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Angelina Jolie et Bill Gates, les plus admirés au monde

Selon un sondage réalisé par YouGov auprès de 25 000 personnes vivant dans 23 pays du monde, Angelina Jolie et Bill Gates sont les deux personnalités les plus admirées.

L’actrice et réalisatrice de 39 ans Angelina Jolie reçoit beaucoup de crédit pour son implication auprès de l’ONU. La femme de Brad Pitt est en effet l’une des ambassadrices de bonne volonté de l’organisme. Elle parcourt régulièrement le monde pour venir en aide aux plus démunis.

De son côté, l’ex-dirigeant de Microsoft, Bill Gates, 59 ans, s’investit aussi pour de bonnes causes. Il oeuvre au sein de la Bill & Melinda Gates Foundation qui apporte à la population mondiale des innovations en matière de santé et d’acquisition de connaissances. Grâce à cette initiative, plus de 55 millions d’enfants ont été vaccinés dans le monde.

Voici la liste des personnalités les plus admirées dans le monde : 

HOMMES

1. Bill Gates

2. Barack Obama

3. Xi Jinping

4. Jackie Chan

5. Narendra Modi

6. Pape François

7. Le Dalai Lama

8. Jack Ma

9. Stephen Hawking

9. David Beckham

FEMMES

1. Angelina Jolie

2. Malala Yousafzai

3. Hillary Clinton

4. Reine Elizabeth II

5. Michelle Obama

6. Céline Dion

7. Oprah Winfrey

8. Julia Roberts

9. Aung San Suu Kyi

10. Angela Merkel

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Angelina Jolie et Bill Gates, les plus admirés au monde

Selon un sondage réalisé par YouGov auprès de 25 000 personnes vivant dans 23 pays du monde, Angelina Jolie et Bill Gates sont les deux personnalités les plus admirées.

L’actrice et réalisatrice de 39 ans Angelina Jolie reçoit beaucoup de crédit pour son implication auprès de l’ONU. La femme de Brad Pitt est en effet l’une des ambassadrices de bonne volonté de l’organisme. Elle parcourt régulièrement le monde pour venir en aide aux plus démunis.

De son côté, l’ex-dirigeant de Microsoft, Bill Gates, 59 ans, s’investit aussi pour de bonnes causes. Il oeuvre au sein de la Bill & Melinda Gates Foundation qui apporte à la population mondiale des innovations en matière de santé et d’acquisition de connaissances. Grâce à cette initiative, plus de 55 millions d’enfants ont été vaccinés dans le monde.

Voici la liste des personnalités les plus admirées dans le monde : 

HOMMES

1. Bill Gates

2. Barack Obama

3. Xi Jinping

4. Jackie Chan

5. Narendra Modi

6. Pape François

7. Le Dalai Lama

8. Jack Ma

9. Stephen Hawking

9. David Beckham

FEMMES

1. Angelina Jolie

2. Malala Yousafzai

3. Hillary Clinton

4. Reine Elizabeth II

5. Michelle Obama

6. Céline Dion

7. Oprah Winfrey

8. Julia Roberts

9. Aung San Suu Kyi

10. Angela Merkel

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Les hommes veulent des enfants avant les femmes

C’est à 29 ans que les hommes trouvent qu’il est idéal de devenir père. Quant aux femmes, donner la vie à 32 ans serait parfait, selon un sondage britannique effectué par VoucherCloud. Celui-ci a été réalisé auprès de 1732 personnes âgées de 18 à 39 ans et n’ayant pas encore d’enfants.

Relayé par le DailyMail, l’étude nous apprend également qu’après 35 ans, les hommes se jugent « trop vieux » pour mettre au monde leur progéniture. Quant à leurs homologues féminins, elles ne ressentent aucune contrainte à tomber enceinte jusqu’à leur 41e anniversaire.

Avoir une carrière professionnelle, être indépendante financièrement et en mesure d’assumer l’arrivée d’un bébé sont des critères qui repoussent l’intention des femmes d’avoir des enfants tôt, selon l’étude.

Le rôle du père étant davantage exploité et mieux vu dans la société, ce qui pourrait inciter les hommes à incarner le rôle paternel plus tôt. Le porte-parole de VoucherCloud croit que « le rôle de père est de plus en plus attirant avec des gens comme David Beckham ou Brad Pitt qui assument leur paternité. »

Le site Famili ajoute que si les répondants féminins et masculins ne semblaient pas en accord sur l’âge pour fonder une famille, ils sont au moins au même diapason sur un point. Il semblerait qu’avoir deux enfants représenterait la situation familiale parfaite.

