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Un bébé dans un état émotionnellement réceptif dormira mieux

Le Journal of Family Psychology affirme que ce n’est pas la routine qui compte lorsqu’il est temps de mettre votre enfant au lit, mais plutôt sa réceptivité.
 
Un enfant émotionnellement réceptif à aller dormir n’aura pas le sommeil perturbé et les parents pourront bien dormir également.
 
« Le temps d’aller au lit est un moment qui peut être émouvant, car il annonce une séparation pour la plupart des nourrissons. Bien dormir semble plus simple pour certains enfants et j’ai voulu savoir pourquoi », explique Douglas Teti, professeur en développement humain et en études familiales.
 
Après avoir examiné le comportement des parents à l’heure du coucher, il constate que ceux qui avaient le plus de facilité à mettre leur enfant au lit réagissaient mieux aux signaux donnés par leur progéniture. Par exemple, lorsque l’enfant montre un désintérêt pour une activité ou regarde drôlement son parent. Un enfant qui ne veut pas s’intéresser à une lecture que vous lui faites va toujours se lever de son lit.
 
Dans les observations, une mère avait parlé calmement et doucement à son bébé pendant l’allaitement et le rassurait sans cesse. Le petit s’est endormi sans problème. Un enfant rassuré et apaisé va non seulement aller se coucher sans histoire, mais aura un sommeil beaucoup plus profitable.
 
Par contre, on ne note aucune différence quant à la durée du contact avant l’heure du coucher. Il serait donc faux de croire que plus le contact est long et mieux l’enfant dormira.
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Pour garder une bonne santé cardiaque, dormez 7 heures

Dormir moins de sept heures et plus de neuf heures par nuit augmente les risques de problèmes cardiovasculaires, selon l’étude américaine publiée dans la revue Sleep.
 
Les personnes qui dorment moins de sept heures par nuit doublent leurs risques de développer une angine, une insuffisance coronarienne, un infarctus ou une crise cardiaque, alors que celles qui dorment plus de neuf heures multiplient leurs chances d’une fois et demie.
 
Dormir six heures ou huit heures n’augmente que légèrement les risques de problèmes.
 
Les personnes les plus exposées sont les moins de 60 ans qui dorment moins de cinq heures par nuit, disent les chercheurs de l’Université de Virginie-Occidentale qui ont suivi 30 000 adultes.
 
Par contre, ils ne sont pas en mesure d’expliquer véritablement le lien entre le sommeil et les problèmes cardiaques. On croit toutefois que les artères du cœur pourraient se boucher par divers facteurs.
 
Un excès de sommeil agit sur les glandes endocrines et le métabolisme, alors qu’un manque de sommeil diminue la sensibilité à l’insuline et augmente la pression artérielle, des facteurs qui favorisent le blocage des artères.
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Le cycle de sommeil d’un bébé peut prédire son niveau d’anxiété plus tard

Une nouvelle étude fait part de résultats plutôt étonnants, rapporte le Psychiatry Research. Les bébés d’un mois qui ont un horaire de sommeil régulier sont moins susceptibles de devenir anxieux lorsqu’ils auront 13 ans.
 
Pour la recherche, on a demandé aux parents de tenir un journal de sommeil pour leur nourrisson entre 1990 et 1991. Ensuite, on a évalué le comportement de ces mêmes enfants alors qu’ils étaient âgés de 9 à 13 ans.
 
On constate que les enfants qui n’avaient pas un rythme de sommeil régulier à un mois démontraient plus de signes d’anxiété, comme des inquiétudes face à l’avenir.
 
Les chercheurs ont choisi des bébés d’un mois, car à cet âge, ils ignorent encore la différence entre le jour et la nuit, leur rythme naturel commence à peine à se consolider.
 
On conseille donc aux parents de ne pas fermer les rideaux dans le jour afin que le bébé apprenne la différence entre le jour et la nuit plus rapidement. De plus, on recommande de ne pas répondre au bébé de la même façon le jour et la nuit. Par exemple, pour changer sa couche ou le rassurer durant la nuit, le faire plus rapidement et ne pas jouer avec lui.
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Les nouveaux parents totalisent six mois sans sommeil

Le manque de sommeil est le lot des nouveaux parents. La plupart n’arrivent même pas à dormir quatre heures par nuit, ce qui finit par les rendre extrêmement fatigués, irritables et sujets aux sautes d’humeur, de même que cela peut mener à une dépression.
 
