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Le sommeil perturbé des baby-boomers

Un sondage mené par le Conseil canadien pour un meilleur sommeil dévoile que les baby-boomers sont loin d’avoir un sommeil réparateur.

Bien que la majorité considère qu’il est important d’avoir un sommeil de qualité, 42 % d’entre eux avouent dormir moins longtemps qu’il y a dix ans. De plus, la qualité de leur sommeil s’est détériorée dans 44 % des cas.

La Dre Johanne Blais, médecin de famille spécialisée en santé de la femme à l’Hôpital St-François d’Assise de Québec, a commenté cette étude : « Le sommeil est un remède largement négligé par les baby-boomers canadiens. Il s’agit d’une génération sandwich, car beaucoup s’occupent de leurs enfants et de leurs parents, prennent leur retraite plus tard et maintiennent un rythme de vie soutenu, sans se rendre compte à quel point leur corps et leur besoin de sommeil changent avec les années. »

« L’une des principales recommandations pour améliorer la santé et réduire le stress chez les baby-boomers est de s’assurer d’avoir un sommeil de meilleure qualité. Cela signifie accorder une plus grande attention à ses habitudes de sommeil et à son lit », ajoute la Dre Blais.

Parmi les raisons évoquées par les baby-boomers pour expliquer leur manque de sommeil, on note le stress et les effets du vieillissement, comme les maux de dos.

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Comment se porte le sommeil des Canadiens ?

Quelques statistiques sur l’état du sommeil chez les Canadiens ont été dévoilées hier (22 avril).

On y apprend que les femmes dorment davantage que les hommes, à raison de 8 heures 18 minutes par nuit, ce qui représente 11 minutes de plus que ces derniers. Mais celles-ci avouent que leur période de repos est plus agitée. « On peut penser que les femmes ont besoin de plus de repos. Mais si elles dorment plus, les femmes le font moins efficacement. Quelque 35 % des femmes disent avoir de la difficulté à s’endormir contre 25 % des hommes », a souligné Mme Suzan Crompton, la porte-parole de Statistique Canada.

Parmi les facteurs qui perturbent le sommeil des femmes, on note les préoccupations liées au travail, le syndrome prémenstruel et le fait d’avoir des enfants.

Le salaire peut aussi jouer dans la balance, car plus il est élevé, plus le temps de sommeil raccourcit. Les personnes dont le salaire annuel est de plus de 60 000 $ par année dorment en moyenne 7 heures 50 minutes par nuit, tandis que celles dont le salaire annuel est de 20 000 $ gagnent 40 minutes de sommeil supplémentaire par nuit.

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Les somnambules manquent de sommeil

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal, les personnes prédisposées au somnambulisme devraient se coucher à une heure fixe si elles souhaitent éviter de se lever au cours de la nuit.

4 % des adultes sont aux prises avec ce trouble du sommeil qui peut causer de la confusion mentale et des épisodes d’amnésie.

En plus de ces symptômes liés au somnambulisme, on remarque aussi que les personnes qui en souffrent ont plus de difficulté à passer du sommeil profond à une autre phase de sommeil, ou à être complètement éveillées après avoir été privées de sommeil.

Cette découverte pourra sans doute faciliter le diagnostic de cette condition.

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Le juste équilibre du sommeil

Des chercheurs de l’Université Laval à Québec ont démontré que le nombre d’heures de sommeil quotidien pourrait jouer un rôle dans le poids santé.

Selon eux, le juste équilibre se trouve entre sept et huit heures de sommeil. Les personnes qui dorment moins de cinq heures ou plus de neuf heures courent le risque de prendre du poids.

En effet, parmi les 276 sujets âgés de 21 à 64 ans qui ont participé à cette recherche, ceux qui dorment moins ont engraissé de 1,98 kg, tandis que ceux qui dorment plus longtemps que la norme recommandée ont pris en moyenne 1,58 kg.

Ce phénomène pourrait s’expliquer par la production d’hormones qui régulent l’appétit, même pendant le sommeil. Cette théorie veut que la production de la ghréline – l’hormone qui dit au corps que l’on a faim – augmente et que l’hormone qui est responsable de la sensation de rassasiement, la leptine, diminue pendant une courte période de sommeil.

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Au dodo les enfants !

Des scientifiques américains de l’École de médecine de l’Université Johns Hopkins affirment que les enfants qui manquent de sommeil ont davantage de risques de souffrir d’un surplus de poids que ceux qui ont un sommeil réparateur.

Selon le Dr Youfa Wang, dormir une heure supplémentaire réduit de 9 % le risque d’obésité infantile. « Notre analyse des données montre une association claire entre la durée du sommeil et le risque de surpoids et d’obésité chez les enfants. Le risque baisse si on dort davantage », a-t-il précisé.

Ce risque de surplus de poids passe à 92 % chez les bambins qui dorment peu.

