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Comment régler les problèmes sur l’heure du coucher

Selon l’experte Alyson Schafer, les enfants qui se lèvent plusieurs fois après le dodo – pour boire, pour aller aux toilettes une 2e fois, etc. — veulent simplement un contact avec leurs parents. Il n’est pas possible de les forcer à rester au lit, mais s’ils n’atteignent pas leur but, ils abandonneront ce comportement. Le mieux est donc de les ignorer.

Cela peut également aider de s’assurer que tout est à portée de main dans leur chambre : un verre d’eau, le toutou préféré, etc. Les enfants plus vieux, qui utilisent la toilette, peuvent très bien y aller seuls au besoin. Il n’est pas nécessaire qu’un parent soit présent.

Une technique qui peut fonctionner est de n’agir que par gestes, et non avec des mots. Si votre enfant se lève alors qu’il est censé être au lit, ne dites rien : prenez-lui simplement la main et ramenez-le dans son lit.

Voyez aussi si la routine du dodo pourrait être repensée : est-ce que l’enfant aimerait une veilleuse, de la musique? Est-ce qu’une histoire de plus pourrait fonctionner?

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Êtes-vous un petit ou un grand rêveur?

L’INSERM était chargé d’analyser l’activité cérébrale chez les dormeurs en tout genre, et l’institut y va de quelques révélations intéressantes, rapportées par Top Santé.

Notamment cette distinction entre « petit » et « grand » rêveur, qui se définit entre autres par la capacité à dormir paisiblement et à se souvenir de ses rêves.

Alors que les petits rêveurs seraient plus susceptibles de dormir paisiblement, on apprend que les grands rêveurs peuvent être victimes de nuits plus agitées et se réveiller plus souvent au cours de la nuit, mais ont aussi la faculté de se souvenir plus aisément de leurs rêves.

Baptiste Eichenlaub et Perrine Ruby, chercheurs de l’INSERM, qualifient ces phases de rêves de « micro-réveil », période au cours de laquelle les dormeurs seraient plus sensibles aux perturbations extérieures ainsi qu’aux distractions environnantes.

On parle donc d’une phase qui frôle le réveil, au sens où les grands rêveurs sont conscients de l’environnement tout en dormant.

Les petits rêveurs enregistrent aussi ces phases de micro-réveil, expliquent les deux chercheurs, elles sont simplement plus courtes. On parle de cinq minutes de ce phénomène par nuit pour les petits rêveurs, et de 15 minutes pour les grands.

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L’insomnie pourrait mener droit au suicide

C’est une nouvelle qui frappe, alors que Santé Log rapporte une étude de la Georgia Health Sciences University qui trace un lien possible entre l’insomnie et le suicide.

On parle plus spécifiquement d’un point de non-retour où la personne qui souffre d’insomnie perd carrément l’espoir de s’endormir un jour… et pourrait alors entrevoir que mettre fin à ses jours s’avère une « solution » efficace.

Publiée dans le journal Clinical Sleep Medicine, l’étude analyse les réactions en chaîne que peut causer une insomnie chronique.

« Il s’avère que l’insomnie peut conduire à un type très spécifique de désespoir puissant prédicateur de suicide », conclut le Dr W. Vaughn McCall, du département de psychiatrie de l’Université de Géorgie.

C’est après avoir analysé les cas de 50 patients âgés de 20 à 80 ans, souffrant de problèmes connexes à la dépression en milieu hospitalier, que les chercheurs sont arrivés à ce constat. On a ensuite établi des liens avec les problèmes de sommeil des sujets, qui peuvent finir par causer un effet de spirale.

Ceux qui commençaient à douter sérieusement de trouver le sommeil un jour démontraient des symptômes suicidaires alarmants.

Bien qu’il reste encore des preuves à faire pour parler de cause à effet, les chercheurs semblent convaincus de ce qu’ils avancent.

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Le sommeil serait le reflet de votre régime alimentaire

Plusieurs sources, dont Santé Log, rapportent aujourd’hui une nouvelle étude qui trace un lien entre les habitudes alimentaires des gens et leurs cycles de sommeil.

