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Un bilan positif pour le Hacking Health de Montréal

Luc Sirois et le Dr Fabrice Brunet étaient de passage dans les studios de la radio de Radio-Canada pour dresser un bilan de l’événement Hacking Health, qui se déroulait les 21, 22 et 23 février dernier.

Ayant pour but de réunir divers experts en informatique et en santé afin de travailler à des solutions d’avenir pour améliorer l’accès et la qualité des soins de santé, l’événement a attiré plus de 300 participants cette année.

Une batterie de designers, gestionnaires, informaticiens, programmeurs, infirmiers et infirmières, médecins et autres professionnels se sont donc donné rendez-vous à Sainte-Justine au cours du week-end pour ce « hackathon » hors de l’ordinaire.

Luc Sirois dresse un bilan positif de ce week-end technologique et croit que l’événement apporte son lot de pistes de solutions pour l’avenir.

L’événement fait aussi des petits, puisque des week-ends Hacking Health se tiennent un peu partout au pays. D’autres villes comme Paris, Strasbourg et Hong Kong entendent également joindre le mouvement, selon Radio-Canada.

Écouter l’entrevue accordée par Luc Sirois et Fabrice Brunet à Radio-Canada.

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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.

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Lire pour guérir

Top Santé rapporte une tendance des plus intéressantes en matière de thérapie et de méthodes de traitements alternatives contre la dépression et les troubles de l’humeur : la lecture.

En effet, il semble que de plus en plus de thérapeutes et de spécialistes s’attardent sur ce qu’il serait convenu d’appeler la bibliothérapie. Ils décident ainsi de « prescrire » des lectures aux patients en mal de vivre ou sous le coup d’un épuisement moral et/ou professionnel.

C’est particulièrement le cas du côté des États-Unis et maintenant de l’Angleterre, alors que l’on a mis sur pied un programme intitulé The Reading Agency, permettant aux praticiens et thérapeutes de prescrire des choix de lecture à leurs patients.

Des troubles comme l’anxiété, l’angoisse, la dépression, le sentiment de vide ou d’épuisement, le manque de foi ou encore le manque de confiance pourraient être soulagés partiellement ou complètement par des lectures adéquates.

« Les romans peuvent aider les personnes à se reconnaître, à s’identifier à un problème, à se sentir moins seules, à se dire que des solutions existent, ou encore à se poser des questions », lance un spécialiste et psychothérapeute européen.

Certains organisent même des séances d’échanges sur les livres prescrits, afin que les patients puissent discuter entre eux et avec leur psychothérapeute des émotions et des perceptions proposées par ceux-ci.

Il s’agit incontestablement d’une alternative des plus intéressantes à la prescription systématique d’antidépresseurs.

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Le paradoxe canadien des médecins spécialistes

Radio-Canada rapporte un paradoxe aussi frustrant qu’étonnant, alors qu’une nouvelle étude révèle qu’un taux élevé de médecins spécialistes canadiens peinent à se trouver un emploi.

Incroyable, quand on pense aux problèmes criants du système de santé actuel, spécialement au Québec. Ce serait donc 7,7 % des nouveaux médecins spécialistes qui affirment avoir du mal à se dénicher un emploi, un chiffre qui grimpe à 16 % sur l’ensemble du territoire canadien.

42 % affirment souhaiter suivre une formation complémentaire afin d’améliorer leurs chances, mais plusieurs se demandent comment les autorités peuvent se permettre de se priver de toutes ces ressources disponibles sur le marché.

C’est le cas de Danielle Fréchette, qui dirige l’étude commandée par le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.

« Pour nous, un neurochirurgien ou n’importe quel autre médecin spécialiste qui est sans emploi est problématique quand on pense aux listes d’attente des patients. Comment est-ce qu’on peut s’organiser pour répondre à leurs besoins? Il faut penser aux patients et aux listes d’attente que subissent ces patients. Pourquoi est-ce qu’on ne peut pas arrimer la production du système de formation avec les ressources qui sont disponibles et arrimer les ressources avec les besoins de la population? » s’interroge Fréchette, avec une pointe d’impatience bien sentie.

