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Des retrouvailles pour Sonia Vachon

Dix ans après avoir travaillé avec le réalisateur Émile Gaudreault sur Nuit de noces, Sonia Vachon le retrouvait enfin sur Le sens de L’humour.
 
« C’est quelqu’un qui te met en confiance et qui sait ce qu’il veut, c’est tellement important. Quand tu joues quelque chose et qu’il est content, tu le sais que tu as fait ce qu’il voulait. J’étais aussi contente de travailler avec toute cette équipe. Puis une comédie, tu ne refuses pas ça (rires). Mais c’est intéressant, car même si c’est une comédie, mon personnage est en burn-out. C’était intéressant de voir comment ça allait être amené. Il ne fallait pas que ça devienne pathétique ou cliché, c’était un beau défi », disait la sympathique comédienne à BUM Interactif.
 
Alors qu’elle joue cette fois un burn-out et que son personnage était dépressif dans son film précédent, 5150 rue des Ormes, cela contraste beaucoup avec sa bonne humeur contagieuse dans la vraie vie.
 
« Comment je dirais, peut-être que dans mon salon, j’ai l’air de ça finalement (rires). Pour jouer ce genre de choses, je puise mon inspiration dans de petites choses. Je pense à quand j’arrive chez moi et que le lavage n’est pas fait, que le ménage n’est pas fait, que tout traîne autour de la piscine, que le garage est plein, que j’ai fait une simili vente de garage et que rien ne s’est vendu et que j’ai tout remis dans le garage. Je pense que, comme tout le monde, il est facile de trouver son inspiration dans des trucs comme ça (rires). »
 
Cet automne, Sonia Vachon reprendra son rôle de Solange dans le téléroman Destinées à TVA et décidément, elle continuera dans la voie de la dépression.

Le sens de l’humour prend l’affiche ce mercredi 6 juillet.

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Le public français choisit 5150, rue des Ormes

Le film québécois 5150, rue des Ormes, mettant en vedette Marc-André Grondin, Normand D’Amour et Sonia Vachon notamment, a reçu le prix du public au Festival international du film fantastique de Gérardmer, en France.
 
Réalisé par Éric Tessier et scénarisé par Patrick Senécal d’après le roman de ce dernier, 5150, rue des Ormes suit l’histoire de Yannick, un étudiant en cinéma qui fait une vilaine chute à vélo. Il trouvera du secours chez la famille Beaulieu, mais le père, Jacques, va le séquestrer pour avoir été témoin d’une chose qu’il aurait dû continuer d’ignorer.
 
C’est la première fois que ce festival récompense un film québécois. En 2004, le film Sur le seuil, également réalisé par Éric Tessier d’après un roman de Patrick Senécal, avait été en compétition à ce même événement. Sur le seuil mettait en vedette Patrick Huard.
 
Par le passé, le Festival international du film fantastique de Gérardmer a vu défiler en compétition des productions comme Saw, Gattaca, An American Werewolf in Paris et Scream.
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Sorties de films : 5150, rue des Ormes

5150, rue des Ormes est l’adaptation cinématographique du roman de Patrick Senécal. Ce thriller raconte l’histoire de Yannick (Marc-André Grondin) qui s’installe dans une petite ville tranquille pour poursuivre ses études en cinéma.
 
Après une chute à vélo, il trouve du secours chez la famille Beaulieu. Toutefois, bien malgré lui, il sera témoin de leur terrible secret. Le père, Jacques Beaulieu (Normand D’Amour), le séquestre dans une pièce sombre et ne sait pas quoi faire de lui.
 
Afin de retrouver sa liberté, Yannick devra battre Jacques aux échecs.
 
Parmi les autres sorties :
 
Couples Retreat (Couples en vacances)
 
Comédie réalisée par Peter Billingsley avec Kristen Bell, Jason Bateman, Malin Akerman, Vince Vaugh, Jon Favreau, Jean Reno et Kristin Davis.
 
The Age of Stupid (version anglaise)
 
Docu-fiction réalisé par Franny Armstrong avec Pete Postlethwaite, Adnan Bayyoud, Jamila Bayyoud, Alvin DuVernay et Piers Guy.
 
Cairo Time (version anglaise)
 
Drame sentimental réalisé par Ruba Nadda avec Patricia Clarkson, Alexander Siddig, Elena Anaya et Tom McCamus.
 
Je l’aimais (version française et sous-titrée en anglais)
 
Drame sentimental réalisé par Zabou Breitman avec Daniel Auteuil, Marie-Josée Croze, Florence Loiret, Christiane Millet et Geneviève Mnich.