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Percée prometteuse dans la lutte à la trisomie 21

La trisomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

risomie 21, ou syndrome de Down, frappe de plein fouet plusieurs petits patients et leurs parents, encore aujourd’hui.

Des chercheurs de partout travaillent d’arrache-pied pour tenter de mieux comprendre le syndrome, pour ainsi tenter de l’éradiquer.

C’est justement le cas d’une équipe de chercheurs de l’Université du Massachusetts, rapporte le Daily Mail (G.-B.), qui croit avoir fait une percée intéressante dans le domaine.

En effet, les spécialistes américains affirment avoir trouvé le moyen de « fermer » le chromosome 21, qui est responsable du syndrome de Down.

Ils expliquent avoir ajouté un gène du nom de « XIST » dans les cellules souches créées en laboratoire, ce qui aurait permis de régler le problème à sa source.

« La recherche signifie que nous avons une nouvelle façon, dès maintenant, d’étudier les bases cellulaires du syndrome de Down, ce qui pourrait contribuer à identifier des traitements », résume Dr Jeanne Lawrence, leader de ces recherches.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

 
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En route vers un vaccin contre la grippe plus efficace

Le vaccin contre l’influenza, déjà hautement controversé, agace par le fait que l’on doit continuellement répéter l’expérience afin d’obtenir une protection maximale (selon les spécialistes).

Or, une équipe de chercheurs aurait mis au point un vaccin si efficace qu’il ne nécessite qu’une seule injection. De plus, il protégerait de plusieurs souches du virus, dont certaines commencent à être sérieusement virulentes, explique Top Santé

Les recherches de l’équipe basée au National Institute of Allergy and Infectious Disease (Bethesda) sont maintenant publiées par la prestigieuse revue Nature, qui entérine cette découverte.

Il faut cependant noter que les seuls tests concluants l’ont été sur des furets. Mais l’animal possède de multiples caractéristiques connexes à l’être humain, et les chercheurs en tête de ces essais croient que l’efficacité du vaccin chez l’humain sera bientôt démontrée.

On trouvera bien encore des gens pour crier au complot contre cette percée médicale, mais avouons que l’idée d’un seul vaccin qui protège contre toutes les souches de l’influenza en une seule injection est un concept attirant.

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Une nouvelle méthode de création de cellules souches fait son apparition

Des chercheurs américains seraient parvenus à créer des cellules souches à partir de cellules de peau humaine, un concept que l’on croyait possible depuis un certain temps sans avoir toutefois de preuves irréfutables.

Ce serait maintenant chose faite, selon Santé Log qui rapporte des informations stupéfiantes. La technique, dérivée du clonage pur et dur, pourrait simplifier la greffe de cellules souches en traitement de certaines maladies ou encore pour réparer certains tissus ou organes endommagés.

La méthode s’avère une percée spectaculaire dans le domaine. Ce sont des chercheurs de l’Oregon Health & Science University (OHSU) qui auraient réussi l’exploit, en utilisant une technique de clonage similaire à celle utilisée dans la création de la fameuse brebis Dolly, en 1996.

Les possibilités découlant de cette réussite sont multiples, à commencer par la création de possibles traitements de certaines maladies, comme le Parkinson et la sclérose en plaques.

Il faudra maintenant réussir à créer un nombre suffisant de ces cellules souches pour qu’elles parviennent à soigner ou à réparer. Un défi de taille, selon l’équipe de chercheurs. 

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Des chercheurs découvrent les « cellules ambulances »

On rapporte, du côté de Top Santé, une découverte étonnante qui permet de comprendre un peu mieux les réactions de l’organisme face à des troubles de santé précis.

Ainsi, des chercheurs basés à Marseille auraient identifié des cellules souches humaines dont on dit qu’elles travaillent comme une ambulance, c’est-à-dire qu’elles s’activent rapidement, en urgence, pour porter secours à l’organisme.

Ces cellules, maintenant connues sous le nom de cellules souches hématopoïétiques (CSH), se diviseraient afin de protéger et renouveler d’autres cellules comme les globules blancs, les globules rouges ainsi que les plaquettes.

