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L’enfant adopté et le couple

On sait que les problèmes conjugaux, étant un facteur de stress important au sein d’une famille, ont une influence sur les habitudes de sommeil de l’enfant. Des chercheurs de la Penn State University ont voulu démontrer cet effet sans qu’il y ait de lien génétique.
 
Ils ont donc évalué les habitudes de sommeil d’enfants âgés de 9 à 18 mois, puis ont rencontré les parents. Ces derniers ont répondu à une série de questions sur leur couple et l’état de leur relation.
 
Un lien entre des conflits entre les parents et des problèmes de sommeil chez des enfants de cet âge a pu être constaté, ce qui s’explique par l’impact du stress. Rappelons que la petite enfance est une période très importante quant à l’instauration des habitudes de sommeil.
 
Cette étude deviendra par la suite longitudinale, afin de vérifier cette influence sur le sommeil chez les mêmes participants, mais une fois qu’ils auront huit ans, mentionne Child Development.
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Reprendre le chemin de l’école

Des chercheurs de l’Université de Cincinnati indiquent aux parents qu’une bonne routine scolaire n’a rien de compliqué. Afin de promouvoir l’éducation et la santé, on doit se souvenir de quelques lignes directrices, lisons-nous sur Medical News Today.

Ainsi, on devrait s’assurer que notre enfant fait de l’activité physique, qu’il profite de bonnes nuits de sommeil et qu’il prend un déjeuner satisfaisant. Ces trois clés seraient celles du succès en ce qui a trait à la réussite à l’école.

De plus, les chercheurs soutiennent que la rentrée peut avoir certaines répercussions sur la santé physique des enfants. Le temps passé à étudier n’en est effectivement pas un accordé à l’activité physique.

Pourtant, demeurer actif tout au long de l’année scolaire est bénéfique : il semble que notre esprit fonctionne mieux lorsqu’il est physiquement stimulé. Quant au déjeuner, nous connaissons déjà ses bienfaits : il demeure la meilleure préparation pour une longue journée d’école.

Le déjeuner prévient aussi l’obésité, tout comme le feraient de bonnes nuits de sommeil. Celles-ci devraient même être allongées jusqu’à 10 heures pour les enfants à l’école, pour ne jamais descendre en dessous de 8 heures par nuit.

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De beaux dodos durant les vacances

Souvent, lorsque toute la maisonnée se retrouve en vacances d’été, on a tendance à laisser aller un peu la discipline et la routine. Pourtant, selon les experts, les enfants ne devraient pas dormir moins durant cette période de l’année, comme nous l’apprenons sur UPI.com.

L’article Let Kids be Kids: Rescuing Chilhood, présenté par la professeure Mary Muscari de la Decker School of Nursing de la Bringhamton University (New York), soutient qu’un manque de sommeil chez l’enfant peut mener à des problèmes d’apprentissage et des accidents, voire à la dépression.

De plus, l’experte rappelle aux parents qu’un enfant qui est en forme est un enfant heureux. Les enfants et les adolescents doivent bénéficier quotidiennement de neuf heures de sommeil pour bien fonctionner et grandir.

Toutefois, on peut laisser les enfants s’endormir plus tard, mais les lever plus tard aussi dans ce cas. Il faut conserver la même routine et les mêmes habitudes de sommeil, quel que soit le contexte.

Leurs nuits de sommeil doivent par contre revenir au cadre de la vie scolaire au moins une semaine à l’avance, à la fin de l’été.

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Un bon sommeil est primordial pour la future maman

On apprend sur Santé Log que l’apnée du sommeil durant la grossesse serait en lien avec certains risques graves, tant pour maman que pour bébé.

Rappelons que l’apnée du sommeil se caractérise par des arrêts ou des diminutions de la respiration pendant que l’on dort.

Une étude de l’Université Northwestern (Chicago) aurait en effet démontré que les femmes enceintes qui en souffrent seraient plus enclines à souffrir de diabète de grossesse ou d’hypertension gravidique.

