reçu une alimentation riche en soja n’ont pas démontré de signe d’anxiété, ce qui laisse croire que le soja peut réduire les effets du bisphénol A.

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Le lait de soja aussi bon que le lait en poudre

« Alors que nous estimons qu’il y a des avantages significatifs à allaiter, les parents qui ne peuvent pas ou ne veulent pas allaiter ne doivent pas se sentir coupables et craindre des problèmes de développement pour leur enfant », a affirmé Thomas Badger, directeur de l’Arkansas Children’s Nutrition Center, au Huffington Post.

En effet, le lait en poudre, et désormais le lait de soja, serait presque aussi bon pour la santé et le développement de bébé que le lait donné au sein, si l’on se fie à l’étude de M. Badger publiée dans la revue Pediatrics.

Pour arriver à ces conclusions, 400 bébés ont été suivis à intervalle de trois mois jusqu’à ce qu’ils aient un an. Ils ont été divisés en trois groupes. Certains étaient nourris au sein, d’autres au biberon avec du lait commercial, et d’autres avec du lait végétal.

Prenant en considération l’âge de la mère, le QI et le statut social et économique des parents, il s’est avéré qu’il y avait une minime différence entre l’allaitement au sein et celui au biberon, mais aucune différence n’a été remarquée entre les deux laits donnés au biberon.

Les bébés allaités ont donc connu un meilleur développement que les autres, notamment concernant leur habilité à combiner leurs fonctions cognitives et leurs capacités physiques, mais « les différences sont minimes », conclut M. Badger.

Cette récente recherche vient à l’encontre d’études antérieures qui avançaient que la consommation de lait de soja par les bébés pouvait causer des problèmes de développements sexuels et comportementaux.

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Fertilité : jaune d’oeuf et huile de soja?

Ce mélange a permis à une femme britannique d’accoucher prématurément de jumeaux en avril dernier, après quatre traitements de fécondation in vitro infructueux, rapporte le Daily Mail.

Des professionnels de la santé lui ont administré un compte-gouttes avec la formule à base de jaune d’œuf et huile de soja, et elle était finalement enceinte au cinquième traitement de FIV.

« Un traitement par perfusion intralipide » à base de ces produits élevés en calories et en acides gras essentiels est généralement utilisé pour donner un coup de pouce nutritionnel aux patients postopératoires et aux bébés prématurés.

Il semblerait que le mélange a un effet stabilisant sur les membranes cellulaires, ce qui rend plus difficile pour les cellules tueuses d’attaquer le système immunitaire, expliquent des spécialistes.

Les médecins croient que pour rendre le rêve de la maternité plus accessible aux femmes qui ont des problèmes de fertilité, le mélange soja-œuf pourrait aider à surmonter le problème du système immunitaire dans lequel les cellules tueuses attaquent l’embryon fécondé.

Ce traitement pourrait donc aider les femmes ayant un système immunitaire trop actif, tout comme celles qui ont recours à la FIV, qui tentent de tomber naturellement enceintes ou qui font des fausses couches à répétition.

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Une protéine de soja pour protéger le foie

Des chercheurs de l’University of Illinois College of Agricultural affirment qu’une protéine du soja pourrait réduire l’accumulation de graisse et de triglycérides dans le foie des personnes obèses.
 
L’obésité est un facteur clé de la stéatose hépatique ou maladie du « foie gras », alors qu’il y a une accumulation de graisse dans les cellules hépatiques. Cela peut conduire à une insuffisance hépatique, où les graisses sont métabolisées dans le foie.
 
« Quand la graisse s’accumule dans un organe qui n’est pas censé la stocker, comme c’est le cas du foie, sa fonction vitale est dangereusement compromise », explique le professeur et auteur principal de l’étude, Hong Cheng, qui a présenté ses résultats lors du congrès de l’Experimental Biology.
 
On retrouve la protéine de soja dans le tofu et le yaourt de soja, entre autres.
 
Les tests menés sur des rats sont plutôt concluants, alors que la protéine de soja restaure partiellement la voie de signalisation clé dans le métabolisme des graisses.
 
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Une protéine de soja pour protéger le foie

Des chercheurs de l’University of Illinois College of Agricultural affirment qu’une protéine du soja pourrait réduire l’accumulation de graisse et de triglycérides dans le foie des personnes obèses.
 
L’obésité est un facteur clé de la stéatose hépatique ou maladie du « foie gras », alors qu’il y a une accumulation de graisse dans les cellules hépatiques. Cela peut conduire à une insuffisance hépatique, où les graisses sont métabolisées dans le foie.
 
« Quand la graisse s’accumule dans un organe qui n’est pas censé la stocker, comme c’est le cas du foie, sa fonction vitale est dangereusement compromise », explique le professeur et auteur principal de l’étude, Hong Cheng, qui a présenté ses résultats lors du congrès de l’Experimental Biology.
 
On retrouve la protéine de soja dans le tofu et le yaourt de soja, entre autres.
 
Les tests menés sur des rats sont plutôt concluants, alors que la protéine de soja restaure partiellement la voie de signalisation clé dans le métabolisme des graisses.
 
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Le soja peut nuire à des femmes ayant le cancer du sein

Une étude effectuée sur des rats, présentée lors de la Conférence sur le cancer à Chicago, démontre que le soja peut être nocif pour certaines femmes avec le cancer du sein.
 
En effet, le soja peut rendre les tumeurs plus résistantes aux traitements.
 
En laboratoire, on a constaté que les rats ayant été nourris toute leur vie avec du soja ont bien réagi au traitement Tamoxifen, couramment utilisé contre le cancer.
 
Toutefois, les rongeurs qui ont commencé à consommer du soja à l’âge adulte ou après leur diagnostic de cancer ont développé une plus grande résistance au traitement.
 
« Ces résultats suggèrent que les femmes occidentales qui ont commencé le soja à l’âge adulte devraient arrêter d’en manger si elles sont atteintes d’un cancer du sein », explique la spécialiste du cancer et professeure à l’université de Georgetown, Leena Hilakici-Clarke.
 
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Le raisin et le soja pour abaisser l’hypertension

Deux études présentées lors de la Conférence de l’American College of Cardiology dévoilent des aliments efficaces pour contrer l’hypertension.
 
La première étude, effectuée auprès de 46 personnes, démontre les effets du raisin pour abaisser la tension artérielle. 50 % des participants ont consommé des raisins trois fois par jour, et l’autre moitié du groupe devait prendre des collations comme des biscuits, mais pas de fruits ni de légumes.
 
Les personnes ayant consommé le raisin avaient une meilleure pression artérielle. On explique ce phénomène par les niveaux élevés de potassium et d’antioxydants contenus dans ce petit fruit.
 
La deuxième étude, qui a débuté en 1985 avec 5115 personnes âgées de 18 à 30 ans, s’est concentrée sur la forte teneur en isoflavones du soja.
 
On a constaté que ces isoflavones aidaient à dilater les vaisseaux sanguins, réduisant par conséquent la pression.
 
Maintenant, des essais cliniques à plus grande échelle devraient être amorcés afin de confirmer ces résultats.