En ce moment, les pédiatres recommandent les heures de sommeil suivantes : 

  • 11 heures par jour pour un enfant de moins de 5 ans
  • 10 heures pour un enfant de 5 à 10 ans
  • 9 heures pour un enfant de plus de 10 ans

 

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Plus de cauchemars chez les bébés anxieux

Une étude canadienne, qui a analysé les habitudes de sommeil de 987 enfants de moins de six ans, démontre un lien entre les cauchemars et l’anxiété dès les premiers mois suivant la naissance des poupons.

Selon l’équipe du Dr Tore Nielsen, il est possible de voir les signes précurseurs des terreurs nocturnes, qui se produisent généralement chez les enfants de deux ans et demi, dès le 5e mois de vie du bébé.

Si ce dernier a souffert d’anxiété, le risque d’apparition des cauchemars augmente. On remarque également qu’il semble moins reposé et pleure plus fréquemment que les autres poupons au tempérament calme et serein.

Certains facteurs externes tels que l’entrée à l’école primaire peuvent augmenter la vulnérabilité de l’enfant et rendre ses nuits de sommeil agitées par de mauvais rêves.

Les chercheurs supposent également que le comportement des parents envers leur enfant peut atténuer ses cauchemars. En ce sens, il peut être souhaitable de réconforter un enfant faisant des cauchemars, ce qui l’apaiserait grandement quand vient le temps de fermer les yeux.

Le Dr Nielson avoue ne pas avoir étudié les autres rituels de nature à faciliter le sommeil des enfants, mais il demeure convaincu que les parents ont tout intérêt à développer un lien affectif qui rendra leur poupon confiant.

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Sommeil et mémoire font bon ménage

Le sommeil, particulièrement la sieste, a un effet bénéfique sur le cerveau qui enregistre plus aisément les informations apprises pendant la journée.

Il y a toutefois un bémol sur les vertus du sommeil. Il n’interfère pas positivement sur la mémoire quand le patient est bombardé de leçons similaires au courant de la journée.

À titre d’exemple, une leçon d’anglais en après-midi risque d’effacer la leçon d’espagnol donnée en matinée. C’est là que la sieste sauve la donne. Une sieste entre les deux leçons, suivie d’une nuit de sommeil optimale, permettra à l’élève d’assimiler autant l’anglais que l’espagnol.

Cette recherche vient donc corroborer celle menée conjointement par des scientifiques israéliens et ceux de l’Université de Montréal qui démontrait que le sommeil améliore la mémorisation.

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Le juste équilibre du sommeil

Selon une étude réalisée par le département de médecine de l’Université de Londres, une nuit de sommeil idéale devrait durer entre sept et huit heures.

L’équipe de l’auteure principale de la recherche, Jane E. Ferrie, a étudié 8 000 adultes âgés de 35 à 55 ans pendant plusieurs années.

Chez les patients qui dormaient de six à huit heures quotidiennement, une baisse du temps de sommeil est associée à une hausse de 110 % des risques de mourir d’une maladie cardiovasculaire.

Ce phénomène a également été observé dès que le temps de repos dépassait huit heures.

Cette conclusion va donc dans le même sens que les recommandations de l’American Academy of Sleep Medicine qui propose que les adultes dorment de sept à huit heures par nuit afin d’être reposés et alertes le lendemain.

Les résultats complets de la recherche sont publiés dans la revue médicale Sleep.

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Comment retrouver sa taille de guêpe

Une recherche de la Kaiser Permanente et de la Faculté de médecine de Harvard démontre que le surplus de poids accumulé pendant la grossesse pourrait fondre davantage si les nouvelles mères dorment plus.

Selon l’étude, les femmes qui ont moins de cinq heures de sommeil par nuit pendant les six mois qui suivent la naissance de leur enfant ont trois fois plus de chances de conserver les kilos accumulés pendant leur grossesse.

Selon Erica P. Gunderson, principale auteure de l’étude publiée dans l’American Journal of Epidemiology, un bon sommeil réparateur est aussi important qu’une saine alimentation ou de l’exercice. « Nous savons depuis quelque temps que le manque de sommeil est associé au gain de poids et à l’obésité dans la population générale, mais cette étude montre que le fait de dormir assez (même juste pendant deux heures) peut être aussi important qu’une saine alimentation ou un exercice pour les nouvelles mères qui espèrent retrouver leur poids d’avant la grossesse », a-t-elle expliqué.

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Sommeil perturbé chez les Canadiens

Selon un sondage fait par Harris/Decima pour Sunbeam, le sommeil de neuf Canadiens sur dix ne serait pas réparateur.

Parmi les raisons qui affectent le sommeil, le stress arrive au premier rang, suivi du fait d’avoir trop chaud ou trop froid et l’insomnie.

Selon le docteur Eva Libman, du Département de psychothérapie comportementale de l’Hôpital général juif de Montréal, les troubles du sommeil peuvent avoir un impact négatif sur le fonctionnement au quotidien ainsi que sur l’humeur.

D’après les résultats du sondage, les femmes seraient beaucoup plus affectées par des troubles du sommeil que les hommes.