Une étude publiée dans le Daily Mail mentionne que les parents de nouveau-nés finissent par cumuler l’équivalent de six mois de sommeil manqué durant les deux premières années de vie de leur enfant.
 
Comme ils sont constamment irritables, les couples peuvent se disputer plusieurs fois par semaine et certains voient leur union s’effondrer.
 
En moyenne, les experts recommandent un minimum de cinq heures de sommeil par nuit sans interruption, pour les adultes, afin qu’ils puissent se concentrer sur leurs fonctions. Cela varie toutefois d’un individu à l’autre.
Selon un sondage, les deux tiers des nouveaux parents dorment moins de quatre heures par nuit. Ils doivent se lever pour nourrir le bébé ou encore l’apaiser. Il faut tenter d’intégrer le nouveau venu à la routine le plus tôt possible afin de ne pas manquer trop d’heures de sommeil, que de petites siestes ici et là ne pourront pas compenser.
 
De plus, manger sainement et faire un minimum d’exercices libèrera l’endorphine des parents, qui devraient ainsi avoir moins de sautes d’humeur.
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30 minutes de sommeil de plus font toute la différence

Une nouvelle étude publiée dans le journal Pediatrics & Adolescent Medicine a surpris les chercheurs.

Après avoir suivi 201 élèves du secondaire pendant 9 semaines, on a conclu qu’un petit 30 minutes de sommeil de plus fait toute la différence pour les adolescents, car ils ont tendance à avoir un sommeil plus profond à l’aube.

Ces étudiants qui ont dormi 30 minutes de plus étaient de meilleure humeur et plus alertes que les autres en classe. De plus, ils étaient moins susceptibles d’arriver en retard et prenaient de meilleurs petits déjeuners.

Les résultats sont si impressionnants que les écoles des participants ont effectué des changements permanents. Ainsi, le début des classes commence à 8 h 30 au lieu de 8 h, et chaque heure de classe a été réduite de 5 à 10 minutes.

On note que depuis, 16 % plus de jeunes arrivent à avoir 8 h de sommeil. La somnolence en classe est passée de 49 % à 20 %, les retards ont diminué de moitié et les élèves sont moins déprimés et irritables.

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La sexomnie, une maladie méconnue

La sexomnie est une maladie plus fréquente qu’on ne le croit. Il s’agit d’un trouble du sommeil, tout comme le somnambulisme, mais dans ce cas, l’état mène à un comportement sexuel involontaire ou inconscient.
 
Des chercheurs ont présenté leurs travaux lors du congrès annuel de l’Associated Professional Sleep Societies (APSS).
 
La personne qui souffre de sexomnie semble éveillée et commence un acte sexuel, mais en fait, elle est endormie.
 
Selon la chercheuse Sharon Chung de l’Université Health Network à Toronto, sur les 832 personnes qui ont consulté en clinique de sommeil, 63 (7,6 %) souffraient de sexomnie. « Si notre découverte de 8 % de personnes souffrant de sexsomnie semble un chiffre très élevé, il faut souligner que nous avons seulement étudié des patients venus dans une clinique du sommeil. Nous nous attendons à ce que les chiffres soient bien plus bas dans la population globale », ajoute-t-elle.
 
Les hommes sont plus susceptibles de souffrir de sexomnie à raison de 11 % contre 4 % des femmes. De plus, on constate que la majorité des personnes ne parlent pas de ces troubles de sommeil à leur médecin.
 
Comparativement aux personnes ayant d’autres troubles du sommeil, celles souffrant de sexomnie sont plus sujettes à utiliser des drogues illicites.
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La qualité du sommeil des hommes serait liée au taux de testostérone

Une équipe de l’Université de Montréal vient de se pencher sur un lien possible entre le sommeil des hommes et la testostérone.
 
Des études précédentes affirmaient que la qualité du sommeil influençait le niveau de testostérone. Bien qu’il reste encore des incertitudes et que d’autres recherches soient nécessaires, on conclut qu’il existe bel et bien un lien entre la qualité du sommeil et le niveau de testostérone.
 
Entre 30 et 40 ans, la testostérone diminue de 1 à 2 % par année et les hommes dorment moins profondément dans la quarantaine.
 