On dormirait comme on mangerait, donc, selon les chercheurs de Pennsylvanie. Ceux qui éprouvent des problèmes à dormir longtemps devraient regarder d’abord et avant tout leurs habitudes de consommation.

C’est ce que l’on comprend des conclusions de l’étude, qui cible particulièrement certains nutriments et apports alimentaires importants, dont les protéines, les glucides, les vitamines et les minéraux.

Aussi, on constate que ceux qui se satisfont de courtes nuits de sommeil ont tendance à consommer plus de calories que les autres dans une journée. Ceux-ci feraient aussi preuve de moins d’imagination quant aux choix des repas et des aliments consommés, contrairement à ceux qui dorment plus longtemps (sept ou huit heures de sommeil par nuit).

Donc, pour ces spécialistes, il est clair que dormir suffisamment et plus longtemps est un gage de santé, et cela améliore la qualité de vie. Cependant, il reste à déterminer l’impact du régime alimentaire sur la qualité du sommeil.

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Le mois de février serait-il le plus difficile pour le sommeil?

Si vous avez des problèmes de sommeil comme l’insomnie, ou que vous arrivez à dormir, mais que le sommeil ne s’avère pas réparateur, il faudra peut-être pointer du doigt le mois dans lequel on se trouve.

En effet, selon une étude-sondage révélée par Top Santé, il appert que le mois de février serait le plus difficile pour les nuits de sommeil. C’est après avoir interrogé près de 21 000 répondants que les chercheurs anglais sont arrivés à cette conclusion.

Donc, nous dormirions plus mal en février, mais nous aurions aussi besoin de plus de temps pour sombrer dans les bras de Morphée, soit huit minutes de plus.

Plus encore, les pauvres gens qui souffrent déjà d’insomnie ou de problèmes à s’endormir auraient besoin de dix minutes supplémentaires avant de fermer l’œil!

On noterait déjà une amélioration dès les premiers jours du mois de mars.

Pour le professeur en tête de l’étude, Colin Espie, une partie de la réponse se trouve dans le froid, alors que les gens surchauffent leur chaumière afin de s’en protéger, ce qui nuit au sommeil de qualité.

Il semble également que les femmes soient davantage touchées par le phénomène.

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Le yoga au secours de la santé mentale

Il appert que le yoga n’a pas que des vertus sur la santé physique, mais aussi sur la santé mentale. La discipline pourrait, apprend-on sur Santé Log, avoir des effets bénéfiques sur plusieurs aspects en santé mentale, notamment dans le traitement de la dépression et de la schizophrénie.

C’est du moins ce que croient les chercheurs de l’Université Duke, le Dr P. Murali Doraiswamy en tête, qui dévoilent les résultats d’une étude probante sur le sujet.

Ainsi, on apprend que la pratique du yoga peut non seulement aider les gens aux prises avec des troubles dépressifs légers, mais aussi ceux qui sont confrontés à des problèmes de stress, de sommeil, d’hyperactivité, de schizophrénie et de troubles de l’attention.

Bien que l’on prenne le soin de préciser que ceci implique surtout les troubles de dépression légère, et que tous ces maux ne peuvent malheureusement pas être réglés uniquement grâce au yoga, on confirme l’efficacité de ce « traitement »

Pour en arriver à une telle conclusion, les chercheurs ont analysé les données de 124 autres études sur le sujet, qui abondent presque toutes dans le même sens.

On peut retrouver ces conclusions dans la plus récente édition de Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach.

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L’alcool nuit à la qualité de votre sommeil

Top Santé rapporte une étude qui démontre clairement que l’alcool nuit à la qualité du sommeil.

Bien sûr, boire quelques verres peut permettre de rejoindre le pays des rêves plus rapidement, mais ce n’est pas un gage de « bon sommeil », loin de là.

En fait, selon les spécialistes du London Sleep Center en tête de cette étude, l’alcool affecte les cycles du sommeil et ouvre la porte à une panoplie de troubles subséquents. Insomnie, sommeil agité, cauchemars, voilà des problèmes qui peuvent apparaitre à la suite d’une consommation d’alcool trop importante ou trop tardive.

