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Les meilleurs souvenirs confinés aux 25 premières années d’une vie?

Est-ce que les meilleurs souvenirs d’une vie entière se cacheraient presque tous au cours des 25 premières années? C’est ce que semble laisser entendre une nouvelle étude sur la mémoire et le comportement, rapporte The National Library of Medicine.

Cette étude menée par Kristina Steiner et en provenance de l’Université du New Hampshire analysait la vie et les réponses de 34 sujets volontaires qui devaient raconter leurs parcours. Ceux-ci ont majoritairement repris des événements qui s’étaient déroulés entre l’âge de 17 et de 25 ans.

« Quand les gens regardent leur vie et qu’ils doivent choisir des souvenirs importants, la plupart divisent les histoires par chapitres, définis par des moments importants qui sont universels : l’amour, l’entrée à l’université, un premier emploi et les enfants.

Comme ces grands changements et événements surviennent pour une majorité de gens avant l’âge de 25 ou 30 ans, les chercheurs américains remarquent que bien peu de souvenirs des périodes entre 30 et 70 ans refont surface lorsqu’ils questionnent leurs sujets.

Est-ce là une réaction normale ou devrions-nous nous assurer de nous créer des souvenirs aussi magiques qu’à 25 ans, une fois la trentaine passée? L’étude de Kristina Steiner a de quoi faire réfléchir.

Les résultats ont été publiés dans le journal Memory.

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La vitesse de votre ordinateur influence votre taux de stress

Décider d’acheter un nouvel ordinateur plus performant pourrait réduire votre niveau de stress de façon considérable, selon ce que rapporte Top Santé.

Une étude-sondage en provenance des États-Unis propose quelques conclusions étonnantes sur le sujet, notamment qu’une majorité de propriétaires d’ordinateur perdent en moyenne deux heures par semaine de leur temps à attendre après une machine trop lente et désuète.

Ces attentes répétées et ces cassures dans le rythme du travail ou des loisirs feraient grimper les niveaux de stress en flèche, selon l’étude, à un point tel que les chercheurs recommandent de songer sérieusement à acheter un nouvel ordinateur si votre appareil actuel n’arrive plus à suivre la parade.

« La majorité des utilisateurs perdrait deux heures par semaine à cause d’ordinateurs trop lents. Si vous avez utilisé un ordinateur régulièrement ces dix dernières années, vous avez peut-être perdu plus d’un mois complet à attendre que votre ordinateur démarre, que les programmes s’ouvrent, se ferment, ou à effectuer des tâches qui sont normalement simples et rapides », résume Roddy McLean, qui dirige l’étude en question.

« Gagner 20 minutes par jour pourrait avoir des avantages énormes. Ce temps permettrait de mieux s’alimenter, de dormir plus ou de pratiquer une activité sportive », analyse quant à elle Kathy Kaehler, une entraîneuse et auteure.

45 % des 2025 personnes sondées ont avoué que le fait de rester devant un ordinateur trop lent épuisait plus qu’une séance intense de sport, ce qui n’est pas peu dire.

Bien sûr, le conseil vaut également pour les employeurs qui s’obstinent à ne pas renouveler le matériel électronique de leurs employés, et qui y gagneraient pourtant en productivité et en gestion du stress du personnel.

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Les couples sans enfant seraient plus heureux que les autres

Voici une étude qui risque de faire jaser, alors qu’on trace un parallèle entre la décision d’avoir des enfants et le taux de bonheur du couple, une recherche rapportée par Top Santé, notamment.

C’est une équipe de l’Open University qui s’est penchée sur la question, à savoir si les enfants pouvaient être une cause de problèmes conjugaux, et si l’absence de descendance pouvait avoir un impact positif sur la vie d’un couple.

Il semble que oui, si l’on se fie aux résultats découlant d’analyses effectuées auprès de 5000 sujets en couple. Baisse du rythme et de la qualité de la vie sexuelle, augmentation du stress, baisse des attentions romantiques l’un envers l’autre, voilà autant de raisons qui expliqueraient pourquoi les couples avec enfants ont semblé afficher moins de bonheur que les autres répondants sans progéniture.

