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Sortez-moi d’ici!: Bruits étranges, bestioles à la tonne… et beaucoup de divertissement!

C’était déjà le deuxième épisode de la saison 2 de Sortez-moi d’ici! et une fois de plus nous avons eu droit à tout un divertissement télévisuel.

La première nuit pour les campeurs n’a clairement pas été de tout repos. En plus des bruits des insectes, ils ont dû faire face à des sons étranges provenant du corps de l’un des candidats, à savoir les ronflements peu discrets du sympathique Dave Morissette.

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Capture TVA

C’est aussi dans les premiers instants de l’émission que les deux VIP isolés, Alex Perron et Clodine Desrochers, ont été confrontés à leur tout premier défi, qui consistait à monter en hauteur et à placer leurs mains dans des boîtes mystères.

Le duo avait pour mission de retirer les goupilles à l’intérieur des boîtes, qui comprenaient notamment des entrailles, des pièges à souris et des décharges électriques, en plus de recevoir des substances peu désirables.

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Leur objectif étant de remporter des étoiles pour offrir aux campeurs un repas plus copieux.

C’est avec 7 étoiles et une échelle rudimentaire à assembler qu’Alex et Clodine ont finalement fait leur entrée dans le camp principal et ainsi pu découvrir leurs acolytes de l’aventure.

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Grâce à cette fameuse échelle, les campeurs ont réussi à récupérer la boîte mystère dans les airs, contenant des éléments essentiels d’hygiène, faisant le grand bonheur des personnalités. Une joie qui n’a pas duré très longtemps, car les animateurs Jean-Philippe Dion et Alex Barrette leur ont apporté leur repas sur un plateau d’argent, qui contenait du poisson gluant.

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Nous étions loin d’être au bout de nos surprises, puisqu’un appel lancé au quartier général des aventuriers de la jungle demandait à Philippe Laprise et Sophie Durocher de se diriger vers un défi qui les attendait et qui permettrait de sortir Patricia Paquin de sa boîte aux enfers.

Cette dernière, qui se trouvait enfermée dans une prison de verre, allait être confrontée à l’une de ses pires peurs… soit les serpents qui y tombaient les uns après les autres, plus l’eau montait! Pour la sauver, Phil et Sophie devaient mettre leurs mains dans des boîtes où se trouvaient divers insectes, des araignées, des caïmans et des rats!

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Patricia Paquin a été délivrée, mais elle n’a toutefois pas réussi à sortir le café de son coffre, privant ainsi les autres participants de ce précieux nectar.

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Une soirée à Sortez-moi d’ici! qui nous a une fois de plus captivés du début à la fin!

Un rendez-vous à ne pas manquer chaque dimanche sur les ondes de TVA, dès 18h30!

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Normand Brathwaite: «Je commence un peu à être en tab*rnak»

Au tour de Normand Brathwaite d’être la cible de publicités mensongères, au même titre que l’ont été Gino Chouinard, Ève-Marie Lortie, Claude Legault et plusieurs autres personnalités publiques d’ici.

L’animateur a discuté de la situation frustrante en compagnie de Sophie Durocher sur les ondes de QUB radio.

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Capture QUB Radio

Tout part d’un faux article laissant présager une guerre entre Normand et Guy A. Lepage, incitant ainsi le public à cliquer sur le lien en question. Par la suite, la page pousse les gens à investir en cryptomonnaie en utilisant l’identité de Brathwaite de manière frauduleuse.

«Il y a un gars sur mon plateau de Belle et Bum (…) qui est venu me dire… commencer à me parler des Bitcoins ou je ne sais pas… Tu me connais, je connais rien là-dedans, puis qu’il avait mis 300$ là-dedans… là, je ne comprenais pas, parce que comme tu le sais, moi je suis 0 internet, 0 Facebook, 0 rien… et un moment donné, mon fils de 26 ans qui connait tout ça, m’a appelé en riant, en disant: Je ne peux pas croire qu’ils t’ont choisi pour vendre des Bitcoins, quand ça t’a pris 15 ans à être capable de faire un texto», témoigne l’animateur.

