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Des stratégies pour aider vos tout-petits à faire leurs nuits

Votre bébé se réveille souvent parce qu’il a perdu sa suce : À partir de 8 mois, la plupart des bébés réussissent à remettre eux-mêmes leur suce. Mais d’ici là, vous avez deux choix : éliminer complètement la suce ou laisser bébé pleurer jusqu’à ce qu’il s’endorme. C’est habituellement difficile au début, mais ça se règle en quelques jours.

Votre bébé se réveille au moindre bruit : Utilisez une machine qui produit des sons d’ambiance, qui créera un doux « bruit de fond » et masquera les autres bruits dans la maison. En plus, ceci permet au bébé de faire une association entre la machine et le sommeil; lorsque vous la démarrez, bébé recevra le message qu’il peut relaxer.

Votre bébé se réveille trop tôt : Tous les matins à 4 heures, il est super alerte et veut jouer? Essayez de l’ignorer, pour lui faire comprendre que la nuit, c’est fait pour dormir.

Votre bébé ne s’endort qu’au sein ou avec le biberon : À partir de 6 mois, 90 % des bébés n’ont plus besoin de boire la nuit. Faites donc une transition en réduisant progressivement les boires, jusqu’à en arriver à le mettre au lit presque endormi, puis en venant toutes les 3 minutes jusqu’à ce qu’il s’endorme.

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La grossesse et le sommeil

Faites de l’exercice : Ça reste le meilleur moyen d’arriver à une « fatigue saine ». Essayez donc de faire de l’activité modérée, par exemple le yoga ou la natation. Si possible, sortez dehors : ça vous fera prendre de l’air et assimiler de la lumière, source précieuse de vitamine D et régulatrice de mélatonine, cette hormone qui régule le sommeil.

Soupez légèrement : Il vous faut bien manger, mais pas trop gras ou trop riche, sinon votre digestion risque de vous empêcher d’avoir un sommeil réparateur. Évitez aussi évidemment la caféine, et ne buvez pas trop le soir : à mesure qu’il grandit, bébé appuie sur votre vessie, et devoir vider celle-ci plusieurs fois par nuit ne favorise pas vraiment le dodo!

Passez des soirées tranquilles : Évitez si possible les écrans, qui ont tendance à nous surstimuler le soir, ainsi que les discussions très animées ou les films violents ou dérangeants. Prenez plutôt un bon bain avant de vous coucher.

Essayez de minimiser vos craintes : En vous préparant le mieux possible ou en les exprimant, celles-ci pourront peut-être arrêter de vous déranger la nuit.

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Lorsqu’ils commencent à ramper, les enfants se réveillent plus souvent

Une nouvelle étude a observé 28 bébés en santé toutes les deux à trois semaines. Leurs habitudes de sommeil et leur développement moteur ont ainsi été analysés de l’âge de 4 mois à 11 mois.

En moyenne, les bébés commençaient à ramper vers 7 mois, et ce stade était accompagné d’une hausse du nombre de fois où ils se réveillaient durant la nuit, passant en moyenne de 1,55 fois à 1,98 fois. La durée de leurs réveils nocturnes était aussi plus longue, soit en moyenne 10 minutes.

Plus les bébés commençaient à ramper tôt, plus ces changements étaient prononcés, étant aussi accompagnés d’une augmentation du mouvement durant le sommeil.

La chercheuse, Anat Schet, a expliqué « qu’il était possible que ramper, qui correspond à une période de grand changement dans le développement physique et psychologique des bébés, augmente leur niveau d’éveil et influence leur capacité à se calmer par eux-mêmes, entrainant ainsi une période d’instabilité qui s’exprime par des réveils plus fréquents », selon Medical News Today.

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Le sommeil des tout-petits à l’étude

La revue scientifique Developmental Psychology a publié les résultats d’une étude portant sur 1200 bébés et jeunes enfants, en demandant à leur mère de rapporter leurs réveils nocturnes à 6 mois, 15 mois, 24 mois et 36 mois.

Tout comme pour les adultes, le sommeil des tout-petits passe par des cycles de 90 minutes à 2 heures, après lesquels ils se réveillent brièvement, puis se rendorment. Ceux qui ne se rendorment pas par eux-mêmes et appellent leurs parents sont ceux dont on dit qu’ils « ne font pas leurs nuits ».

