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Le sommeil et la concentration des adolescents améliorés par le changement d’horaire scolaire

C’est la psychologue et experte en sommeil au Bradley Hasbro Children’s Research Center, Julie Boergers, qui a procédé à la recherche.

« Le manque de sommeil est épidémique parmi les adolescents, entrainant de sérieuses conséquences sur la santé mentale et physique, sur la sécurité et l’apprentissage », a déclaré Boergers. « L’heure du début des cours contribue à ce problème. »

Afin de prouver sa théorie, l’équipe de la spécialiste a travaillé avec un groupe d’étudiants avant et après la modification de l’horaire du début de cours de leur école. Originalement prévu à 8 h, l’horaire a été modifié pour commencer à 8 h 25.

Ce changement a rapidement apporté des résultats concrets chez les étudiants. Entre autres, ceux-ci gagnaient 29 minutes de sommeil supplémentaire en moyenne, ce qui a élevé le nombre de ceux qui avaient 8 h ou plus de sommeil de 18 à 44 %.

Dès que l’heure du début des cours a été rétablie, les vieilles habitudes ont repris le dessus. Les jeunes s’endormaient en classe, ils étaient à nouveau de mauvaise humeur et utilisaient la caféine et les boissons énergisantes pour demeurer vigilants.

Au terme de sa recherche, Boergers croit qu’il est essentiel que les écoles modifient leurs horaires pour favoriser le rythme circadien des élèves, rapporte medicalnewstoday.com.

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Les 3 facteurs de risque les plus associés à l’obésité infantile

Selon une étude de l’Université de l’Illinois, chez les enfants d’âge préscolaire qui présentent un surpoids ou de l’obésité, les facteurs de risque suivants sont les plus communs : un sommeil inadéquat, un IMC qui classe le père ou la mère dans la catégorie de surpoids ou d’obésité et les restrictions alimentaires des parents, visant à contrôler le poids de l’enfant.

« Nous avons évalué 22 variables qui ont précédemment été déterminées comme des prédispositions à l’obésité infantile. Ce sont les 3 qui sont fortement ressorties du lot, et ce, même si on prenait en considération les 19 autres », explique Brent McBride, professeur du développement humain et directeur du laboratoire du développement de l’enfant à l’université.

Ce sont 329 parents de l’Illinois, dans le cadre d’une recherche nommée STRONG (Synergistic Theory and Research on Obesity and Nutrition Group) Kids Program, qui ont participé à la recherche. Il s’agissait de la première analyse de cette étude longitudinale, alors que les enfants étaient âgés de 2 ans.

Les facteurs analysés étaient très étendus et comprenaient les informations démographiques, l’historique de santé tant du parent que de l’enfant, ainsi que les habitudes alimentaires familiales.

« Si vous, en tant qu’adulte, vivez dans un environnement qui vous permet de conserver un poids élevé, rappelez-vous que votre enfant vit dans le même environnement », insiste McBride.

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Des jeunes de plus en plus stressés et fatigués

Top Santé rapporte quelques statistiques étonnantes et inquiétantes concernant la jeune relève de l’humanité, alors qu’une étude-sondage française dresse un sombre portrait de la santé mentale chez les 20-35 ans.

D’abord en termes de stress et de fatigue, alors que plus de 50 % des jeunes répondants à l’étude affirment « subir un stress élevé », et que plus de 40 % avouent ressentir de l’épuisement ou de la fatigue découlant d’un trouble du sommeil (insomnie, cauchemars, réveils fréquents, etc.).

Étonnant, si l’on considère que ces statistiques semblent fondre de moitié chez les répondants plus âgés…

Pire encore, il semble qu’une personne âgée entre 20 et 34 ans sur trois souffre de problème de dépression ou de troubles de l’humeur. Ces symptômes psychologiques mènent finalement près de 60 % des jeunes à surconsommer de l’alcool, toujours selon les résultats de l’étude effectuée en France.

Bien qu’il s’agisse d’un phénomène qu’on pouvait déjà ressentir, constater de tels résultats suite à une étude du genre a de quoi inquiéter.

Aucune réponse quant aux raisons qui expliquent ce phénomène n’est avancée ici, mais les chercheurs devront certainement se pencher sur les causes de cet inquiétant portrait de la santé mentale de la jeune génération, afin d’en trouver les solutions.

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Un sommeil régulier pour un poids santé

Une nouvelle étude vient confirmer une fois de plus la corrélation entre les habitudes de sommeil et le maintien du poids, rapporte cette fois le ScienceWorldReport.

