Catégories
Uncategorized

Accouchement : ne pas reprendre le travail avant quatre mois

En effet, les mères sont souvent exténuées par l’accouchement et leur nouveau mode de vie. Même si le sommeil s’améliore au fil des semaines, la moitié des femmes sont encore prises de période de somnolence en pleine journée lorsque leur poupon a 18 semaines, rapporte le site Famili.

Des chercheurs australiens ont interrogé 33 femmes en parfaite santé psychologique et physique sur leur niveau de fatigue à différentes périodes post-accouchement. Il s’est avéré que la moitié d’entre elles étaient encore victimes de somnolence diurne 18 semaines après avoir accouché.

Les résultats se basent sur l’échelle de somnolence Karolinska, cotée de 1 à 9, qui évaluait le degré de fatigue post-accouchement  entre 5 et 6 même 4 mois plus tard.

Les experts conseillent donc aux jeunes mamans de bien se reposer avant de retourner progressivement au travail. Parmi les participantes à l’étude, il n’y avait d’ailleurs que cinq femmes qui avaient repris le travail à temps plein à l’intérieur des 4 mois suivant la naissance de leur bébé.

Le détail de la recherche est paru dans l’édition de juillet de la revue scientifique Plos one.

Catégories
Uncategorized

Les troubles du sommeil et la maladie de Parkinson

L’insomnie, des éveils fréquents durant la nuit et la somnolence excessive durant le jour sont des problèmes qui affectent le quotidien de près de 70 % des personnes atteintes de la maladie de Parkinson, indique une étude de l’Université de Dresde parue dans le Journal of Parkinson’s Disease.

Ces inconvénients peuvent engendrer des problèmes plus graves. Par exemple, la somnolence peut conduire à un risque de chutes ou de blessures, diminuer la concentration et la cognition, augmenter les risques de dépression et affecter l’humeur et la vie sociale des gens malades.

Selon le Dr Wiebke Schrempf, auteur de l’étude, de petites doses de lévodopa ou agonistes de la dopamine pourraient aider à améliorer la qualité du sommeil et atténuer les symptômes moteurs ou mouvements non contrôlés par les malades qui perturbent souvent leur sommeil. Un calcul précis pour le dosage de ces traitements doit toutefois être effectué, car ces médicaments peuvent engendrer de la somnolence diurne.

Les troubles du sommeil peuvent également être révélateurs de la présence du Parkinson pour certaines personnes et même prédire la maladie.

« Dans les cas extrêmes, les patients peuvent présenter un trouble comportemental du sommeil paradoxal et vivre leurs rêves en actions, avant même que les symptômes moteurs de la maladie de Parkinson apparaissent. Ainsi, des chercheurs de l’Université de Toronto ont déjà suggéré que les troubles comportementaux en sommeil paradoxal peuvent être prédictifs de développement de maladies neurologiques chroniques comme le Parkinson ou certaines formes de démence », explique Santé Log.

Catégories
Uncategorized

S’endormir au volant : une cause de mortalité plus féroce que l’alcool

Une nouvelle étude ou plutôt un nouveau bilan de la part de l’ASFA démontre que la principale cause d’accidents mortels sur les routes serait la fatigue, et non l’alcool comme il serait permis de le croire.

C’est Santé Log qui rapporte ces conclusions, basées sur des statistiques recueillies au cours de l’année 2012. On note d’abord une certaine amélioration en termes de nombres de décès sur les routes, globalement.

Malheureusement, il semble que la fatigue soit la cause d’un accident mortel sur trois, s’appropriant ainsi le triste titre de cause principale des décès routiers.

Les vacances sont encore une fois une période faste pour les accidents, le mois de juillet s’avérant le pire de tous à ce chapitre.

Même si les accidents mortels reliés à la drogue et à l’alcool arrivent plus loin dans ce bilan, il n’en demeure pas moins que, toujours selon l’ASFA, ils continuent d’être en hausse progressive depuis 15 ans.

Encore une fois, on appelle à la vigilance et à l’intelligence des conducteurs.

