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Sommeil et allaitement : un autre regard

Selon l’étude Long-Term Relationship Between Breastfeeding and Sleep, le sommeil des bébés allaités tend à se stabiliser au fil du temps. Ils tendent à avoir des habitudes de sommeil différentes, comme nous le lisons sur EurekAlert!, mais cela s’estompe durant la petite enfance.

Leurs habitudes de sommeil en viendraient donc à devenir les mêmes que celles des bébés nourris au biberon. C’est qu’en général, l’allaitement fait en sorte qu’un bébé se réveille plus souvent la nuit pour boire et qu’il tendra à demeurer éveillé plus longtemps.

Cette étude comprenait 89 mères de poupons exclusivement allaités et 54 mères de poupons nourris au biberon. Les bébés étaient âgés de 3 à 12 mois. Les mères devaient remplir un questionnaire sur le sommeil de leur enfant, puis on les visitait quelques fois (3, 6, 9, 12 et 18 mois plus tard).

Si les bébés allaités se réveillaient plus souvent la nuit, faisaient moins de siestes et dormaient moins souvent dans leur lit, cela tendait à ne durer que trois mois. Après six mois, la seule différence entre les deux groupes résidait en ce que les poupons allaités se réveillaient moins souvent dans leur propre lit.

Finalement, au bout de neuf mois, il n’y avait plus aucune différence notable entre les bébés des deux groupes quant à leurs habitudes de sommeil.

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Vite au lit, vite debout

On apprend dans SLEEP que les couche-tôt sont en meilleure santé. Selon une étude australienne, les enfants qui se couchent et se lèvent tôt sont plus minces et plus actifs physiquement que ceux qui font l’inverse, et ce, même s’ils ont profitent tous du même nombre d’heures de sommeil.

Cette conclusion provient de l’analyse des données sur le sommeil de 2200 enfants mises en relation avec le poids de ces derniers et leurs activités durant le jour. Il semble que l’heure du coucher autant que l’heure du lever soient prédominantes quant au maintien d’une bonne santé.

On a d’ailleurs estimé que les enfants qui se couchent et se lèvent tard avaient 1,5 fois plus de risques de devenir obèses que ceux qui suivaient une routine de couche-tôt.

Dans le même ordre d’idée, les couche-tard auraient 2 fois plus tendance à être sédentaires et ils seraient jusqu’à 2,9 fois plus enclins à passer trop de temps (par rapport à la limite recommandée) à écouter la télévision, jouer à des jeux vidéo ou rester à l’ordinateur.

Si, depuis quelques années, on pointe du doigt le manque d’heures de sommeil quant à la prévalence de problèmes de santé – dont l’obésité –, on souligne maintenant que le moment du coucher est encore plus important.

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Vite au lit, vite debout

On apprend dans SLEEP que les couche-tôt sont en meilleure santé. Selon une étude australienne, les enfants qui se couchent et se lèvent tôt sont plus minces et plus actifs physiquement que ceux qui font l’inverse, et ce, même s’ils ont profitent tous du même nombre d’heures de sommeil.

Cette conclusion provient de l’analyse des données sur le sommeil de 2200 enfants mises en relation avec le poids de ces derniers et leurs activités durant le jour. Il semble que l’heure du coucher autant que l’heure du lever soient prédominantes quant au maintien d’une bonne santé.

On a d’ailleurs estimé que les enfants qui se couchent et se lèvent tard avaient 1,5 fois plus de risques de devenir obèses que ceux qui suivaient une routine de couche-tôt.

Dans le même ordre d’idée, les couche-tard auraient 2 fois plus tendance à être sédentaires et ils seraient jusqu’à 2,9 fois plus enclins à passer trop de temps (par rapport à la limite recommandée) à écouter la télévision, jouer à des jeux vidéo ou rester à l’ordinateur.

Si, depuis quelques années, on pointe du doigt le manque d’heures de sommeil quant à la prévalence de problèmes de santé – dont l’obésité –, on souligne maintenant que le moment du coucher est encore plus important.

