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L’hormone du sommeil pour lutter contre l’obésité?

Le Journal of Pineal Research dévoile que la mélatonine, l’hormone du sommeil, comporterait des bienfaits autres que ceux déjà connus, comme ses propriétés antioxydantes et son efficacité contre la dépression, les troubles du sommeil et les problèmes de libido.
 
En effet, si les résultats de la présente recherche espagnole se confirment, cela pourrait mener à de nouveaux traitements contre l’obésité, car la mélatonine aide à gérer le poids et les lipides dans le sang.
 
L’étude a été faite sur un modèle expérimental de rats auxquels on a injecté de la mélatonine. Les effets bénéfiques ont été notés avant même que ne se développent des complications métaboliques et vasculaires liées au syndrome.
 
La mélatonine pourrait donc aider à prévenir certains problèmes liés à l’obésité et la dyslipidémie, comme le diabète et les maladies cardiaques.
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Les enfants sont plus grands après le sommeil

Des scientifiques ont finalement prouvé ce que nos grands-mères nous ont toujours répété : les enfants sont plus grands après avoir dormi. C’est la première fois qu’un lien entre la croissance quotidienne et le sommeil est établi.

On peut aussi lire dans Sleep que le sommeil irrégulier fait partie du développement normal de l’enfant. Les bébés ne sont donc pas difficiles, ils suivent simplement leur croissance normale.
 
Les chercheurs ont de plus démontré que les poussées de croissance sont liées à l’augmentation du nombre d’heures de sommeil, aux plus nombreux combats contre le sommeil ainsi qu’au début du sommeil au réveil.

Une plus longue période de sommeil est liée à de plus grandes quantités de gras et un poids plus élevé, ce qui revient à une augmentation de la taille. Autrement dit, cette hausse du poids et du gras reliés au sommeil dénote une progression métabolique, qui est la croissance.

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Un bébé qui pleure de façon excessive est plus enclin à développer des problèmes comportementaux dans son enfance

En effet, une étude de longue date, dont les résultats paraissent sur Daily Mail, affirme que 1 bébé sur 5 a un tempérament difficile, incluant des pleurs excessifs et des problèmes de sommeil. Celui-ci sera plus enclin, dans une proportion de 40 %, à développer des désordres comportementaux.

Les recherches, déployées entre les chercheurs de l’Université de Warwick, l’Université de Basel en Suisse et l’Université de Bochum en Allemagne, cumulent les résultats d’analyses de 22 études menées entre 1987 et 2006.

Le lien entre la problématique comportementale du bébé et son développement psychosocial de 7 à 9 ans a impliqué 16 848 enfants, dont près de 2 000 ont développé des problèmes de comportement tels que le trouble de déficit de l’attention (TDA) et l’hyperactivité.

Selon Dieter Wolke, chercheur de l’Université de Warwick, les résultats sont anormalement élevés et ils sont inquiétants. L’étude portait entre autres sur les nourrissons qui pleurent plus de 3 heures par jour après 3 mois, ainsi que ceux dont les problèmes de sommeil persistent au-delà de 8 mois.

Le professeur Wolke affirme que la solution consiste à intégrer une routine plus structurée pour ces enfants. « Nous avons la preuve que cela fonctionne », ajoute-t-il à l’intention des parents.

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Allaiter ne vous privera pas plus de sommeil

On croit en général que l’allaitement enlève plus d’heures de sommeil aux femmes. Les gens pensent souvent qu’allaiter prend plus de temps à faire et demande beaucoup plus de temps que de préparer un biberon.

Or, une récente étude a démontré que l’allaitement ne demande pas plus de temps aux mamans que les autres façons de faire, apprend-on sur Nutrinews.
 
Ainsi, les mamans qui donnent le biberon, celles qui ont choisi l’allaitement et celles qui ont opté pour l’allaitement mixte (sein et biberon) dorment à peu près le même nombre d’heures et connaissent les mêmes interruptions de leur sommeil durant la nuit.

