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C’est la semaine nationale de la sensibilisation à l’infertilité

L’infertilité est un sujet que l’on devrait encourager dans les conversations. Trop peu de gens, encore aujourd’hui, comprennent à quel point cela affecte les individus, mais les couples et la famille également.

Comme le suggère She Knows, cette semaine, offrez un câlin à cette amie qui ne peut pas avoir une ribambelle d’enfants. Encouragez-la à partager ses sentiments. S’il le faut, rassemblez-vous, entre amies, et pleurez en partageant vos expériences si vous êtes plusieurs à souffrir de cette épreuve.

La semaine nationale de la sensibilisation à l’infertilité a commencé en 1989. Elle vise à encourager les gens à en parler, à comprendre les solutions offertes ou à simplement vivre avec leur condition.

Mais également, elle confronte les professionnels de la santé, le gouvernement, les compagnies d’assurance et les médias à faire face à l’infertilité. À considérer qu’il s’agit d’une grave condition qu’il ne faut pas ignorer.

D’autre part, RESOLVE, l’association nationale de l’infertilité, fondatrice de cette semaine, s’assure aussi d’apporter les outils et guides nécessaires aux gens infertiles.

Sachez que les données actuelles sont réellement alarmantes. C’est désormais 1 couple sur 6 qui est aux prises avec les problèmes d’infertilité… mais ces données n’incluent même pas ceux qui souffrent en silence et qui n’ont encore jamais osé en parler.

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Les filles atteintes de TDAH plus susceptibles de souffrir de troubles psychologiques

Les fillettes atteintes d’un TDAH seraient plus à risque de faire une tentative de suicide ou de se mutiler à l’âge adulte que les autres.

Ces jeunes filles seraient trois à quatre fois plus à risque de devenir suicidaires et deux à trois fois plus à risque de se mutiler si elles montrent des signes d’impulsivité.

« Nous savons que les filles avec un TDAH sont plus susceptibles d’être impulsives et d’avoir moins de contrôle sur leurs actions, ce qui pourrait expliquer ces résultats affligeants », explique l’auteur principal de l’étude, Stephen Hinshaw.

L’étude, publiée en ligne dans le Journal of Consulting and Clinical Psychology, mentionne aussi que les fillettes diagnostiquées très jeunes avec un TDAH ne s’en défaisaient pas si facilement. Elles continuent à avoir des symptômes, plus de problèmes psychiatriques et d’avoir recours à davantage de services psychologiques.

« Nos découvertes renforcent l’idée selon laquelle le TDAH chez les filles est particulièrement sévère et peut avoir de graves répercussions sur la santé publique », dit M. Hinshaw.

Rappelons que les chercheurs du NIH ont récemment découvert d’importantes altérations dans le développement du cerveau des enfants souffrant de TDAH.

En fait, les chercheurs ont vu que l’épaississement du cortex cérébral est retardé chez les enfants atteints de TDAH.

Crédit photo : FreeDigitalPhotos.net

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Les enfants pourraient souffrir des allergies de leur parent du même sexe

En fait, les enfants dont le parent du même sexe a développé une maladie allergique — comme l’asthme ou l’eczéma — sont deux fois plus à risque de la développer eux-mêmes.

Ces résultats, publiés dans le Journal of Allergy and clinical Immunology, ouvrent la voie à de nouvelles recherches concernant la génétique des allergies.

« Maintenant, avec ces découvertes révolutionnaires, nous devrions voir un changement dans la façon dont nous évaluons le risque de maladie chez un enfant, questionnant les fillettes par rapport aux antécédents d’allergies de leur mère et aux garçons par rapport à celui de leur père », souligne le professeur Arshad.

De plus, ces découvertes encouragent les dermatologues et autres experts qui traitent l’eczéma.

« Même si une large proportion des enfants vont simplement grandir en laissant l’eczéma derrière eux, pour plusieurs adultes, ce n’est pas le cas, donc tout nouveau développement dans la compréhension de la maladie est plus que bienvenu », dit Bevis Man, du British Skin Foundation charity.

Rappelons que l’exposition, avant la naissance, aux produits chimiques utilisés dans la fabrication de planchers ainsi qu’à la fumée de cigarette pourrait augmenter les risques de développer de l’eczéma chez les enfants.

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Souffrir pour mieux guérir

Selon une étude réalisée sur des souris et publiée dans la revue Circulation, les niveaux de substance P augmenteraient après un blocage temporaire de la circulation sanguine.

Ce phénomène inciterait la moelle osseuse à libérer des cellules qui réagissent à la substance P et qui favorisent la guérison des tissus. De plus, ces cellules aideraient à la reconstruction de vaisseaux sanguins.

Les chercheurs ont examiné, sur des humains, si les cellules de la moelle osseuse réagissaient de la même façon à la substance P, et si les niveaux de cette substance étaient plus élevés à la suite d’une crise cardiaque ainsi que si elles pouvaient contribuer à la guérison.

Les résultats confirment que la souffrance joue un rôle important dans le processus de cicatrisation et que de trop engourdir la douleur bloquerait en partie ses effets bénéfiques.

Selon les experts, l’idéal serait de produire un médicament qui amenuise la douleur sans freiner la production de substance P.