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Sondage : les parents ne protègent pas leurs enfants de l’Internet

Les enfants manquent d’accompagnement sur Internet. C’est clairement ce qui ressort d’un sondage réalisé l’été dernier par la firme Cefrio. Ce dernier a été rendu public le 13 décembre dernier à Montréal.

Des chiffres inquiétants révèlent que 80 % des parents d’enfants de 3 à 12 ans affirment que l’Internet peut être une source de danger en matière d’exploitation sexuelle des enfants. Cinquante pour cent des parents interrogés étaient prêts à confirmer que leurs enfants ont déjà eu accès à des images sexuelles ou violentes.

Un parent sur cinq croit que son enfant pourrait être en contact avec un cyberprédateur, ou encore être victime d’intimidation, mais 40 % des enfants de 10 à 12 ans ont tout de même une page personnelle sur un site de type Facebook.

De même, les trois quarts des enfants (et jusqu’à 90 % des 10 à 12 ans) sont actifs sur Internet. Souvent, dès l’âge de 3 ans, un contact est déjà créé avec les nouvelles technologies.

Cinquante pour cent des parents avouent ne pas discuter des dangers associés à l’Internet avec leurs enfants, et les trois quarts affirment ne pas utiliser davantage de logiciels de contrôle parental.

Sur cette dernière statistique troublante, les autorités et organismes d’aide rappellent aux parents qu’il est fortement conseillé de placer l’ordinateur au salon ou à la cuisine, afin d’y jeter un coup d’œil fréquemment.

N’hésitez pas à être présents quand vos enfants se créent un profil, activez les outils de contrôle parental et sensibilisez-les aux divers dangers et au caractère public d’un texto ou d’une image captée par webcam.

700 signalements de cas d’exploitation sexuelle d’enfants sur Internet sont reçus chaque mois chez l’organisme Cyberaide.ca (associé au Centre canadien de protection de l’enfance). Imaginez à la grandeur de la planète…

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Toute la vérité sur les papas!

On peut lire dans 20 Minutes les résultats d’un sondage ayant porté sur les pères d’aujourd’hui. Mené par l’Institut des Mamans, il a donné la parole à 500 enfants âgés de 3 à 10 ans.

Les plus jeunes ont en grande majorité une image très valorisante de leur papa. Il n’est donc pas surprenant qu’ils leur aient donné une note de 9 sur 10! Il semble toutefois que les préadolescents ont été un peu plus sévères.

En général, les enfants ont tout de même une grande estime de leur père et le rôle qu’il joue dans la famille actuelle est bien reconnu. Le sondage a en effet révélé que 39 % des enfants trouvent que papa cuisine bien, par exemple.

Le rôle du père n’est plus uniquement d’être une figure d’autorité, il donne lui aussi de la tendresse à ses enfants. Toutefois, 44 % des enfants du sondage considéraient que leur père pourrait passer plus de temps avec eux.

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Corrélation entre l’apprentissage d’un instrument et l’augmentation des chances de poursuivre des études supérieures

C’est sur Canada.com que l’on retrouve les résultats du sondage effectué par Léger Marketing à partir d’un questionnaire en ligne qui était proposé du 7 au 9 mars 2011. La firme indique que l’échantillon de 1 549 répondants constitue une bonne représentation de la population canadienne.

Les avantages relevés à la suite de l’apprentissage d’un instrument sont entre autres l’accroissement de la concentration, le développement de la créativité ainsi que l’amélioration de la confiance en soi. Les instruments remportant la cote de popularité sont, en ordre d’importance, le piano (31 %), la flûte (18 %) et la guitare (15 %).

Janet Gillespie, vice-présidente du marketing chez XM Canada et commanditaire du sondage, relate : « L’apprentissage d’un instrument de musique fait partie intégrante de la vie d’un grand nombre de Canadiens et les impacts sont certainement significatifs à long terme ». Son opinion est appuyée par Caroline Palmer, professeure de psychologie à l’Université McGill de Montréal.

Palmer ajoute cependant que les enfants qui ont la chance de jouer d’un instrument de musique font souvent partie de familles plus aisées. Il s’agit donc d’un facteur socioéconomique à considérer, puisque les parents de ces enfants, en outre, ont les moyens de payer des études supérieures.

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L’intimidation demeure tabou chez les enfants

Un récent sondage mené par l’Université du New Hampshire portant sur 4 500 jeunes et parents présente un constat des plus troublant.

58 % des enfants visés avaient été victimes de violence, d’un crime ou de sévices l’année précédant la recherche parue dans les Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine.

Plusieurs cas étaient aussi de l’intimidation, mais moins de la moitié des victimes (46 %) en ont parlé.

L’une des raisons à cela est que les autorités prennent plus au sérieux les agressions comme les sévices sexuels et les enlèvements que l’intimidation.

Il semble pourtant clair, en voyant ces chiffres, que les enfants et les adolescents vivent réellement sous la peur de celui qui les intimide.

Malgré tout, on dit que l’intimidation est prise plus au sérieux que par le passé, si l’on compare les données actuelles avec d’autres datant de 1992.

Mentionnons finalement que les enfants et adolescents participant à l’étude étaient âgés de 10 à 17 ans. Les parents étaient ceux d’enfants qui étaient âgés d’au moins 9 ans en 2008.

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La caféine et les enfants : attention

La caféine fait partie du quotidien de bien des enfants, malgré les dangers potentiels qu’elle représente.

Bien sûr, les parents connaissent ses effets sur le sommeil et son effet diurétique, mais ils devraient mieux s’informer et revoir la consommation quotidienne de leur enfant.

On peut lire dans le Journal of Pediatrics que 75 % des enfants dont les parents avaient participé à un sondage consommaient de la caféine chaque jour.

