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Le somnambulisme touche plus les personnes dépressives

Une étude américaine dévoile que le somnambulisme touche davantage les personnes dépressives, ayant des dépendances à l’alcool ou qui sont victimes de troubles obsessionnels compulsifs.
 
Selon The American Academy of Neurology,l’équipe de chercheurs a interrogé 19 136 personnes sur leur état de santé mentale, leur consommation de médicaments et leurs antécédents familiaux. De plus, on leur a demandé la fréquence de leurs périodes de somnambulisme, ou encore de décrire certains symptômes comme les peurs nocturnes et les excès de colère.
 
Les personnes ayant des troubles mentaux étaient 3,5 fois plus sujettes à être somnambules, et celles qui prenaient des antidépresseurs se levaient trois fois plus que les autres durant la nuit pour déambuler, soit deux fois par mois en moyenne.
 
« Nous n’avons aucun doute sur l’existence d’un lien entre somnambulisme et désordres mentaux. Mais nous ne pouvons pas encore expliquer pourquoi. Est-ce que ce sont les troubles qui provoquent des épisodes de somnambulisme ou l’inverse? Ou alors, c’est le traitement que prend le patient qui est responsable de ces crises », affirme le Pr Maurice Ohayon.
 

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Les somnambules manquent de sommeil

Selon une équipe de chercheurs de l’Université de Montréal, les personnes prédisposées au somnambulisme devraient se coucher à une heure fixe si elles souhaitent éviter de se lever au cours de la nuit.

4 % des adultes sont aux prises avec ce trouble du sommeil qui peut causer de la confusion mentale et des épisodes d’amnésie.

En plus de ces symptômes liés au somnambulisme, on remarque aussi que les personnes qui en souffrent ont plus de difficulté à passer du sommeil profond à une autre phase de sommeil, ou à être complètement éveillées après avoir été privées de sommeil.

Cette découverte pourra sans doute faciliter le diagnostic de cette condition.