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Les foetus avortés utilisés comme ingrédient culinaire?

Aussi spécial que cela puisse paraître, il semblerait, selon cet élu républicain, que des cellules souches embryonnaires ou de fœtus soient utilisées pour rehausser la saveur et le goût de certains aliments.

Provenant de fœtus avortés, ces cellules joueraient un rôle d’édulcorant naturel.

Outré, Ralph Shortey a partagé ses intentions et son opinion lors de diverses entrevues. Il vient de déposer un projet de loi et demande à ce que les fœtus avortés ne soient plus utilisés à cette fin.

Le peuple américain semble être méfiant et avoir une opinion mitigée quant aux affirmations du politicien, qui semble chercher des poux où il n’y en a pas depuis quelques années.

Rappelons qu’en 2008, Ralph Shortey avait réclamé que les candidats à la Maison Blanche prouvent leur citoyenneté américaine, visant ainsi directement Barack Obama, accusé de ne pas être né sur le sol américain.

Depuis un an, Shortey affirme enquêter sur l’utilisation des fœtus humains dans l’alimentation, après avoir découvert que des groupes anti-avortement avaient soi-disant appris que le géant Pepsi avait recours à ce genre de pratique peu éthique.

L’entreprise Pepsico a immédiatement démenti de fait par voix de communiqué, et la FDA n’a fait aucun commentaire.

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Bientôt un vaccin contre plusieurs souches de la grippe

Jusqu’à présent, les vaccins contre la grippe doivent être recréés chaque année afin de pouvoir contrer la souche la plus fréquente du virus lors des campagnes de vaccination.
 
Des chercheurs des Instituts américains de la santé (NIAID), dirigés par le Dr Gary Nabel, élaborent en ce moment un vaccin universel qui pourrait combattre efficacement différentes souches de la grippe, rapporte le magazine Science.
 
Ils ont créé une approche en deux étapes qui a permis de neutraliser une vaste gamme de souches de H1N1 chez des souris, des furets et des singes. Des tests seront donc effectués pour savoir si l’on obtient les mêmes résultats sur les humains.
 
Le problème est que chez l’humain, il existe une immunité préexistante contre la grippe, ce qui pourrait donc affecter l’efficacité du nouveau vaccin. Par contre, comme les enfants et les bébés ne possèdent pas encore cette immunité, ils pourraient profiter de cette découverte.
 
Les vaccins actuels n’offrent pas les mêmes anticorps que l’on tente d’utiliser pour le nouveau vaccin universel.
 
Chaque année, la grippe fait de 250 000 à 500 000 victimes à travers le monde.