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De bonnes habitudes pour prévenir le cancer

Le chercheur Michael Marmot, de l’American Institute for Cancer Research, affirme que de saines habitudes de vie permettent de réduire du tiers l’incidence de cancer.

Convaincu que les gens peuvent prévenir l’apparition de la maladie, le Dr Marnot indique qu’une alimentation équilibrée, un programme d’exercices régulier et un poids santé diminuent de 40 % le risque de cancer du côlon et du sein.

22 autres experts ont travaillé avec M. Marmot à décortiquer les habitudes de vie liées à différents types de cancer, dont celui des poumons. Leurs conclusions vont dans le même sens que celles de la World Health Organization, qui recommande une alimentation riche en fruits et légumes, en produits de grains entiers, avec moins de portions de viandes.

« Notre étude démontre qu’en apportant des changements significatifs au quotidien, on peut réduire le nombre de cas de cancer », a conclu le Dr Marmot.

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Le bonheur, une question de sommeil

Les travaux menés par la Dre Tiina Paunio, de l’Institut national de la santé publique d’Helsinki en Finlande, l’amènent à conclure que les troubles du sommeil augmentent le sentiment d’insatisfaction par rapport à la vie.

Selon la scientifique, un sommeil non réparateur affecte le cerveau, les émotions et l’humeur en général. Toutefois, l’inverse, voulant que les personnes plus heureuses dorment mieux, ne s’applique pas.

Une étude antérieure sur le sujet avait démontré que les personnes souffrant de troubles du sommeil étaient 2,4 fois plus à risque d’être insatisfaites de leur existence. En plus de ce trouble de l’humeur, d’autres problèmes de santé, comme une dépendance à l’alcool ou à la cigarette, peuvent être observés.

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Pas de dodo dans les sièges d’auto!

Un rapport déposé par le coroner Jacques Robinson nous apprend que la mort d’un poupon de deux mois est attribuée au siège d’auto dans lequel il dormait.

Selon M. Robinson, ce décès a été causé par la position assise. « Il y a eu obstruction des voies respiratoires supérieures par compression. L’obstruction serait due au fait que l’enfant, à cet âge, n’a pas assez de tonus pour tenir sa tête droite », a-t-il mentionné à La Presse.

Le coroner a expliqué que le siège sécuritaire devrait être utilisé uniquement pour le transport des nourrissons et non pour les endormir. De plus, lors des longs trajets, M. Robinson recommande de s’arrêter afin de dégourdir un peu bébé.

En 2007, une pédiatre de l’Hôpital de Montréal pour enfants du Centre universitaire de santé McGill, Mme Aurore Côté, avait publié une étude portant sur le risque que comportent les sièges d’auto. Elle apporte toutefois une nuance aux conclusions du rapport publié hier : « Dans le premier mois de vie, cela peut être légèrement plus dangereux. Mais le risque est très faible, extrêmement faible. »

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Le rhume, causé par un manque de sommeil?

Les travaux du psychologue Sheldon Cohen, de l’Université Carnegie Mellon à Pittsburgh, l’ont amené à conclure que le temps de sommeil pourrait jouer un rôle dans l’apparition des symptômes d’un rhume.

Pour le chercheur, dormir moins de sept quotidiennement fait tripler le risque de souffrir d’un rhume, tandis que ce risque est multiplié par cinq si la qualité du sommeil laisse à désirer.

« De bonnes habitudes de sommeil jouent un rôle important dans l’habilité du système immunitaire à combattre les infections », a souligné M. Cohen, qui a travaillé avec 153 participants, entre 2000 et 2004, pour en arriver à ces conclusions.

Le Dr David L. Katz, qui travaille à l’Université Yale, croit que ces résultats démontrent l’importance du sommeil pour une meilleure santé. « Le temps consacré à dormir est profitable pour la santé, notamment pour diminuer le risque de rhumes et augmenter la productivité », a-t-il conclu.

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Un surplus de sommeil et le taux de cholestérol

Selon la Dre Julia F. van den Berg, du Centre médical Erasmus de Rotterdam aux Pays-Bas, trop d’heures de sommeil chez les personnes âgées auraient pour conséquence d’augmenter leur taux de mauvais cholestérol et de diminuer le bon.

Ceci aurait pour résultat d’augmenter leur incidence de souffrir de maladies cardiovasculaires et la Dre van den Berg ignore pourquoi le sommeil joue un rôle sur le taux de cholestérol.

