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Musique

Rihanna, Eminem et Metallica seront du Concert For Valor pour les vétérans

HBO diffusera bientôt le Concert For Valor, qui se tient à Washington, une émission spéciale mettant en vedette plusieurs stars réunies le temps d’un concert organisé pour soutenir les militaires et leurs familles.

Désireuses d’honorer la mémoire des soldats américains disparus et de ceux qui donnent leur vie pour défendre le monde libre, plusieurs célébrités ont accepté l’invitation.

Du nombre, on compte Rihanna, Eminem, Metallica, Bruce Springsteen et Carrie Underwood, rapporte Digital Spy, mais aussi les acteurs Tom Hanks et Jamie Foxx, ainsi que plusieurs invités-surprises.

L’animation de la soirée a été confiée à Tom Hanks, qui pourra compter sur Meryl Streep et son ami et mentor Steven Spielberg.

Le Concert For Valor promet donc plusieurs grands moments, à ne pas manquer sur HBO cet automne.

La célèbre chaîne câblée, qui s’associe à Starbucks pour présenter l’événement, diffusera le Concert Fort Valor le mardi 11 novembre dès 19 h.

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Potins

Andy Serkis croit qu’Harrison Ford est un vrai soldat

Andy Serkis, l’homme derrière Gollum (LOTR) et Caesar (Rise of tthe Planet of the Apes), s’est dit largement impressionné par le professionnalisme de son légendaire collègue, Harrison Ford, sur le plateau du prochain Star Wars.

Comme on le sait, Harrison Ford s’est blessé sérieusement durant le tournage de Star Wars: Episode VII. Il s’est fracturé une jambe lors d’une séquence impliquant le désormais célèbre vaisseau Millenium Falcon, rappelle BANG Media International.

Selon Serkis, Ford est un « vrai soldat » et était sur-le-champ résolu à reprendre le tournage le plus rapidement possible, malgré l’intensité de la blessure et son âge respectable.

Bien que l’on sache que Ford reprend son rôle de Han Solo et qu’Andy Serkis fait partie de la distribution, il est impossible pour ce dernier d’en dire davantage. Cependant, lorsque questionné à savoir s’il pouvait avoir un lien avec le fameux chasseur de primes Boba Fett, Serkis s’est risqué à répondre :

« Je crois qu’il est correct de dire que je ne suis pas relié à Boba Fett. ».

Le mystère se poursuit donc concernant la présence d’Andy Serkis sur le plateau de Star Wars : Episode VII, réalisé par J.J. Abrams.

Crédit photo : BANG/BIG

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Des souvenirs préfabriqués par le cerveau en réaction au stress

Vous avez un souvenir bien précis d’un événement passé et vous pensez avoir conservé une image vive de celui-ci? Pensez encore.

Selon Top Santé, le cerveau humain serait capable de créer des souvenirs fabriqués de toutes pièces ou préfabriqués afin de composer avec différentes situations, dont celles de stress et d’anxiété.

Les chercheurs en provenance des Pays-Bas en tête de cette étude donnent l’exemple des soldats qui ont vu la guerre de près, et qui voient parfois leurs souvenirs se transformer ou encore s’effacer.

Même chose pour nos souvenirs d’enfance, surtout pour ceux qui ont vécu des traumatismes, des sévices ou encore des périodes d’anxiété chronique.

Les tests, dont les résultats ont été publiés dans l’édition de mai de l’European Journal of Psychotraumatology, ont été effectués sur 250 soldats de retour de la guerre (Afghanistan).

Après plusieurs tests et questionnaires, près du tiers des soldats se souvenaient d’événements qui ne s’étaient jamais produits, confirmant en partie la théorie initiale des chercheurs.

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Encore de bonnes notes pour le propranolol

On vous parlait récemment du propranolol, un nouveau traitement prometteur contre le syndrome post-traumatique, dont souffrent notamment les soldats en guerre de retour au pays.

Santé Log rapporte maintenant que les nouveaux tests concernant le propranolol sont concluants, ce qui laisse présager une possible amélioration des patients qui souffrent de ce problème mental lourd.

Le traitement fonctionne de façon à bloquer les réactions et émotions de peur lorsque le cerveau est confronté à un souvenir traumatique, et permet ainsi de réduire grandement l’anxiété et les autres symptômes invalidants.

On est maintenant aux essais cliniques, qui sont avancés, et les résultats sont concluants. Le propranolol est de plus en plus vanté, spécialement lorsqu’il est utilisé dans un contexte de thérapie psychologique.

Certains patients ont même vu tous leurs symptômes disparaitre complètement lorsque le propranolol a été jumelé à une thérapie efficace.

Les spécialistes ont bon espoir de voir le traitement passer les prochaines étapes et devenir un moyen efficace d’enrayer ce trouble émotionnel grave.

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Un nouveau traitement contre le syndrome post-traumatique pourrait voir le jour

Santé Log rapporte une excellente nouvelle dans le dossier du syndrome post-traumatique, qui commence enfin à jouir de la visibilité médiatique qu’il mérite.