À l’âge de 6 mois, 66 % des bébés « faisaient leurs nuits », se réveillant une fois par semaine ou moins. Les autres 34 % se réveillaient 7 nuits sur 7, un chiffre qui passait à 2 nuits par semaine à 15 mois, puis à une nuit par semaine à 24 mois.

La majorité de ces « dormeurs transitionnels » étaient des garçons, et ils tendaient souvent à être des bébés qu’on disait « difficiles ». Beaucoup d’entre eux étaient également allaités.

L’auteure de l’étude, Marsha Weinraub, a indiqué le besoin d’effectuer des études plus poussées pour explorer le lien entre un tempérament plus difficile et des problèmes de sommeil, et pour analyser la relation avec l’allaitement, selon Science Daily.

Ainsi, si un bébé est habitué de s’endormir au sein, il n’apprendra pas la manière dont il peut s’auto-apaiser. La chercheuse a suggéré aux parents de ne pas se précipiter pour prendre l’enfant lorsqu’il se réveille la nuit, afin de lui donner la chance de se rendormir seul.

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Les problèmes de sommeil reliés à la respiration sont assez répandus chez les enfants

Une étude menée en Finlande auprès de 512 enfants révèle que plusieurs d’entre eux souffrent de problèmes de sommeil reliés à la respiration.

Parmi ceux-ci, le risque était accru pour les enfants qui avaient des amygdales plus grosses que la moyenne, une occlusion croisée ou encore un profil de visage convexe.

Contrairement aux adultes, un surplus de poids n’était toutefois pas associé à des problèmes de sommeil pour ce groupe d’âge.

L’auteure de l’étude, l’orthodontiste Tiina Ikavalko, a noté que « si un enfant à des symptômes de problèmes de sommeil reliés à la respiration, il faut vérifier s’il n’y a pas d’occlusion… La qualité du sommeil de ces enfants devrait être examinée » ,selon Medical News Today.

Les résultats ont été publiés dans l’European Journal of Pediatrics. Ces données indiquent qu’il serait possible d’identifier les enfants à risque de souffrir d’apnée du sommeil à l’âge adulte, permettant ainsi une intervention rapide.

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Les problèmes de sommeil reliés à la respiration sont assez répandus chez les enfants

Une étude menée en Finlande auprès de 512 enfants révèle que plusieurs d’entre eux souffrent de problèmes de sommeil reliés à la respiration.

Parmi ceux-ci, le risque était accru pour les enfants qui avaient des amygdales plus grosses que la moyenne, une occlusion croisée ou encore un profil de visage convexe.

Contrairement aux adultes, un surplus de poids n’était toutefois pas associé à des problèmes de sommeil pour ce groupe d’âge.

L’auteure de l’étude, l’orthodontiste Tiina Ikavalko, a noté que « si un enfant à des symptômes de problèmes de sommeil reliés à la respiration, il faut vérifier s’il n’y a pas d’occlusion… La qualité du sommeil de ces enfants devrait être examinée » ,selon Medical News Today.

Les résultats ont été publiés dans l’European Journal of Pediatrics. Ces données indiquent qu’il serait possible d’identifier les enfants à risque de souffrir d’apnée du sommeil à l’âge adulte, permettant ainsi une intervention rapide.

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Comment préparer des frères et soeurs à dormir dans la même chambre

Monter le lit dans la nouvelle chambre un peu avant le « déménagement » : Ce n’est pas toujours possible, mais si ça l’est, par exemple si l’enfant passe d’un lit de bébé à un nouveau lit, cela pourrait aider les deux enfants à s’habituer à l’idée. L’enfant qui devra désormais partager sa chambre profitera particulièrement de cette période de transition avant le changement.

Examiner les horaires de dodo des deux enfants : Est-ce qu’ils se couchent à la même heure? Est-ce qu’un fait une sieste, mais pas l’autre? Si possible, il serait bon de prendre un peu de temps pour essayer de synchroniser leur horaire pour éviter d’avoir à en réveiller un lorsque le plus vieux va se coucher.

Donner de la place à l’enfant dans sa nouvelle chambre : Pour que celui-ci se sente le bienvenu, on peut par exemple ajouter de nouveaux décalques au mur, lui donner un endroit où mettre ses jouets, etc.