Menée par Bruce Bailey, un professeur de la Brigham Young University, l’étude parle d’une véritable cause à effet, et des bienfaits d’un sommeil régulier. Ne mentionnant ni ne suggérant d’heures particulièrement favorables pour le sommeil, le spécialiste parle plutôt de l’importance de la régularité des heures de sommeil.

En clair, se coucher et se lever aux mêmes heures, particulièrement pour les femmes, serait bénéfique et utile dans le maintien d’un poids santé.

Pour Bailey et son équipe, le constat est clair : les femmes qui s’astreignent à de telles habitudes de sommeil affichent un taux de gras moins important que les autres, et sont par définition plus minces. Il semble que la limite imposée pour que le sommeil soit considéré comme régulier soit une variation de 60 minutes maximum, d’une journée à l’autre.

Plusieurs autres études ont abondé dans le même sens récemment, affirmant qu’il existe un lien réel entre les habitudes de sommeil et la prise de poids.

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Attaquer la fatigue hivernale de plein fouet

Avec les premières neiges qui s’installent arrive souvent la fameuse dépression saisonnière, mais aussi ce qu’il serait convenu d’appeler la « fatigue hivernale », alors que notre corps se met à l’heure d’une nouvelle saison froide et grise, en plus du changement apporté à l’horloge qui provoque l’obscurité plus tôt qu’à l’habitude.

Inutile de sous-estimer le phénomène ou d’attendre que celui-ci se pointe sournoisement, alors que Top Santé fait part de quelques conseils pour attendre cette vague de fatigue de pied ferme et pour la contrer de façon proactive.

Certaines sources font état d’une statistique qui indique qu’une personne sur deux serait frappée de ce mal à l’arrivée de l’hiver, notamment à cause d’une alimentation inadéquate, d’un manque de sommeil, du stress quotidien et du manque de luminosité.

Il est donc convenu de mettre en veilleuse les vieilles habitudes alimentaires néfastes et axées vers la nourriture grasse, au profit d’un festival de fruits et légumes, de vitamines et de repas équilibrés.

La vitamine B, notamment, semble être l’une des clés du bon fonctionnement en hiver, alors que la B1, la B6, la B9 et la B12 permettent une amélioration du système immunitaire et des hausses d’énergie.

On suggère aussi fortement de ralentir le rythme professionnellement, c’est-à-dire de prévoir une charge moins lourde de travail, en plus de congés. Il est important de s’offrir un ou deux mois de réduction de stress, et ce genre de tour de force n’est possible que par la volonté personnelle.

Dans la même veine et en terminant, la première étape pour éviter la fatigue ou le surmenage d’hiver, c’est d’avouer que le phénomène existe et de ne pas jouer au surhomme avec votre corps.

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Les adolescents prennent plus de risques lorsqu’ils sont fatigués

Selon une nouvelle étude, rapportée par MedicalXpress, les adolescents qui ne dorment pas suffisamment et qui présentent des signes de fatigue sont plus enclins à prendre des risques ou à faire des bêtises.

On note à cet effet : avoir des relations sexuelles non protégées, consommer alcool et drogues, et conduire malgré la fatigue ou avec les facultés affaiblies.

C’est Kalina Rossa, chercheuse spécialisée au niveau du sommeil au Centre de recherche sur les accidents et la sécurité routière du Queensland (CARRS-Q), qui a mesuré les effets de la privation de sommeil.

Selon elle, c’est la partie décisionnelle du cerveau qui est la plus affectée, surtout chez les jeunes, puisqu’avant l’âge de 25 ans, elle n’est pas pleinement mature.

« Ce que cela signifie, c’est que la partie du cerveau qui est responsable de la résolution de problème et du contrôle des impulsions change avec le manque de sommeil. Comme cette partie est encore en développement, les jeunes qui sont fatigués prennent de mauvaises décisions. »

Attention, cela ne veut pas pour autant dire qu’il faut mettre toute la faute sur la fatigue!

 
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Les adolescents aussi souffrent des blues de l’hiver

Le trouble affectif saisonnier (TAS), aussi appelé dépression saisonnière, survient apparemment plus fréquemment auprès des femmes. Mais il affecte aussi les plus jeunes. Dans certains cas, comme l’indique SheKnows, l’affection peut-être invalidante.

Les jeunes filles, plus particulièrement, sont à surveiller. Si l’un des parents est dépressif ou souffre lui-même du TAS, le risque est d’autant plus élevé. Soyez donc plus attentif si c’est le cas chez vous, dès que les journées sont plus courtes et, donc, que la luminosité diminue.

Les signes du TAS sont similaires à ceux de la dépression, mais ils reviennent en boucle à la fin de l’automne, début de l’hiver. Ce sont les changements drastiques d’humeur, d’habitudes alimentaires et de troubles du sommeil qui sont à surveiller, ainsi que la chute de résultats scolaires.