Catégories
Uncategorized

La somnolence de jour liée à l’alimentation

Êtes-vous du genre à tomber de fatigue en plein milieu de la journée, que vous soyez au travail ou à la maison?

Si vous souffrez de ce genre de somnolence diurne et qu’il vous est difficile de rester alerte durant le jour, une étude suggère qu’il faudra vous tourner vers votre alimentation pour démasquer le coupable.

C’est ce qui ressort des conclusions publiées par des chercheurs américains dans le journal SLEEP et rapportées ici par Medical News Today.

Ainsi, selon le sexe, le poids et certaines caractéristiques des individus, le type d’aliments ingérés précédemment joue un rôle primordial sur le métabolisme durant le jour et dicte le niveau d’énergie ressenti.

On pointe principalement du doigt les aliments à forte teneur en gras, ce qui coïncide avec la montée statistique du phénomène, puisque l’obésité et la malbouffe sont des fléaux qui sont eux aussi en pleine croissance.

De plus, on croit que manger des aliments gras trop souvent a plus d’incidence chez les personnes de poids normal que celles en surpoids.

Si vous ressentez les effets de la somnolence dans le jour, vous devrez donc considérer sérieusement à améliorer votre alimentation et ralentir le rythme en terme de malbouffe.

Catégories
Uncategorized

La « fatigue de jour » pourrait être liée au niveau de vitamine D

Plusieurs personnes affirment être victimes de « fatigue de jour », caractérisée par des élans de somnolence en pleine journée, et ce, malgré une nuit de sommeil normale.

Avec l’hiver qui est finalement arrivé, et les heures de luminosité retranchées du même coup, le nombre de personnes qui ressentent ce phénomène ne fait que s’accentuer.

Selon une récente étude rapportée par www.nlm.nih.gov, il est possible que le niveau de vitamine D retrouvé dans l’organisme joue un rôle dans le processus.

L’étude analysait les cas de 81 patients admis en clinique du sommeil, qui ont par la suite reçu un diagnostic de trouble du sommeil. Une bonne portion de ces sujets a reçu également un diagnostic d’apnée du sommeil, un problème respiratoire nocturne qui explique souvent bien des maux et surtout la fatigue de jour.

Pour les autres, on a noté des réactions et des variations d’énergie dans la journée en fonction du taux de vitamine D retrouvé dans le sang.

Les résultats, qui parlent d’une « corrélation significative entre la vitamine D et la somnolence ou la fatigue de jour », ont été publiés dans la plus récente édition du Journal of Clinical Sleep Medicine.

Catégories
Uncategorized

L’hypersomnie, un problème bien réel

Si vous vous sentez constamment fatigué et dépourvu d’énergie à plusieurs moments de la journée, il est possible que vous souffriez d’hypersomnie.

Comme plusieurs autres désordres modernes, le sujet n’est pas pris au sérieux par de nombreuses personnes. Cela pourrait changer bientôt, alors que de nouvelles études sont dévoilées.

Santelog.com en rapporte une qui regroupe les conclusions des chercheurs de l’Emory University School of Medicine, initialement publiées dans la plus récente édition du magazine Science Translational Medicine.

On y apprend que le cerveau de certaines personnes serait doté d’une substance qui fonctionne comme un somnifère, favorisant le sommeil et la somnolence. Ceci expliquerait les symptômes ressentis par les gens souffrant d’hypersomnie.

Outre cette impression de fatigue constante, les patients rapportent ne pas être reposés au réveil, malgré une longue nuit de sommeil. Une impression de « brouillard » au réveil est aussi rapportée.

Le professeur David Seigle, neurologue, utilise une métaphore automobile pour expliquer le phénomène en affirmant que les gens qui souffrent d’hypersomnie ressentent le même effet que s’ils essayaient de « conduire une automobile avec les freins ».

On suggère aux gens qui se reconnaissent dans ces symptômes de consulter, car de nouvelles percées et des traitements sont à prévoir.

Catégories
Uncategorized

D’autres facteurs de risques pour l’hypersomnie

Ce n’est pas le manque de sommeil qui est le principal facteur de l’hypersomnie, ou somnolence diurne. Selon ce que des chercheurs ont présenté au congrès Sleep 2012, l’obésité et la dépression sont en tête de liste.
 
