Le chercheur Michael Waldman et ses collègues de l’Université Cornell se sont penchés sur les effets de la météorologie sur le développement de l’autisme chez les enfants.
En analysant le taux d’autisme chez les bambins de la Californie, de l’Oregon et de l’État de Washington entre 1978 et 1999, ils en concluent que ceux qui habitent dans les états les plus au nord des États-Unis sont plus touchés par cette maladie.
Selon eux, la prévalence d’autisme augmente dès que le taux de précipitation est en hausse.
Ces résultats ne font toutefois pas l’unanimité au sein de la communauté scientifique, comme en témoigne le Dr Michael Fitzpatrick, un spécialiste en la matière, qui affirme que l’on ignore encore ce qui cause cette maladie.