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Allaitement et grossesse : la caféine ne nuit pas au sommeil de bébé

Une étude brésilienne de l’Université fédérale de Pelotas, qui paraîtra en mai dans la revue Pediatrics, affirme que bien que la caféine soit connue pour déranger le sommeil chez les adultes, elle ne semble pas affecter celui des nourrissons qui ont une mère « accro à la caféine ».

Pour utiliser le terme « accro », les spécialistes estiment que la personne doit boire 300 milligrammes (2 à 4 tasses) ou plus d’une boisson contenant de la caféine par jour. Cette donnée était à l’image d’une femme sur cinq ayant participé à l’étude.

C’est donc en analysant les habitudes de sommeil de 4200 bébés à leur naissance et les réponses des nouvelles mères à un questionnaire trois mois plus tard que les chercheurs sont arrivés à ce constat.

Les chercheurs ont étudié l’effet de deux boissons, le café et le thé chaud.

Le nombre d’heures de sommeil et le nombre de fois que l’enfant se réveillait durant la nuit ont été pris en considération. Pour qualifier une activité nocturne perturbée, il fallait que le bébé se réveille au moins trois fois.

Les chercheurs ont confirmé que les raisons données par les mères concernant le réveil fréquent et l’analyse ne pouvaient pas confirmer une cause à effet entre le café et les troubles du sommeil chez les petits.

Les experts expliquent que la caféine, bien qu’elle soit un sujet préoccupant, n’a jamais été un cas alarmant comme la consommation de tabac ou de drogues durant la grossesse ou l’allaitement.

On suggère tout de même aux femmes d’éliminer ou de réduire leur consommation de café à une tasse par jour durant cette période, car ceci demeure tout de même « un stimulant du système nerveux central qui peut augmenter le rythme cardiaque du bébé in utero et causer une certaine détresse ».

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Bébé aussi fait du yoga

C’est ce que révèlent deux livres qui viennent d’être publiés, 100 postures de yoga pour mon bébé de Sophie Dumoutet et Babyyoga de Françoise Barbira Freedman.

Il semblerait que les bénéfices du yoga ne s’appliquent pas seulement à la femme enceinte, mais aussi au bébé. Il faut juste que maman lui donne un petit coup de main, car à en croire les auteures, le nourrisson n’a pas besoin d’être initié : il pratique le yoga en permanence.
 
Pour développer la motricité et le sens de l’équilibre du petit, il est conseillé de le prendre dans ses bras, de le promener et de jouer avec lui. Si cela peut sembler banal, il y a tout de même une forme de yoga qui demande juste à être faite régulièrement pour encourager l’éveil de son petit.
 
Déjà un mois après sa naissance, la mère peut faire des roulades avec son bébé, et à partir de trois mois, on peut pousser jusqu’à la position de l’avion (on s’allonge et on fait onduler l’enfant dans les airs à bout de bras) ou du toboggan (on le fait glisser sur les jambes).
 
Finalement, que serait le yoga sans relaxation! Des techniques de massage et des exercices de détente pour favoriser la digestion, la respiration et la qualité du sommeil des enfants sont également démontrés dans ces deux livres.
 
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Les femmes sont plus touchées par les troubles du sommeil

Une étude de l’Institut de veille sanitaire (InVS) en France révèle que les troubles du sommeil affectent beaucoup plus les femmes que les hommes.
 
L’étude complète sera dévoilée plus tard cette année, mais pour le moment, on apprend que 39 % des femmes avouent avoir des troubles du sommeil, contre 29 % des hommes.
 
De plus, en vieillissant, les problèmes seraient de plus en plus fréquents. Pourtant, une récente étude affirmait que l’on dormait mieux avec l’âge.
 
12 636 personnes de plus de 16 ans ont été interrogées pour cette recherche. D’après les résultats, l’agitation serait fréquente durant trois nuits par semaine pour le tiers des participants.
 
Une personne sur cinq associe ces troubles à la fatigue et à une somnolence excessive durant la journée.
 
Rappelons que dernièrement, une étude dévoilait que les troubles du sommeil finissaient par affecter nos performances. Ils peuvent également grandement affecter la santé. Il est donc très important de s’en soucier.
 
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Le manque de sommeil affecte les performances

Non seulement le manque de sommeil est nocif pour la santé, mais selon l’Institut national de veille sanitaire (INVS) en France, cela affectera grandement vos performances.
 