La première étape est la discussion avec votre ado. Soyez ouvert, à l’écoute. Si de l’aide d’un spécialiste est nécessaire, allez-y ensemble et, surtout, aidez votre enfant à trouver les réponses à ses questions.

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Bien dormir pour mieux manger

Une étude menée par l’Université Temple confirme que, comme chez l’adulte, les enfants manquant de sommeil sont plus enclins à souffrir d’obésité. Voici un survol des résultats publiés sur le site santelog.com.

Ce serait près de 150 calories en moins que les enfants ayant un sommeil adéquat consommeraient chaque jour. À la suite à ses recherches, le Pr. Chantelle Hart du Center for Obesity Research and Education démontre que, bien que la malbouffe et le manque d’exercice soient aussi à blâmer, le manque de sommeil est tout aussi coupable.

Ce sont 37 enfants qui ont participé à l’étude, dont 27 % étaient en surpoids ou obèses. Durant 3 semaines, leur temps de sommeil variait volontairement, afin d’en voir les effets.

Les résultats ont été clairs; au moment où les enfants dormaient plus, leur apport calorique diminuait de 134 calories quotidiennement, en plus de présenter une quantité inférieure de leptine, l’hormone de la faim.

En moyenne, les enfants ont aussi perdu 220 grammes par semaine, améliorant ainsi leur état de santé.

Le tout revient à ce qui est conseillé par les professionnels de la santé; maintenir une routine de sommeil suffisante et adéquate pour les enfants est primordial pour leur bon développement, leur santé et leur comportement.

Crédit Photo : Freedigitalphotos.net

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Pleurs de bébé : Caprices ou autre chose?

Vous avez nourri, lavé, changé, câliné et même chanté une chanson à bébé avant de le coucher. Pourtant, il hurle et hurle encore au point que vous ne savez plus quoi faire. S’agit-il de caprices? Apparemment pas.

C’est du moins ce que croit Didier Pleux, docteur en psychologie du développement. Lors d’un entretien avec le site Famili.fr, Dr Pleux explique qu’un bébé qui fait la crise, par exemple lorsque vient le temps de se coucher, est incapable de caprice. Il précise que le terme « caprice » signifie le désir d’embêter ses parents, chose dont les bébés sont incapables.

Il s’agirait plutôt de la frustration ressentie de ne plus jouir de plaisir reçu avant d’être placé au lit. Il continue en disant que les bébés ne manipulent pas comme il est commun de le croire. Ils testent par contre leurs parents, ce qui est un réflexe naturel.

Selon le docteur, le comportement des tout-petits est directement lié à celui des parents. Un enfant qui ne s’endort pas bien est généralement un enfant qui a été trop stimulé avant le coucher.

Pour éviter le problème, il importe d’avoir une routine de calme avant le sommeil, d’adopter très tôt une attitude moins surprotectrice et surtout, offrir une constance à votre enfant.

Voilà qui devrait venir en aide aux mamans désarmées devant le comportement de leurs petits. Et ne vous inquiétez pas; un peu d’autorité et de détachement ne nuira pas à l’amour que bébé vous portera!

 

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Améliorez la routine de sommeil de votre enfant

Alors que plusieurs parents éprouvent de la difficulté à faire dormir leurs petits, le site ParetingSquad offre des trucs pratiques et efficaces pour trouver un bon équilibre.

On conseille de commencer très tôt, c’est-à-dire, dès que le nourrisson fait ses nuits. On commence la routine bain-histoire-musique et moment calme avant le dodo.

Un point très important est d’être consistant dans la démarche pour ne pas dérégler bébé.

Éliminez plusieurs éléments de stress en planifiant les choses. Certaines tâches comme préparer le pyjama, avoir choisi le livre à lire ou avoir déjà mis la musique à jouer peuvent être faites avant d’amorcer la routine.

Un simple baiser sur le front ou une caresse feront l’affaire. Passer trop de temps à cajoler l’enfant dans son lit pourrait lui faire développer un besoin qu’il n’a pas, et ainsi compliquer la mise au lit.

Quand l’enfant vieillit, la routine reste, mais certains éléments changent. À l’âge préscolaire, ils aiment être impliqués dans les choix d’histoire, de pyjama, etc. Ils aiment aussi jouer dans le bain plus longtemps, et auront peut-être besoin de plus de temps pour se calmer avant d’aller dormir.

Quand vous verrez ces changements, n’hésitez pas à adapter la routine à leur développement naturel, mais n’oubliez pas, la constance sera toujours la clé.