Une situation qui a suscité les fous rire de Normand sur le moment, mais qu’il qualifie aujourd’hui d’être loin d’amusante. En fait, l’animateur chevronné a rapidement passé du rire à la colère, affirmant même commencer «un peu à être en tab*rnak».

«Au début, ça m’a fait rire et là, je dois dire que je commence un peu à être en tab*rnak (…) Un peu en tab*rnak, parce que si quelqu’un va à la télé et dit que j’ai dit telle chose, les gens vont douter. Mais, là, maintenant, c’est rendu grave, parce que c’est moi qui le dit…», témoigne Brathwaite.

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Capture QUB Radio

Ce dernier prévoit discuter avec l’Union des Artistes pour élaborer un projet permettant au public de vérifier si ses publicités, qui touchent de nombreuses personnalités, sont vraies ou fausses.

Une histoire qui s’avère une leçon de plus de prévention afin de rester vigilant sur le web.

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La nouvelle émission de Stéphan Bureau ne sera pas diffusée ce printemps à TVA

Hugo Dumas a rapporté, dans une chronique pour La Presse, que la nouvelle émission de Stéphan Bureau ne sera pas diffusée ce printemps sur les ondes de TVA, comme prévu.

En effet, la diffusion de l’émission est reportée à l’automne 2022. Cependant, les raisons du pourquoi sont encore mystérieuses…

On retrouvera Stéphan Bureau en septembre prochain!

« La qualité de deux émissions pilotes, qui ont été tournées la semaine dernière dans les studios de TVA, n’aurait pas joué dans la décision, me dit-on. Calendrier de production trop serré, budgets insuffisants, décor à améliorer et retouches à apporter au concept, ces hypothèses ont toutes été soulevées par des sources ayant travaillé sur ce projet appelé à concurrencer le grand plateau de Guy A. Lepage à Radio-Canada », a mentionné le chroniqueur.

Selon Hugo Dumas, un épisode test aurait été enregistré mardi dernier. Stéphan Bureau aurait été accompagné de deux commentateurs, Benoit Dutrizac et Isabelle Maréchal. L’émission a été enregistrée sans public et Mariana Mazza était l’invitée principale.

D’autant plus, le concept de l’émission offre la possibilité à l’invité d’éjecter l’un des deux commentateurs. Ainsi, Mariana Mazza a choisi d’éjecter Benoit Dutrizac, qui aurait ensuite été remplacé par Sophie Durocher.

Rappelons que c’est en mars dernier, soit huit mois après son départ de Radio-Canada, que Stéphan Bureau a fait l’annonce de ce tout nouveau projet. Il s’était également ouvert sur la controverse de son bris de contrat avec Radio-Canada.

Le journaliste s’était entretenu avec Sarah-Émilie Nault lors d’une entrevue pour le Journal de Montréal.

« Je pense que cela dit quelque chose de notre époque formidable : les choix de mots que j’ai eus à l’époque, dit celui qui n’avait aucun projet devant lui en quittant Radio-Canada. C’était une entrevue banale, ordinaire comme j’en ai fait plein dans ma vie, dans un contexte qui ne l’est pas. Cela a pris des proportions extraordinaires », a-t-il mentionné à la journaliste.

Stéphan Bureau a aussi pris soin de mentionner que « rien de ce qui s’est passé cet été n’a eu d’impact sur son destin contractuel. Il explique avoir reçu des offres de la part de Radio-Canada avant et après son entrevue avec Didier Raoult, dont une, il y a à peine quelques semaines » et qu’en fait, « ce sont les différends « de l’ordre des rapports privés entre employeur et employé » qu’il a eus le printemps dernier qui lui ont fait prendre la décision de faire ses adieux à ses auditeurs ».

« Beaucoup de ce que je faisais hérissait certains. Je sais qu’il y avait un malaise profond par mes invités, par mes questions, et à ce moment-là, pour moi la paye n’était pas une raison de m’accrocher et surtout pas de faire des compromis, je veux dire par rapport à moi. C’est un très gros deuil, car le prix à payer est d’arrêter de faire quelque chose qu’on aime faire dans la vie, de se priver d’une tribune et du plaisir de travailler avec des gens », a-t-il ajouté.