1741 personnes ont été suivies durant cette recherche. On constate effectivement que l’obésité et le stress émotionnel sont les principaux facteurs de la somnolence et de la fatigue.
 
Les personnes en surpoids ou obèses qui obtiennent une perte de poids voient habituellement leur hypersomnie être réduite considérablement. Même chose si on traite la dépression chez une personne.
 
Mis à part l’obésité et la dépression, le manque de sommeil, l’apnée du sommeil, l’hypertension, les accidents vasculaires cérébraux et le diabète peuvent aussi jouer un rôle dans le développement de la somnolence diurne. Cependant, ils viennent tous après l’obésité et la dépression.
 
Catégories
Uncategorized

Des oeufs pour rester éveillé et alerte

Oubliez le chocolat! Pour retrouver votre énergie lorsque vous vous sentez somnolent, mangez des œufs.
 
Des scientifiques ont découvert qu’une protéine des œufs, que l’on retrouve surtout dans le blanc d’œuf, aide à rester éveillé et alerte. Cette protéine est beaucoup plus efficace que les glucides du chocolat, des biscuits ou d’autres aliments sucrés.
 
L’équipe de l’Université de Cambridge a examiné les effets des substances nutritives sur les cellules du cerveau. On constate que la protéine des blancs d’œufs active les cellules et déclenche la libération continue de l’orexine, alors que le sucre inhibe cette libération.
 
Par le passé, les œufs ont eu une mauvaise réputation. On croyait qu’ils favorisaient le mauvais cholestérol et augmentaient ainsi les risques de troubles cardiaques. Cette pensée est toutefois erronée, et des études ont démontré qu’il est très sain de manger des œufs.
 
Le cholestérol retrouvé en petite quantité dans cet aliment n’a que très peu d’effets sur les risques de crise cardiaque.
 
Catégories
Uncategorized

La caféine combinée à une sieste pour combattre la somnolence au volant

Une étude parue dans le New York Times dévoile que pour combattre la somnolence au volant d’une voiture, l’idéal est de prendre un café et de faire ensuite une sieste de 15 minutes. C’est le meilleur moyen de rétablir sa vigilance.
 
Alors que l’on suggère habituellement un seul des deux moyens, on propose cette fois la combinaison des deux.
 
Selon les résultats de recherches effectuées auprès de conducteurs, la caféine ne fait effet que vingt minutes après avoir été consommée. Ainsi, tout de suite après la sieste de 15 minutes, les personnes ont retrouvé toute leur énergie.
 
Quant à la pause de 15 minutes, elle permet de « nettoyer » le cerveau, engendrant aussi une amélioration des performances par la suite.
 
Donc, lorsque vous sentirez la fatigue vous gagner, prenez un café, arrêtez-vous 15 minutes, et vous devriez sentir les effets bénéfiques dès votre réveil.
Catégories
Uncategorized

La somnolence influence nos choix alimentaires

La somnolence diurne affecte le contrôle inhibiteur de notre cerveau devant la vision d’aliments alléchants et riches en calories. C’est la conclusion à laquelle parviennent des chercheurs, selon ce que rapporte le Science Daily.
 
En état de somnolence, il y aurait moins d’activation dans le cortex préfrontal devant des aliments caloriques. Ainsi, cela pourrait affecter nos choix alimentaires et nous faire privilégier les aliments moins sains.
 
Nous savons qu’avoir suffisamment d’heures de sommeil est essentiel pour la santé en général, mais nous ajoutons maintenant que cela aide à conserver la ligne. En effet, avec moins de sommeil, nous sommes inconsciemment portés à manger des aliments beaucoup plus caloriques, ce qui conduit inévitablement à une prise de poids.
 
Finalement, l’obésité pourrait être mieux gérée si les personnes avaient un bon sommeil réparateur chaque nuit.

En 2010, des chercheurs avaient démontré que l’attrait des aliments plus caloriques était nettement plus élevé chez les femmes que chez les hommes, en réponse à leur activation différente dans le cortex préfrontal.