Bien que l’on peut facilement croire ces « révélations », l’étude ne se penche cependant pas sur les bonheurs individuels d’avoir un enfant, et des émotions découlant de ce miracle que seuls les parents ayant vécu l’expérience peuvent bien comprendre.

Il s’agirait donc d’un sacrifice de soi et du couple, au profit d’une expérience qui procure une tout autre gamme et palette d’émotions. Il s’agit aussi d’un choix personnel, et il y a fort à parier que les traits de personnalités (égocentrisme, individualisme, maturité, etc.) et le choix du partenaire sont aussi des facteurs qui feront varier la relation du couple, post-naissance.

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Temps des fêtes : Un gain moyen de quatre livres et trois mois pour le perdre

À l’approche de la fête de Noël, le Daily Mail (UK) rapporte une amusante étude sur l’alimentation lors du temps des fêtes, dressant un portrait des habitudes moyennes en termes de nutrition et de gain de poids lors de cette période festive.

Ainsi, grâce à cette étude-sondage réalisée pour le compte d’une compagnie de suppléments alimentaires, on apprend que 52 % des gens doublent leurs apports caloriques, et que 44 % des répondants « se laissent complètement aller lors du temps des fêtes ». Une hilarante affirmation qui se traduit par un gain de poids moyen de quatre livres.

De plus, ce poids pris en l’espace d’une seule semaine, toujours en moyenne, prendrait ensuite trois ou quatre mois pour disparaître!

On peut donc dire que ce poids ajouté lors du temps des fêtes pourrait vous suivre… jusqu’à Pâques.

Les mets traditionnels, les aliments frits, les grignotines et, bien sûr, l’alcool, sont tous à blâmer, mais avouons qu’il n’est pas mauvais de cesser de se donner mauvaise conscience et de prendre une pause d’obsession de la minceur une fois par année.

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Des jeunes de plus en plus stressés et fatigués

Top Santé rapporte quelques statistiques étonnantes et inquiétantes concernant la jeune relève de l’humanité, alors qu’une étude-sondage française dresse un sombre portrait de la santé mentale chez les 20-35 ans.

D’abord en termes de stress et de fatigue, alors que plus de 50 % des jeunes répondants à l’étude affirment « subir un stress élevé », et que plus de 40 % avouent ressentir de l’épuisement ou de la fatigue découlant d’un trouble du sommeil (insomnie, cauchemars, réveils fréquents, etc.).

Étonnant, si l’on considère que ces statistiques semblent fondre de moitié chez les répondants plus âgés…

Pire encore, il semble qu’une personne âgée entre 20 et 34 ans sur trois souffre de problème de dépression ou de troubles de l’humeur. Ces symptômes psychologiques mènent finalement près de 60 % des jeunes à surconsommer de l’alcool, toujours selon les résultats de l’étude effectuée en France.

Bien qu’il s’agisse d’un phénomène qu’on pouvait déjà ressentir, constater de tels résultats suite à une étude du genre a de quoi inquiéter.

Aucune réponse quant aux raisons qui expliquent ce phénomène n’est avancée ici, mais les chercheurs devront certainement se pencher sur les causes de cet inquiétant portrait de la santé mentale de la jeune génération, afin d’en trouver les solutions.

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Une étude brise le mythe de la grippe d’homme

Une nouvelle étude réalisée sous la forme d’un sondage invalide le mythe de la grippe d’homme, et renvoie le tout aux femmes.

Selon les statistiques proposées dans cette étude, et rapportées par le Daily Mail (UK), les femmes seraient en effet beaucoup plus vulnérables à l’influenza, que ce soit en termes d’intensité ou de durée.

Attention, on avance également que les membres de la gent féminine seraient plus enclines à se plaindre, alors que le quart des femmes sondées affirment rechercher de l’attention et de la sympathie en le faisant.

Toujours selon le sondage, une grippe durerait jusqu’à 20 % plus longtemps pour une femme que pour un homme, et celle-ci se dirigerait vers son lit plus rapidement que son homologue grippé masculin.

Grâce à ce sondage, les hommes voient finalement le mythe de la fameuse grippe d’homme être attaqué pour la première fois.

Voilà de quoi alimenter les discussions dans les chaumières à l’approche de la saison de la grippe…

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Ces régimes ruinés par l’alcool

Le DailyMail (UK) rapporte des statistiques intéressantes concernant les régimes et ceux qui les suivent, et les conséquences d’une consommation d’alcool simultanée.