Enfin, il s’est ouvert sur la préparation de son tout nouveau projet : « J’espère que ce sera un endroit pluriel où nous pourrons retrouver, dans les sièges des invités, toutes sortes de points de vue, dit-il. Y compris, peut-être parfois, des points de vue qui sont moins fréquents à l’antenne. Le tout dans une perspective d’entendre des gens qu’on n’entend plus, ou pas, et des questions qu’on ne pose pas. On veut offrir de la complémentarité à l’offre en informations en ce moment au Québec ».

Bien que l’on devra attendre plus longtemps pour visionner les premiers épisodes d’Assoyez-vous!, on doit dire que l’on a quand même hâte de voir en quoi consiste l’émission qui fera compétition à Tout le monde en parle.

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Claude Meunier s’ouvre sur sa relation avec Serge Thériault

Claude Meunier s’est récemment confié à Sophie Durocher et Richard Martineau dans le cadre d’un épisode du balado Apéro piquant. Il s’est ouvert sur sa relation avec son ami et collègue, Serge Thériault.

Le comédien a pris soin de mentionner à ses interlocuteurs qu’il n’a jamais soutenu le film Dehors Serge Dehors.

« Ça fait longtemps que je m’ennuie de lui »

« Sans être faux [le documentaire] ne représentait que 5 % de la tarte. Le cas de Serge est beaucoup plus complexe que ça […] Je m’ennuie de Serge. Ça fait longtemps que je m’ennuie de lui. On s’ennuyait de lui, même si on était à côté de lui parce que déjà, Serge était isolé, dans sa tête et ses problèmes », a mentionné Claude Meunier.

« Ce n’est pas que je n’ai pas aimé [le film], mais c’était incomplet. C’était prétentieux de présenter ça comme un portrait de Serge ou un portrait de l’état de Serge, alors que c’est bien plus compliqué que cela. Le grand reproche, pour moi, c’est la fin du film qui est complètement fausse. Il est allé en traitement, mais ça n’a pas duré », a-t-il ajouté.

Rappelons que Serge Thériault vit actuellement des moments extrêmement difficiles. Depuis six ans, il n’est pas sorti de chez lui dû à une dépression majeure. Afin de l’aider, sa femme, Anna Suazo a décidé de faire un documentaire intitulé Dehors Serge Dehors.

Dans une entrevue accordée à Jean-Marie Lapointe, Mme Suazo a partagé : « Les gens qui ne connaissent pas le vrai amour et la grandeur d’âme ne voient pas la vraie beauté de la vie. J’ai accepté, car mon espoir est que Serge nous revienne. Il y a beaucoup de mauvais commentaires sur la dépression de Serge, c’est triste et déprimant. Je sais que je le fais par amour et avec tout mon cœur dans le grand objectif d’aider. Serge m’a donné ce que j’ai de plus beau dans la vie: ma fille. Je ne peux pas le laisser aller, le laisser tomber, alors qu’il m’a donné la force de continuer à vivre ».

Rappelons d’autant plus que dans le film, Anna est accompagnée de Mélina Thériault (sa fille) ainsi que d’un couple d’amis, Robert et Jolande Racicot. Les quatre apparaissent dans le documentaire, puisqu’ils sont les plus grands aidants de Serge depuis le début de sa période sombre.

Dans la bouleversante bande-annonce, Suazo s’exprime avec un impressionnant contrôle sur ses émotions :  « Serge, ça va te faire mal quand tu vas regarder ce film. C’est pour t’aider que je le fais et par amour aussi ».

Puis, elle partage plus tard un brin de conversation qu’elle a eu avec l’acteur :  « Il m’a dit, « Anna, qu’est-ce que tu veux que je fasse? Je n’ai pas l’énergie pour travailler, je n’ai pas le goût de me montrer devant le public, devant les gens […] il y a quelque chose en moi qui me bloque, qui ne me laisse pas faire » ».

