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Les phtalates auraient un impact sur le système reproducteur

Importantes altérations du système reproducteur, développement de lésions précancéreuses, durée de période de reproduction raccourcie et croissance cellulaire anormale dans les glandes mammaires sont des éléments inquiétants qui sont ressortis d’une étude effectuée sur des souris par des chercheurs de l’Université Brown.

Dans l’édition en ligne de la revue Reproductive Toxicology, les experts tentent cependant de rassurer la population et de remettre les choses en perspective.

Pour que les phtalates aient un tel effet néfaste sur le corps de l’homme, il faudrait que celui-ci soit exposé à une dose extrêmement forte de la substance similaire à celle envoyée dans l’environnement des souris en laboratoire.

« Pour absorber de telles doses, il faudrait manger le plastique du gobelet », précise Mary Hixon, coauteure de l’étude et professeure de pathologie et médecine du laboratoire de recherche à l’Université Brown. « Le risque “réel” est probablement minime pour la plupart des gens. »

Toutefois, les données demeurent alarmantes et préoccupent les spécialistes et les organisations de la santé, qui se demandent si tôt ou tard, ce sort sera réservé aux humains.

Les analyses de l’effet de l’exposition à des doses de phtalates sur les foetus étaient une première dans le domaine. Elles ont été effectuées sur des souris en période de gestation. Cela a permis de voir que lorsque les petits souriceaux devenaient adultes, des changements importants et inquiétants se produisaient chez ces derniers.

Cette étude propose donc de nouveaux éléments dans la compréhension de la manière dont certains produits chimiques critiqués peuvent affecter l’organisme, en particulier le système reproducteur des femmes.

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Création de spermatozoïdes viables en laboratoire

Des chercheurs israéliens et allemands sont parvenus à créer des spermatozoïdes de souris en laboratoire, qui ont pu féconder un ovule pour finalement donner des petits souriceaux en pleine santé.
 
Selon la revue Nature, on espère pouvoir obtenir les mêmes résultats chez l’homme, bien que les premiers résultats se soient soldés par des échecs.
 
Si le tout est possible avec d’autres mammifères, les scientifiques ont bon espoir de parvenir à créer des spermatozoïdes d’humains en laboratoire, ce qui aiderait ainsi les couples voulant fonder une famille.
 
Les chercheurs n’auraient qu’à prélever des tissus des cellules germinales dans les testicules et stimuler la production de spermatozoïdes.
 
Les hommes ayant une infertilité devront toutefois patienter encore des années avant de pouvoir avoir recours à cette technique.
 
Rappelons que l’année dernière, un gène à l’origine de l’infertilité masculine avait été identifié.
 
Les hommes doivent aussi considérer que mis à part la génétique, le tabac, l’alcool, l’obésité et l’alimentation peuvent influencer leur fertilité.
 
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Cold-FX aurait des propriétés anticancer

Selon Sandra Miller, immunologue et professeure titulaire au Département d’anatomie et de biologie cellulaire de la Faculté de médecine de l’Université McGill, le médicament Cold-FX aurait des propriétés anticancer.
 
Lors de tests sur des souris, il y aurait eu des résultats forts prometteurs contre la maladie.
 
« Je me suis dit que si cet extrait pouvait prévenir et combattre le virus du rhume, il aurait peut-être un effet bénéfique contre des cancers d’origine virale comme la leucémie », a expliqué la chercheuse lors du colloque annuel de la Société canadienne de recherche sur les produits de santé naturels (SCRPSN).
 
Après avoir injecté des cellules cancéreuses à des souris, la moitié d’entre elles ont reçu de la moulée avec des doses de Cold-FX pendant six semaines et l’autre moitié a eu de la moule ordinaire.
 
Les rongeurs avec les doses de Cold-FX ont vécu plus longtemps, leurs tumeurs ont régressé et ils avaient plus de cellules NK (Natural Killer) dans leur moelle osseuse.
 
Toutefois, les résultats de cette étude doivent être considérés avec précaution. Davantage de recherches seront nécessaires avant de suggérer le Cold-FX contre le cancer.
 
Mentionnons que l’étude a été financée par Afexa Life Sciences Inc., le fabricant du médicament.
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Les cafards en lien avec l’asthme

On peut lire dans le Journal of Clinical Immunology que le milieu de vie et, surtout, le nombre et le type d’allergènes s’y trouvant auraient une influence sur le développement de l’asthme.

En fait, des chercheurs de l’École de santé publique Mailman de l’Université Columbia ont voulu comprendre pourquoi le taux d’enfants asthmatiques variait de 3 à 19 % selon les quartiers de New York.
 
Ils ont donc évalué 239 enfants de 7 à 8 ans, ou plutôt leur exposition à des allergènes, par l’analyse d’échantillons de saleté dans leur lit, notamment.
 
Il semble, après comparaison, que les cafards, les souris, les chats, la saleté causée par les mites et d’autres allergènes seraient en lien avec la prévalence de l’asthme.
 
Précisément, les quartiers où l’on a relevé le plus d’allergènes de cafards, de souris et de chats étaient aussi ceux où l’asthme était le plus présent.
 
De plus, les enfants de ces quartiers étaient plus enclins à avoir une sensibilité aux allergènes de cafards.

Finalement, les chercheurs ont établi un lien entre la sensibilité aux cafards et un risque accru d’asthme chez les enfants.

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La pollution serait une cause du diabète infantile

Une récente étude effectuée sur de jeunes souris, par des chercheurs de l’Université d’État de l’Ohio, nous fait douter de l’impact de la qualité de l’air sur la santé.

C’est qu’indépendamment des facteurs principaux du diabète, soit une mauvaise alimentation et peu d’exercice physique, la pollution de l’air en causerait l’apparition.