Bien sûr, plus ils en prenaient, moins ils dormaient. Cette étude de l’Université du Nebraska nous apprend aussi des données alarmantes.

Certains enfants d’à peine 5 ans boivent l’équivalent d’une canette de boisson gazeuse par jour et ceux de 8 à 12 ans en boivent en moyenne l’équivalent de 3.

Selon les chercheurs, les parents auraient tout intérêt à se questionner quant aux effets néfastes de la caféine sur le sommeil et le fonctionnement de leurs enfants.

Mentionnons que le sondage en question a été réalisé auprès de 200 parents d’enfants âgés de 5 à 12 ans.

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Les femmes et l’obsession de la minceur : de nouvelles données

Le magazine en ligne Glamour a commandé un sondage dont les résultats sont plutôt inquiétants. Il semble que 54 % des répondantes aient une obsession quant à leur silhouette et leur poids.

Parallèlement, l’apparence semble être au cœur des préoccupations féminines, selon ce sondage.

En effet, 79 % des femmes y ayant répondu semblent trouver une satisfaction dans un changement de style fréquent, ayant acheté au moins un article de mode en ligne le mois précédant le sondage.

Pour ce qui est de l’obsession de la minceur chez les femmes, si la moitié d’entre elles semble la vivre, la majorité des répondantes en a assez des régimes farfelus habituellement proposés dans les magazines.

Ces femmes souhaiteraient qu’on leur suggère plus souvent des façons de changer leurs habitudes de vie et leur alimentation et qu’on les conseille d’une manière adaptée à leur vie de tous les jours.

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Les parents refusent de voir la réalité quant aux drogues

Le Centre canadien de la lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies a commandé un sondage qui a été réalisé par téléphone auprès de 1 002 parents. Du lot, 131 parents avaient des enfants âgés de 12 à 17 ans.

Selon 70 % des répondants, leurs adolescents n’ont jamais expérimenté la drogue, que ce soit des substances illicites ou des antidouleurs sous ordonnance. Or, la réalité est tout autre.

Un autre sondage, celui-là réalisé en Ontario en 2009, nous a appris que près du tiers des jeunes de 15 à 17 ans et plus de la moitié des 18 à 19 ans ont fumé de la marijuana durant l’année.

Par ailleurs, le cinquième des parents du présent sondage a reconnu que la pharmacie du domicile contenait des antidouleurs sous ordonnance, mais croit à 92 % que leurs adolescents n’en ont jamais volé.

Pourtant, 18 % des jeunes Ontariens ont avoué en avoir déjà consommé dans un but autre que de soulager la douleur et les avoir pris à la maison.

Michel Perron, chef de la direction du Centre canadien, conseille donc aux parents de parler ouvertement de drogues avec leurs adolescents, sans toutefois le faire d’une manière inquisitrice.

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Les parents refusent de voir la réalité quant aux drogues

Le Centre canadien de la lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies a commandé un sondage qui a été réalisé par téléphone auprès de 1 002 parents. Du lot, 131 parents avaient des enfants âgés de 12 à 17 ans.

Selon 70 % des répondants, leurs adolescents n’ont jamais expérimenté la drogue, que ce soit des substances illicites ou des antidouleurs sous ordonnance. Or, la réalité est tout autre.

Un autre sondage, celui-là réalisé en Ontario en 2009, nous a appris que près du tiers des jeunes de 15 à 17 ans et plus de la moitié des 18 à 19 ans ont fumé de la marijuana durant l’année.

Par ailleurs, le cinquième des parents du présent sondage a reconnu que la pharmacie du domicile contenait des antidouleurs sous ordonnance, mais croit à 92 % que leurs adolescents n’en ont jamais volé.

Pourtant, 18 % des jeunes Ontariens ont avoué en avoir déjà consommé dans un but autre que de soulager la douleur et les avoir pris à la maison.

Michel Perron, chef de la direction du Centre canadien, conseille donc aux parents de parler ouvertement de drogues avec leurs adolescents, sans toutefois le faire d’une manière inquisitrice.

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Les mères allaitent pour la santé du bébé

Huit femmes sur dix ont choisi la voie de l’allaitement maternel parce qu’elles y voyaient des points positifs pour la santé de leur enfant.

En effet, Relaxnews nous a fait part des résultats de ce sondage réalisé entre le 1er et le 15 octobre dernier. Les questions portaient essentiellement sur l’allaitement.

Ainsi, pour 41 % des femmes interrogées, le fait d’allaiter n’a représenté aucune difficulté. Celles qui ont rencontré des problèmes, par contre, ont révélé que ceux-ci étaient d’ordre physique à 22 %.

Nous pouvons aussi constater que les mamans, dans un ordre de 20 %, considéraient avoir reçu trop peu de renseignements sur le sujet.

Contrairement à la pensée générale, seulement 16 % de ces femmes croyaient que l’allaitement renforçait le lien mère-enfant.

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Les Américains aimeraient mieux être plus riches

2 163 Américains ont répondu à un sondage de Adweek Media/Harris Poll pour savoir ce qu’ils préfèreraient si on leur accordait un souhait.
 
Ainsi, 44 % souhaitent être plus riches, contre 21 % plus minces, 14 % plus intelligents, 12 % plus jeunes et 9 % ne souhaitent rien des ces énoncés.
 
Le seul point d’entente entre hommes et femmes était le 14 % qui souhaite plus d’intelligence.
 
Pour le reste, plus d’hommes (16 %) souhaitent être plus jeunes comparativement à 8 % des femmes.
 
C’est également les hommes à 46 % qui veulent être plus riches contre 41 % des femmes. Par contre, plus de femmes (21 %) aimeraient être plus minces, alors que les hommes sont moins nombreux dans ce cas (8 %).