Les sujets qui se sont prêtés au jeu de l’étude en question ont tous confirmé avoir ressenti des troubles du sommeil dans la deuxième partie de la nuit, et ce, peu importe la quantité ingérée. Cette dernière n’aurait pas vraiment d’incidence sur la qualité de vos nuits, et le fait que l’alcool semble donner un accès plus simple vers Morphée ne serait qu’une arme à deux tranchants.

Les experts londoniens concluent qu’il faudrait attendre environ deux heures avant d’aller au lit si l’on a consommé de l’alcool le soir même.

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Gastronomie nocturne : un ennemi à abattre

The National Library of Medicine rapporte un avertissement de l’Academy of Nutrition and Dietetics voulant que votre pire ennemie en matière de nutrition puisse bien être cette petite collation tardive avant d’aller au lit.

Si elles sont à déconseiller pour des raisons de métabolisme, elles prennent aussi souvent la forme de croustilles, pâtisseries et autres interdits, ce qui ajoute au problème.

Pour les spécialistes consultés, la gastronomie nocturne aurait bien plus à voir avec les émotions qu’avec la faim. Le stress, l’angoisse, l’anxiété, l’ennui et combien d’autres émotions risquent fort de vous pousser vers la barre de chocolat plus que la faim elle-même.

Savoir gérer et reconnaitre ses émotions est donc un grand pas en avant pour éviter de manger le soir, mais il est aussi conseiller de ne pas souper trop tôt.

En effet, pour ceux qui se reconnaissent dans ce comportement, il est conseillé de prendre le souper plus tard, en début de soirée, afin d’être bien rassasié. On conseille aussi de conserver votre dessert pour plus tard, au lieu de le manger immédiatement après le repas principal.

On termine en suggérant de se mettre au lit plus tôt, car on rappelle qu’en plus de vous donner un sommeil plus long et réparateur… qui dort dîne!

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Comment éviter la télévision avant d’aller au lit

Le plus facile, cela va de soi, est d’asseoir vos enfants devant un dessin animé, après les devoirs, le souper et une journée exténuante. Mais Babble propose de belles activités pour passer du temps de qualité avec votre enfant.

Classiques : la lecture et le casse-tête

Un rituel de lecture avant d’aller au lit demeure la solution la plus utilisée. Une telle routine encourage votre enfant à apprécier l’heure du coucher, tout comme le casse-tête, surtout si vous le faites avec lui.

Dessiner la journée

Demandez-lui de dessiner une image de ce qu’il a le plus aimé de la journée. Vous pourrez ensuite échanger à ce propos. Une bonne façon, s’il y a eu de petits accrocs, de l’aider à extérioriser le positif et le négatif de la journée.

Raconte-moi une histoire

Demandez à votre enfant de vous raconter une histoire, à laquelle vous pouvez également participer. Un moyen extraordinaire de développer son imagination.

Yoga en famille

Non seulement le yoga gagne en popularité auprès des enfants, mais il s’agit d’exercices qui sont bons pour toute la famille. Des étirements, une bonne respiration et des poses relaxantes aideront chaque membre de la famille à mieux dormir.

Il existe d’autres activités, il suffit de se creuser un peu la tête. Vous verrez, vous apprécierez ces moments privilégiés.

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Plus les enfants regardent la télé le soir, et moins ils dorment

Dans le cadre de l’étude, 2017 enfants âgés de 5 à 18 ans ont été interrogés sur l’heure à laquelle ils s’endormaient, les comportements sédentaires, l’activité physique et les soins durant les 90 minutes précédant l’heure du coucher. Les activités étaient évaluées en fonction du temps et selon leurs « coûts énergétiques » ainsi que leurs « propriétés psychométriques ».

Une heure de coucher plus hâtive était associée à beaucoup moins de temps passé devant les écrans. Il y avait une différence allant de 4 à 13 minutes de temps passé devant les écrans entre les sujets se couchant tôt et se couchant tard.

La Dre Louise Foley a relevé le fait que les enfants d’aujourd’hui dorment beaucoup moins qu’il y a 100 ans, et que le sommeil inadéquat est directement associé à des problèmes de santé et de comportements chez les jeunes.

Elle a ajouté que les écrans ne peuvent pas expliquer tous les problèmes, mais « pourraient bien contribuer à déranger le sommeil », selon ce que rapporte Med Page Today.