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Les problèmes liés au retour à l’heure normale

C’est déjà le retour de ce moment où chaque personne effectuera presque simultanément un même geste simple, mais fort important : changer d’heure.

C’est le dimanche 3 novembre à 3 :00 AM, donc dans la nuit de samedi à dimanche, que nous devrons revenir à l’heure dite « normale », et ainsi reculer de 60 minutes horloges et cadrans.

Mais selon Top Santé, plusieurs problèmes liés à ce changement peuvent survenir, peu importe l’âge.

Les enfants peuvent sembler de moins bonne humeur le matin, par exemple, ce simple changement d’une heure pouvant affecter leur cycle de sommeil et leur « routine » biologique.

Mais le phénomène peut également attaquer les parents et les adultes, dont certains disent ressentir une certaine fatigue, une déprime ou encore une baisse de régime au travail suivant le retour à l’heure normale.

Qu’on parle ici d’effet placebo ou de déprime hivernale, puisque ce changement d’heure annonce bel et bien l’arrivée de l’hiver, il ne faut jamais prendre nos symptômes et nos humeurs à la légère, croient les spécialistes.

On suggère plutôt de vaquer à nos occupations à notre rythme, d’éviter le stress et de ne pas hésiter à consulter, ne serait-ce qu’une fois, si les troubles de l’humeur ou les baisses d’énergie deviennent soudainement trop importantes.

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Découverte du processus d’auto-nettoyage du cerveau durant le sommeil

On apprend via plusieurs sources, dont Top Santé, que non seulement le cerveau serait capable d’effectuer un véritable « nettoyage » de son environnement, mais qu’il le ferait par ailleurs à notre insu, lorsqu’on dort à poings fermés.

C’est ce qui ressort des travaux de recherche d’une équipe de spécialistes de l’Université de Rochester, qui publient maintenant leurs observations et leurs conclusions.

« Alors que notre corps est endormi, le cerveau se met à accélérer son activité. Les cellules cérébrales rétrécissent pour aider à cette opération de nettoyage des toxines résultant de l’activité des neurones pendant les périodes de veille. En fait, ce travail de nettoyage nécessite une telle dépense d’énergie de la part du cerveau qu’il ne pourrait pas se dérouler pendant que nous sommes éveillés. Nous n’aurions alors plus assez d’énergie pour articuler nos pensées correctement », explique le Dr Maiken Medergaard, qui dirige ces stupéfiants travaux d’étude.

Le Dr Medergaard croit par ailleurs que cette découverte pourrait permettre de mieux comprendre certaines clés d’un traitement contre l’Alzheimer, par exemple, dont l’une des raisons pourrait justement être une « intoxication » des cellules cérébrales.

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Qu’avez-vous compris en devenant parent?

Les blogues sont de nos jours très prisés par les parents, qui trouvent ainsi le moyen de partager leurs expériences et demander conseil à d’autres gens dans la même situation.

Babycenter propose l’un de ces blogues, et cette semaine, Chris Cook partage avec humour ce que tout père apprend au fil des 18 premiers mois de la vie d’un premier enfant.

– Avant d’être parent, on ne réalise pas tout le temps « gaspillé » à ne pas dormir.

– Comprendre le langage des enfants de moins de 18 mois représente un exploit. 

– Sortir entre amis prend des allures d’objectif lointain ou de rêve inatteignable pendant un moment.

– On peut se laver les mains toute la journée, si bébé a le rhume, toute la famille y passera.

– Même à deux, la tâche est parfois lourde. Les gens monoparentaux méritent qu’on leur lève notre chapeau.

– Le câlin d’un enfant efface toute trace d’une mauvaise journée… ou d’une mauvaise nuit.

– Tant que vous n’êtes pas un parent vous-même, vous ne savez pas ce que c’est. Même si vous êtes convaincu du contraire.

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Le manque de sommeil n’est pas compensé par la grasse matinée du week-end

Dormir tard le samedi et le dimanche comporte ses bienfaits, mais ne parviendrait pas à compenser le manque de sommeil accumulé au fil de la semaine par les gens qui sont débordés, selon une étude rapportée par le Telegraph (UK).

L’étude américaine, menée par des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie, constate que deux bonnes nuits de sommeil ne s’avèrent pas suffisantes pour récupérer adéquatement. Conséquemment, les personnes qui se privent de sommeil en semaine pour le rattraper le week-end s’exposeraient à plusieurs problèmes de santé, cognitifs et de performance.