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Soleil : les parents sont plus vigilants pour leurs enfants que pour eux-mêmes

Bonne nouvelle, un sondage mené par Cancer Research UK et Nivea Sun auprès de Britanniques révèle que 74 % des parents s’assurent que leurs enfants portent de la crème solaire de force 15 et plus. Toutefois, 47 % de ces derniers oublient d’en étendre sur leur propre corps.

Parmi les 950 répondants, plusieurs disent « oublier » de mettre de la crème solaire, parce que trop concentrés à protéger la peau de leurs petits plutôt que la leur. Moins d’un tiers des adultes cherchent de l’ombre lorsqu’ils sont à l’extérieur, alors que 55 % tentent de faire jouer leurs jeunes là où le soleil brille le moins.

Il en est de même pour porter des chapeaux ou vêtements protecteurs. Les enfants portent des accessoires adéquats grâce à 62 % des parents, et seulement 23 % prennent la même précaution pour eux-mêmes.

Ces statistiques inquiètent Sarah Williams, agent principal de l’information de santé au Cancer Research UK : « Les parents doivent donner l’exemple, mettre en pratique ce qu’ils prêchent et prendre soin de leur peau pour la protéger contre les rayons UV nocifs qui peuvent non seulement causer le vieillissement prématuré et les rides, mais également augmenter le risque de cancer de la peau ».

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Les Canadiens « oublient » les deux tiers de leur consommation d’alcool

Les Canadiens « oublieraient » les deux tiers de leur consommation réelle d’alcool lorsque questionnés à ce sujet, selon une analyse rapportée par Radio-Canada.

Alors que l’énoncé est une porte ouverte aux blagues faciles, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit d’un phénomène inquiétant pour le directeur de cette recherche, Tim Stockwell, du Centre de recherche en toxicomanie de l’Université de Victoria.

Selon Stockwell, les données analysées provenant de sondages sur la consommation d’alcool effectués auprès des Canadiens entre 2008 et 2012 ne collent pas avec les chiffres de ventes d’alcool obtenus au cours de cette même période.

Soit les répondants canadiens mentent volontairement lors de ces questions, soient ils s’avèrent nonchalant lorsque vient le temps de calculer leur consommation. Quoi qu’il en soit, l’étude démontre un phénomène de sous-estimation de la consommation générale d’alcool, particulièrement en ce qui concerne le vin, semble-t-il.

L’étude conclut également que les habitants des régions du nord du pays sont de plus grands consommateurs d’alcool, alors que ceux de l’est du Canada seraient plus raisonnables, en moyenne.

Les analyses du Centre de recherche en toxicomanie de l’Université sont proposées dans le magazine scientifique Addiction.

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De sévères lacunes dans la détection de la malnutrition au Canada

Les centres hospitaliers et les médecins canadiens auraient du mal à détecter ou à prendre le temps de détecter les problèmes de malnutrition chez les patients qui se présentent aux urgences et en consultation, révèle une nouvelle étude.

La recherche, sous forme de sondage et rapportée par MedicalNewsToday, estime qu’il existe un écart significatif entre les pratiques jugées optimales et nécessaires dans la détection de la malnutrition, et celles observables sur le terrain au quotidien.

Menée par la Canadian Malnutrition Task Force, l’étude-sondage révèle que la plupart des médecins (87 %) estiment que les questions de nutrition sont vitales dans le maintien de la bonne santé et afin de tracer un bon diagnostic, lors de l’admission d’un patient et lors de son départ de l’hôpital.

« La malnutrition et les problèmes alimentaires des patients hospitalisés est une question qui peut affecter les soins de service au final, incluant la durée des soins nécessaires », mentionne la Dre Peggi Hunter de l’American Society for Parenteral and Enteral Nutrition (A.S.P.E.N.)

Cependant, seulement 33 % s’attarderaient à cette question lors de l’admission d’un patient, et 29 % lors du départ de celui-ci.

Les résultats de la recherche et du sondage ont été publiés dans le journal de l’A.S.P.E.N.

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La dépression frappe chez les personnes âgées

Depuis quelques années, les statistiques de cas de dépression chez les personnes âgées surprennent. Le Devoir rapporte une fois de plus quelques chiffres qui démontrent que le phénomène n’a probablement pas ralenti depuis l’an dernier.

Selon le quotidien, qui prend ses chiffres de l’Enquête québécoise sur les limitations, les maladies chroniques et le vieillissement (EQLAV) et des analyses de l’Institut de la statistique du Québec, une personne âgée sur cinq souffrirait de troubles de l’humeur et/ou de dépression. 20 %, en somme, de nos aînés perdent le goût de vivre, alors qu’ils ont traversé tant d’épreuves.

La statistique grimpe à 60 % chez les personnes âgées déclarées invalides ou en incapacité grave. Passé l’âge de 85 ans, une personne âgée sur quatre serait touchée par la dépression.

