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Le manque de sommeil affecterait plus les femmes que les hommes

Voici une étude sur le sommeil qui risque d’en faire réagir plus d’une, puisqu’elle semble à première vue un brin sexiste, mais attendez la suite…

Selon des chercheurs de l’Université Duke, les femmes auraient moins bon caractère que les hommes lorsqu’elles manquent de sommeil, alors que l’homme semble ne pas subir autant d’inconvénients en santé lorsqu’il dort peu.

Une plus grande susceptibilité, donc, ainsi qu’une vulnérabilité physique et psychologique sont observables chez la gent féminine lorsqu’elle n’a pas ses heures de sommeil règlementaires, rapporte Top Santé.

« Nous avons découvert que les femmes avaient plus de dépression, étaient plus colériques et irascibles le matin après le réveil », explique d’abord le Dr Breus, en tête de l’étude.

Mais attention, cela pourrait avoir un lien avec l’utilisation que les femmes font de leur cerveau durant le jour.

« Plus vous utilisez votre intellect pendant la journée, plus vous avez besoin de vous reposer la nuit. Les femmes ont tendance à être multitâches et elles mobilisent davantage leurs fonctions cérébrales que les hommes », ajoute le spécialiste.

L’étude, qui semblait d’abord préjudiciable aux femmes, se retourne finalement contre les hommes!

On suggère aux femmes irritables et qui manquent de sommeil de tenter l’expérience des siestes, d’une durée de 25 à 90 minutes maximum, pour un effet optimal.

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Quoi faire lorsque votre enfant ne veut plus faire de sieste

Tôt ou tard, la sieste deviendra chose du passé. La journaliste experte en matière de sommeil, Malia Jacobson, explique comment mieux vivre la transition, selon Parenting Squad.

Les bébés et les jeunes enfants ont besoin de faire des siestes pour mieux gérer et retenir tout le fourmillement d’information qu’ils reçoivent à cet âge, et aussi pour les empêcher de devenir trop fatigués à la fin de la journée, ce qui peut interférer avec une bonne nuit de sommeil.

Cependant, entre l’âge de 3 et 6 ans, la plupart du temps autour de 4 ans, l’horloge biologique des enfants change et leur permet de rester éveillés plus longtemps durant la journée.

Certains enfants abandonnent la sieste du jour au lendemain, tandis que d’autres vivent une période de transition plus ou moins longue. Une chose est sûre : lorsque le changement est amorcé, il n’est plus possible de revenir en arrière!

Lorsqu’un enfant n’a pas du tout fait de siestes depuis 7 à 10 jours, vous saurez que cette période est finie. Pour essayer de prolonger la transition, toutefois, il est possible de lever l’enfant 20 à 30 minutes plus tôt le matin, pour qu’il soit plus fatigué après le dîner. Amenez-le aussi dehors et faites-le bouger en matinée, ce qui pourrait mieux le préparer à dormir.

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Le manque de sommeil fait manger plus et prendre du poids

Dormir seulement cinq heures par nuit pendant une semaine et avoir un accès illimité à de la nourriture a fait prendre du poids aux participants d’une petite étude, dont les résultats ont été publiés lundi (11 mars) aux États-Unis.

Des recherches avaient déjà montré qu’un manque de sommeil peut entraîner un gain de poids, mais sans que les effets sur le métabolisme soient bien déterminés, relèvent les auteurs.

Dans cette étude parue dans les Comptes-rendus de l’Académie américaines des sciences (PNAS), les chercheurs montrent que le fait de rester éveillé plus longtemps requiert plus d’énergie, conduisant à manger davantage.

« Le fait de dormir moins n’est pas en soi ce qui fait grossir, mais quand on ne dort pas assez, on a tendance à manger plus que nécessaire pour compenser », estime Kenneth Wright, directeur du Laboratoire du sommeil et de chronobiologie à l’Université du Colorado à Boulder, qui a dirigé ces travaux.

Pour cette recherche, les scientifiques ont suivi 16 jeunes hommes et femmes en bonne santé qui ont vécu pendant deux semaines à l’Hôpital universitaire du Colorado. Leur consommation d’énergie a été calculée en mesurant les quantités d’oxygène respirées et de dioxyde de carbone (CO2) expirées.

Pendant les cinq premiers jours, la moitié des participants ne pouvait dormir que cinq heures par nuit, tandis que l’autre groupe avait une nuit normale de huit ou neuf heures. À la fin de cette période, ils ont permuté pour mener la même expérience cinq jours de plus.

Tous avaient accès à des repas copieux et à des en-cas à tout moment, comme des fruits, des yogourts, des croustilles et de la crème glacée.