Un sondage réalisé par la firme Forza révèle qu’une bonne proportion de ceux qui tentent de perdre du poids en se mettant au régime ruinent leurs efforts en sortant le soir et en consommant trop d’alcool.

C’est quatre individus sondés sur dix, et ayant répondu oui à la question « Suivez-vous un régime? », qui admettent continuer de boire de l’alcool.

Le problème, c’est qu’une virée dans une boîte de nuit peut se transposer en plus de 1000 calories, ce qui peut contrer les effets d’un régime en un rien de temps. Plus du quart des répondants consommerait d’ailleurs le quart de leurs calories en alcool chaque semaine, un problème souvent mésestimé par les gens qui désirent perdre du poids.

De plus, il existe une corrélation claire entre faire la fête et sombrer dans la nourriture grasse et calorique par la suite, ce qui rend la statistique alors complètement catastrophique. 

Ce sondage confirme donc la vision d’une majorité de chercheurs et de spécialistes, qui conseillent justement de d’abord couper dans l’alcool lorsqu’une personne entame un régime!

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Le bonheur des hommes passerait par leur vie sociale

Un homme heureux est celui qui voit souvent ses amis, pourrait résumer la pensée de Robin Dunbar, de l’Université d’Oxford, qui publie une étude sur le lien entre le bonheur des hommes et leur vie sociale.

Les conclusions de Dunbar, rapportées par le Daily Mail (UK), parlent d’une nécessité pour l’homme de voir ses congénères plusieurs heures par semaine pour atteindre un certain niveau de bonheur, même si ces heures sont consacrées à ne pas faire grand-chose!

Ainsi, une bière dans un pub, pratiquer un sport ou simplement discuter de tout et de rien suffirait à augmenter le taux de bonheur masculin. Mais pour y parvenir, Robin Dunbar suggère un minimum de deux fois par semaine… et de quatre amis!

Selon ses observations, les hommes qui respectent ces critères sont globalement plus heureux que leurs homologues qui se limitent à une visite par semaine ou qui ont moins de quatre amis.

Malheureusement, un tiers des hommes répondants à l’étude affirment avoir du mal à se dégager pour avoir une vie sociale épanouie, souvent à cause du travail.

Danny Wallace, un écrivain qui commente la recherche de Dunbar, déclare en conclusion : « La science nous dit d’avoir plus de plaisir ensemble et de faire plus de choses. Ce sont d’excellentes nouvelles, et nous devons obéir à la science! »

Parions qu’une bonne quantité d’hommes seront d’accord et risquent de faire imprimer cette étude en guise de « passeport de liberté ».

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La crise de la quarantaine frappe aussi en santé

La fameuse crise de la quarantaine frappe une bonne partie de la population qui arrive à cette étape importante de la vie, et ce virage apporte souvent son lot de comportements nouveaux et de bilans sérieux.

Le phénomène n’en serait pas qu’un social ou psychologique, selon ce que rapporte le Daily Mail (UK), mais frapperait aussi l’imaginaire en termes de santé physique, selon les conclusions d’une étude sur le sujet.

En fait, il appert que les trois quarts des individus, ici des Britanniques, s’inquièteraient fortement de leur bilan au tournant de la quarantaine, à un point tel que la moitié d’entre eux affichent des changements de comportements radicaux lorsque la trentaine se termine.

Arrêt du tabagisme, réduction de la consommation d’alcool, activité physique plus abondante et régulière, meilleure alimentation, voilà quelques-unes des mesures prises par une quantité phénoménale de jeunes quarantenaires, soucieux des impacts de leurs choix de vie antérieurs.

Il semble que ce soit aussi une période qui apporte son lot de remords et d’inquiétudes, alors que 64 % affirment regretter ne pas avoir fait ces choix plus jeunes, et 50 % s’interrogent sur leur capacité à inverser les dommages causés à leur corps.

Bien qu’il n’y ait pas d’âge pour commencer à s’occuper de soi, commencer jeune à penser à sa santé semble permettre d’éviter tout un volet d’une crise qui parait déjà plutôt intense.

Par ailleurs, il semble que le phénomène touche cette fois autant les femmes que les hommes.

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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.