Les femmes seraient davantage touchées, ainsi que les personnes seules ou sous le seuil de pauvreté.

« En identifiant ces personnes vulnérables, cela permet de faire de la prévention et d’éviter d’éventuels recours aux services de santé. Ces indicateurs peuvent aussi permettre de suivre l’évolution de la clientèle des personnes âgées, de voir comment le système de santé doit s’adapter à cette réalité et appliquer les interventions les plus utiles », explique Maxime Murphy, qui dirige l’étude.

Des conclusions bien tristes, surtout à une époque où le système de santé québécois démontre tant de signes de fatigue qu’il est devenu de plus en plus difficile d’aider les plus démunis et les personnes aux prises avec des troubles mentaux ou dépressifs.

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Un grand nombre de Québécois ignorent leur état de santé

Les moments difficiles que vit le système de santé au Québec n’a pas que des impacts sur les patients à l’intérieur des murs des urgences et des centres hospitaliers du Québec, selon ce que rapporte Le Devoir.

L’impact des problèmes en santé frappe aussi un grand nombre de Québécois qui ignorent leur état de santé, croient des spécialistes.

C’est une étude-sondage menée auprès de 20 000 Québécois qui permet de tracer un tel constat, alors que plusieurs statistiques ont de quoi inquiéter largement.

Voici quelques exemples. De toutes les personnes sondées, 8 % présentaient des symptômes d’insuffisance rénale sans le savoir. 73 % seulement des personnes diabétiques connaissaient leur état, alors que seulement la moitié des sujets aux prises avec des niveaux de cholestérol trop élevés étaient au courant.

En clair, des centaines de personnes au Québec souffrent d’un trouble de santé important sans le savoir, conclut le Dr François Madore, qui commente l’étude. « Il y a des lacunes, visiblement on ne traite pas ces problèmes adéquatement et il faut comprendre pourquoi. »

L’étude confirme une nouvelle fois l’urgence d’agir en matière de santé au Québec, alors que le système semble ne plus proposer de solutions efficaces à son engorgement.

Les données de l’étude-sondage ont été publiées dans le Clinical Journal of the American Society of Nephrology et recueillies dans le cadre du projet CARTaGENE.

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Près d’un homme dépressif sur deux préfère la psychothérapie

Avec la hausse vertigineuse de la consommation de médicaments au Québec et au Canada, qui vient d’ailleurs de fracasser un record pour 2012-2013, on s’inquiète de plus en plus du phénomène de surconsommation.

C’est particulièrement vrai en ce qui concerne les antidépresseurs, que l’on semble enclin à prescrire dans plusieurs cas. Or, une nouvelle étude trace un portrait différent de la réalité, rapporte Radio-Canada.

La recherche dévoile qu’un homme sur deux atteint de dépression aimerait mieux un traitement par psychothérapie plutôt que par médication, et donc par antidépresseurs. Les chiffres sont encore plus éloquents du côté des femmes, alors que trois femmes sur quatre opteraient elles aussi pour la thérapie et les soins psychologiques.

C’est après avoir sondé 88 patients que les chercheurs ont pu en arriver à cette conclusion, qui trace un portrait différent de ce que la perception populaire nous propose en ce moment.

Encore faut-il que les médecins soient à l’écoute de ces demandes, et qu’ils ne soient pas trop rapides à sortir le carnet de prescription…

L’étude rapportée a été publiée dans le magazine Journal of Affective Disorders.

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Garder son téléphone près du lit serait une bien mauvaise idée

Le Daily Mail (UK) rapporte une étude intéressante sur les impacts et effets sur la santé du simple fait de garder son téléphone cellulaire près de son lit durant la nuit.

Quelques études précédentes avaient déconseillé une telle habitude, expliquant notamment que la luminosité de l’écran pouvait nuire au sommeil et faciliter les problèmes d’insomnie.

Cette nouvelle étude, qui prend la forme d’un sondage, révèle que huit personnes sur dix gardent leur téléphone allumé durant les périodes de sommeil, et que la moitié d’entre nous utilise cet appareil comme réveille-matin.

Un comportement qui nuit gravement au sommeil et à la qualité de ce dernier, s’accordent pour dire plusieurs spécialistes qui commentent l’étude.

D’abord parce que l’émission d’ondes et d’énergie perturbatrice par nos appareils mobiles nous garde en état d’hyper-vigilance, et s’avère susceptible de nuire à la qualité du sommeil.

Des nuits moins réparatrices donc, et souvent moins longues, qui peuvent même mener à de l’insomnie et à d’autres troubles connexes. Des maux de tête, des nausées et des étourdissements peuvent aussi être observables chez ceux qui conservent leur téléphone à portée de main, même la nuit.

L’étude sondage a été réalisée par la firme Ofcom, en Angleterre.