Il s’agit là d’un autre argument pour l’allaitement, en fait. Plusieurs autres études appuient cette manière de nourrir son bébé. Certaines ont même avancé que l’allaitement pouvait mener à de meilleurs résultats scolaires chez l’enfant quelques années plus tard.

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Bébé dormeur : à cause de ses gènes?

Les parents se demandent parfois si le fait que leur enfant ne dort pas bien est de leur faute. Ils seront heureux d’apprendre qu’ils pourraient toutefois influencer les habitudes de sommeil de leur tout-petit en modifiant leur environnement, lisons-nous dans le Los Angeles Times.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs italiens après avoir suivi 127 paires de vrais jumeaux et 187 paires de jumeaux non identiques âgés de 18 mois. Ces derniers jumeaux ne partagent que la moitié de leur ADN.
 
Dans le cadre de cette étude, toutes les paires de jumeaux partageaient la même chambre. Les parents des jeunes participants ont été questionnés quant à leur habitude d’aller dormir avec leurs enfants ou non, si les enfants dormaient toute la nuit ou non et s’ils faisaient une sieste en après-midi.
 
À la lumière des résultats, il semble tout d’abord que l’ADN joue en effet un rôle sur le sommeil des bébés, mais uniquement sur le fait que ceux-ci se réveillent ou non durant la nuit.

Les choix que faisaient les parents quant à l’environnement entourant le sommeil de leurs enfants étaient en très grande partie responsables de ce que les tout-petits dorment dans leur chambre ou non. Dans ce dernier cas, les gènes n’avaient absolument rien à y voir.

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Internet aide maman et bébé à dormir

Selon le journal SLEEP, on pourrait bientôt se fier à Internet pour endormir notre bébé en pleurs. Un nouveau programme web a fait ses preuves : il a réduit de 50 % les éveils nocturnes ainsi que leur durée.

Offrant un soutien personnalisé, ledit programme a été en essai durant 3 semaines auprès de 264 mères ayant un enfant âgé de 6 à 36 mois. On a pu constater une réelle amélioration du sommeil.
 
Ainsi, dans le groupe d’essai, les enfants s’endormaient plus rapidement et leur temps de sommeil complet par nuit a été plus long. En fait, la période la plus longue de sommeil continu avait augmenté de plus de deux heures.
 
Ces améliorations en ont entraîné d’autres. On a en effet remarqué des effets sur l’état général de la maman. Elle dormait mieux, était de meilleure humeur et avait plus confiance en elle.

Finalement, les mères du groupe d’essai vivaient moins de tension, de dépression, de confusion et, bien sûr, de fatigue. Tous ces changements se sont faits si rapidement et efficacement qu’ils ont même surpris les chercheurs.

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Les gadgets électroniques nuisent au sommeil

Le sondage mené auprès de 1508 personnes par la National Sleep Foundation dévoile que 95 % des personnes jouent à des jeux vidéo ou utilisent un téléphone intelligent ou leur ordinateur portable dans l’heure qui précède le moment d’aller dormir. Pourtant, cette heure est cruciale pour préparer le corps à se relaxer avant la nuit.
 
« Cette étude révèle que les écrans à faible intensité lumineuse sont très utilisés dans l’heure cruciale qui précède le sommeil. L’envahissement des chambres à coucher par ces technologies qui maintiennent en éveil peut contribuer à la forte proportion de personnes interrogées qui disent dormir en général moins longtemps qu’elles n’en auraient besoin », explique le Dr Charles Czeisier de l’École de médecine d’Harvard.
 
Les experts soupçonnent que les ordinateurs, téléphones et jeux sont plus stimulants que la télévision et donc peuvent perturber le sommeil, surtout s’ils sont utilisés tout juste avant de se coucher.
 