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Neuf heures de sommeil minimum

Les enfants de l’école primaire doivent dormir un nombre suffisant d’heures afin de bien fonctionner. Des chercheurs de l’Université Autonomous de Barcelone, l’UAB, se sont d’ailleurs penchés sur le lien entre le nombre d’heures de sommeil d’enfants de six ans à sept ans et leur réussite scolaire.

Selon leurs résultats parus dans Cultura y Educación, les enfants de cet âge qui ne dorment pas au moins neuf heures par nuit, qui se couchent tard ou qui n’ont pas de routine du coucher voient habituellement leur réussite scolaire compromise.

Il semble que la plupart des enfants, dans le cadre de cette étude, ne dorment pas selon la norme requise par leur développement intellectuel, car le manque de sommeil ne peut être recouvré.

Manquer ainsi de sommeil et suivre de mauvaises habitudes a des effets néfastes, et ce, particulièrement sur les aptitudes générales (par exemple, l’apprentissage des règles de grammaire), ce qui est primordial pour réussir à l’école.

Quant aux compétences liées à la cognition, comme la mémoire, les capacités d’apprentissage et la motivation, elles sont plus touchées par un manque d’habitudes régulières de sommeil.

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L’insomnie pourrait être héréditaire

Une équipe de l’Université Laval mentionne que l’insomnie pourrait être héréditaire. En fait, une personne qui a au moins un membre insomniaque dans sa famille a 67 % plus de risques de souffrir d’insomnie.
 
Ces chances sont multipliées par neuf si trois membres de la famille souffrent d’insomnie.
 
Selon Le Soleil, le professeur Charles M. Morin, de l’École de psychologie de l’Université Laval, et son équipe ignorent si cela serait dû au fait que le processus physiologique interfère avec le sommeil ou encore à une prédisposition à l’anxiété.
 
« Les conclusions de notre étude suggèrent qu’une intervention psychologique précoce pourrait être bénéfique aux personnes provenant de familles où l’insomnie chronique sévit », dit le professeur Morin.
 
3 500 personnes ont répondu au questionnaire téléphonique et postal à trois reprises et quatre personnes sur dix disaient avoir au moins un insomniaque dans leur famille.
 
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Les Canadiens dorment très mal

Il semble que les Canadiens ont bien du mal à dormir convenablement, surtout les femmes.
 
En fait, 40 % de la population dit avoir des troubles du sommeil et 13,4 % a eu un diagnostic d’insomnie.
 
Selon une étude dévoilée par une équipe de l’Université Laval, réalisée auprès de 2 000 personnes, les femmes auraient plus de mal à bien dormir que les hommes.
 
De plus, les problèmes semblent être plus nombreux dans la quarantaine et ils s’aggravent en vieillissant.
 
« Les jeunes adultes ont tendance à avoir de la difficulté à s’endormir. Plus tard, vers 40 ou 50 ans, ils ont de la difficulté à rester endormis. Et les aînés ont plutôt des problèmes de réveil précoce, vers 4 h, avec de la difficulté à se rendormir », déclare le chercheur Charles M. Morin.
 
Étrangement, on note aussi une différence entre les anglophones et les francophones. Ces derniers disent mieux dormir, mais sont aussi plus enclins à faire l’usage de somnifères.
 
Les résultats de cette étude seront présentés au congrès de l’Association mondiale pour la médecine du sommeil qui se tiendra à Québec ce week-end.

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Les personnes âgées actives dorment mieux

En vieillissant, le sommeil est moins réparateur, ceci en raison du fait que les phases de sommeil lent profond sont plus courtes. Il est toutefois possible de remédier à cela, simplement en bougeant plus.
 
Des chercheurs de l’Université de Sherbrooke ont démontré que l’activité physique chez les personnes âgées peut aider à améliorer la qualité du sommeil.
 