En effet, il s’agit d’un véritable fléau pour une panoplie de gens, les plus connus étant bien sûr les soldats de retour d’Afghanistan et d’Irak, les deux dernières guerres auxquelles ont participé le Canada et les États-Unis.

Depuis le retour des premiers soldats, on constate que presque tous les combattants se retrouvent aux prises avec des problèmes reliés au syndrome post-traumatique, à grande ou à moindre échelle.

Il est donc primordial de sensibiliser les gens à la cause et de trouver des traitements adéquats. On parle justement ici de la rapamycine, un médicament, et de ses effets bienfaiteurs sur l’organisme grâce à une réduction du stress et de la peur.

Agissant par l’inhibition de certaines protéines, le traitement permet de constater des résultats prometteurs. C’est ce que croient les chercheurs de l’Université McGill, qui publient leurs résultats dans l’édition du mois de mars des Actes de l’Académie des Sciences américaine (PNAS).

Le professeur Karim Nader et son équipe ont bel et bien confirmé les effets de la rapamycine. Ils croient qu’une porte vient de s’ouvrir sur de meilleurs traitements contre le syndrome post-traumatique.

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Le cerveau des enfants maltraités

Des soldats qui ont été exposés à des situations de combat présentent les mêmes tendances d’activité dans deux zones du cerveau que des enfants maltraités.

Ce constat troublant démontre que la violence familiale aurait des effets semblables à la guerre. L’activité cérébrale de l’insula intérieure et de l’amygdale se déclenchait, chez les enfants, lorsqu’ils regardaient la photo d’un visage en colère.

Une explication possible, pour comprendre comment ces deux groupes ciblés ont la même activité cérébrale, serait qu’ils s’adaptent pour devenir « hyper conscients » de leur environnement.

On lit aussi sur Medical News Today que ces deux parties du cerveau sont reliées aux troubles anxieux. Il semble donc que l’adaptation neuronale des enfants maltraités pourrait les exposer à de plus grands risques de problèmes d’anxiété.

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Musique

Jessica Simpson enregistrera une chanson avec un soldat

Jessica Simpson, dont les nombreuses amourettes font beaucoup plus la manchette que sa carrière en ce moment, est en train de préparer un album de chanson de Noël dans lequel elle a bien l’intention de faire chanter à l’un des soldats qui a servi en Afghanistan une reprise toute spéciale.

L’identité de ce soldat, qui serait déjà choisi, sera gardée secrète pour le moment, mais l’on sait d’ores et déjà que la chanson qu’il interprétera sera I’ll Be Home For Christmas (Je serai à la maison pour Noël), un voeu cher formulé par plusieurs combattants qui doivent souvent laisser derrière femme et enfants pour servir leur pays dans cette guerre controversée.

Pour son album, Simpson a recruté les services de Willie Nelson, avec lequel elle a joué dans le film The Dukes of Hazzard, et du chanteur d’opéra Andrea Bocelli, ceux-ci ayant déjà quelques albums de Noël dans leur discographie et ayant tâté le sujet à quelques reprises.

Sans grande surprise, l’album devrait paraître d’ici Noël.

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Une explication du syndrome de la guerre du Golfe

Plus de 15 ans après l’invasion américaine en Irak, des scientifiques ont réussi à identifier la cause du syndrome de la guerre du Golfe dont sont atteints environ 100 000 militaires américains, canadiens et britanniques, ce qui représente entre 26 et 32 % des effectifs déployés lors du conflit.

Selon les chercheurs de l’École de médecine de l’Université de San Diego en Californie, l’exposition à des substances toxiques dangereuses aurait causé ce syndrome, qui se caractérise par des douleurs musculaires, une fatigue chronique, des problèmes respiratoires, une perte de mémoire et de l’insomnie.

Il semblerait que certains médicaments, fournis par l’armée pour protéger les troupes contre des gaz neurotoxiques et des pesticides, auraient provoqué le syndrome.

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Enquête sur la santé mentale des soldats canadiens

Selon une équipe de chercheurs provenant de l’Université McGill, de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, de l’Université de Montréal, de l’Université Dalhousie et de l’Université de l’Île-du-Prince-Édouard, nombreux sont les troubles mentaux dont peuvent souffrir les soldats canadiens.

Les scientifiques déplorent qu’un tabou entoure ces troubles et empêche les personnes concernées à obtenir de l’aide professionnelle.

« Les résultats révèlent que plus de la moitié des militaires aux prises avec un trouble mental n’utilisent pas les services de santé mentale qui leur sont offerts », mentionne Deniz Fikretoglu, auteure principale de l’étude.

Selon Stéphane Guay, professeur de criminologie à l’Université de Montréal, cette réticence s’explique par « le refus d’admettre un quelconque besoin d’aide et par le manque de confiance envers les services administratifs militaires de santé ».

Les chercheurs croient que les autorités militaires devraient continuer à mener des campagnes d’éducation pour démystifier les problèmes de santé mentale afin de gagner la confiance de leurs troupes.

8 441 militaires canadiens ont répondu à un questionnaire de l’Organisation mondiale de la santé. Parmi ceux-ci, 1 220 ont avoué souffrir de dépression, de dépendance à l’alcool, de phobie sociale ou de symptômes qui s’apparentent au stress post-traumatique.