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Le soja contre le cancer colorectal

Voici un nouvel espoir dans la lutte contre le cancer colorectal. Une équipe de l’Université de l’Illinois a découvert qu’un composé du soja pouvait s’attaquer aux cellules hautement métastatiques de ce type de cancer, les empêchant notamment de se fixer au foie.
 
Selon les chercheurs, la grande majorité des décès venant du cancer colorectal sont dus aux métastases ou au fait que la maladie s’est propagée au foie.
 
Ce composé du soja, le lunasin, jumelé avec des médicaments de chimiothérapie comme l’oxaliplatine, réduirait jusqu’à six fois le nombre de zones tumorales.
 
Le lunasin arrive à pénétrer les cellules cancéreuses et freine ainsi leur propagation.
 
Deux verres de lait de soja par jour fournissent seulement la moitié du lunasin utilisé pour l’étude, mais les scientifiques croient qu’il serait possible de fournir des laits de soja enrichis afin que les consommateurs en prennent comme moyen préventif.
 
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Le soja ne réduit pas les symptômes de la ménopause

Une étude réalisée à l’University of Miami démontre que les suppléments de soja ne sont d’aucune utilité pour réduire les symptômes de la ménopause comme les bouffées de chaleur. Au contraire, ils peuvent même les aggraver. 

Selon les Archives of Internal Medicine, les femmes qui ont pris des suppléments d’isoflavones de soja tous les jours, pendant deux ans, n’ont pas vu d’amélioration de leurs symptômes de la ménopause. Elles ont perdu la même densité osseuse que les femmes qui avaient pris un placebo, ce qui les expose autant à un risque accru d’ostéoporose et de fractures.
 
Les femmes qui ont pris le soja ont même eu plus de bouffées que chaleur que les autres. Elles ont également mentionné qu’elles avaient eu des problèmes d’estomac et de digestion, mais aucun effet secondaire grave n’a été rapporté.
 
Depuis qu’il a été prouvé que les traitements habituels pour traiter les symptômes de la ménopause, comme la prise d’œstrogènes, augmentaient les risques de cancer et de problèmes cardiaques, les chercheurs tentent de trouver des alternatives sans danger. Pour l’instant, aucune ne donne les résultats souhaités.
 
On recommande plutôt de pratiquer des activités physiques régulièrement, en plus de s’assurer de consommer assez de calcium et de vitamine D.
 
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Le soja n’affecte pas la fertilité masculine

Une étude publiée en ligne sur le site Fertility and Sterility démontre que le soja n’a finalement aucune incidence sur la fertilité masculine. Il n’y a donc aucun effet néfaste qui a été constaté.
 
Depuis plusieurs années, on croyait que le soja avait une influence sur la qualité du sperme. Ce sont surtout les isoflavones, un composé du soja, qui étaient pointés du doigt. On croyait que ce composé avait des effets nuisibles sur le sperme.
 
Des chercheurs se sont ainsi penchés sur la question. Durant trois essais qui ont duré 57 jours chacun, 32 hommes en bonne santé ont consommé chaque jour une boisson à base de poudre d’isoflavones plus ou moins concentrée.
 
Finalement, à la lumière des analyses, les résultats obtenus sont plutôt rassurants, car on ne dénote aucune anomalie et le sperme n’est pas affecté. C’est ce qui a été conclu après avoir mesuré la quantité d’isoflavones dans les échantillons d’urine et de sperme des hommes.
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Prévenir la douleur chronique par le soja

Déjà, des chercheurs avaient observé que le soja diminuait la douleur chez les rats, mais cette fois, une équipe de l’Université McGill à Montréal tente de trouver le moyen de prévenir, avec cet aliment, la douleur chronique, une pathologie qui est définitive lorsqu’elle commence à se faire sentir.
 
Les scientifiques ont remarqué que lorsqu’ils soumettaient les rats à un régime alimentaire à base de soja, les effets pour prévenir la douleur étaient spectaculaires. Les premiers résultats ont été tellement difficiles à croire que l’équipe a procédé à d’autres examens et les conclusions étaient encore meilleures.
 
Le soja pourrait donc devenir une option différente des soulagements traditionnels, comme la morphine notamment.
 
Toutefois, avant d’encourager les gens à adopter un régime alimentaire à base de soja, une étude à grande échelle sur les humains est nécessaire. Pour les trois prochaines années, l’équipe de chercheurs va notamment évaluer cette option sur la douleur chronique ressentie par les femmes après une chirurgie pour un cancer du sein.
 
Les experts s’attendent à une réduction de la souffrance de près de 50 %.
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La majorité des enfants allergiques au soja en guérissent

Une étude américaine dévoile que la grande majorité des enfants qui sont allergiques au soja finissent par en guérir.
Selon Le Point, des scientifiques de l’hôpital John Hopkins à Baltimore, aux États-Unis, ont suivi 133 enfants qui étaient allergiques au soja depuis l’âge de sept mois.
 
Dans ce groupe, 64 % étaient asthmatiques, 71 % avaient une rhinite et 81 % souffraient d’eczéma.
 
