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Des chercheurs découvrent la fontaine de jouvence

Ce titre peut sembler sensationnaliste, mais s’avère pourtant un bon indicateur de la vérité. En effet, des chercheurs de Harvard et de l’Université New South Wales publient les conclusions issues de leurs travaux et prétendent avoir découvert ni plus ni moins que la fontaine de jouvence!

On apprend des résultats de ces recherches, par ailleurs rapportés par Radio-Canada, qu’un procédé d’inversement du vieillissement testé sur des rongeurs aurait permis à ces derniers de « rajeunir » d’une année et demie.

Cette véritable boîte de Pandore semble prometteuse à bien des égards, surtout pour les amateurs de jeunesse éternelle, mais les chercheurs se gardent bien de faire des projections quant à la possibilité d’utiliser le procédé sur des humains.

Au-delà de l’immortalité ou de la jeunesse éternelle, les propriétés les plus concrètes pourraient toutefois consister en une amélioration de la qualité de vie lors du vieillissement chez l’homme, comme le croît le médecin Luc Bessette.

« Ce qui est intéressant, ce n’est pas la possibilité d’allonger la vie des gens, mais de leur permettre de vieillir plus correctement. On peut penser entre autres à repousser les souffrances des personnes atteintes de maladies dégénératives, comme le Parkinson ou l’Alzheimer. Si on pouvait permettre aux gens de vieillir jusqu’à 75, 80 ans et d’être malades seulement un an ou deux avant de mourir plutôt que 20 ans, ce serait une révolution », lance Bessette, réaliste mais confiant.

Quoi qu’il en soit, ces résultats réussis sur des souris nous propulsent aux portes de l’avenir, et en feront rêver plus d’un…

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Des chercheurs affirment détenir la clé du traitement contre le cancer du pancréas

Le Daily Mail (UK) rapporte les propos et conclusions d’une équipe de chercheurs de la réputée Université Cambridge, qui laissent croire que celle-ci détiendrait la clé d’un éventuel traitement pour venir à bout du cancer du pancréas.

Les chercheurs en question, dont le Dr Douglas Fearon, auraient en effet découvert un procédé et mis au point un médicament répondant au nom d’AMD3100, qui permettrait à l’organisme d’un patient de renforcer le système immunitaire et de placer ce dernier en position d’attaquer la tumeur.

Les essais effectués jusqu’à maintenant sur des souris semblent probants, alors que plusieurs de ces rongeurs-tests auraient été complètement guéris. L’ADM3100 devra maintenant passer les étapes des essais cliniques sur des humains, et l’équipe de Cambridge a bon espoir de réussir une seconde fois.

Si tout se passe bien, le Dr Fearon et ses collègues prévoient que cette percée permettrait de traiter adéquatement les patients atteints du cancer du pancréas d’ici les dix prochaines années.

Le principe démontré par ces chercheurs est le même que celui proposé par plusieurs homologues depuis quelques années, soit celui des fameuses cellules T et de l’immunothérapie.

L’équipe de Cambridge confirme qu’il s’agit d’une avancée et d’une méthode qui pourraient s’appliquer à plusieurs types de cancer, dont ceux des ovaires et du sein, par exemple.

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Des chercheurs parviennent à introduire de nouveaux gènes sains chez des souris

Bienvenue à Gattaca aurait aussi bien pu être le titre de cet article, puisque ceux qui se souviennent du film qui mettait en vedette Ethan Hawke il y a plusieurs années risquent de très bien comprendre ce qui suit.

ScienceWorldReport rapporte en effet que des chercheurs seraient parvenus, selon leur propre rapport publié dans le journal FASEB, à modifier le destin génétique de rongeurs en introduisant de nouveaux gènes sains, corrigeant ainsi les défauts présentés par toute une génération et ses suivantes.

En clair, l’équipe de chercheurs, dont fait partie Anil Chandrashekran, aurait réussi à corriger des travers génétiques permettant d’assurer un meilleur avenir aux descendants d’une lignée, pavant ainsi la voie au retrait et au traitement de certaines maladies graves.

« La technologie transgénique est l’un des plus importants outils pour la recherche contre toutes sortes de maladies retrouvées chez les humains et les animaux, et pour mieux comprendre certains problèmes cruciaux en biologie », explique Chandrashekran.

Bien entendu, ce qui s’avère une grande nouvelle pour les uns sera scandaleux pour les autres, et on peut maintenant s’attendre à ce que le débat concernant les manipulations génétiques soit à son plus fort au cours des prochaines années… probablement avec raison.