« Deux nuits de récupération de sommeil ne seraient peut-être pas suffisantes pour annuler les déficits d’attention résultants d’un manque de sommeil. Ce comportement peut avoir des implications importantes pour les personnes qui travaillent dans des domaines critiques comme le milieu de la santé et du transport », met en garde le Dr Alexandros Vgontzas, spécialiste du sommeil.

Il est donc conseillé de ne pas sous-estimer l’importance de bonnes nuits de sommeil tout au long de la semaine ni les impacts négatifs à long terme d’une privation de sommeil sur la santé physique et mentale.

Un récent sondage sur les habitudes de sommeil dans le monde démontrait qu’une grande proportion de la population mondiale ne dort pas suffisamment, ce qui inquiète les spécialistes. 

 

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Dormir trop ou dormir trop peu, du pareil au même

« Trop, c’est comme pas assez » est une expression quasi folklorique qui s’applique parfaitement au sommeil, si l’on se fie à cette nouvelle recherche proposée par le CDC.

Rapportée par Santé Log, l’étude en question affirme qu’une trop grande quantité de sommeil est aussi dommageable pour la santé que le manque de sommeil, et pourrait même s’avérer encore pire.

Alors qu’on établit la durée « normale » recommandée de sommeil à 8 heures par nuit en moyenne, des nuits de dix heures et plus feraient augmenter les risques de développer plusieurs troubles de santé.

Ce serait notamment vrai en ce qui concerne les maladies chroniques comme le diabète, l’obésité et les maladies cardiovasculaires. Là où le bât blesse, c’est que ces maladies sont souvent justement des moteurs de troubles du sommeil. Mieux vaut donc agir rapidement avant d’être prisonnier d’un cercle vicieux, et mettre tous les efforts pour s’assurer de nuits de sommeil suffisantes et de qualité.

Ces liens entre les maladies chroniques et la durée du sommeil, particulièrement trop accrue dans ce cas-ci, sont réalisables grâce à des analyses effectuées sur plus de 50 000 patients et leurs habitudes de sommeil.

Les résultats et conclusions ont par la suite été publiés dans la plus récente édition du magazine Sleep.

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5 erreurs à pointer du doigt dans la routine pour aller au lit

Même si vous avez établi des éléments répétitifs pour aider votre bébé à dormir, il se peut que vous ayez encore quelques ajustements à faire. Voici 5 erreurs à ne pas faire, selon Babysleepsite.

Votre routine n’en est pas une. Vous croyez que chaque soir se ressemble, mais en réalité, il manque l’élément clé pour que ce rituel devienne une réelle routine. Commencez par établir une heure précise.

La routine débute trop tard. Trop de parents attendent que leur bébé soit trop fatigué. Apprenez à détecter ces signes et devancez l’heure pour le mettre au lit. Un nourrisson devrait s’endormir en 10 minutes lorsqu’il se couche à temps.

Votre routine est trop complexe. Il se peut que votre rituel soit un peu trop rempli. Le tout-petit doit se détendre. Si vous incluez trop d’éléments différents, vous risquez de le stimuler plutôt que de l’endormir.

La routine est trop longue. Si c’est trop long, vous vous retrouvez à nouveau avec un bébé trop fatigué et irrité. Remarquez le temps que vous prenez et identifiez les signes de fatigue de votre enfant pour vous adapter.

Dodo et amusement ne vont pas ensemble. Bien que vous tentiez de créer un rapprochement avec votre petit amour, le chatouillement, l’amusement, les jouets qui parlent et les rires ne doivent pas faire partir de votre routine pour aller au lit.

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La thérapie thermale serait une bonne alternative aux médicaments

Des spécialistes français confirment et vantent les mérites de ce qu’on appelle « la thérapie thermale », qui consiste en une série de traitements par des bains d’eau bien chaude, selon ce qu’on comprend des informations proposées par Top Santé.

Le Dr Olivier Dubois est celui qui dépose ses conclusions en lien avec ses recherches sur ce type de traitement alternatif, après avoir mis sur pied le programme SPECth. Son but était d’analyser les impacts de la thermalisation sur la santé de patients donnés, et de voir si cette méthode pouvait bel et bien venir en aide aux personnes souffrant de problème de sommeil et de dépendance.

Comme les troubles du sommeil sont malheureusement trop souvent réglés à coup de prescription, un problème de dépendance aux psychotropes peut finir par se développer. Même chose en ce qui concerne l’anxiété et les problèmes d’angoisse chronique.