« Nous avons découvert qu’une molécule biologique produite en grande quantité par l’organisme lors d’une infection ou d’une inflammation indique le chemin à prendre aux cellules souches », explique la Dre Sandrine Sarrazin, de l’équipe de chercheurs participant à cette découverte incroyable.

On croit pouvoir éventuellement dupliquer, recréer ou à tout le moins encourager ce phénomène, pour aider des patients à se doter d’une meilleure protection naturelle contre diverses maladies tenaces.

On croit aussi que ces recherches pourraient venir en aide aux patients atteints de leucémie, afin de les protéger à la suite d’une greffe de moelle osseuse.

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La nouvelle souche de grippe aviaire ne serait pas une menace

Des experts américains viennent de faire le point dans le dossier de cette nouvelle souche de grippe aviaire qui semble vouloir se développer, explique The National Library of Medicine.

On parle ici de la H7N9, une souche qui a frappé la Chine avec violence ces derniers temps, faisant au moins 7 morts. Vingt-quatre personnes au total auraient été infectées sur le territoire chinois, ce qui inquiète les diverses organisations de la santé dans le monde.

Rien ne sert de céder à la panique du côté de l’Amérique du Nord, croient les experts américains, d’abord parce qu’on croit que la souche H7N9 n’est pas transmissible d’homme à homme, et ne serait donc pas contagieuse.

« C’est vraiment très tôt dans le processus d’identification des cas humains », explique le Dr John Midturi, du Texas A&M Health Science Center College of Medicine.

Son homologue de Memphis, Richard Webby, en dévoile davantage : « On voit ce genre de choses chaque année avec la grippe aviaire. Ce qui semble rendre les gens un peu plus nerveux, c’est qu’en regardant la séquence du virus, on observe certaines mutations qui pourraient indiquer que le virus pourrait avoir amélioré ses capacités à se répliquer chez les humains ».

Un vaccin serait en préparation, mais il semble qu’il ne faille pas s’inquiéter outre mesure de notre côté de l’océan.

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Découverte d’un « chaînon manquant » cellulaire

Des chercheurs auraient franchi une étape importante en ce qui concerne les cellules souches, la moelle osseuse et le système immunitaire.

En effet, selon les travaux rapportés par Santé Log, on pense avoir découvert un nouveau type de cellule qui échappait jusqu’à maintenant aux plus éminents spécialistes.

Qualifiée de véritable « chaînon manquant » cellulaire, cette cellule permettrait de faire le pont entre les cellules souches de moelle osseuse et celles du système immunitaire.

Ainsi, il est permis de croire que l’on pourrait bientôt « manipuler » certains processus qui régulent notamment le bon fonctionnement du sang et de ses vertus protectrices (globules), et ainsi améliorer ou réparer le système immunitaire chez certains patients.

Même chose pour la moelle osseuse, qui pourrait elle aussi se voir manipulée ainsi, permettant à des patients jusqu’ici qualifiés d’incurables de retrouver possiblement le chemin de la santé.

Tous ces constats ont été imaginés par les chercheurs jusqu’à maintenant, mais plusieurs clés restent à trouver afin de passer de la théorie à la pratique. Cette percée semble jeter un vent d’optimisme au sein de la communauté scientifique.

L’étude a été publiée dans l’édition de février du magazine Nature Immunology.

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La thérapie génétique prometteuse en cardiologie

Une étude préliminaire dresse un portrait optimiste d’une nouvelle thérapie génétique, notamment en ce qui concerne les traitements de cardiologie, rapporte The National Library of Medicine.

Ce qui semblait être de la science-fiction il n’y a pas si longtemps serait sur le point de se concrétiser. En effet, les chercheurs sont persuadés de pouvoir bientôt réparer les muscles et les tissus d’un cœur endommagé, et ainsi préparer le terrain à de nouveaux types de traitements de cardiologie.

On cherche à pousser et encourager les capacités de l’organisme à se régénérer de lui-même, grâce à la thérapie génétique. Cette dernière fonctionne de manière à « attirer » les cellules souches déjà existantes chez l’être humain vers le cœur, plus précisément vers les parties endommagées.