Ils ont constaté qu’à l’âge de quatre ans, 25 % des enfants étaient maintenant devenus tolérants au soja. À 6 ans, ce taux passait à 45 %. Finalement, à l’âge de 10 ans, 69 % des enfants qui étaient allergiques au soja en étaient guéris.
 
Une bonne nouvelle donc, car les allergies alimentaires chez les enfants demandent une surveillance constante de la part de tout l’entourage de l’enfant et de celui-ci également, ce qui est parfois difficile à faire comprendre en bas âge.
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Moins de soja si vous souhaitez avoir un enfant

Le soja et la fertilité ne feraient pas bon ménage, selon une étude américaine.
Des chercheurs se sont penchés sur la question pendant six ans pour connaître les habitudes alimentaires de 99 hommes qui souffrent d’infertilité.
 
Les résultats sont plutôt surprenants. Selon Famili, les plus grands consommateurs de soja avaient une concentration de spermatozoïdes dans leur sperme deux fois moins élevée que la moyenne. Ils avaient une concentration de 41 millions par millilitre, alors que la moyenne générale est de 80 à 120 millions par millilitre. Cela diminue donc les chances de pouvoir procréer.
 
Il y aurait ainsi un lien de cause à effet entre une grande consommation de soja et la fertilité. Ceci pourrait être dû aux isoflavones contenues dans le soja. Dans des études précédentes, on révélait que le taux de fertilité chez les animaux était beaucoup plus bas avec les isoflavones.
 
Rappelons que le soja a également des propriétés anti cancer, notamment chez la femme. Celles qui en consomment régulièrement auraient moins de risques de développer un cancer des ovaires ou de l’endomètre.
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Le soja contre les maladies cardiovasculaires

L’Agronomy Journal publie une étude des chercheurs de l’Université McGill, à Montréal, qui révèle de nouveaux bénéfices au soja.

Cette fois, on lui attribue des propriétés anticancer et on dit qu’il est aussi capable de réduire les risques de maladies cardiovasculaires.

Nous savions déjà que le soja contenait des acides aminés essentiels et qu’il était une bonne source de protéines. De plus, il aide à abaisser le taux de cholestérol grâce à son niveau de lécithine et il améliore les fonctions cognitives.

Cette fois, on lui donne donc deux autres bienfaits grâce au tocophérol qu’il contient. Celui-ci se retrouve sous quatre formes et le soja possède la forme a-tocophérol, qui contient beaucoup d’antioxydants qui se transforment en vitamine E dans le corps. Plus il en contient, plus le soja devient bénéfique.

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Du soya pour les poumons

Une étude publiée en ligne dans Respiratory Research démontre que consommer des aliments à base de soya, comme du tofu ou du lait de soya, est bénéfique pour la santé pulmonaire.

En effet, cela diminue le risque de souffrir de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), une malade respiratoire qui se caractérise par une obstruction lente et progressive des poumons.

Selon la communauté scientifique, la principale cause de BPCO est le tabagisme.

300 sujets atteints de BPCO et 340 adultes en bonne santé ont participé à cette étude menée par le Dr Fumi Hirayama qui s’est penché sur les effets d’une alimentation riche en soya et l’incidence de développer la maladie.

Selon le Dr Hirayama, ce sont les flavonoïdes du soya qui agissent comme des anti-inflammatoires sur les poumons et protègent les fumeurs contre les carcinogènes du tabac.

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Des nutriments sans effet sur le cancer

Selon des chercheurs ontariens, la vitamine E, le sélénium et le soya ne préviennent nullement l’apparition du cancer de la prostate.

« Plusieurs données scientifiques suggéraient que ces nutriments pouvaient avoir un impact notoire dans la prévention du cancer de la prostate. Nous avions vraiment espoir que ce soit l’élément magique qui agirait contre le cancer, mais malheureusement, ce n’est pas le cas », a souligné l’auteur principal de cette recherche, le Dr Neil E. Fleshner de l’Université de Toronto.

Le Dr Fleshner a travaillé avec 303 hommes ayant des lésions précancéreuses, à qui il a donné de la vitamine E, du sélénium et du soya. Au fil des ans, les candidats ont passé des biopsies qui n’ont révélé aucune amélioration notoire dans la rémission du cancer de la prostate.

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Les plats à base de soja rendraient les hommes moins fertiles

Cette enquête réalisée sur une centaine d’hommes, qui se sont rendus dans une clinique pour faire évaluer leur taux de fertilité, montre que le sperme des hommes ayant mangé le plus de soja contient moitié moins de spermatozoïdes que celui des hommes qui n’en ont pas consommé.

Les patients interrogés par les chercheurs avaient régulièrement consommé des plats préparés à base de soja dans les trois mois précédents leur évaluation.

Ces résultats seraient encore plus prononcés chez les personnes obèses ou en surpoids.

Pour les chercheurs, il se pourrait que ce soit les isoflavones contenues dans le soja qui soient la cause de cette conclusion. En effet, de précédentes études réalisées sur des animaux avaient montré les effets négatifs des isoflavones sur la fertilité et la reproduction.