Le courage admirable et poignant d’Anna nous touche profondément. Non seulement elle ne baisse pas les bras, mais entreprend des mesures incroyables pour venir en aide à l’homme de sa vie. Bien que le projet ait été conçu spécialement comme moyen de soutenir la vedette, le film apportera sans aucun doute aux Québec un grand soulagement, comme un baume sur nos coeurs. Une oeuvre qui, nous l’espérons, ouvrira l’oeil de plusieurs et sensibilisera la population à la situation.

La dépression n’est pas à prendre à la légère. Si vous ou un proche souffrez de la maladie, n’hésitez pas à en parler.
Montréal : 514 278-2130 Partout ailleurs (sans frais) : 1 855 EN LIGNE (365-4463)

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Sugar Sammy envoie une réplique cinglante à Sophie Durocher

Le 22 septembre dernier, Sugar Sammy a publié un tweet en réaction à la nouvelle de lundi selon laquelle le gouvernement du Québec allait offrir cinq millions de dollars à l’Office québécois de la langue française (OQLF) pour l’embauche de 50 employés de plus afin de mieux faire appliquer la Charte de la langue française, et ce, particulièrement aux petites entreprises.

« Au Québec, lorsque des entreprises feront faillite, nous veillerons à ce qu’elles le fassent en français », peut-on lire sur le compte Twitter de l’humoriste.

On comprend ici que Sugar Sammy trouve la situation incohérente, alors qu’en pleine pandémie, des centaines, pour ne pas dire des milliers de propriétaires d’entreprises vivent des temps extrêmement difficiles financièrement. À cela pourrait s’ajouter le fardeau de payer une contravention pour le non-respect de la Charte.

Cependant, son message a malgré tout été vu comme une attaque à la langue française, causant ainsi une controverse. De nombreuses personnes ont montré leur désaccord à l’humoriste, dont Sophie Durocher, qui n’a pas hésité à faire de Sugar Sammy le sujet central de sa chronique du 23 septembre.

« Sugar Sammy a tweeté hier un commentaire tellement méprisant sur le Québec qu’il avait juste l’air d’un gars aigri, amer, pas drôle du tout », a-t-elle d’abord écrit.

Elle a ajouté plus loin : « Le Québec lui a donné une carrière florissante. Comment peut-il rester sourd à cette volonté des francophones de promouvoir leur langue? Lui qui donne des spectacles en Punjabi et en hindi, il ne comprend pas l’importance pour tous les peuples de maintenir leur diversité culturelle? »

Ceci n’a pas semblé déranger l’humoriste, qui a plutôt choisi de répliquer. Chose peu surprenante venant d’un artiste qui est devenu populaire grâce à ses blagues provocantes.

Il en a même profité pour partager des articles qui rapportaient la controverse, en ajoutant bien entendu une autre couche de sarcasme. « Mon nouveau show s’écrit tout seul », peut-on lire.

C’est peut-être pourquoi Sophie Durocher lui a lancé une invitation à son émission de radio pour qu’il puisse débattre de la question. Empruntant un ton tout aussi acerbe que l’offre de la chroniqueuse, Sugar Sammy a répondu.

Aïe, aïe, aïe! On peut dire que la guerre est déclarée entre ces deux-là!

Et de votre côté, qu’en pensez-vous?

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Sophie Durocher défend Éric Salvail

Dans une chronique publiée ce matin dans le Journal de Montréal, la chroniqueuse s’interroge sur le tollé qu’a créé dans les réseaux sociaux une sortie publique de l’ex-star de la télé déchue.

Cette histoire réfère à la publication sur les réseaux sociaux par l’influenceuse Bianca Longpré d’une vidéo dans laquelle elle montre l’ancien animateur-vedette de V lors d’une sortie privée.

Éric Salvail a été vu dans un endroit public en train d’interpréter une chanson dans un karaoké, ce qui avait visiblement choqué Bianca Longpré. 