On peut donc lire dans le journal Arteriosclerosis, Thrombosis, and Vascular Biologyque le résumé de cette recherche, la première du genre dans le domaine.

Les chercheurs ont choisi des souris qui avaient une alimentation soit riche en gras, soit faible en gras.

Ensuite, ils les ont exposées à de l’air de qualité ou à de l’air contenant au moins sept fois plus de particules polluantes que l’air ambiant de leur laboratoire.

Les souris ayant été exposées à l’air pollué avaient des cellules de gras plus nombreuses et plus grosses dans leur paroi abdominale. Leur sang contenait aussi un taux plus élevé de sucre que celles exposées à l’air de qualité.

Finalement, les souris ayant une bonne alimentation, mais ayant été exposées à l’air pollué, présentaient des signes précurseurs du diabète.

On a donc démontré que la pollution de l’air cause une inflammation et des changements aux cellules de gras, des facteurs importants dans l’apparition du diabète de type 2.

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Les souris envahissent Westminster

D’après différentes sources, le palais de Westminster serait menacé par un fléau : l’invasion de souris.

Cette affaire ne serait pas du tout prise à la légère en Grande-Bretagne, où l’on songeait à mettre des chats dans les allées de cet incontournable bâtiment de Londres, dans lequel on retrouve le parlement britannique, ses bars ainsi que ses restaurants. Selon des employés de ce lieu, ils aperçoivent des rongeurs tous les jours.

Quant à Ivan Anthony Moore-Brabazon, l’administrateur en chef de la maison, il n’a pas retenu la suggestion d’avoir des chats. Celui-ci souligne que les félins pourraient manger le poison destiné aux souris, errer autour des chambres et perturber le palais. Il préfère donc l’utilisation de poison et de pièges à souris.

De plus, il faut savoir que Westminster n’est pas le seul lieu de Londres qui serait infesté de souris. Il semblerait que de renommés théâtres du West End auraient des problèmes avec les souris, les rats et les puces.

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Hausse des cas du syndrome du tunnel carpien

Une étude, publiée dans la revue Neurology, suggère que le risque de souffrir du syndrome du tunnel carpien, qui se caractérise par des engourdissements ou douleur au niveau des doigts, a augmenté considérablement au cours des deux dernières décennies.

Le Dr Russell Gelfman et ses collègues de la Clinique Mayo, à Rochester, ont analysé des dossiers médicaux de 1981 à 2005. Pendant cette période, 10 069 sujets ont souffert du syndrome, pour atteindre un ratio de 376 cas par 100 000 individus.

« L’incidence du syndrome du canal carpien a augmenté dès les années 1980 et ce serait difficile de l’attribuer à l’hérédité ou encore à des facteurs de risque physiques. Nous croyons plutôt que ce pourrait être lié au travail », soutient le Dr Gellman, qui croit que la prolifération des cas pourrait être liée à l’utilisation répétitive d’une souris d’ordinateur.

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Des tests peu concluants pour traiter l’Alzheimer

Des chercheurs de l’Université Yale et du Laboratoire Merck ont effectué des essais cliniques avec un médicament qui devait traiter la maladie d’Alzheimer. Ce traitement consistait à stimuler l’hormone IGF-1 afin de ralentir la progression de la maladie neurodégénérative.

Or, les travaux menés sur des souris n’ont mené à aucun résultat concluant, alors que des recherches précédentes démontraient que cette hormone réduisait l’accumulation de plaques séniles dans le cerveau des rongeurs.

« Ces résultats laissent penser que le ciblage de ce système hormonal ne constitue sans doute pas une approche efficace pour ralentir le rythme de progression de la maladie d’Alzheimer », a annoncé, avec un certain dépit, J. J. Sevigny du Laboratoire Merck.

Tous les détails de cette étude sont publiés dans la revue scientifique Neurology.

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Les virus sur du matériel informatique partagé

Les autorités américaines de la santé ont identifié le matériel informatique partagé, comme des claviers d’ordinateur et des souris, pour expliquer la prolifération du virus de la grippe intestinale. Celui-ci cause des vomissements et de la diarrhée.

Tout a commencé par une école élémentaire dans la région de Washington. Sur les 314 étudiants et 66 personnes du personnel enseignant, on a reporté 103 cas de grippe intestinale. Afin d’identifier les causes de la contagion, plusieurs prélèvements sur différentes surfaces ont été effectués.

Selon le docteur Shua Chai, du U.S. Centers for Disease Control and Prevention, il s’agit d’une première étude qui démontre un lien évident entre ce virus fulgurant et des surfaces où il peut se propager.

Comme le virus peut demeurer actif plusieurs jours sur ces surfaces, il est recommandé de se laver les mains après avoir utilisé des objets qui circulent entre plusieurs personnes. De plus, l’usage d’un javellisant dilué est approprié pour désinfecter les claviers et les souris.

À cela s’ajoute l’isolement pendant deux à trois jours des sujets infectés qui devraient demeurer à la maison, plutôt que de fréquenter des endroits publics.

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Une souris à toute épreuve

Une recherche du journal Cancer Research dévoile l’existence d’une souris de laboratoire sur laquelle toutes les formes de cancer ne semblent pas avoir d’emprise.

Comment? Grâce au gène Par-4 implanté chez les souris et qui joue un rôle, notamment dans le traitement du cancer de la prostate.

Il en résulte que non seulement le rongeur est plus résistant au cancer, mais sa durée de vie est plus longue que prévu.

Selon le docteur Vivek Rangnekar, de l’Université du Kentucky, cette conclusion est une lueur d’espoir pour le traitement contre le cancer, mais des études plus poussées doivent être effectuées sur des humains afin d’analyser sur eux les effets du gène.