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Espoir majeur dans le traitement de la maladie d’Alzheimer

Santelog.com rapporte que des chercheurs des NIH (National Institutes of Health) affirment avoir réussi à inverser le processus de la maladie d’Alzheimer chez des souris, pavant ainsi la voie à de nouvelles possibilités de traitement.

C’est toute une nouvelle que cette percée, alors que la maladie d’Alzheimer fait encore et toujours des ravages partout sur la planète.

Les chercheurs auraient utilisé une molécule du nom de TFP5 pour bloquer le signal cérébral qui poserait problème dans les cas de cette maladie, ce qui aurait eu pour effet d’inverser les symptômes communs et de rétablir la mémoire.

Le tout est d’autant plus incroyable que les spécialistes parlent maintenant d’essais cliniques à court terme, c’est-à-dire des tests sur des patients humains.

On ne rapporte pas, ou très peu, d’effets secondaires sur les sujets rongeurs, et on souhaite bien entendu que le modèle soit identique sur l’être humain.

Il s’agit d’un espoir majeur pour toute la population, mais surtout pour les gens qui souffrent de cette terrible maladie et ceux qui les entourent.

On attend maintenant avec impatience la suite des choses.

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Nouvelle percée majeure contre le cancer de la prostate

Santelog.com rapporte une nouvelle percée dans la lutte au cancer, plus particulièrement contre le cancer de la prostate.

C’est encore un traitement par l’utilisation d’un virus qui réussit sa mission, alors qu’on entend de plus en plus parler de ce type de façon de faire.

Récemment, on apprenait que certains patients atteints de cancer (notamment une fillette atteinte de leucémie) étaient en rémission à la suite de ce genre de traitement.

Cette fois, on parle de virus oncolytique, transmis par des cellules macrophages dans l’organisme afin de traquer les cellules cancéreuses et ainsi venir à bout de toute trace de tumeur restante.

Il s’agit d’un traitement parallèle à la chimiothérapie, permettant de maximiser ses effets et de combattre la maladie sur deux fronts.

Pour l’instant, ce traitement a été tenté sur des souris, et les chercheurs affirment avoir réussi à prouver l’efficacité de ce nouveau traitement par virus oncolytique.

Il reste donc à tenter les essais cliniques, mais il apparait de plus en plus clair que les spécialistes dans la lutte au cancer ont bon espoir de voir ces nouvelles méthodes porter des fruits et augmenter grandement les chances de survie à la suite d’un diagnostic de cancer.

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La malbouffe peut créer une dépendance

Une étude canadienne vient confirmer ce que beaucoup pensaient déjà, c’est-à-dire que la malbouffe et les aliments gras peuvent créer une véritable dépendance.

Au même titre que la drogue et l’alcool, la nourriture grasse et malsaine provoquerait certains changements au cerveau, qui réagirait lorsqu’on cesse (ou tente de cesser) de manger de la malbouffe.

Un état de « manque » serait alors observable, ce qui confirme les pires craintes des différentes agences de santé dans le monde.

Ce sont des conclusions qui ont été publiées dans la plus récente édition de l’International Journal of Obesity, et rapportées notamment par santelog.com.

Pour en arriver à ce constat, les spécialistes canadiens ont analysé le comportement de souris qui étaient nourries « grassement » et à qui l’on offrait par la suite des repas sains et équilibrés. Plus de 90 rongeurs faisaient partie de l’étude.

Du lot, la plupart des souris ont ressenti des symptômes de manque comme de l’angoisse ou de l’anxiété, en plus de démontrer une motivation hors du commun lorsque placées devant des aliments sucrés ou gras.

Les chercheurs croient donc qu’il serait possible, et même nécessaire, de créer un médicament qui pourrait venir en aide aux gens qui voudraient se désintoxiquer de la malbouffe. Il existe déjà des traitements similaires pour contrer l’alcoolisme et la toxicomanie.

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Des chercheurs réussissent à « inverser » l’obésité chez des souris

Aussi incroyable que cela puisse paraître, des chercheurs sont parvenus à « inverser » le processus qui mène à l’obésité chez des souris, en isolant et en manipulant une protéine de l’organisme.

Ainsi, selon ce qu’explique santelog.com, les chercheurs d’une équipe internationale ont réussi l’exploit en favorisant la production de la tyrosine protéine kinase-2 (que nous appellerons Tyk2 pour plus de clarté).

La Tyk2 est une enzyme qui permettrait la régulation du poids et donc de l’obésité. Ces théories et observations ont été publiées dans la plus récente édition du magazine scientifique Cell Metabolism.