La chercheuse a analysé les taux de cholestérol de 768 sujets, âgés de 57 à 97 ans, en les comparant avec leur temps de sommeil pour en conclure que les participants qui dormaient plus de huit heures par nuit avaient des taux de cholestérol plus élevés.

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Les coûts de l’insomnie

Une recherche, publiée dans la revue médicale Sleep, nous apprend que les problèmes causés par l’insomnie des Québécois, comme le manque de productivité et l’absentéisme au travail, coûtent 6,5 milliards de dollars chaque année.

À elle seule, la consommation d’alcool en vue de trouver le sommeil se chiffre à 340 millions $. « Les coûts liés à l’alcool constituent un peu une surprise à nos yeux, de même que la fréquence de sa consommation en vue de provoquer le sommeil », a noté Meagan Daley, coauteure de l’étude et professeure au cégep Champlain-St. Lawrence, à Québec.

Mme Daley soutient toutefois que l’alcool diminue la qualité du sommeil en réduisant la durée du stade de sommeil profond.

948 sujets ont participé à cette recherche et 15 % d’entre eux souffraient d’insomnie.

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Ronfler est synonyme de somnolence

Selon une recherche publiée dans la revue Pediatrics, les enfants obèses qui ont de la difficulté à respirer lors de leur sommeil ont tendance à être plus somnolents durant le jour que les enfants plus minces.

Selon les chercheurs David Gozal et Leila Kheirandish-Gozal de l’Université de Louisville, au Kentucky, ces symptômes observés chez les sujets de l’étude ressemblent étrangement à ceux observés chez des adultes qui souffrent d’apnée du sommeil.

Pour en arriver à ces conclusions, les deux scientifiques ont observé 50 bambins de 6 à 9 ans ayant un poids santé et 50 autres dont l’indice de masse corporelle était au-dessus de la moyenne. Après une nuit de sommeil, le temps avant de faire une sieste au cours de la journée était mesuré.

Il en résulte que les enfants obèses ne prenaient que 12,9 minutes pour s’endormir, comparativement à 17,9 minutes pour les enfants au poids normal.

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Un trouble du sommeil lié à la démence

Les personnes aux prises avec un trouble du sommeil paradoxal sont plus à risque de souffrir de démence ou de la maladie de Parkinson, selon le Dr Ronald B. Postuma de l’Université McGill à Montréal.

« Ce trouble consiste à incarner leurs rêves. Si ces personnes rêvent qu’elles se battent, alors elles vont donner des coups de poing pendant cette phase du sommeil », a-t-il expliqué.

Pendant 12 ans, M. Postuma a travaillé avec 93 sujets qui souffraient de ce trouble du sommeil profond afin de déterminer le risque de démence et de la maladie de Parkinson.

Parmi les participants, 15 diagnostics de Parkinson et 11 de démence ont été signalés au cours de l’étude.

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Les bienfaits de l’heure supplémentaire de sommeil

Une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) démontre qu’une heure supplémentaire de sommeil réduit de 17 % le risque de calcification des artères, ainsi que celui de développer une maladie cardiovasculaire.

495 sujets ont participé à cette recherche. Parmi eux, 27 % ont souffert de calcification des artères en dormant en moyenne 5 heures par nuit.

Lorsque les participants dormaient entre 5 à 7 heures quotidiennement, le taux passait à 11 %. Quant à ceux qui dormaient plus de 7 heures, leurs artères étaient calcifiées dans seulement 6 % des cas.

Pour l’auteur de cette étude, la Dre Diane Lauderdale de l’Université de Chicago, les bienfaits du sommeil sont particulièrement notables chez les femmes, mais ce phénomène demeure encore un mystère.

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L’apnée et l’absentéisme au travail

Une recherche, dont les résultats sont publiés dans la revue médicale European Respiratory Journal, suggère que l’apnée du sommeil a des conséquences sur la vie professionnelle des personnes qui en souffrent.

7 000 travailleurs de 40 à 45 ans ont été suivis pendant 4 ans. Il s’avère que ceux qui souffraient de ce trouble du sommeil étaient 66 % plus à risque de prendre des congés de maladie pour une durée de plus de 8 semaines, et même d’être inaptes au travail.

En plus des symptômes habituels de l’apnée, comme le réveil abrupt en phase profonde du sommeil ou le ronflement, cette condition cause de l’irritabilité et des difficultés à se concentrer.

Selon le Dr Borge Sivertsen de l’Université de Bergen, en Norvège, ce phénomène pourrait s’expliquer par la somnolence durant le jour.