Laisser les enfants s’adapter : Il faudra probablement quelques jours avant que les enfants reviennent à une routine de dodo normale une fois qu’ils sont dans la même chambre.

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La « fatigue de jour » pourrait être liée au niveau de vitamine D

Plusieurs personnes affirment être victimes de « fatigue de jour », caractérisée par des élans de somnolence en pleine journée, et ce, malgré une nuit de sommeil normale.

Avec l’hiver qui est finalement arrivé, et les heures de luminosité retranchées du même coup, le nombre de personnes qui ressentent ce phénomène ne fait que s’accentuer.

Selon une récente étude rapportée par www.nlm.nih.gov, il est possible que le niveau de vitamine D retrouvé dans l’organisme joue un rôle dans le processus.

L’étude analysait les cas de 81 patients admis en clinique du sommeil, qui ont par la suite reçu un diagnostic de trouble du sommeil. Une bonne portion de ces sujets a reçu également un diagnostic d’apnée du sommeil, un problème respiratoire nocturne qui explique souvent bien des maux et surtout la fatigue de jour.

Pour les autres, on a noté des réactions et des variations d’énergie dans la journée en fonction du taux de vitamine D retrouvé dans le sang.

Les résultats, qui parlent d’une « corrélation significative entre la vitamine D et la somnolence ou la fatigue de jour », ont été publiés dans la plus récente édition du Journal of Clinical Sleep Medicine.

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Une fatigue chronique peut cacher de l’apnée du sommeil

Si vous vous sentez constamment fatigué, même après de longues heures de sommeil, il est possible que l’hiver et le manque de lumière ne soient pas en cause.

En effet, selon ce que rapporte www.fda.gov, une fatigue chronique peut aussi s’expliquer par un désordre du sommeil appelé l’apnée.

L’apnée du sommeil se caractérise souvent par des ronflements et un sentiment de fatigue constant. Si vous « cognez des clous » fréquemment devant votre ordinateur, il est possible que vos nuits de sommeil soient ponctuées de ce phénomène.

Il est important de parler ce problème si vous croyez en souffrir, car l’apnée peut mener à d’autres problèmes plus sérieux. La santé physique et mentale peut s’en ressentir. On rapporte notamment des cas d’attaque cardiaque, d’accident de travail et de voiture, et même de dépression.

L’apnée du sommeil est en fait un trouble respiratoire qui se produit la nuit, alors que le corps cesse de respirer pour quelques instants.

Les deux types les plus communs d’apnée sont l’obstructive et la centrale. La première est due à un problème physique, soit au niveau des tissus situés derrière la gorge. La deuxième découle du fait que le cerveau n’envoie plus les bons signaux lors du sommeil.

Si vous croyez faire partie de ceux qui souffrent d’apnée du sommeil, il est important de réagir et de consulter son médecin.

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Trop peu de sommeil pour trop d’appétit

Des chercheurs croient que le sommeil peut jouer un rôle dans la façon dont l’organisme réagit à la nourriture. Quelques études sur le sujet sont parues depuis quelque temps, et on trace un lien de plus en plus clair entre le sommeil et la nutrition.

En voici une nouvelle, rapportée par www.nlm.nih.gov, qui fait maintenant une corrélation entre le nombre d’heures de sommeil et la puissance de l’appétit. Selon les chercheurs en tête de l’étude, trop peu de sommeil favoriserait l’amplification d’hormones qui font croître à leur tour l’appétit, ou le sentiment d’avoir faim.

De plus, ils se sont aperçus que le processus de la faim est différent chez les hommes et chez les femmes.

Un double constat que nous explique l’enquêtrice principale au dossier, Marie-Pierre Saint-Onge, de l’Obesity Nutrition Research Center (St. Luke’s/Roosevelt Hospital) de New York : « Les résultats obtenus pointent en direction d’un lien direct entre la privation de sommeil et la régulation de l’énergie. L’état “d’équilibre de l’énergie”, pour une personne qui est en période de gain ou de perte de poids, serait critique pour le métabolisme. Les réponses hormonales qui suivent une privation de sommeil sont des facteurs importants ».

Les résultats ne sont pas aussi clairs chez la femme, ajoute l’équipe de chercheurs. Le lien entre le sommeil et l’appétit chez la femme demeure à prouver, mais celle-ci ne réagit manifestement pas de la même façon que l’homme dans ce dossier.