Bien que l’étude ne parle que de résultats préliminaires, les chercheurs croient pouvoir atteindre leur objectif dans un avenir rapproché.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans l’édition du 21 février du journal Circulation Research.

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Une étude suggère un nouveau traitement contre le cancer de la vessie

www.nih.gov rapporte que des chercheurs ont établi un lien entre une protéine retrouvée chez certains patients de façon héréditaire et le cancer de la vessie, ce qui pourrait mener à de nouvelles pistes de traitement, selon eux.

La protéine en question se nomme « cellule souche antigène de la prostate » et se retrouve également de façon massive chez les patients atteints du cancer du pancréas et de la prostate, notamment.

Le traitement éventuel auquel les chercheurs font référence est celui effectué par une concentration de traitement sur ces cellules de la tumeur, une façon de faire qui rend les spécialistes forts optimistes.

De tels traitements sont déjà à l’essai pour des cas de cancer de la prostate et du pancréas, et les chercheurs expriment le souhait de voir cette thérapie porter des fruits aussi dans le cas du cancer de la vessie.

Ceci s’inscrit encore dans cette nouvelle philosophie en oncologie, alors que l’on parle beaucoup plus de « cibler les cellules » et de « greffe de cellules » que de chimiothérapie dans les traitements de l’avenir.

La chimiothérapie et la radiothérapie sont là pour rester, mais pourraient grandement bénéficier de l’appui de ces traitements ciblés au niveau des cellules.

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Les cellules souches à la rescousse du coeur

Si le débat des cellules souches continue de faire rage, il faut avouer que les plus récentes découvertes dans le domaine sont fort prometteuses.

Difficile de repousser le concept du revers de la main lorsqu’on constate que le principe pourrait sauver des milliers de vies, et Santelog.com rapporte une nouvelle percée importante, qui touche cette fois la cardiologie.

Des chercheurs de l’Université de Toronto ont en effet annoncé qu’ils pourraient parvenir à « réparer » un cœur malade grâce aux cellules souches, en transformant des cellules plus vieilles et usées par de toutes nouvelles.

Publiées dans la plus récente édition du Journal of the American College of Cardiology, ces conclusions risquent de créer une onde de choc dans le domaine médical.

Les chercheurs soulignent également le fait que, contrairement à une transplantation cardiaque, ce procédé élimine toute possibilité de rejet de la part du patient.

Le professeur Milica Radisic explique : «Nous pourrons bientôt créer des tissus meilleurs pour réparer les lésions telles que celles causées par les anévrismes ou les crises cardiaques ».

Ce principe d’inversement des cellules est qualifié de véritable « fontaine de jouvence » par les auteurs de ces recherches.

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Le dilemme de la provenance des cellules souches

On le sait, les cellules souches transplantées chez des patients atteints du cancer et suivant un traitement de chimiothérapie offrent beaucoup d’espoir.

Ces patients voient leur moelle épinière être ravagée par les traitements, et les cellules souches peuvent venir contrer ce phénomène.

Une nouvelle étude s’attarde cependant sur une question importante, soit la provenance de ces cellules souches. Souvent, la technique utilisée est celle de la transplantation de moelle épinière, mais il est également possible d’arriver au même résultat par une transfusion sanguine (sang périphérique).

Quel est donc le meilleur moyen, se questionnent les chercheurs dans cette étude que propose www.nlm.nih.gov.

L’étude démontre que les cellules souches de sang périphérique pourraient réduire les risques d’échec de greffe, alors que la moelle épinière pourrait réduire les risques de développer une maladie chronique postgreffe.

Le débat risque de se poursuivre pour un bon moment.

Dans les dix dernières années, 75 % des transplantations de cellules souches provenant d’une personne non reliée par la famille ont été faites à partir de sang périphérique. Il semble que plusieurs études ont aussi démontré que la moelle épinière peut mener à des complications plus sérieuses, ce qui aurait influencé le choix des spécialistes.