En moyenne, ceux qui ne dormaient que cinq heures par nuit brûlaient 5 % plus d’énergie, comparativement au groupe dormant jusqu’à neuf heures, mais ils ont aussi consommé plus de nourriture, correspondant à 6 % de calories en plus.

Ceux qui dormaient moins mangeaient moins pour le petit-déjeuner, mais absorbaient beaucoup d’en-cas en soirée, représentant un nombre de calories plus grand que durant chacun des repas de la journée.

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Le somnambulisme comporte ses dangers

Le somnambulisme, ou le fait de marcher ou d’évoluer durant l’état de sommeil, n’est pas toujours un phénomène bénin. S’il peut parfois être sans risque, il comporte aussi son lot de dangers.

C’est ce que l’on apprend d’une étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, qui affirme que plusieurs incidents sont rapportés par des gens aux prises avec ce trouble du sommeil.

Du nombre des gens qui marchent en dormant,  58 % en moyenne auraient expérimenté des comportements violents ou agressifs. On craint donc pour l’intégrité physique de ces patients, en plus de celle de leurs proches, qui ne se rendent pas toujours compte de ces comportements nocturnes.

Outre ces conséquences potentiellement dangereuses, les somnambules sont souvent victimes de sévères fatigues durant le jour et sont souvent portés vers la dépression.

Pour contrer le phénomène, les experts français en tête de l’étude conseillent de se documenter sur le sujet et d’éviter les déclencheurs de ce trouble, comme de mauvaises habitudes de sommeil ou un stress trop important.

On conseille vivement à ces patients de bien verrouiller les portes et de même dormir au niveau du sol, s’il le faut. Installer une cloche aux portes n’est pas une mauvaise idée, puisque cela pourrait réveiller le dormeur qui tente d’en franchir une.

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L’insomnie affecte également la santé cardiaque

Être incapable de trouver le sommeil, ou à tout le moins d’en trouver de qualité, n’influencerait pas que la santé psychologique, apprend-on par Santé Log.

Ces derniers rapportent une étude sur le sommeil en provenance de la Norvège, qui parle des effets de l’insomnie sur la santé cardiaque, notamment.

Les résultats, publiés dans l’édition du 5 mars de l’European Heart Journal, dévoilent des risques accrus de troubles cardiaques chez les gens qui éprouvent des problèmes de sommeil.

Des risques d’insuffisance qui seraient multipliés par quatre, si l’on en croit ces conclusions. Ce risque peut se traduire à court terme, ou plus loin au cours de la vie, semble-t-il, et c’est l’une des premières fois (sinon la première) que des chercheurs établissent une cause directe entre l’insomnie et la santé cardiaque.

C’est après avoir sondé et analysé plus de 50 000 patients que les experts norvégiens ont pu confirmer leur théorie initiale.

Les chercheurs de la Norwegian University of Science and Technology croient que ces recherches pourraient mener les praticiens à considérer le sommeil lorsqu’ils posent un diagnostic concernant le cœur, ou encore en prévention.

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Comment prolonger la période de sieste d’après-midi

Parenting Squad rapporte un article de Malia Jacobson, l’auteure du livre Ready, Set, Sleep: 50 Ways to Help Your Child Sleep, So You Can Sleep Too (50 façons d’aider votre enfant à dormir pour que vous puissiez dormir aussi).

Un jour ou l’autre, entre l’âge de 3 et 4 ans, votre bambin refusera d’aller se reposer en après-midi. Par contre, chez certains enfants, la période de sieste se prolongera jusqu’à 6 ans.

Lorsque votre enfant n’aura pas dormi pendant 1 semaine à 10 jours après le dîner, vous saurez que la sieste fait partie du passé.

Pour les parents qui souhaitent prolonger cette période, vous pouvez modifier un peu la routine de votre enfant. Par exemple, réveillez-le de 20 à 30 minutes plus tôt le matin, ou étirez son heure du coucher du même laps de temps.

Vous pouvez également favoriser les activités intenses en fin de matinée, comme courir à l’extérieur, jouer au parc, dans la piscine, ou faire du vélo. Vous aiderez à créer une plus grande fatigue après le dîner.

Un conseil important cependant. Ne dérangez pas la routine de votre enfant si cela cause plus de problèmes avec ses nuits de sommeil. Leur qualité ne doit pas être diminuée au détriment d’une sieste d’après-midi.

Donc, s’il commence à combattre l’heure du coucher, qu’il se réveille en pleine nuit ou qu’il devient facilement irritable, respectez son besoin et comprenez que la sieste est de l’histoire ancienne.

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Les problèmes de sommeil chez les enfants

La Dre Haviva Veler, qui dirige une clinique de sommeil pédiatrique à New York, explique que « plusieurs problèmes de comportement que l’on voit chez les enfants résultent de problèmes de sommeil. Une fois que l’on traite le sommeil, ces problèmes, que ce soit les sautes d’humeur, la dépression ou même le déficit d’attention, peuvent disparaître ».