Dans son texte, Sophie Durocher se demande ce qu’il advient de la présomption d’innocence à laquelle tous les Canadiens ont droit lorsqu’ils font face à la justice.

La chroniqueuse souligne qu’elle n’est ni une amie ou une ennemie de l’animateur. 

« Je considère que, comme tout citoyen en attente d’un procès, il a le droit à une liberté d’action. »

Avant d’ajouter : « C’est quoi cette petite police vicieuse, qui traque les personnalités publiques, les filme à leur insu, distribue ça sur les médias sociaux, pointe du doigt, juge sans nuances, accuse sans preuves et condamne sans appel. »

Éric Salvail, 49 ans, est accusé d’agression sexuelle, de harcèlement et de séquestration à l’endroit de Donald Duguay. Les crimes reprochés auraient été commis en 1993, alors qu’il travaillait au service du courrier de Radio-Canada. 

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L’ex-animateur subira son enquête préliminaire du 30 septembre au 2 octobre­­­.

Capture d’écran : ICI Radio-Canada

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Sophie Durocher ne tolère plus les abus

C’est un avertissement bien senti que Sophie Durocher a lancé sur Twitter aux gens qui se servent des réseaux sociaux, et surtout de l’anonymat que ceux-ci procurent, pour attaquer des personnalités publiques.

« C’est fini. À partir d’aujourd’hui, je réplique du tac au tac à tous ceux qui m’attaquent. Je publie sur les médias sociaux le contenu intégral de tous ceux qui m’attaquent sur les médias sociaux. Il est fini le temps de tourner l’autre joue. Basta. »

– Sophie Durocher

On ne connait pas la teneur des derniers messages haineux auxquels fait référence l’animatrice et chroniqueuse. Une chose est sûre, elle n’entend plus laisser ses messages anonymes. 

Sur le même sujet, Richard Martineau, le conjoint de Sophie Durocher, a apporté dans les derniers jours un éclairage intéressant sur le type de messages que les vedettes du web québécois pouvaient recevoir.

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«Je suis chanceux! Je suis marié avec une femme d’opinion. Les messages qu’elle reçoit, elle, c’est toujours à caractère sexuel. Elle se fait dire “Je vais te violer”», a confié Richard Martineau il y a quelques jours sur les ondes de QUB radio.

Photo : Capture d’écran Radio-Canada

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Sophie Durocher souhaite écrire un essai sur le féminisme

L’auteure, blogueuse et animatrice de radio qui est reconnue pour ses opinions pointues et ses critiques sévères songe à rédiger un essai sur le féminisme.

En entrevue avec le Journal de Montréal, Sophie Durocher s’est confiée sur ce nouveau projet, qu’elle a déjà entamé en établissant sa structure à l’aide de notes recueillies : « Je ne me reconnais pas dans le féminisme en ce moment. Je suis profondément féministe, mais quand je regarde les jeunes féministes, je m’arrache les cheveux! Ce n’est tellement pas la définition que, moi, j’en ai. Je ne me reconnais tellement pas dans ce féminisme-là ».

D’ailleurs, la chroniqueuse de l’actualité a déjà trouvé un nom à son prochain bébé à voir le jour : La féministe indigneSeulement, il ne lui reste qu’à trouver le temps pour l’écrire. Une chose est certaine : ça promet d’être croustillant à souhait!

En attendant, on peut relire ses bouquins Salut les amoureuxLes bonheurs de Sophie et Hey Boule de gomme, s’rais-tu dev’nu un homme?, un portrait impressionniste de Jean-Pierre Ferland. Sinon, Sophie est toujours à la barre de On n’est pas obligé d’être d’accord tous les après-midis de la semaine sur QUB, la nouvelle radio numérique lancée par Québecor, ainsi que de la baladodiffusion Devine qui vient souper?, dont le premier épisode est diffusé aujourd’hui, avec son conjoint Richard Martineau!

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Source : Journal de Montréal

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Sophie Durocher critique Alexandre Champagne

La dernière publication Instagram d’Alexandre Champagne a soulevé un débat au sujet de la réinsertion des ex-détenus.