Le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada doit tenir un sommet l’hiver prochain, afin de voir comment cette situation pourrait être améliorée.

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Un carnet d’épilepsie pour améliorer les interventions chez les enfants

En fait, comme l’indique le Dr Sidebotham, pédiatre à la Warwick Medical School, « l’épilepsie peut être une condition complexe. Les enfants ont souvent besoin de consulter plusieurs professionnels de la santé pour le suivi de leur condition ».

C’est pourquoi Sidebotham s’est consacré à cette recherche, dont le rapport suggère la compilation des informations médicales dans un seul et même carnet de santé. Le « carnet épilepsie » contiendrait les coordonnées de tous les spécialistes que l’enfant consulte, en plus des dates de visites pour chacun d’entre eux, les raisons de la visite, le traitement choisi, puis la médication administrée, le cas échéant.

« Pour plusieurs de ces enfants, les crises surviennent fréquemment. Dans 36 % des cas, elles sont hebdomadaires, et la moitié a été hospitalisée à la suite de crises prolongées », a spécifié le Dr Sidebotham.

Au Royaume-Uni, c’est 1 enfant sur 200 qui est atteint d’une forme d’épilepsie. Cela en fait la maladie neurologique première chez les enfants. Certains en meurent, et l’une des raisons est le manque de suivi et de communication entre les différents spécialistes, ainsi qu’entre les parents et ceux-ci.

La meilleure solution constitue donc en l’instauration de ce carnet d’épilepsie, que les spécialistes devraient consulter et compléter à chaque visite, tel que l’indique Medicalxpress.com.

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Un spécialiste demande des campagnes plus agressives contre le sucre

« La drogue qui crée la plus forte dépendance et la plus dangereuse de notre temps », lance un spécialiste de la santé néerlandais.

Une réplique accrocheuse et spectaculaire, reprise par le Telegraph (UK), et qui lance un véritable avertissement aux autorités de la santé à travers le monde en matière… de sucre.

L’auteur de cette déclaration est Paul van der Velpen, dirigeant du service de la santé d’Amsterdam, une ville pourtant réputée pour son ouverture d’esprit.

Mais c’est justement sur ce clou que frappe van der Velpen, affirmant que si les autres drogues sont nocives, elles le sont de façon connue et affirmée, contrairement au sucre qui fait des ravages dans l’ombre.

« Tout comme l’alcool et le tabac, le sucre est en fait une drogue. Il y a un rôle important pour le gouvernement. La consommation de sucre devrait être découragée, et les consommateurs devraient être mieux avertis des dangers », lance le spécialiste, mécontent.

Il suggère notamment de placer des avertissements sur les produits qui contiennent beaucoup de sucre, à l’image de ceux retrouvés sur les paquets de cigarettes.

« Ça peut sembler tiré par les cheveux, mais le sucre est la drogue la plus dangereuse de notre temps et s’acquière partout. Quiconque consomme du sucre en voudra davantage », poursuit van der Velpen, en conclusion.

Les plus avisés seront sans aucun doute d’avis que le dirigeant néerlandais marque un point fort intéressant.

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Le mélange de vodka et de Red Bull serait plus dommageable qu’on le croit

Un professeur spécialiste australien s’inquiète de la banalisation du phénomène vodka-Red Bull, qui consiste à mélanger les deux produits lors de fêtes bien arrosées afin d’obtenir une plus grande capacité de consommation.

Selon le professeur Peter Miller, explique le Daily Mail (UK), plusieurs études récentes ont banalisé les impacts potentiels sur la santé de ce genre de comportement, et se basent surtout sur des données de faible consommation (comme consommer un seul Red Bull et quelques verres).

Or, il croit que ceci ne reflète en rien la réalité, et qu’une nouvelle génération de fêtards empile plutôt verre après verre, encouragés par leur insouciance et le dépôt de ces études.

De plus, Miller souligne aussi qu’une portion non négligeable de ces recherches ont été financées… par Red Bull!

