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Les protéines de soya et de lait contre l’hypertension

Il semblerait que les suppléments de lait ou de soya pourraient être efficaces pour abaisser la pression systolique.
 
Selon le Circulation: Journal of the American Heart Association, une étude, effectuée sur 352 personnes de plus de 22 ans avec des signes de risques accrus d’hypertension ou des cas légers de maladie, démontre que les protéines de soya et de lait peuvent remplacer les glucides ainsi que prévenir et traiter l’hypertension artérielle.
 
Cela concorde avec une étude antérieure qui affirmait qu’une alimentation riche en produits laitiers faibles en gras diminuait la pression artérielle, un problème de santé qui peut éventuellement entraîner des crises cardiaques, des insuffisances cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux et des dommages aux reins.
 
Maintenant, des études à long terme doivent être faites pour savoir quelles seraient les nouvelles recommandations alimentaires pour contrer l’hypertension avec les protéines de soya et de lait.

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Un lait maternisé ne peut prévenir les allergies

On lit dans le Journal of Allergy and Clinical Immunology que les laits maternisés dits sans danger pour les bébés à risque d’allergies alimentaires ne le seraient pas, en fait. C’est ce que vient de démontrer une récente étude du Royal Children’s Hospital de Melbourne en Australie.

Au total, cette étude a porté sur 620 enfants considérés comme étant très à risque de devenir allergiques.

Des bébés à qui l’on a donné une telle formule, après la fin de l’allaitement, étaient tout aussi fragiles quant au développement d’une allergie que d’autres poupons nourris d’un lait maternisé habituel ou de soya.

On ne recommande donc pas l’usage de ces formules comme moyen de prévention des allergies alimentaires à la suite de l’allaitement, pour les enfants qui présentent des risques importants d’une telle sensibilité.

Il demeure finalement que le lait maternel comporte des bénéfices nutritionnels et pour la santé en général que les formules pour bébé ne peuvent égaliser.

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Du nouveau pour votre café

La marque de boissons de soya biologique So Nice, de la compagnie Earth’s Own Food Company Inc. (auparavant Soyaworld Canada), offre maintenant So Nice pour le café.
 
Les amateurs pourront maintenant savourer un café velouté sans lactose ni cholestérol, avec un produit fait à base de fèves entières biologiques, sans organisme génétiquement modifié.
 
So Nice pour le café a été finaliste aux Grands prix canadiens des produits nouveaux l’année dernière et est maintenant offert sur le marché.
 
Proposé en format de 500 ml pour 2,29 $, il est entièrement fabriqué au Canada. À noter que contrairement à d’autres produits du genre pour le café, So Nice ne contient pas d’huile de palme.
 
Comme ingrédients, So Nice pour le café contient : eau filtrée, fèves de soya entières biologiques, huile de canola, maltodextrine, sucre de canne biologique, bicarbonate de sodium, lécithine de soya, phosphate dipotassique, citrate de sodium, fécule de manioc, arôme naturel et carraghénine.
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Les suppléments de produits naturels inutiles contre le cancer de la prostate

Une nouvelle étude canadienne mentionne que combiner la vitamine E, le sélénium et le soya n’est d’aucune utilité pour prévenir le cancer de la prostate.
 
Cela confirme des résultats précédents concernant la vitamine E et le sélénium, mais les scientifiques voulaient savoir s’ils obtiendraient des résultats différents en ajoutant du soya. Ce n’est toutefois pas le cas.
 
Selon ce que rapporte le Journal of Clinical Oncology, plus de 300 hommes âgés en moyenne de 62 ans, avec des cellules précancéreuses, ont participé à cette étude. La moitié avait reçu un supplément de vitamine E, de sélénium et de soya deux fois par jour pendant 3 ans. L’autre moitié avait eu un placebo.
 
Finalement, les résultats ont été les mêmes dans les deux groupes : 26 % des participants ont eu un diagnostic de cancer.
 
Les statistiques mentionnent qu’un homme sur sept souffrira d’un cancer de la prostate au cours de sa vie et qu’un sur 27 en mourra.
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Le soya pourrait causer l’infertilité masculine

Bien que le soya soit un aliment bon pour la santé, il semblerait que ce ne soit pas le cas pour les hommes.
 
Selon le Human Reproduction, les hommes devraient éviter de consommer du soya, y compris le lait de soya, car cela diminue la quantité de spermatozoïdes dans leur sperme.
 
Les chercheurs de l’Université Harvard mentionnent que les hommes qui consomment une demi-portion de soya quotidiennement ont 32 % mois de spermatozoïdes par millilitre de sperme que ceux qui n’en consomment pas.
 
De plus, c’est un aliment qui pourrait causer la dysfonction érectile chez certains hommes, en plus d’augmenter leur taux d’œstrogène, les rendant alors plus féminins.
 
Les experts rappellent que pour avoir une fertilité maximale, les hommes devraient s’alimenter sainement et faire de l’exercice, car la graisse corporelle interfère avec la production de spermatozoïdes. Les bains chauds devraient également être évités, car ils ne sont pas favorables à la bonne qualité du sperme.
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Le soya pour prévenir certains cancers

Le Daily Mail rapporte deux études distinctes qui démontrent les bienfaits des fèves de soya pour la santé.
 