Habituellement, une nuit de sommeil comporte 4 à 5 cycles de 90 minutes. Ils sont composés de différentes phases, dont celle du sommeil paradoxal, où les rêves se produisent, et celle du sommeil lent profond, qui nous permet de refaire des forces.
 
Chez les enfants, cette dernière phase représente 20 % de la nuit, mais pour les personnes âgées, elle ne représente que 5 %.
 
Durant l’étude, on a constaté qu’après quatre mois d’activité physique, les participants mentionnaient mieux dormir. De plus, les phases de sommeil lent profond étaient augmentées.
 
Ces résultats seront présentés lors du Congrès international de l’Association mondiale de la médecine du sommeil.
 
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Bienfaits de la natation chez le bébé

On lit sur Water Babies les résultats d’une enquête sur la natation effectuée auprès de parents. Si 40 % n’avaient jamais considéré pratiquer cette activité physique avec leur bébé, la natation offre pourtant de nombreux bénéfices.

En plus d’améliorer la condition physique de l’enfant, elle aurait un effet sur sa santé mentale. De plus, les mouvements dans l’eau augmentent son appétit et le mènent à un meilleur sommeil.

Les avantages sont aussi très grands pour le parent lui-même. En partageant un moment précieux dans la piscine, cela permettrait de relativiser les choses et de diminuer l’anxiété que l’on peut avoir vis-à-vis de son enfant.

Il semble finalement que la natation constitue l’exercice idéal pour un bébé, puisqu’elle fait travailler tous ses muscles sans l’effet de la gravité. Et si l’on croit généralement qu’un enfant peut apprendre à nager à partir de l’âge de trois ans, il peut en fait y être initié dès l’âge d’un an.

Puisque la première année de vie constitue celle où le cerveau grandit le plus rapidement, chaque action peut donc en stimuler la croissance et renforcer ses conduits nerveux.

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Des aliments à consommer pour un sommeil réparateur

Il existe quelques moyens de vous aider à avoir un sommeil réparateur. Nous le savons, le manque de sommeil affecte la qualité de vie et la santé.
 
Healthmeup a relevé quelques exemples d’aliments que vous pouvez consommer qui vous aideront à bien dormir.
 
Il y a entre autres les noix fraîches, mais surtout les amandes. Leur teneur en magnésium aide à prévenir les troubles du sommeil et déclenche la détente musculaire. À consommer 2 à 3 heures avant de se coucher. En plus, les protéines contenues dans les amandes stabilisent le niveau de sucre sanguin.
 
Les céréales qui ont une faible teneur en sucre peuvent également vous aider à avoir un sommeil réparateur. Avec du yogourt naturel, cela stabilisera la sérotonine, qui régule l’humeur et crée une meilleure qualité de sommeil.
 
Manger des œufs à la coque peut aussi être un bon choix, car leur teneur en protéine favorise le sommeil.
 
Le miel, que vous pouvez entre autres mettre dans votre thé, stimule le sommeil naturellement.
 
Finalement, vous pouvez également opter pour le maïs éclaté, mais sans beurre ni sucre. Ses glucides aident à assurer l’apport en tryptophane, un acide aminé qui produit la sérotonine, laquelle stimule le sommeil.
 
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L’alcool perturbe le sommeil

Si vous croyez que boire de l’alcool avant de vous coucher vous aidera à avoir une bonne qualité de sommeil, vous avez tort.
 
Une étude dévoilée par le journal Alcoholism: Clinical and Experimental Research affirme que l’alcool vous permettra effectivement de vous endormir plus rapidement et peut-être de bien dormir durant la moitié de la nuit, mais vous pouvez ensuite souffrir d’insomnie, avoir un sommeil agité et vous réveiller beaucoup plus tôt que prévu.
 
Selon l’équipe de l’Université d’Akita au Japon, l’alcool avant d’aller dormir peut également causer des effets nocifs sur le système digestif et entraîner des maladies.
 
Donc, pour mieux dormir, mangez bien, faites de l’exercice et établissez une routine qui prépare votre corps à la détente et au sommeil qui suivra.