Avec la montée en flèche de la popularité des verres comme la vodka-Red Bull, Peter Miller s’indigne de cette désinformation et du manque d’études exhaustives sur le sujet. Il rappelle en terminant que ces boissons ne sont pas faites pour être mélangées, d’autant plus qu’on en sait très peu sur les réels impacts des boissons énergisantes à la base et en soi.

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Des professionnels de la santé qui mentent à leurs patients

Il ne faut pas être le plus rusé des limiers pour se rendre compte que certains membres des corps médicaux et des travailleurs de la santé décident parfois de nous mentir, souvent pour notre propre bien.

Ce qui est moins familier, c’est d’entendre ces mêmes professionnels nous l’avouer! C’est pourtant exactement ce que dévoile le Telegraph (UK), alors qu’une étude britannique confirme ce dont plusieurs se doutaient déjà.

L’étude, en provenance de l’Université Newcastle, parle même d’une moyenne de plus de 70 % des intervenants en centre hospitalier ou en clinique qui avouent mentir à leurs patients!

Certains des mensonges impliquent de ne pas révéler un décès sur-le-champ, d’acquiescer à une personne aux prises avec des problèmes de démence ou encore de minimiser un état de santé jugé pourtant assez grave.

Il semble que malgré les taux alarmants de mensonge reconnus, il appert que ceux-ci sont le plus souvent du temps inscrits dans une stratégie psychologique visant soit à ménager un patient, soit à lui procurer un état d’esprit jugé pertinent par le spécialiste ou le médecin lors d’un moment précis.

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Le VPH peut vraiment mener au cancer de la gorge, concluent des experts

Les déclarations récentes de Michael Douglas, voulant que le VPH et des relations sexuelles orales auraient mené à son cancer de la gorge, ont fait le tour du monde et jeté de la lumière sur un phénomène que l’on croyait peu probable.

Même si l’acteur s’est par la suite ravisé et a tenté de minimiser l’impact de ses propos, il n’en demeure pas moins qu’une bonne partie de la population s’est subitement sensibilisée au phénomène.

Après des mois de tergiversations, voilà que des spécialistes britanniques confirmeraient le lien entre le VPH et les risques de développer un cancer de la gorge, rapporte le Daily Mail (UK).

Les spécialistes d’Oxford se sont penchés sur le fameux VPH16, une souche qui pourrait mener au cancer.

Ils concluent dans leur rapport que 7 femmes sur 100 et 23 hommes sur 100, non-fumeurs et atteints du VPH, vont développer un cancer découlant de cette souche de la maladie transmissible sexuellement.

Cependant, on avance que les patients atteints de ce cancer découlant du VPH auraient plus de chances d’y survivre que ceux qui le développent « naturellement ».

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Doit-on vraiment craindre les orages?

La saison estivale apporte son lot de bonheur, de soleil, de plage et de festivités, mais elle apporte aussi son lot d’orages!

Et lorsque la fête est annulée pour cause de journée orageuse, doit-on vraiment craindre les affres de la foudre? Les orages sont-ils réellement dangereux?

C’est la question à laquelle veut répondre Top Santé, en publiant les propos de Christian Virenque, spécialiste en la matière.

Pour ce dernier, les éclairs sont effectivement dangereux, mais les chances de mourir des suites d’un foudroiement demeurent somme toute assez minces.

« Sur les 30 à 50 cas de foudroiement qui surviennent chaque année en France, seul un tiers est mortel », lance Virenque avant de poursuivre ses explications.

Il informe notamment qu’il n’existe virtuellement aucun risque à toucher une victime foudroyée, puisque le courant entre et ressort instantanément. Il est donc possible de lui porter secours.

Il rappelle ensuite l’importance d’envoyer immédiatement à l’hôpital une victime de la foudre, et d’appeler les secours le plus rapidement possible.

Il termine en rappelant qu’il s’agit d’un événement très rare, mais qu’il occasionne souvent un syndrome de stress post-traumatique chez ceux qui en sont victimes, et qu’il ne faut pas minimiser un tel événement.