À travers trois clichés pris dans son nouveau studio, Alexandre a fait le portrait de Lync, un jeune homme de 24 ans qui a eu la chance de renouer avec ses ambitions artistiques après avoir trempé dans le milieu des gangs de rue et passé trois années en prison suite à une tentative de meurtre.

Lync, 24 ans, ex-détenu ? Il me raconte : « J’ai fait 3 ans de prison pour tentative de meurtre, j’ai trempé longtemps dans l’univers des gangs de rue, mais j’ai toujours gardé mon côté artistique, c’est c’que j’veux faire de ma vie » ? Lync a été engagé, grâce à mon amie Clara, dans une pièce de théâtre qui prends l’affiche prochainement au dans un théâtre de renom à Montréal ? Une chance inouïe pour lui, vu l’accueil généralement réservé aux gens qui ont un passé comme le sien et qui ont été incarcérés ? Au sujet de ce passé, Lync nous confie : « J’assume complètement mon passé, maintenant c’est terminé, j’ai vraiment passé à autre chose » ? Même si ses tatouages, faits en prison à l’aide d’un morceau de métal, raconte ce passé, l’énergie de Lync est illimitée et contagieuse. Son charisme remplit mon studio, on assiste à un spectacle, on rit fort et spontanément, le jeune homme a de l’avenir ? Il dit : « J’ai pas dormi depuis 3 jours » je lui demande pourquoi et il se tourne vers la fenêtre, puis il répond : « Je suis libre, regarde toute la lumière dehors, comment veux-tu que je dorme » ? Bonne chance vieux, je te souhaite un beau succès.

Une publication partagée par Alexandre Champagne (@alexandre_champagne) le 19 Mars 2018 à 5 :01 PDT

Sophie Durocher n’a cependant pas aimé le ton rédempteur de ce portrait; s’en est suivi une vive discussion dans la section des commentaires, où la chroniqueuse a confronté le photographe à des situations violentes tout à fait hypothétiques, impliquant la fille d’Alexandre, Damien dans Fugueuse, et une pensée pour les victimes, auxquelles Sophie Durocher ne pense pourtant pas si souvent.

Crédit : Capture d’écran via le Instagram d’Alexandre Champagne

Crédit : Capture d’écran via le Instagram d’Alexandre Champagne

Crédit : Capture d’écran via le Instagram d’Alexandre Champagne

Crédit : Capture d’écran via le Instagram d’Alexandre Champagne

Sophie Durocher n’a depuis pas répondu à Alexandre Champagne. S’est-elle empressée d’en faire le sujet de sa prochaine chronique? À suivre!

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Guy A. Lepage commente sa dernière chicane avec Sophie Durocher

Notez ici qu’on a voulu préciser qu’il s’agissait bel et bien de leur « dernière chicane », parce que la tension est palpable depuis longtemps entre Sophie Durocher et Guy A. Lepage.

Il y a quelques semaines, la guerre avait pogné entre les deux personnalités après que Sophie Durocher ait signé un texte au titre rempli de subtilité : « Le mépris de Guy A. Lepage ».

La chroniqueuse y reprochait entre autres à l’animateur de Tout le monde en parle de ne pas avoir invité Guy Nantel à son émission pour discuter des événements turbulents qui avaient entouré et suivi la première de son spectacle.

Invité à l’émission Dans les médias, de Marie-Louise Arsenault, Guy A. Lepage n’a exprimé aucun remord quant à ses réponses qui ont, on en est presque certains, dû forcer Sophie Durocher à appliquer une compresse froide sur ses brûlures.

« C’est une super réponse. Et au lieu de le faire à la télévision, dans mon émission, et de l’humilier devant 1.4 million de personnes, j’ai répondu sur Twitter. Et elle ne mérite pas plus que ça. » Questionné par une panelliste à savoir pourquoi il ressentait le besoin d’y répondre, l’animateur n’a pas démordu : 

« Quand tu te fais agresser, les gens disent « tais-toi, ne dis rien, ça va passer ». C’est faux! Les gens vont juste continuer ».