Une première, de la Northwestern University à Chicago, révèle qu’une pilule de génistéine, une isoflavone chimique contenue naturellement dans le soya, ralentirait et même freinerait la propagation du cancer de la prostate.
 
C’est la conclusion à laquelle les chercheurs parviennent après une étude sur 38 hommes. Cela pourrait donc représenter un tout nouveau traitement naturel.
 
La deuxième étude, cette fois de l’Université Buffalo à New York, a évalué 1 300 femmes et conclut que l’isoflavone du soya réduirait le risque de développer un cancer du sein.
 
Les femmes qui avaient un plus grand apport d’isoflavones diminuaient de 30 % les risques de tumeurs invasives et de 60 % les risques de tumeurs non invasives.
 
Toutefois, des études approfondies sont nécessaires afin de confirmer ces premiers résultats et penser à créer un nouveau traitement.
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Le soya préviendrait les récidives de cancer du sein

Alors qu’il y a quelques jours on mentionnait que les aliments à base de soya prévenaient le cancer des ovaires et de l’endomètre, voici maintenant qu’on apprend qu’il serait également bénéfique contre le cancer du sein.

Depuis quelques années, on affirmait pourtant que le soya augmentait les risques de récidive de cancer du sein à cause des isoflavones qu’il contient et qui favoriseraient le développement des cellules cancéreuses.

Le Journal de l’Asssociation médicale américaine affirme que le soya ne causerait aucun problème. Il diminuerait plutôt les risques de voir le cancer réapparaître.

Les femmes prenant du tamoxifène, un médicament pour diminuer les risques de récidives de cancer du sein, devaient éviter de consommer des aliments à base de soya, car cela réduirait les effets du médicament.

La nouvelle étude, qui a porté sur 5 042 survivantes du cancer âgées de 20 à 75 ans en Chine, a analysé la consommation de soya de ces femmes pendant quatre ans. Celles qui avaient consommé beaucoup de soya avaient 29 % moins de risques de décès et 32 % moins de récidives de la maladie comparativement aux femmes ayant consommé peu de soya.

On recommande 11 grammes protéines de soya par jour pour que ce soit le plus avantageux contre la maladie.

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Le soya contre le cancer des ovaires et de l’endomètre

Le site Canada.com rapporte que selon diverses études, les femmes qui consomment beaucoup d’aliments à base de soya auraient moins de chances de développer un cancer des ovaires ou de la muqueuse de l’utérus, aussi connue sous le nom d’endomètre.

Ces cancers sont souvent affectés par des hormones comme l’œstrogène, qui est pourtant imité dans les composés du soja.

Alors que certains de ces composés sont reliés au développement du cancer du sein, des études mentionnent que ce serait le contraire en ce qui concerne le cancer des ovaires et celui de l’endomètre. Les femmes qui consomment beaucoup de soya auraient ainsi 40 % moins de risques de développer ces types de cancers.

Par contre, on ajoute que ces nouvelles données sont encore trop préliminaires pour sauter aux conclusions. On doit approfondir les recherches, notamment en ce qui concerne la quantité optimale de soya recommandée.

L’Institut national du cancer au Canada estime que 21 000 femmes recevront un diagnostic du cancer des ovaires en 2009 et que 14 000 en mourront, alors que 42 000 auront un cancer de l’endomètre et cela provoquera 8 000 décès.

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Du soya pour les poumons

Une étude publiée en ligne dans Respiratory Research démontre que consommer des aliments à base de soya, comme du tofu ou du lait de soya, est bénéfique pour la santé pulmonaire.

En effet, cela diminue le risque de souffrir de broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO), une malade respiratoire qui se caractérise par une obstruction lente et progressive des poumons.

Selon la communauté scientifique, la principale cause de BPCO est le tabagisme.

300 sujets atteints de BPCO et 340 adultes en bonne santé ont participé à cette étude menée par le Dr Fumi Hirayama qui s’est penché sur les effets d’une alimentation riche en soya et l’incidence de développer la maladie.

Selon le Dr Hirayama, ce sont les flavonoïdes du soya qui agissent comme des anti-inflammatoires sur les poumons et protègent les fumeurs contre les carcinogènes du tabac.

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Des nutriments sans effet sur le cancer

Selon des chercheurs ontariens, la vitamine E, le sélénium et le soya ne préviennent nullement l’apparition du cancer de la prostate.

« Plusieurs données scientifiques suggéraient que ces nutriments pouvaient avoir un impact notoire dans la prévention du cancer de la prostate. Nous avions vraiment espoir que ce soit l’élément magique qui agirait contre le cancer, mais malheureusement, ce n’est pas le cas », a souligné l’auteur principal de cette recherche, le Dr Neil E. Fleshner de l’Université de Toronto.

Le Dr Fleshner a travaillé avec 303 hommes ayant des lésions précancéreuses, à qui il a donné de la vitamine E, du sélénium et du soya. Au fil des ans, les candidats ont passé des biopsies qui n’ont révélé aucune amélioration notoire dans la rémission du cancer de la prostate.