Le fait d’avoir réussi ce tour de force chez les rongeurs laisse croire qu’ils pourraient reproduire le « traitement » aussi chez l’humain.

C’est la découverte du « tissu adipeux brun » actif chez l’adulte qui a mené à ces conclusions, puisque l’on croyait depuis longtemps que ce type de tissu n’était actif que chez les bébés.

Une corrélation entre ce tissu adipeux et la Tyk2 a ensuite été énoncée, puis maintenant prouvée, selon ce que l’on comprend des conclusions avancées par les chercheurs.

Le professeur Andrew Larner a bon espoir de voir cette enzyme produire d’excellents résultats, et même un jour peut-être inverser carrément le phénomène d’obésité.

D’autres tests et études sur le sujet sont à venir.

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Nouvelle stratégie pour combattre efficacement l’influenza et l’inflammation

Des chercheurs auraient trouvé une nouvelle technique pour contrer les effets de l’influenza, mieux connue sous le nom de virus de la grippe, et ses possibles complications.

Même si une grippe n’est souvent pas mortelle pour celui qui la contracte, elle peut apporter son lot de désagréments et de complications qui peuvent rapidement dégénérer. Plusieurs ont sans doute vécu le phénomène d’une grippe qui s’aggrave au point de former une bronchite ou une pneumonie, par exemple.

C’est que le corps humain répond à la présence du virus par le système immunitaire, ce qui peut parfois mener à une inflammation (des poumons, entre autres).

Voilà que des chercheurs de l’INRA affirment être en mesure de régler le problème « à la source », après avoir isolé et supprimé la protéine PAR1 chez des souris. Cette protéine serait à l’origine du processus qui mène à une inflammation, rassemblant toutes les cellules inflammatoires au site de l’infection, selon ce qu’explique santelog.com.

Les chercheurs auraient donc réussi à protéger complètement les rongeurs d’une possible infection, ce qui permet de croire que le processus s’appliquerait aussi sur l’humain.

En supprimant PAR1, on s’attaque à la cellule hôte au lieu du virus en tant que tel. Une percée majeure qui pourrait mener à de nouveaux traitements efficaces, ce qui remonte le moral des chercheurs avec l’arrivée de nouvelles souches modernes et plus agressives de l’influenza.

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Du sang neuf pour contrer la maladie d’Alzheimer

Du sang de jeunes souris transfusé sur des souris plus âgées aurait permis d’inverser certains effets du vieillissement, ce qui donne de l’espoir concernant les traitements de la maladie d’Alzheimer, rapporte une étude.

C’est que nous apprend Santelog.com, alors que des chercheurs croient de plus en plus que le processus pourrait s’appliquer chez l’homme. C’est le cas du Dr Saul Villeda, de Stanford, qui dirige l’étude.

Il explique : « Je pense que de donner du sang neuf pourrait avoir un effet sur l’homme. Je n’y croyais pas, il y a seulement trois ans. C’est une technique qui pourrait bien contribuer à préserver les humains des pires effets du vieillissement, dont l’Alzheimer ».

Voilà des propos plus qu’optimistes, qui donnent de l’espoir à la communauté scientifique ainsi qu’aux patients.

Le Dr Villeda a donc connecté les systèmes circulatoires de deux souris, l’une âgée et l’autre jeune, afin de mélanger le sang. Après seulement quelques jours, le processus de vieillissement cérébral avait ralenti. Le nombre de cellules souches du cerveau avait même augmenté, ce qui est extraordinaire.

Cette étude complète des travaux effectués sur le même sujet par l’Université Stanford depuis 2011 et vient démontrer que le sang jeune pourrait bien sauver les gens plus âgés de terribles maux, un jour.

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Des souris éclairent les chercheurs en fertilité

Les ovules peuvent se réparer d’eux-mêmes à la suite des dommages causés par la radiation, déclarent les chercheurs en fertilité, tel que rapporté par le site nlm.nih.gov.

Ceci ravive l’espoir des femmes qui doivent subir des traitements contre le cancer de contrer les problèmes éventuels d’infertilité liés à ce type de thérapie.

Même si les sujets-tests ne sont limités pour l’instant qu’aux souris, les chercheurs de l’étude croient fermement que le lien est direct et s’applique également aux femmes.

Outre les patientes en traitement pour le cancer, l’étude est un vent d’optimisme pour les femmes souffrant d’une ménopause précoce, une condition qui augmente les risques d’infertilité, ainsi que celles atteintes d’ostéoporose et de maladies cardiaques.