Les résultats proposés par Olivier Dubois semblent étonnants, et celui-ci est ravi de pouvoir confirmer les effets de la thérapie thermale sur ce type de patient.

« Dans le trouble anxio-dépressif, le résultat est spectaculaire », lance Dubois, qui croit que la thermalisation doit devenir un outil privilégié dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, afin de non seulement améliorer le sort des patients, mais aussi éviter une surconsommation de médicaments.

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Le manque de sommeil directement lié à une prise de poids

Des chercheurs de la recherche scientifique canadienne confirment ce que plusieurs spécialistes avançaient déjà depuis un bon moment, en affirmant qu’il existe une cause à effet directe entre le sommeil et la prise de poids.

Le manque de sommeil pour être exact, puisqu’il semble que les gens qui ne jouissent pas de nuits de sommeil de qualité stables sont plus enclins à prendre du poids, selon les informations rapportées par Radio-Canada.

Alors que le nombre d’heures de sommeil suggéré oscille autour de huit heures par nuit, les gens qui en dorment moins que six seraient prédisposés à grossir, ce qui expliquerait en partie la hausse massive du poids moyen des Canadiens, selon les chercheurs.

Attention, cette règle s’appliquerait également à ceux qui dorment trop! On mentionne en effet que les gens qui dorment dix heures et plus par nuit (ou par jour) sont sujets aux mêmes risques que ceux qui dorment trop peu.

Les fameux mouvements circadiens, ou l’horloge biologique interne, seraient responsables de l’impact du sommeil sur le poids et la santé. De plus en plus de recherches confirment cette cause et permettent d’en savoir davantage sur ce phénomène interne du corps, dont l’impact semble largement sous-estimé par la population.

 

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L’impact du sommeil sur la beauté démontré

Une étude en provenance de l’Université du Michigan confirme les effets positifs d’une bonne nuit de sommeil sur la beauté physique, rapporte Santé Log.

En effet, selon les chercheurs américains, la qualité du sommeil d’un individu transparait bel et bien sur sa beauté, notamment celle du visage. C’est ce qui ressort de l’étude complétée sur une poignée de sujets âgés dans la vingtaine et atteints d’apnée du sommeil.

Il est démontré que l’apnée du sommeil a plusieurs effets néfastes sur la santé, augmentant entre autres les risques de développer des problèmes cardiaques. C’est cependant la première fois que l’on confirme un effet négatif sur la santé du visage et sa beauté, des conclusions publiées dans le Journal of Clinical Sleep Medicine.

Placés sous traitement, les patients de l’étude ont été analysés par les chercheurs avant d’être soumis au jugement d’un deuxième groupe d’observateurs. Ces derniers devaient analyser et donner leurs appréciations des visages, avant et après le traitement.

Les résultats sont clairs : des visages plus jeunes, plus invitants, moins ridés et bouffis, mais surtout moins tendus et plus alertes, tout comme le regard.

Le fameux beauty rest, ou repos de beauté, n’est donc pas qu’une légende!

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Les habitudes de sommeil à travers le monde

Un nouveau sondage international dévoile les habitudes de sommeil des différents pays dans le monde, rapporte le Daily Mail (UK), et propose des constats intéressants.

Ainsi, on apprend que plus d’un tiers des Britanniques aiment boire des boissons chaudes au lit et préfèrent dormir complètement nus! Les Mexicains, quant à eux, méditent ou prient avant d’aller au lit, alors que les Japonais ne semblent pas changer souvent les draps…

L’étude-sondage comparait les habitudes de sommeil des citoyens du Canada, des États-Unis, du Mexique, de l’Allemagne, de l’Angleterre et du Japon. Elle s’avère le premier exercice du genre proposé par la National Sleep Foundation.

En termes de durée de sommeil maintenant, il appert que les Britanniques dorment moins de sept heures par nuit, comparativement à sept heures pour l’Allemagne. Ce sont les Japonais qui dormiraient le moins, avec une moyenne de six heures et des poussières par nuit, soit juste un peu moins que les Américains, les Allemands et les Canadiens.

Le Canada semble d’ailleurs être le pays où la plus grande proportion de la population dort suffisamment!

Les chercheurs et spécialistes qui analysent les résultats de l’étude s’en amusent et répètent l’importance de dormir plus de sept heures par nuit, car le sommeil est souvent intrinsèquement lié à l’état de santé.