Lors du Congrès de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS), qui s’est tenu à Montréal, les chercheurs ont évalué le niveau de testostérone dans le sang de deux groupes d’hommes. L’âge moyen du premier groupe était de 23 ans, alors que dans le deuxième groupe, il était de 53 ans. On a également mesuré la durée de leur sommeil, son efficacité et sa qualité.
 
Chez les plus jeunes, le sommeil est réparateur, mais chez le deuxième groupe, on note que plus le niveau de testostérone est bas, plus les hommes perdent 20 % de leur qualité de sommeil profond, cette phase la plus importante qui permet une bonne récupération.
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Des nuits trop courtes exposent à une mort prématurée

Dormir moins de six heures par nuit augmente les chances de décès prématuré, selon des chercheurs de l’Université de Warwick en Angleterre.
 
« L’étude offre des preuves irréfutables sur le lien direct entre une brève durée du sommeil (moins de six heures par nuit) et une augmentation de la probabilité de mourir prématurément. La recherche note cependant aussi qu’un sommeil régulièrement trop long (plus de neuf heures par nuit) peut représenter un problème », mentionne le communiqué de l’établissement.
 
En fait, on affirme qu’un sommeil trop long n’augmente pas les risques de mort prématurée, mais pourrait être le symptôme d’une maladie grave. Pour avoir une bonne santé, on recommande des sommeils réguliers de six à huit heures.
 
Les chercheurs ont étudié seize études sur le sommeil, avec un total de 1,3 million de participants qui ont été suivis pendant 25 ans, pour en arriver à ce résultat. Durant l’étude, on a enregistré 100 000 décès.
 
Avoir un sommeil trop court nous expose notamment au diabète, à l’hypertension, à un haut taux de mauvais cholestérol et à l’obésité.
 
« Nous pensons que le lien entre le peu de sommeil et les maladies est causé par une série de mécanismes hormonaux et du métabolisme », ajoutent les auteurs de l’étude.
 
Malheureusement, notre société incite à dormir de moins en moins.
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Des solutions pour mieux dormir durant la grossesse

La grossesse est peut-être un événement heureux, mais elle apporte aussi sont lot d’inconvénients. Pour plusieurs femmes, c’est le sommeil qui est difficile à trouver lorsqu’elles attendent un enfant.
 
Doctissimo mentionne qu’il existe des solutions pour aider les futures mamans à bien dormir.
 
Souvent, durant le premier trimestre de la grossesse, les changements hormonaux causent plutôt de la fatigue chez la femme enceinte. L’énergie revient la plupart du temps durant le second trimestre. C’est donc durant le dernier trimestre que le sommeil est le plus perturbé. 53 % des femmes disent dormir moins de huit heures par nuit et 59 % affirment que leur sommeil est de moins bonne qualité.
 
Plusieurs maux peuvent expliquer la situation : des douleurs lombaires, des crampes, l’impatience, etc. Les mouvements du bébé dans le ventre peuvent aussi affecter votre sommeil. De plus, le manque d’exercice et l’anxiété n’aident en rien. Si vous êtes anxieuse face à l’arrivée de votre enfant, votre médecin pourra vous aider.
 
La pratique du yoga est une façon de se calmer et de trouver un meilleur sommeil. Vous pouvez aussi faire une sieste en après-midi. Vous reposer une vingtaine de minutes ne vous empêchera pas de passer une bonne nuit de sommeil. Ne négligez donc pas le repos durant la journée.
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Les bébés de mères dépressives dorment moins bien

Le Point rapporte qu’une étude australienne démontre que les troubles psychologiques des jeunes mères affectent la qualité du sommeil de leur enfant.
 
Il semblerait que les troubles du sommeil des bébés soient liés à la santé psychologique de leur maman.
 
Il a été noté que les mères qui souffrent de dépression postnatale, par exemple, se plaignent de se faire souvent réveiller par les pleurs de leur bébé la nuit.
 
90 mères, dont 39 dépressives, et leur bébé de 5 à 12 mois ont été suivis pour l’étude. Les chercheurs ont observé que lorsque les mères se sentaient soutenues et encouragées, le problème était nettement moins important.
 
Des infirmières ont montré aux jeunes mères des comportements à adopter avec leur bébé. Ces sessions d’informations se sont déroulées pendant cinq jours. Pendant ce temps, il y a eu une nette amélioration quant aux réveils et aux pleurs des petits pendant la nuit. De plus, ces derniers s’endormaient beaucoup plus rapidement et la qualité de leur sommeil en était donc améliorée.