Dans un papier qui devrait être publié dans l’édition du 9 novembre du Molecular Cell, on allègue que des chercheurs australiens ont découvert que les ovules ne sont pas tués par la radiation, comme on aurait pu le croire auparavant.

En fait, ils le sont par deux protéines du nom de Puma et Noxa, qui entreraient en action dès qu’une anomalie ou un dommage est détecté dans les ovules.

Dans les expériences conduites, les souris qui ne possédaient pas ces protéines produisaient des ovules qui survivaient aux radiations, tout à fait capables de féconder naturellement.

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Des souris aveugles retrouvent la vue grâce à un produit chimique

(AFP) – Des souris aveugles ont retrouvé la vue grâce à l’injection d’un produit chimique les rendant sensibles à la lumière, ont montré des scientifiques américains dans une étude qui fait renaître l’espoir de trouver un traitement anticécité.

Le produit utilisé, appelé AAQ, agit sur les cellules de la rétine qui, par son effet, deviennent photosensibles, a expliqué Richard Kramer, professeur de biologie à Berkeley en Californie et auteur principal de l’étude publiée dans la revue Neuron.

Cette méthode est temporaire et ne requiert aucune opération chirurgicale. Elle pourrait ouvrir une troisième voie dans la recherche de traitement permettant de retrouver la vue, à côté des implants de puces et des greffes de cellules souches, deux techniques en cours d’étude.

« L’avantage de cette approche est qu’il s’agit d’un simple produit chimique, ce qui fait qu’on peut le doser, le combiner à d’autres thérapies ou arrêter de le prendre si l’on n’est pas satisfait de ses résultats », explique Richard Kramer.

Il reste difficile de mesurer la qualité de la vision retrouvée par les souris testées, mais les chercheurs ont pu déceler l’effet positif sur elles en voyant leurs pupilles se contracter sous la lumière et en constatant qu’en réaction, les souris tentaient d’éviter les rayons lumineux.

Les souris utilisées avaient subi une modification génétique leur faisant perdre la fonction des bâtonnets et des cônes, photorécepteurs au sein de la rétine, durant leurs premiers mois de vie.

« C’est une avancée majeure dans le champ du rétablissement de la vue », estime Russell Van Gelder, coauteur des travaux et ophtalmologiste à la tête du département d’ophtalmologie de l’université du Washington à Seattle.

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Avancée dans la recherche sur la dystrophie musculaire

Des cellules souches de patients ayant une forme rare de dystrophie musculaire ont pu être transplantées avec succès sur des souris affectées par cette maladie.
 
Selon le Science Translational Medicine, c’est la première fois que des chercheurs parviennent à convertir des cellules musculaires de patients atteints en cellules souches.
 
Cette découverte ouvre la voie à de nouvelles thérapies potentielles.
 
Pour parvenir à de tels résultats, les scientifiques ont modifié la cellule mésoangioblaste, qui avait déjà montré son potentiel de traitement. Seulement, il était impossible d’avoir suffisamment de ce type de cellule.
 
Donc, des cellules adultes ont été reprogrammées en cellules souches et implantées à des souris, qui ont vu leurs muscles endommagés être renforcés. Cela a permis aux rongeurs de se déplacer plus rapidement.
 
« Cette procédure est très prometteuse, mais elle doit encore être validée avant une application clinique, en particulier sur sa sécurité », explique le professeur Giulio Cossu.
 
Rappelons que la dystrophie musculaire est une maladie génétique qui affecte le muscle squelettique, réduisant alors la mobilité. Cela peut même mener à une dysfonction du coeur et des voies respiratoires. Jusqu’à présent, il n’existe aucun traitement efficace.
 
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Un vaccin contre les mélanomes?

Les chercheurs de la Clinique Mayo et de l’Université de Leed viennent de semer un nouvel espoir dans la lutte contre le cancer de la peau.
 
Avec une version génétiquement modifiée du virus de la stomatite vésiculaire, on parvient à livrer une multitude de gènes dans les tumeurs de type mélanome, ce qui permettrait de les enrayer.
 
Selon les résultats publiés dans le Nature Biotechnology, les premiers essais effectués sur des souris ont permis de guérir 60 % des tumeurs en moins de trois mois, avec des effets secondaires mineurs.
 
« Cette technique va nous aider à trouver un nouvel ensemble de gènes qui codent pour des antigènes qui stimulent la réponse du système immunitaire contre les cellules tumorales. En exprimant plusieurs protéines de concert, nous parvenons à générer un rejet efficace des tumeurs chez les souris », explique le coauteur de l’étude, le Pr Richard Vile.
 
Ce vaccin expérimental pourrait ouvrir la voie à un nouveau type de prévention de la maladie.