Elles courraient aussi plus de risques de mettre au monde un bébé prématuré. La prématurité, dans le cadre de cette étude, concernait les accouchements survenant à partir de la 34e semaine de grossesse.

Il existerait finalement un lien entre l’apnée du sommeil, les problèmes de grossesse cités et l’obésité, mais il est encore difficile de démontrer dans quelle mesure ils seraient de cause à effet.

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Dormir plus permet d’améliorer les performances sportives

Une équipe de chercheurs américains de l’Université Stanford ont étudié comment le sommeil pouvait affecter les performances de l’équipe de basketball masculine du campus.
 
Pendant six semaines, l’équipe a dormi 10 heures par nuit. Les résultats ont été marquants : une amélioration de trois points, un meilleur lancer franc de 9 % et une amélioration au sprint de 86 m passant de 16,2 secondes à 15,5 secondes.
 
« Le sommeil est un facteur important pour atteindre le sommet de la performance athlétique. Les athlètes doivent être capables d’optimiser leurs entraînements et les résultats de leurs compétitions en identifiant des stratégies visant à maximiser les effets bénéfiques du sommeil », mentionne l’auteure principale de la recherche, Cheri Mah.

Selon la revue Sleep, il est important pour les athlètes de dormir de longues nuits sur une longue période, et non seulement la veille d’une partie. Aussi, se coucher et se lever toujours aux mêmes heures est très bénéfique, de même que faire de courtes siestes durant la journée si nécessaire.

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Encore aux prises du pipi au lit?

Les pipis au lit sont très courants chez les jeunes enfants. Certains requièrent plus de temps que les autres à apprendre à se retenir durant leur sommeil. Parfois, cela s’étale sur quelques années, d’où le désarroi de certains parents.

On pense à tort, dans ce cas, à un comportement à corriger, voire à la paresse, selon l’American Academy of Familiy Physicians. Des problèmes de santé peuvent, en vérité, en être la source.

La même association fait donc part de certains symptômes et indices à relever pour savoir si notre enfant a des raisons sérieuses de mouiller son lit continuellement. Ils sont parus dernièrement sur Health Day.

Ainsi, avant de penser au comportement, on doit vérifier si notre enfant n’aurait tout simplement pas de la difficulté à s’extirper du sommeil, ou encore si son système nerveux central se développe plus lentement que les autres.

Il peut aussi souffrir d’une infection, avoir un débalancement hormonal ou avoir vécu un grand stress. Un historique familial peut aussi expliquer le problème. Sinon, notre enfant peut simplement avoir une petite vessie ou une anomalie à la moelle épinière qui affecte sa valve urinaire.

Dans tous les cas, on n’omet pas la routine des toilettes pendant celle du soir, pour y retourner juste avant de dormir. Souvent, on réduit ou l’on règle le problème de cette façon.

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Preuve de l’effet néfaste de la télé

Les enfants d’âge préscolaire ne devraient pas écouter la télévision en soirée, selon une récente étude parue dans Pediatrics. Ayant porté sur 612 enfants âgés de 3, 4 et 5 ans, elle serait la première à démontrer des effets néfastes, quel que soit le contenu regardé.

Si un contenu violent écouté durant le jour à la télévision ou sur l’ordinateur a été prouvé comme étant dommageable pour le sommeil, il semble qu’il a des conséquences, peu importe sa nature, lorsqu’il est regardé le soir.

On a demandé aux parents des jeunes participants de tenir un journal durant une semaine afin de remarquer les habitudes de sommeil de ces derniers. Dix-huit pour cent des parents ont relevé au moins un problème se produisant cinq fois par semaine.

Ils devaient relever, par exemple, les difficultés de l’enfant à s’endormir, ses cauchemars et ses interruptions de sommeil. Une corrélation a été faite avec le temps moyen passé devant la télévision ou l’ordinateur, qui était de 73 minutes par jour.