Chez les bébés de moins d’un an, la préoccupation principale reste d’apprendre à l’enfant à faire ses nuits. Les parents devraient respecter une routine régulière et permettre à l’enfant de s’endormir par lui-même.

Les enfants âgés de 1 à 3 ans ont quant à eux souvent des terreurs nocturnes et des cauchemars. Ces manifestations sont normales, et les parents devraient simplement essayer de trouver et d’éviter ce qui peut les déclencher, comme une histoire qui fait peur.

De 3 à 5 ans, 2 à 3 % des enfants vont développer de l’apnée du sommeil. 10 % des enfants ronflent à l’occasion, mais si c’est constant et très fort, il faut consulter.

Les enfants d’âge scolaire manquent souvent de sommeil, ce qui peut causer des problèmes d’attention, de mémoire, de fonction cognitive et de performance scolaire.

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Le manque de sommeil mènerait à de mauvaises habitudes alimentaires

Les gens qui dorment trop peu ont plus de risques de se tourner vers la malbouffe que les autres, croient des chercheurs qui publient une étude sur le sujet.

Ainsi, les gens aux prises avec des troubles de sommeil, ou qui en manque, seraient plus enclins à se ravitailler dans les restaurants de fast-food et même commander de plus grosses portions!

Ce sont des chercheurs suédois qui arrivent à de telles conclusions, à la suite des tests et analyses effectués sur 16 sujets masculins de poids « normal ».

On a d’abord vérifié les habitudes et les envies de ces sujets après des nuits de sommeil réparatrices de huit heures, en moyenne, avant de répéter le stratagème à la suite de nuits blanches.

Étrangement, les participants ont automatiquement choisi des portions plus grandes que d’habitude, eux qui avaient préalablement reçu un petit déjeuner en plus.

On croit donc que le manque de sommeil crée un besoin calorique plus élevé chez l’homme, ce qui peut également mener tout droit à l’obésité.

Les résultats de ces recherches ont été publiés dans le journal Psychoneuroendocrinology.

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Les enfants apprennent durant leur sommeil

La revue Nature Neuroscience a publié les résultats d’une étude montrant une fois de plus à quel point il est important pour les enfants de dormir suffisamment.

Des recherches précédentes ont déjà démontré que chez les adultes, le sommeil sert à soutenir « l’entreposage » à long terme de ce qu’ils ont appris. Durant la nuit, la mémoire rend l’apprentissage futur plus facile et transforme les connaissances implicites en connaissances explicites, ce qui les rend plus faciles à transférer dans d’autres zones du cerveau.

Des chercheurs ont cette fois testé cette capacité chez des enfants âgés de 8 à 11 ans, ainsi que chez un groupe de contrôle formé de jeunes adultes. Les participants devaient essayer de deviner une série d’actions prédéterminées, sans savoir à l’avance qu’il existait une série à la base.

Après une nuit de sommeil, les participants des deux groupes ont été capables de se rappeler un plus grand nombre d’éléments que ceux qui ont été testés à nouveau à la fin de la journée. Et les enfants ont beaucoup mieux réussi cette tâche que les adultes.

« Les enfants génèrent des connaissances explicites de manière beaucoup plus efficace que les adultes pendant leur sommeil. Et leur capacité extraordinaire est liée à leurs cycles de sommeil profond, qui sont beaucoup plus longs que ceux des grands », a expliqué l’auteure de l’étude, la Dre Ines Wilhelm, selon Science Daily.

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Se priver de sommeil pourrait déranger vos gènes

Manquer d’un sommeil adéquat n’aurait pas que pour effet de vous fatiguer, mais pourrait aussi nuire et déranger vos gènes, lance une étude britannique sur le sujet.

Rapportées par The National Library of Medicine, ces conclusions sont pour l’instant primaires et ne répondent pas à toutes les interrogations.

On ne sait par exemple toujours pas comment le fait de manquer de sommeil pourrait jouer sur la génétique de votre organisme, mais les chercheurs de l’Université du Surrey croient néanmoins pouvoir observer le phénomène.

Pour y parvenir, les chercheurs ont recruté 26 volontaires qui ont d’abord passé une semaine en cycle de sommeil « normal », pour ensuite diminuer le nombre d’heures de sommeil alloué.

On a ensuite prélevé des échantillons sanguins sur les sujets, qui ont révélé que plusieurs gènes et éléments du métabolisme s’en trouvaient ralentis.

On aura encore besoin de plus de tests pour mieux comprendre le phénomène et ses impacts concrets sur la santé, mais il s’agit d’un pas.

L’étude a été publiée dans l’édition du 25 février des Proceedings of the National Academy of Sciences.