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Des chercheurs traitent des souris souffrant de nanisme

Top Santé rapporte une spectaculaire percée de la part des spécialistes et chercheurs de l’INSERM, alors que ces derniers seraient parvenus à contrer une forme de nanisme chez des rongeurs.

Les résultats obtenus laissent croire aux chercheurs qu’il est réaliste d’espérer un traitement éventuel de certaines formes de nanisme chez les enfants, maintenant qu’on a établi le fonctionnement de ce type de traitement chez des souris.

Et quel est-il ce traitement? Prenant le nom de FGFR3, pour Fibroblast Growth Factor 3, il prend la forme d’une injection qui favorise la croissance des os et qui permet de contrer les effets de la maladie. À un tel point, en fait, que les souris ont recommencé à grandir normalement, et ce, sans aucune conséquence subséquente!

« Le produit que nous avons testé dispose d’un atout majeur par rapport à ceux testés dans d’autres études en cours : sa durée de vie dans l’organisme est suffisamment longue pour ne pas nécessiter d’injections quotidiennes. On pourrait penser, de ce fait, que le traitement permettrait par une simple injection d’éviter la chirurgie chez des enfants atteints d’achondroplasie ou d’autres formes de nanisme », résume Elvire Gouze, de l’INSERM, en conclusion.

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Le processus de dépendance à l’alcool s’éclaircit

Encore un pas est franchi dans la compréhension des dépendances et du développement des habitudes, selon Santé Log, qui rapporte une recherche exhaustive sur le sujet.

« L’humain est une créature d’habitudes », lance-t-on bien souvent, avec raison. Oui, mais pourquoi, et surtout, comment?

Selon cette nouvelle étude en provenance du Scripps Research Institute, et initialement publiée dans le PNAS, le cerveau démontre diverses réactions en fonction de nos actions, comme la consommation d’alcool justement.

Ainsi, un abus d’alcool chronique pourrait faire passer l’action de boire un verre de la « zone de décision » à la « zone d’habitude », pavant ainsi la voie à une dépendance à proprement parler.

C’est après avoir testé les effets de l’alcool sur le striatum dorsal du cerveau, impliqué dans le développement des habitudes, que les chercheurs ont pu confirmer leur théorie initiale.

Plus les comportements sont fréquents et abusifs, plus la « zone d’habitude » prédomine sur la « zone de décision », et il devient conséquemment de plus en plus difficile de cesser le comportement.

Cette étude, ainsi que les précédentes sur le sujet, permettrait de mieux combattre les troubles de dépendance dans l’avenir.

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La toxicité et l’impact d’une consommation élevée de sucre sont démontrés

Des chercheurs américains publient des résultats de tests qui semblent indiquer et confirmer la toxicité évidente du sucre dans l’alimentation d’un sujet.

Selon les renseignements rapportés par le Daily Mail (UK), même des niveaux pourtant considérés comme « normaux » de sucre dans un régime alimentaire moyen pourraient s’avérer dangereux pour la santé, voire fatals.

C’est ce qui ressort de l’étude effectuée par une équipe de chercheurs de l’Université d’Utah, qui ont analysé les réactions de rongeurs face à diverses consommations de sucre.

Le groupe-test principal de souris s’est vu imposer un bon régime alimentaire, le genre que l’on considère « santé » pour l’être humain, mais avec l’équivalent d’un ajout de trois boissons gazeuses par jour.

Résultat? Même si les souris n’ont pas nécessairement affiché des problèmes de poids ou encore de la haute pression, les femelles sont mortes jusqu’à deux fois plus rapidement que l’espérance de vie normalement suggérée.

Les mâles, quant à eux, avaient moins de facilité à se reproduire et à conserver leur territoire, ce qui rend les experts convaincus de la toxicité de ces produits et du sucre sur les mammifères.

« Nos résultats permettent de prouver que le sucre, ajouté et consommé à des concentrations jugées actuellement sécuritaires, peut avoir des impacts dramatiques sur la santé », conclut l’équipe de chercheurs américains dans la version Web du journal Nature Communications.

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Vers un traitement des maladies de la rétine et de la cécité?

Des chercheurs ont utilisé la magie proposée par les cellules souches afin de créer de toutes pièces ce qu’on appelle des photorécepteurs.

Ces derniers permettent à l’œil de percevoir et capter la lumière, précisément ce qui fait défaut chez les patients atteints de dégénérescence maculaire.

Top Santé révèle aussi que c’est à la suite du début d’essais déjà prévus que les spécialistes de l’University College de Londres ont constaté la possibilité de programmer des cellules souches afin qu’elles se développent ensuite en photorécepteurs, pavant ainsi la voie à la possibilité de guérir éventuellement la cécité.