On n’a relevé que 19 minutes quotidiennes d’exposition à la violence chez ces enfants. Celle-ci n’était donc pas nécessaire pour que les enfants aient de la difficulté à s’endormir ou à se réveiller le lendemain, lorsqu’ils écoutaient la télé le soir.

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Les secrets de l’autisme

L’autisme est encore peu compris, mais une nouvelle découverte nous permettrait un jour de détecter ce syndrome dès les premiers signes. Une étude de l’Institut des sciences Weizmann de Rehovot, en Israël, semble très prometteuse.

C’est qu’elle a permis de remarquer que les enfants atteints d’autisme présentent une faible synchronisation entre les hémisphères du cerveau durant leur sommeil. On croit donc qu’il serait possible de détecter l’autisme de cette manière un jour.

Les jeunes autistes âgés d’un à trois ans et demi ont en effet une connexion plus faible entre les deux parties cérébrales responsables de la production de la parole et de la compréhension du langage.

La force de cette synchronisation était reliée, dans le cadre de cette étude parue dans Neuron, à l’aptitude verbale, de la même façon qu’elle est inversement proportionnée quant aux problèmes de communication ouvertement reliés à l’autisme.

Afin d’en arriver à ce constat, les chercheurs ont fait passer une résonance magnétique à de jeunes enfants endormis.

Le fait que ce test s’effectue pendant le sommeil de l’enfant est bien sûr un autre de ses atouts. De plus, un diagnostic d’autisme en bas âge permet d’offrir des outils et du soutien plus efficaces aux enfants atteints.

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La somnolence influence nos choix alimentaires

La somnolence diurne affecte le contrôle inhibiteur de notre cerveau devant la vision d’aliments alléchants et riches en calories. C’est la conclusion à laquelle parviennent des chercheurs, selon ce que rapporte le Science Daily.
 
En état de somnolence, il y aurait moins d’activation dans le cortex préfrontal devant des aliments caloriques. Ainsi, cela pourrait affecter nos choix alimentaires et nous faire privilégier les aliments moins sains.
 
Nous savons qu’avoir suffisamment d’heures de sommeil est essentiel pour la santé en général, mais nous ajoutons maintenant que cela aide à conserver la ligne. En effet, avec moins de sommeil, nous sommes inconsciemment portés à manger des aliments beaucoup plus caloriques, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids.
 
Finalement, l’obésité pourrait être mieux gérée si les personnes avaient un bon sommeil réparateur chaque nuit.

En 2010, des chercheurs avaient démontré que l’attrait des aliments plus caloriques était nettement plus élevé chez les femmes que chez les hommes, en réponse à leur activation différente dans le cortex préfrontal.

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Prolonger son sommeil limite la prise de poids

Une étude faite avec 43 personnes qui dormaient moins de six heures, âgées de 18 à 64 ans, révèle que celles qui prolongent leurs heures de sommeil vont prendre moins de poids avec le temps.
 
En vieillissant, tout le monde prend quelques kilos. Toutefois, les personnes qui dormaient moins de six heures et qui prolongent leur sommeil jusqu’à 7 ou 8 heures vont prendre moins de poids que les personnes qui persistent à dormir peu.
 
On peut observer une différence moyenne de 2,4 kg sur six ans, seulement en changeant ses habitudes de sommeil, mentionne la recherche publiée dans l’International Journal of Obesity.
 
« On sait que lorsqu’on manque de sommeil, plusieurs hormones — comme le cortisol, l’hormone de stress par excellence — sont perturbées. Je pense que les gens qui ont de bonnes nuits de sommeil gèrent mieux ces hormones de stress, qui sont en lien avec la prise alimentaire. Donc, ils mangent moins. En dormant plus, les gens sont moins exposés à notre environnement obésogène », explique Jean-Philippe Chaput qui a dirigé les travaux.

Effectivement, on est moins porté à grignoter lorsqu’on dort, alors qu’il est facile de succomber à la tentation si l’on est encore éveillé en pleine nuit.