Les troubles de sommeil touchaient quatre personnes sur dix parmi les participants de cette recherche.
 
Ces troubles affectaient surtout les femmes, les personnes âgées de 55 à 65 ans et les sédentaires.
 
Le manque de sommeil finit par affecter nos performances en tout, que ce soit au travail ou dans nos autres tâches quotidiennes. Les gens qui dorment le moins relèvent des capacités physiques moindres, une difficulté à demeurer une heure dans les transports, à rester debout longtemps ou à porter de lourdes charges.
 
La plupart des mauvais dormeurs ont aussi des difficultés de concentration. Ils ont du mal à demeurer attentifs aux gens qui les entourent, à être ponctuels, à se remémorer les noms, les numéros de téléphone ou encore les rendez-vous.
 
Il a déjà été démontré que le manque de sommeil peut aussi causer des dommages au cerveau et exposer à un risque accru de diabète de type 2.

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Enfants: les troubles respiratoires pendant le sommeil comportent des risques

Des chercheurs de l’Albert Einstein College of Medicine of Yeshiva University ont suivi plus de 11 000 enfants pendant plus de six ans pour arriver à ces résultats. 

Leur étude a démontré que les jeunes enfants avec des troubles respiratoires du sommeil sont plus susceptibles de développer des troubles du comportement comme l’hyperactivité et l’agressivité, ainsi que des symptômes émotionnels et des difficultés avec les relations entre pairs.
 
L’étude a été publiée en ligne dans la revue Pediatrics. « C’est la meilleure preuve à ce jour que le ronflement, la respiration buccale et l’apnée du sommeil peuvent avoir de graves conséquences comportementales et socioaffectives sur les enfants », a déclaré l’un des responsables de l’étude.
 
« Les parents et les pédiatres doivent être vigilants face à ces troubles respiratoires pendant le sommeil chez les jeunes enfants, dès leur première année de vie ». Si les parents soupçonnent ce genre de symptômes, ils devraient demander à leur pédiatre si leur enfant a besoin d’être évalué par un oto-rhino, suggèrent les chercheurs.
 
Environ 1 enfant sur 10 ronfle régulièrement et 2 à 4 % souffrent d’apnée du sommeil, selon l’American Academy of Otolaryngology.
 
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Le sommeil s’améliore en vieillissant

Une nouvelle étude parue dans le journal Sleep, dévoile que le sommeil s’améliore avec le vieillissement, contrairement à ce que l’on croyait. 

En fait, les troubles de sommeil sont plus présents entre 40 et 59 ans, surtout chez les femmes, avant de graduellement retourner à la normale.
 
Pour cette étude, on a suivi 155 000 adultes de 18 ans et plus et ils ont été questionnés sur leur qualité de sommeil, leur humeur, leur santé, etc.
 
On constate que ce sont les plus âgés qui se plaignent le moins de leur mauvais sommeil. En réalité, il semblerait qu’avec l’âge la perception d’un mauvais sommeil changerait. Alors, même si à 80 ans on dort moins bien, on en ressentirait moins les effets.
 
« Les seniors ont certes moins de sources de stress dans leur quotidien, mais ils semblent également plus aptes à gérer ces facteurs de stress», explique le Dr. Michael Grandner, principal auteur de l’étude. « L’expérience acquise au cours de la vie expliquerait en grande partie ces différences.»
 
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La caféine influence vos moments de sommeil et d’éveil

Selon le journal Sleep Medicine, la caféine peut vous aider à avoir un regain d’énergie durant la journée, mais elle influence grandement vos heures de sommeil et d’éveil.
 
Les premiers résultats de l’étude, obtenus auprès de 50 étudiants, démontrent que les lèves tôt ont plus de caféine dans le corps et sont ceux qui demeurent le plus longtemps éveillés durant la nuit également.
 
Les étudiants ont été invités à déclarer leur consommation de café et leur nombre d’heures de sommeil et d’éveil. Chacun portait également un appareil au poignet qui mesurait les mouvements durant la nuit. De plus, on a mesuré le taux de caféine dans leur salive.
 
Ceux qui avaient effectivement le plus de caféine dans le corps étaient ceux qui avaient le plus grand nombre d’heures d’éveil.
 