On a donc tenté l’expérience sur des souris aveugles, et bien que ces dernières n’aient pas recouvré la vue, on a tout de même bel et bien constaté le développement de photorécepteurs.

Selon les conclusions publiées dans le magazine Nature Biotechnology, il s’agit d’une découverte importante pour les patients atteints de dégénérescence maculaire (DMLA), par exemple.

« Si on peut implanter 20 000 cônes (photorécepteurs) à une personne souffrant de DMLA, on peut obtenir un immense bénéfice clinique, car nous n’avons pas besoin de beaucoup de cônes pour avoir une vision très efficace », conclut le meneur de ces recherches, le professeur Robin Ali.

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Un mini-poumon créé artificiellement

Des chercheurs seraient parvenus à créer et implanter un mini-poumon créé artificiellement, rapportent plusieurs sources dont Santé Log, faisant avancer du même coup la recherche en greffe et transplantation d’organes de façon spectaculaire.

Les chercheurs japonais de l’Université de Yokohama City ont publié un rapport, sous la forme d’une étude complète, et l’ont présenté devant l’International Society for Stem Cells lors du 10e congrès annuel de l’association.

Les révélations faites par l’équipe de chercheurs sont stupéfiantes, alors qu’ils expliquent comment ils sont parvenus à créer ce qu’ils appellent des « bourgeons de foie », qui s’allient pour créer un véritable organe.

Ce dernier a alors été transplanté sur une souris, confirmant alors le succès de l’entreprise.

Il s’agit d’une percée marquante en ce qui concerne la greffe d’organes artificiels, puisque le procédé permettrait non seulement de créer des foies humains, mais aussi d’autres organes vitaux à la survie d’une quantité considérable de patients. 

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Autoproduction d’insuline : un espoir sérieux pour les diabétiques?

On en parlait récemment, une nouvelle théorie voit le jour en ce qui concerne le traitement du diabète. Il s’agit du principe d’autoproduction d’insuline, qui permettrait à un sujet atteint de la maladie de régénérer ses cellules productrices d’insuline par lui-même, selon ce que décrit et rapporte Top Santé.

Cette fois, des chercheurs de l’INSERM auraient réussi à démontrer hors de tout doute cette possibilité sur des rongeurs, une percée qu’ils rapportent dans un rapport publié dans le magazine Developmental Cell.

Les chercheurs ont constaté au fil de leurs recherches que malgré la perte des cellules productrices d’insuline, d’autres cellules de l’organisme pouvaient en fait en produire également!

En détournant certaines cellules de leurs fonctions primaires et en les utilisant à leurs fins, les spécialistes pourraient éventuellement en arriver à régénérer celles du pancréas.

C’est du moins ce qui a été démontré par ce modèle de test effectué sur des souris, une percée qui permettrait un jour aux victimes de diabète de type I, notamment, d’éviter les injections.

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Un traitement efficace contre le cancer pourrait faire son apparition à Toronto

Toronto sera-t-elle la ville canadienne qui entrera dans l’histoire pour avoir développé le premier traitement efficace contre certaines formes de cancer?

C’est ce qu’il est permis de croire et de souhaiter en lisant les propos rapportés par Radio-Canada, qui font état d’un « médicament » qui pourrait guérir les patients atteints de cette terrible maladie, ou d’au moins certains types.

Baptisé scientifiquement CFI-400945, le traitement a été développé par Tak Mak, un docteur en médecine de l’hôpital Princess Margaret de Toronto, qui parle de sa découverte avec beaucoup d’émotion et de fébrilité.

Il demeure une étape importante à franchir dans le processus, soit celui des tests sur des humains, mais on confirme que plusieurs souris ont été complètement guéries du cancer en laboratoire depuis le début des essais.

Le Dr Mak explique que la méthode s’attaque directement à la prolifération de cellules cancéreuses, qui ne pourraient plus de reproduire une fois le traitement appliqué.

Les cellules cancéreuses doivent absolument se reproduire pour gagner la bataille, un aspect sur lequel les spécialistes se penchent depuis un bon moment déjà.

Des rumeurs en provenance de Cuba abondaient dans le même sens récemment, et on confirme que des équipes de Californie ont aussi été impliquées activement dans l’élaboration du traitement annoncé par l’équipe torontoise du Dr Mak.

On parle d’une commercialisation possible d’ici dix ans, mais si les essais cliniques confirment la nouvelle, il faudra faire beaucoup plus rapidement que ça… afin de sauver le plus de vies possible.