Le résultat en est que 43 % des 13 à 64 ans qui ont répondu au sondage affirment avoir rarement ou jamais de nuit de sommeil satisfaisante.
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Le manque de sommeil serait lié à un risque accru de cancer colorectal

Nous savions que le manque de sommeil était lié à différentes maladies comme le diabète, l’obésité et les maladies coronariennes, mais des chercheurs américains affirment que cela augmente également le risque de souffrir d’un cancer colorectal.
 
Selon la revue Cancer, les personnes qui dorment six heures ou moins par nuit augmentent leurs risques de développer la maladie de 50 %. C’est ce qui ressort d’une étude menée sur 338 personnes.
 
Elles ont toutes eu une coloscopie de routine, en plus de répondre à un questionnaire sur leurs habitudes et la qualité de leur sommeil durant le mois précédant l’étude.
 
À la coloscopie, 338 personnes ont été identifiées avec des polypes. La majorité du temps, ceux-ci sont bénins, mais ils peuvent devenir cancéreux. L’étude démontre que la présence de ces polypes coïncidait avec un risque accru de cancer chez ceux qui dormaient moins de six heures, comparativement à ceux qui avaient un sommeil de sept heures ou plus.
 
Le manque de sommeil serait un facteur de risque comparable aux antécédents familiaux et à une grande consommation de viande rouge.
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La santé mentale des enfants obèses inquiète

Les enfants qui souffrent d’obésité connaissent souvent d’autres problèmes à l’adolescence ou à l’âge adulte, tels le diabète et la dépression. On a aussi pu faire un lien dans les dernières années entre l’obésité et le manque de sommeil.

Or, une récente étude a porté sur ce sujet. Menée par l’Université du Maryland, elle est parue dernièrement dans Journal of Sleep Research.

Ayant porté sur 13 568 adolescents âgés de 12 à 18 ans, elle a tout d’abord démontré que ceux qui dormaient 6 heures ou moins par nuit n’étaient pas plus souvent obèses que ceux qui avaient des nuits normales.

Pourtant, selon Christine Calamaro qui a dirigé cette étude, le lien semblait évident, car le manque de sommeil cause un débalancement endocrinien. Cela fait grimper nos taux hormonaux, dont celui de cortisone en raison de la fatigue et du stress, ce qui cause la faim.

Ainsi, en mangeant plus et en choisissant plus d’aliments riches en hydrates de carbone, notre taux de glucose augmente et ainsi de suite. C’est un cercle vicieux.

Toutefois, cette recherche a fait un lien entre la durée du sommeil et l’apparition de la dépression, car les adolescents dépressifs ont deux fois plus de risques de devenir obèses, de même que ceux regardant la télévision de façon excessive avaient plus tendance (37 %) à développer l’obésité.

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Sommeil et obésité chez l’enfant

Des chercheurs de l’Université de Chicago ont effectué une recherche ayant porté sur 308 enfants âgés de 4 à 10 ans.

Parmi ces derniers, il s’est avéré que ceux qui cumulaient le moins d’heures de sommeil et qui avaient des horaires irréguliers de sommeil avaient 4,4 fois plus tendance à souffrir d’obésité.

Les enfants obèses tendaient à dormir moins, et ce, de plus en plus jusqu’à la fin de la semaine. Toutefois, si leur temps de sommeil était compensé durant le week-end, leur risque d’obésité chutait à 2,2.

De plus, selon cette étude parue dans Pediatrics, il semble que dormir un peu plus chaque nuit serait bénéfique pour la santé des enfants en général.

En effet, une demi-heure quotidienne de sommeil influence l’indice de masse corporelle et réduit les effets métaboliques pouvant entraîner le diabète et les maladies vasculaires.

Finalement, la moyenne d’heures de sommeil était de 8,5 par jour chez les participants de cette étude. La norme recommandée correspond pourtant à une moyenne quotidienne de 10 heures.

On suggère donc fortement de proposer des horaires les plus stables possible aux enfants afin qu’ils profitent des bienfaits d’une bonne nuit de sommeil.

Dormir suffisamment, rappelons-le, est associé à de meilleures habiletés d’apprentissage, une meilleure mémoire et une plus grande attention.