Maintenant, on souhaite mesurer les effets sur d’autres personnes, car on croit que les résultats pourraient avoir été influencés par le simple fait qu’il est reconnu que les étudiants manquent souvent de sommeil.
 
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Allaitement : réduisez la caféine et le chocolat

Selon une experte de l’allaitement maternel, Dre Ruth Lawrence, rédactrice en chef du Breastfeeding Medicine Journal, consommer des boissons gazeuses, du café et du thé, et même manger du chocolat, augmente le niveau du stimulant dans le sang des bébés.

Les petits qui boivent du lait maternel contenant une caféine quelconque peuvent devenir plus agités, éveillés et irritables que les autres.

En effet, les bébés ont des difficultés à décomposer et éliminer la caféine de leur corps, en particulier dans les deux premières semaines de vie.

« La mère doit essayer d’annuler les excès de caféine », dit la spécialiste.

En médecine générale, il est conseillé aux mères de ne pas dépasser 300 mg de caféine, soit l’équivalent de trois tasses de café par jour. « Mais encore là, le résultat peut différer d’une femme à l’autre. Si vous avez des problèmes avec votre bébé que vous allaitez, songez à réduire ou éliminer la caféine en premier », précise Dre Lawrence.

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Le sommeil des enfants, jamais assez?

Des chercheurs australiens sont arrivés à la conclusion que les enfants n’atteignent jamais la quantité de sommeil recommandée pour leur âge, et ce, depuis toujours.

L’équipe a analysé 246 études s’étendant sur plus d’un siècle et portant sur les changements dans les recommandations de sommeil des petits et sur leurs habitudes réelles. Les résultats ont été publiés dans le Pediatrics.

Ils ont trouvé que la quantité de sommeil recommandée pour les enfants avait baissé avec les années, encore plus significativement pour les nourrissons, les 4 à 8 ans et les 14-15 ans. En même temps, et presque au même rythme, le temps de sommeil réel avait aussi diminué au fil des ans, perdant environ 70 minutes au cours du 20e siècle.

Selon Lisa Anne Matricciani et ses collègues de l’Université de l’Australie du Sud à Adélaïde, les recommandations d’heures de sommeil pour les enfants de tous les groupes d’âge ont toujours excédé ce qui était rapporté comme quantité de sommeil réelle observée chez les petits.

Que les enfants profitent d’une bonne quantité de sommeil a toujours été une préoccupation pour tous, alors que l’on craint depuis longtemps que les stimulations de la vie moderne affectent négativement les plus jeunes. Comme la lecture et la radio étaient pointées du doigt à une autre époque, la télévision et l’Internet sont les coupables tout désignés aujourd’hui.

Malgré le fait que le manque de sommeil chez les enfants est associé à une série de conséquences néfastes, les chercheurs ont précisé que la relation entre la quantité de sommeil et ces effets ou encore les mécanismes menant à des résultats négatifs ne sont pas encore bien compris.

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Uriner la nuit : les effets sur les jeunes?

Les visites nocturnes à la salle de bain sont généralement associées à la grossesse ou à une hypertrophie de la prostate, mais le problème peut aussi affecter les jeunes qui ne dorment pas bien.

Des chercheurs danois ont constaté que la privation et la perturbation du sommeil entraînent des enfants en bonne santé, âgés de huit à douze ans, à uriner beaucoup plus souvent, avoir une pression artérielle plus élevée et excréter plus de sodium dans leurs urines. Uriner la nuit fréquemment peut notamment modifier la réglementation d’hormones importantes pour l’excrétion.

L’étude, qui est publiée dans l’American Journal of Physiology et dans l’American Physiological Society, a examiné 20 enfants sains qui sont demeurés 24 heures consécutives à l’hôpital.

Les deux soirs, les enfants devaient être dans une position couchée dans leur lit dans une pièce faiblement éclairée. Aucune hydratation ou nourriture n’a été permise entre 20 h et 7 h le lendemain.

Le premier soir, les enfants ont dormi. Le second, les enfants étaient tenus éveillés par des jeux, de l’interaction et des programmes à la télévision, le plus longtemps possible et tout au long de la nuit.

Résultat : lors de la seconde nuit où la privation de sommeil était à l’honneur, il y a eu une dramatique hausse de 68 % sur l’excrétion d’urine pendant la nuit chez les participants. Les résultats étaient similaires pour les garçons et les filles.